Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: katiadelage

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 15 capitoli

Pubblicato: 24-08-08

Ultimo aggiornamento: 09-10-08

 

Commenti: 80 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Avant d’entamer cette histoire, je vous demanderai pour celles et ceux qui ne m’ont jamais lu, de lire absolument le Tome 40 « Ne me quitte pas… » Avant de lire celui-ci. Merci et bonne lecture.

 

Disclaimer: Les personnages de "Tome 41 "Ne Me Quitte Pas... Suite"" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Tome 41 "Ne Me Quitte Pas... Suite"

 

Capitolo 7 :: Chapitre VII

Pubblicato: 09-09-08 - Ultimo aggiornamento: 09-09-08

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15


 

 

Chapitre VII  

 

Il pleuvait à torrents quand ils arrivèrent ce soir là à proximité de la base militaire médicale du gouvernement Japonais.  

Tapi sous les sièges arrière du 4x4 d’Umibozu, Kaori apercevait néanmoins les lumières des grands bâtiments qui brillaient dans la nuit froide. Entouré d’un mur d’enceinte d’au moins trois mètres surmonté d’un grillage électrique, le site ressemblait plus à un camp militaire qu’à un centre de recherche médicale.  

Alors qu’ils bouclaient les derniers cent mètres qui les séparaient du poste de garde, le Président avoua à Kaori en riant, que les chercheurs qui travaillaient sur place surnommaient entre eux cet endroit « das Konzentrazionslager », appellation qui n’eut pas précisément pour effet de la rassurer.  

Dès qu’ils furent arrivés devant le poste de contrôle, le macaron électronique fixé par Nicolas un peu plus tôt sur le pare-brise de la voiture commanda l’ouverture automatique de la barrière d’entrée.  

Et alors que la grille s’ouvrait lentement, les deux vigiles guère tranquillisés par l’insigne officiel, scrutèrent le véhicule jusqu’à ce que le Président abaisse la vitre de la portière.  

 

- (Président) Bonjour Akemoto, bonjour Hojo, foutu temps n’est ce pas ?  

 

- (Vigile) Oui, Mr le Président, approuva le vigile, rassuré de voir un visage familier, s’il fallait boire tout ce qui va tomber cette nuit, nous piserions jusqu’à le fête de l’indépendance !  

 

- (Président) Tout à fais juste !!!  

 

Approuva Nicolas tandis que la barrière finissait de s’ouvrir pour leur laisser le passage.  

Entre deux battement d’essuie glaces, Kaori eut à peine le temps de discerner, à droite de la barrière, d’imposantes lettres argentées qui s’étalaient sur un petit monticule de gazon illuminé par des projecteurs. « INSTITUT DE RECHERCHE HOMOTO ».  

Logo bien évidemment qui servait à masquer la réelle origine de ce centre.  

Par chance, la pluie avait dissuadé les vigiles de s’éloigner de l’abri que leur offrait le petit bungalow de protection et ils s’étaient tenus assez éloignés de la voiture pour ne pas s’apercevoir de la présence de Kaori.  

Après un salut de la main, Nicolas remonta sa vitre et s’engagea enfin sur l’accès qui longeait la clôture et menait au parking en plein air.  

Lorsque Kaori vit la lourde barrière se refermer derrière eux, elle adressa mentalement une prière à Dieu pour lui demander de veiller sur eux et de faire en sorte que, dans sa grande miséricorde, il ne leur inflige pas cette endroit hostile et humide comme dernière demeure.  

 

- (Kaori) Ca ne parait pas bizarre de débarquer ici en pleine nuit ?  

 

- (Président) Non. Quelques personnes travaillent ici la nuit. Certains aiment se retrouver dans le calme et le silence, sans parler de ceux qui dorment carrément dans leur bureau ou qui évitent de rentrer chez eux pour ne pas avoir à faire la conversation à leur femme….  

 

Une fois arrivée sur le parking, ils se garèrent près de l’entrée pour être à même de repartir plus vite au cas où les choses tourneraient mal. Une fois s’être assuré que le parking était désert, le Président sortit du coffre de la voiture, deux blouses blanches brodées aux armoiries de IRH.  

 

- (Président) Enfilez ça Kaori. Maintenant vous êtes Hiromi Kataroumi, l’assistante du Professeur Ulrick Rostov.  

 

- (Kaori) Dit donc, je ne vous voyais absolument pas du tout comme ça ? !!! Vous êtes quelqu’un de surprenant. Vous avez pensé à tout.  

 

- (Président) Quand les médias se permettent de relater sur la vie de certains personnages, ils ne les connaissent pas vraiment au final… C’est pour cela que les gens se font une fausse idée de moi.  

 

- (Kaori) En même temps, je ne suis pas très sure, que si les médias venaient à apprendre que vous êtes sur le point de voler un corps dans une base militaire médicale de recherche, qui n’est pas censé exister, ils vous mettraient sur un pied destalle.  

 

Kaori passa sa blouse en vitesse, sans oublier de prendre la mallette qu’Umibozu leur avait préparée et qui contenait diverses armes et objets dont il pensait, non sans raison, qu’ils pourraient leur être utiles.  

Ainsi équipé, Kaori rejoignit le Président qui lui fit une place sous son parapluie, car l’orage avait redoublé d’intensité.  

Ils atteignirent rapidement un vaste bâtiment en verre et s’avancèrent jusqu’aux grandes portes vitrées de l’entrée.  

Le Président composa un code secret qui permettait d’accéder à une deuxième série de portes. Les premières s’ouvrirent immédiatement et alors que Kaori s’apprêtait à le suivre, il lui conseilla de rester à l’extérieur.  

 

- (Président) L’ouverture de la deuxième rangée de portes est commandée par un système d’identification de pupilles. Maintenant que nous savons que le Générale est derrière tout cela, et depuis mon départ de l’hôtel, je ne suis peut être plus « persona grata » dans cet endroit.  

 

- (Kaori) Que voulez vous dire ?  

 

- (Président) J’ai peur qu’il ne m’ait rayé de la liste de ce qu’ils appellent leurs identifiants pupilles.  

 

- (Kaori) Que se passera t-il si c’est le cas ?  

 

- (Président) Si le système ne reconnaît pas ma pupille, l’alarme se déclenchera automatiquement au bout de trois minutes.  

 

- (Kaori) Pourquoi la sonnerie met elle trois minutes avant de se déclencher ?  

 

- (Président) Pour tout simplement permettre à ceux qui portent des lentilles de les retirer et de faire un nouvel essai. Il y a pas mal de chercheurs qui en portent et qui oublient de les enlever avant d’entrer.  

 

Kaori fit trois pas en arrière, et leva les yeux au ciel, en se demandant ce qu’ils étaient venus faire dans cette galère !!!  

 

- (Kaori) Pourquoi est ce que je dois rester à l’extérieur, j’ai froid, moi !!!  

 

- (Président) Quand je me placerai devant l’identificateur de pupilles, un mécanisme va immédiatement commander la fermeture des portes que nous venons d’ouvrir. Si au bout de quelques secondes la deuxième série de portes s’ouvre, c’est que tout à bien fonctionné et que mon identifiant pupilles est encore valable.  

 

- (Kaori) Hum… et que se passera t-il dans le cas contraire ?  

 

- (Président) Et bien… je resterai bloqué entre les deux rangées de portes et vous aurez alors trois minutes pour prendre vos jambes à votre cou, regagner la voiture et vous tirer d’ici en vitesse avant que l’alarme ne se déclenche.  

 

- (Kaori) Vous êtes sure, qu’il n’y aurait pas une autre solution ?  

 

- (Président) Pas que je sache. Vous voulez toujours aller chercher Ryo ?  

 

- (Kaori) Oui, c’est bon, ça va !!! Je posais juste la question, à tout hasard !!!!  

 

Kaori lui souhaita bonne chance. Nicolas se plaça devant le petit appareil et comme il l’avait expliqué, les premières portes de verre se refermèrent aussitôt sur lui. Moins d’une seconde plus tard, Kaori put lire à travers la vitre l’inscription « identification rejetée » qui clignotait sur l’écran.  

Nicolas se retourna instantanément vers elle.  

 

- (Président) C’est foutu ! vociféra t-il en tambourinant sur la vitre. Tirez vous le plus vite possible.  

 

En plissant les yeux, Kaori pouvait voir, sur le petit écran, le compte à rebours qui avait commencé à s’égrener… 2 mn 59 s, 2 mn 58 s… Kaori lança un bref coup d’œil à sa montre et, sans un regard pour le Président, elle se rua hors du bâtiment.  

 

- (Kaori) Ryo ? Ryo ???? C’est pas vrai !!! Jamais là, quand j’ai besoin de lui…  

 

La pluie avait redoublé et des éclairs en cascade transperçaient violement le ciel dans un grondement continu. Kaori se rappela qu’un peu plus tôt, ils avaient décidé de se séparer les taches de leur mission. Ryo devant retourner auprès du Général pour essayer d’obtenir le plus d’information quand à ses intentions. Elle se retrouvait donc toute seule, et ne pensant pas à regagner le parking, elle fit plutôt le tour du bâtiment en sprintant. Une fois à l’arrière, elle aperçut l’entrée de la cafétéria du centre, encore ouverte malgré l’heure tardive. Trempé des pieds à la tête, elle avait l’impression que son rythme cardiaque s’était emballé et qu’un sang brulant irriguait ses veines.  

2 mn 15 s.  

 

 

 


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