Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: katiadelage

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 15 capitoli

Pubblicato: 24-08-08

Ultimo aggiornamento: 09-10-08

 

Commenti: 80 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Avant d’entamer cette histoire, je vous demanderai pour celles et ceux qui ne m’ont jamais lu, de lire absolument le Tome 40 « Ne me quitte pas… » Avant de lire celui-ci. Merci et bonne lecture.

 

Disclaimer: Les personnages de "Tome 41 "Ne Me Quitte Pas... Suite"" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I'm almost 18. Can I get access to the NC-17 section?

 

No. Legally, you are not major, before you are 18 years old. I don't care if it's in a day or a week. Make your request when you are actually 18.

 

 

   Fanfiction :: Tome 41 "Ne Me Quitte Pas... Suite"

 

Capitolo 9 :: Chapitre IX

Pubblicato: 14-09-08 - Ultimo aggiornamento: 14-09-08

Commenti: Merci pour vos encouragements qui me touchent très profondément. Bisous

 


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Chapitre IX  

 

Ils se dirigèrent vers un ascenseur qui devait les conduire au sous-sol ou se déroulaient les expériences sur le clonage.  

Le monte-charge s’ouvrit sur un large couloir qui les mena à une porte d’acier chromé portant l’inscription « Chambre de Repos ».  

Un garde était bien en faction devant la porte, mais le Président le salua sans trembler et lui lança une boutade salace de son crû pendant qu’il composait le code d’entrée.  

La porte s’ouvrit sans difficulté et aussitôt un éclairage puissant se répandit dans la chambre.  

Le silence n’était troublé que par le ronronnement des appareils médicaux disposés en cercle autour du corps de Ryo.  

Le cœur de Kaori se serra à nouveau devant ce spectacle douloureux, mais décidé à ne pas craquer, elle demanda.  

 

- (Kaori) Comment comptez-vous procéder ?  

 

- (Président) Il y a une chaise roulante, juste là, nous allons nous en servir pour transporter le corps.  

 

- (Kaori) Moi, personnellement, je veux bien, mais croyez vous vraiment, que ce garde à l’entrée va nous laisser passer aussi facilement avec ce corps inerte ?  

 

- (Ryo) Et ! Ce corps inerte, c’est le mien, alors un peu de respect !!!!  

 

- (Kaori) Oh ça va... Calme-toi. Bon, Nicolas que fait on ?  

 

- (Président) Mieux vaut essayer de ressortir par derrière, on peut atteindre un escalier de secours situé dans la pièce attenante.  

 

- (Kaori) Je suis entrain de rêver !!! Oui c’est ça… Je suis avec le Président de la république française dans un laboratoire de recherche secret, que nous avons pénétré je ne sais même pas comment !entrain de voler un corps, celui de mon propre partenaire, et nous n’avons même pas eut la présence d’esprit de définir un itinéraire de sortie.  

 

- (Président) Ne me dite pas que vous êtes entrain de craquer ?  

 

- (Kaori) Je ne suis pas entrain de craquer ! Mais juste entrain d’halluciner que vous vous posiez la question de savoir comment l’on va sortir d’ici que maintenant !!!  

 

- (Ryo) Décidément mon p’tit chou, tu as vraiment l’air tendu ? !!!  

 

- (Kaori) La ferme Ryo !!  

 

- (Président) Calmez-vous Kaori !!! On risque de nous entendre.  

 

Et c’est à ce moment précis qu’une alarme stridente retentit dans tout le laboratoire.  

 

- (Président) Oh mon Dieu ! Ils ont du découvrir le corps du Pr Hirasso.  

 

Juste à ce moment, un garde rentra dans la pièce et les menaça de son arme.  

Il les regarda avec une espèce de jubilation, qui malheureusement pour lui ne devais guère durer, car Ryo décida de reprendre les choses en main.  

Il ordonna à kaori de prendre la sortie indiqué un peu plus tôt par le Président, ce qu’ils firent sans oublier au passage de récupérer le corps inerte du nettoyeur qu’ils avaient transbahuté sur la chaise roulante.  

Ryo quand à lui se posta devant le garde en gesticulant comme un spectre, à l’effigie du non moins célèbre fantôme Gaspar.  

Et au moment ou le garde s’apprêtait à tirer, il fut soudainement terrorisé par l’apparition d’une ombre sombre qui tournoyait autour de lui en émettant des sons terrifiants.  

Prit de spasme délirant, il recula péniblement pour finalement s’évanouir sur le sol. Satisfait de lui même, Ryo rejoignit la petite troupe qui avec difficulté tentait de dévaler les escaliers avec leur lourde charge.  

Entre deux étages, Nicolas qui connaissait les lieux, trouva la boite à fusibles et fit disjoncter une partie du système électrique, si bien qu’au final, ils ne voyaient plus grand chose dans le laboratoire, et seul les éclairs de l’orage continuaient à envoyer de la lumière par intermittence.  

Ils dévalèrent les marches péniblement avec leur fardeau, Nicolas maintenant fermement les poignets du siège roulant et Kaori, celle situé aux chevilles.  

Ils arrivèrent au rez de chaussée sans trop d’encombre, mais hors d’haleine !!  

Kaori demanda encore une fois au Président, tout en courant vers la porte par laquelle ils étaient entrés, comment il comptait sortir ?  

Sachant qu’ils n’avaient plus personne pour l’identificateur de pupilles.  

 

- (Ryo) Comme ça !!!  

 

Et Ryo qui apparut soudainement en chair et en os, déversa le contenue de son 357 Magnum qui réussit à faire exploser tous les vitrages de l’entrée.  

Kaori et le Président étaient resté comme figé sur place, mais l’approche des gardes leurs fient retrouver leurs esprits, et ils furent dehors trois secondes plus tard.  

Ils courraient comme des dératés vers la voiture sans toutefois lâcher le fauteuil roulant.  

Des coups de feu retentissaient derrière eux, on leur tirait dessus, et les spots puissants qui éclairaient les pelouses autour du parking, faisaient d’eux des cibles parfaites.  

Ils atteignirent la voiture qui était resté ouverte (par précaution ils avaient décidé de ne pas fermer les portes à clef).  

Kaori pénétra dans le véhicule la première, et se positionna au volant pour déguerpir au plus vite, Nicolas prit le siège du passager, Ryo monta à l’arrière et elle démarra sans plus attendre. En effectuant une marche arrière kaori, remarqua que le Président avait été touché et qu’il avait la jambe en sang.  

 

- (Kaori) Oh ! Mon Dieu, Nicolas, vous êtes touché !  

 

- (Président) Ce n’est rien, foncez ! S’ils nous rattrapent, ils nous tuerons !  

 

- (Kaori) Mais c’est pas vrai ! Vous êtes quand même le Président, on ne peut pas vous tuer comme ça ?  

 

- (Président) Dois-je vous rappeler que ses hommes travaillent pour le Général Sato ?  

 

Kaori mit les gaz vers la sortie tout en demandant à Ryo comment ils allaient passer les barrières du poste de contrôle.  

Puis, ils sentirent un pneu éclater, et la vitre arrière vola en éclat.  

 

- (Ryo) Ne t’arrête pas !  

 

Et tout en faisant de son mieux pour métriser la voiture qui devenait incontrôlable…  

 

- (Kaori) Tu crois que je suis devenue folle, ou quoi ? Comme si j’allais m’arrêter pour aller prendre le thé !!!  

 

- (Ryo) Calme toi ma belle, et garde ton sang froid !!  

 

- (Kaori) Je ne m’énerve pas… Je suis très calme…  

 

Ils étaient entrain d’aborder la pente qui menait à la sortie, quand l’éclatement d’un deuxième pneu envoya le 4x4 s’écraser contre un mur.  

Les airbags s’étaient déclenchés, et en apparence ils allaient bien, mais pour combien de temps ???  

Les gardes étaient toujours derrière eux et se rapprochaient dangereusement.  

Kaori aida le Président à s’extraire de son siège.  

Il ne restait plus que quelques mètres à parcourir pour arriver jusqu’à la sortie et ils seraient sauf, mais il ne semblait pas y avoir d’espoir.  

Le véhicule des deux vigiles qu’ils avaient vus en arrivant, remontait la pente à toute vitesse pour les empêcher d’aller plus loin.  

Ils étaient encerclés de toute part !!! Cette fois, c’était bel et bien fini…  

 

En arrivant à leur hauteur, la voiture des gardes fit un dérapage contrôlé d’un demi-tour et, malgré la pluie battante, Kaori crut apercevoir l’un des deux vigiles lui faisant signe par de grands gestes de monter à l’arrière de leur voiture.  

Kaori s’approcha de leur vitre et elle comprit alors, ce soir là que sa prière avait été exaucée, et qu’ils ne tomberaient pas sous les balles de cette milice.  

Elle aida le Président à prendre place dans l’autre voiture, avant que celle ci ne démarre dans un crissement de pneu.  

Le vigile assis à la place du mort enleva sa casquette et se retourna vers eux.  

 

- (Miki) Alors ! Content de nous voir ?  

 

Et la voiture enfonça la dernière barrière de sécurité et disparut dans la nuit.  

 

 

 


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