Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: TOKRA

Beta-reader(s): Paty

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 4 capitoli

Pubblicato: 28-09-08

Ultimo aggiornamento: 16-11-08

 

Commenti: 74 reviews

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Romance

 

Riassunto: Kaori a fait son choix entre Ryo et Mick. Mais qui a t-elle choisit ?

 

Disclaimer: Les personnages de "Pourquoi lui ?" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 1500 words per chapter, so you can see that the minimum we're asking for is quite less.

 

 

   Fanfiction :: Pourquoi lui ?

 

Capitolo 2 :: Et le gagnant est...

Pubblicato: 06-10-08 - Ultimo aggiornamento: 06-10-08

Commenti: Coucou !! Merci à Souvenire, Kaori62, Rototo03, Mickiko, Milkaly, Laur_e, Clo, Tennad, Imou84, Spot2001, Kelele, Zaza, Lilie02, Nanou, RKever, Indiana, Phineas, Hélènaick, Lauraw, Saoria, Paty, Kaori4ever, Zoe, Lyly, Marie24, Yuna, Martinouchette, Hitomi007, Pocahontas et Eli pour leurs reviews et leurs votes. Merci à ma jumelle Paty pour son coup de pouce. 31 votes dont deux votes nuls. Bon voici les résultats, le vainqueur gagne avec 79,31 % (soit 23 voix sur 29). Le grand vainqueur est...... la réponse juste en dessous. Bonne lecture à tous.

 


Capitolo: 1 2 3 4


 

A l'annonce de notre nouvelle, j'ai senti qu'on lui avait un peu plus enfoncé un poignard dans son coeur. Je pouvais ressentir sa douleur. Il ne voulait pas nous la laisser paraître, fidèle à lui-même et à son image de nettoyeur. Aussi il accepta d'être le parrain de notre enfant à notre plus grande joie. Je savais qu'il éprouvait encore des sentiments pour toi, Kaori, et que si à la mort de Kazue je ne m'étais pas décidé et que j'avais encore attendu quelques mois de plus pour me déclarer, il t'aurait avoué son amour pour toi, de peur de te perdre. Alors peut être ce ne serait pas mon enfant qui grandirait en toi.  

 

Nous sommes arrivés à l'appartement, heureusement que je ne t'ai pas écouté et que l'on avait pris la voiture. Doucement nous avons montés les escaliers, je t'aurais bien porté mais je n'ai pas voulu te mettre en colère, alors je n'ai fait que te maintenir. Arrivés dans le salon, j'ai insisté pour que tu te repose un peu et je t'ai un peu forcé la main pour que tu t'assoie dans le canapé, puis je t'ai dit de t'occuper de rien, que c'est moi qui allait nous préparer à souper. Tu m'as dit que j'étais un ange, et moi je t'ai répondu que c'était toi mon ange, que c'était grâce à toi que ma vie était devenue ce qu'elle était. Puis je me suis penché sur toi pour capturer tes lèvres. T'embrasser me fait toujours autant d'effet, et très vite ce chaste baiser est devenu plus passionné. Mais je t'ai promis que je m'occuperais du repas, alors à regret je me suis échappé de tes bras. Moi je me serais bien contenté du « dessert », mais j'ai pensé à toi qui doit se nourrir correctement et surtout pour deux. Mon ventre aussi réclamait sa pitance, alors voyant que je n'avais pas le choix, je me dirigeais vers la cuisine.  

 

Je suis là derrière les fourneaux, préparant un repas simple, mais qui j'espère sera bon. Je pense à toi, à la façon dont nous nous sommes avoués notre amour. Cette histoire remonte à plus d'un an maintenant, au jour où Kazue est morte, à cause d'un chauffard qui avait trop bu.  

 

 

 

Ce soir là, alors que je me préparais à partir pour me cabarets préférés, on frappa à la porte de notre appartement. Tu alla ouvrir, et voyant que tu ne m'appelais pas, je descendit pour voir qui venait nous rendre visite. Le spectacle qui se dessina devant mes yeux, fit faire un bond dans mon coeur. Toi et Mick étaient devant la porte d'entrée, enlacés. Mais bien vite mon envie de meurtre disparut, je sentais dans l'aura de Mick, une tristesse que je n'avais jamais ressentit auparavant.  

 

Et quand ce dernier leva ses yeux sur moi, je vis son regard rempli de larmes. Il n'avait pas besoin de parler, j'avais comprit que quelque chose de grave était arrivé. Doucement je me suis approché de vous. Tu as desserré son étreinte et nous avons guidé Mick vers le canapé. Je suis allé chercher un verre, car il en avait besoin.  

 

Entre deux sanglots, Mick a réussi à prononcer quelques mots, et j'ai compris le drame qui venait de se produire. Kazue, la fiancée de mon meilleur ami venait de mourir, un ivrogne ayant percuté sa voiture. Sans qu'il s'en aperçoit, j'ai ajouté dans le verre de Mick quelques somnifères. Je sais que l'alcool et les médicaments ne font pas bon ménage, mais il avait besoin de dormir. Alors qu'il commençait à s'assoupir, je l'ai soutenu jusque ma chambre, et je l'ai allongé sur mon lit, lui ôtant seulement ses chaussures.  

 

Quand je suis redescendu au salon, je t'ai vu en train de pleurer. Tu venais de perdre une amie. Sans un mot, je me suis approché de toi et je t'ai pris dans mes bras. J'ai sentit ton corps, si chaud et si vivant contre le mien. Je t'ai laissé pleurer de longues minutes durant, tout en caressant ton dos. Peu à peu tes sanglots se sont taris, mais je n'ai pas défais mon étreinte pour autant. Alors tu as levé tes yeux humides sur moi, et j'ai comprit la chance que j'avais. Tu étais vivante dans mes bras, alors que dans ma chambre, mon ami dormait, et jamais plus il ne pourrait dire à Kazue combien il tenait à elle. Moi j'avais cette chance, et je ne l'avais jamais fait. Peut être par peur de plus souffrir si je devais te perdre. Mais j'ai compris à cet instant qu'au contraire, ma douleur aurait été encore plus forte, car tu serais partie sans savoir à quel point je t'aimais. Mes lèvres se sont posées sur ton front, et j'ai resserré mon étreinte. J'espérais que tu comprendrais les sentiments que j'essayais de te montrer à travers mon geste. Je venais de comprendre que je pouvais te perdre à tout moment et surtout pas uniquement à cause de mes ennemis. Mais je voulais attendre encore un peu avant de te dire ce que je ressentais pour toi. Le moment n'était pas propice à une grande déclaration d'amour, je n'avais pas le droit d'être joyeux alors que mon ami était au plus mal.  

 

Nous sommes restés un long moment enlacés, mais je savais que j'avais une mission importante à effectuer. Tu l'as compris mon ange et tu t'es dégagé de la douceur de mes bras. Tu m'a regardé tendrement et tu m'as dit.  

 

- Fais ce que tu as à faire, je vais m'occuper du repas.  

 

Alors, j'ai pris le téléphone et j'ai appelé tous nos amis pour leur annoncer la terrible nouvelle. Je leur ai dit également que je prendrais soin de Mick. Une fois mon devoir accomplit, je suis allé te rejoindre. Tu avais presque fini de préparer le repas et pour une fois j'ai mis la table sans que tu me le demande. Tu as remplis nos assiettes, mais tu ne touchais pas à la nourriture, tu te contentais de jouer avec. Alors j'ai pris ta main dans la mienne et je t'ai dis.  

 

- Mange, il faut que tu restes en forme, Mick va avoir besoin de nous.  

 

Tu as serré ma main, tu n'as rien dit et tu as commencé à manger du bout des lèvres. Tu voulais me faire plaisir. Moi même je n'avais pas très envie de manger, mais j'ai quand même vidé mon assiette. Durant tout le repas, ma main n'a pas quitté la tienne. Une fois le repas terminé, j'ai été plus rapide que toi et j'ai débarrassé la vaisselle et l'ai mise dans l'évier. Tu allais tirer de l'eau, mais je t'ai dit.  

 

- Laisse, on verra ça demain.  

 

Je t'ai guidé jusqu'à ta chambre et sur le pas de la porte de cette dernière, j'ai déposé un doux baiser sur ton front. Tu m'a dis.  

 

- Où vas tu dormir ?  

 

Je t'ai souris, il fallait toujours que tu t'inquiètes pour les autres, puis je t'ai répondu.  

 

- Sur le canapé dans ma chambre, il faut que je surveille Mick.  

 

Tu as voulu venir avec moi, mais je t'en ai dissuadé, alors tu es entré dans ta chambre et moi je me suis dirigé vers la mienne.  

 

Mick était endormi, mais son sommeil n'était pas tranquille. Il n'arrêtait pas de bouger, et de prononcer le nom de Kazue. Alors je me suis allongé sur le canapé, cette nuit risquait d'être courte.  

 

Les heures passèrent et je n'avais toujours pas trouvé le sommeil, je n'arrêtais pas de repenser aux évènements de la soirée. Soudain, j'entendis un bruit discret et la poignée de ma chambre se tourner. Je n'ai pas bougé, j'avais reconnu ton aura. Tu es entrée discrètement, d'un oeil, je te surveillais. Tu as remis en place la couverture que j'avais posée sur Mick, puis tu t'es dirigé vers moi. Je fis semblant de dormir. Tu as repoussé une de mes mèches, puis tu as caressé ma joue. je faisais un effort pour ne pas te prendre dans mes bras. Puis brusquement sans que je n'ai eu le temps de faire un geste, tu t'es couché à mes côtés, te blottissant contre moi. J'ai voulu t'enlacer mais tu t'es mépris sur mon geste. Tu m'a regardé d'un air triste et tu m'as murmuré.  

 

- Non, ne me repousse pas. Pas aujourd'hui.  

 

Et je t'ai fait comprendre que ça n'était pas mon intention, et je t'ai plaqué contre moi. Tu t'es endormie dans mes bras et je ne tardais pas à te rejoindre dans le sommeil.  

 

Quelques jours plus tard, Mick semblait aller mieux. Le jour de l'enterrement nous avons été au cimetière. Mick est resté digne, pas une seule larme n'a coulé sur ses joues, par contre, Doc était bouleversé, il avait perdu comme une fille. A la fin de la cérémonie, j'ai voulu ramener Mick chez lui, mais il a dit qu'il voulait rester encore un peu mais seul. Nous avons tous comprit son geste et nous l'avons laissé. Tu as tourné ton regard vers moi et j'ai compris ce que tu voulais faire, car j'avais eu la même idée.  

 

Nous nous sommes retrouvés devant la tombe de ton frère, et doucement, j'ai pris ta main dans la mienne. Tu m'as regardé, surprise de mon geste, mais tu n'as pas bougé. J'essayais de faire comprendre à ton frère que je ne pouvais plus taire les sentiments que j'éprouvais pour toi.  

 

Soudain nos regards se sont croisés, je me suis penché sur toi et mes lèvres ont capturés les tiennes pour un doux baiser. Je sais que ce n'était pas l'endroit le plus romantique pour un premier baiser, mais j'avais fait ça instinctivement, comme pour avoir l'accord de ton frère concernant notre relation.  

 

Quand nos lèvres se sont quittées, je t'ai regardé et j'ai vu des larmes dans tes yeux. Doucement tu as caressé ma joue et tu m'as dit.  

 

- Je t'aime Ryo !  

 

Alors, j'ai compris que c'était le moment, et je t'ai répondu.  

 

- Je t'aime Kaori.  

 

Tu t'es blottie dans mes bras. J'avais imaginé te faire la plus grande et la plus belle des déclarations d'amour, mais je n'ai prononcé que trois mots. Ces trois mots étaient cependant plus forts que de longs discours. Puis nous sommes rentrés chez nous.  

 

Les jours passèrent, les choses avaient changées entre nous. Nous étions beaucoup plus proches, mais nous avancions doucement dans notre relation. Je ne voulais pas te brusquer et je me contentais de baisers, d'étreintes et de caresses. Parfois il arrivait que nous dormions ensemble, mais en tout bien tout honneur. J'adorais et j'adore toujours dormir te sentant blottie contre moi. Pour l'heure nous voulions garder tout cela pour nous, alors à l'extérieur de l'appartement, nous avions gardés le même comportement. Moi courant après les jolies filles et toi courant après moi avec ta massue. Je n'allais plus que rarement dans les cabarets, mais tu savais que c'était uniquement une couverture pour tromper nos ennemis.  

 

Un soir alors que tu était sortie avec les filles, moi j'avais passé quelques heures en compagnie de Mick et Falcon. Quand je suis rentré à l'appartement, tu n'étais pas là. la soirée entre filles avait du se prolonger. Alors j'ai allumé la télé, me suis assis dans le canapé, attendant ton retour. Puis soudain j'ai reconnu ton pas dans l'escalier, alors j'ai fais semblant de dormir.  

 

Tu t'es approché de moi, et j'ai sentit que tu posais une couverture sur moi, puis tes lèvres ont frôlé les miennes. Alors je n'ai pas pu résister, et j'ai capturé tes lèvres pour un long baiser.  

 

Le lendemain de cette soirée, quand je me suis réveillé, tu étais là, nue dans mes bras. Cette nuit là j'avais fait de toi ma femme. Quand tu as ouvert les yeux, tu t'es mise soudainement à rougir. Mais au lieu de me moquer de ta timidité, je t'ai regardé mes yeux remplis de désirs pour toi. Là tu es devenu carrément couleur pivoine. Et avant que tu n'ai prononcé un seul mot, je t'ai embrassé, je me suis mis à caressé ton corps, et nous avons fusionné une nouvelle fois.  

 

Plus tard, nous avons pris notre petit déjeuné. Tu me demanda combien de temps nous allions encore caché notre relation à nos amis, et tu as été plus que surprise quand je t'ai dis.  

 

- Et si on leur disait aujourd'hui ?  

 

Tu t'es jeté à mon cou et tu m'as dit merci. Alors j'ai compris que malgré tous les mots doux, et tous les gestes tendres que j'avais eu envers toi, tu doutais encore de mon amour. Comment aurais je pu t'en vouloir, c'était entièrement de ma faute. Combien de fois, j'avais avancé puis reculé dans notre relation. Mais quand tu as vu que j'étais décidé d'annoncer à nos amis que nous étions un couple, tu as compris que je ne reculerais plus.  

 

Alors nous sommes allés au Cat's, enlacés, et quand nous avons franchis la porte, nous n'avons pas eu besoin de dire le moindre mot, Miki avait comprit que nous étions ensemble. Nous nous sommes assis à une table et je n'ai pas pu me retenir plus longtemps et je t'ai embrassé. Au même moment, j'ai reconnu l'aura de Mick, je n'avais même pas remarqué sa présence auparavant.  

 

Il émanait de son aura beaucoup de tristesse. Je savais qu'il éprouvait pour toi de tendres sentiments, et que peut être avec le temps, il t'aurait déclaré sa flamme, ne voulant pas te perdre à ton tour.  

 

 

Les mois ont passé et un jour tu m'a annoncé timidement que tu était enceinte, ce jour là j'ai été le plus heureux des hommes. Car moi, l'ange de la mort, j'allais donner la vie. Une vie c'était peu en comparaison de toutes celles que j'avais prises, mais j'ai compris ce jour là, que je devais changer de métier, car je ne pouvais pas donné la vie d'un côté et prendre des vies de l'autre. Je ne savais pas exactement ce que j'allais faire, mais comme nous avions beaucoup d'argent de côté, grâce aux économies que tu avais faites sans m'en parler, penser à ce que j'allais bien pouvoir faire n'était pas ma priorité.  

 

Jour après jour, ton ventre s'est arrondit. Et une fois le problème du prénom résolu, tu as voulu chercher un parrain et une marraine pour notre enfant. Nous avons été très vite d'accord. Maintenant il n'y avait plus qu'à leur demander. Tu as téléphoné à Sayuri, lui demandant si elle voulait être en plus de tante, la marraine de notre enfant. Elle a accepté avec joie et elle t'a promis qu'elle viendrait nous voir bientôt. Tu savais qui était Sayuri, depuis le jour où tu avais réussis à me faire avouer, que cette cliente était en réalité ta soeur. Au début, tu as eu beaucoup de mal à la considérer comme telle, vu que si elle était ta soeur ça voulait dire que Hide n'était pas ton frère. Mais je t'ai fait comprendre que rien ne t'empêchais d'avoir deux familles, une biologique et une de coeur. Alors vous n'avez pas arrêté d'échanger des lettres et des coups de fils. Et Sayuri avait décidé que la naissance de son neveu serait une bonne occasion pour venir nous rendre visite.  

 

Puis nous nous sommes rendus au Cat's, nous savions que Mick y serait, car depuis la mort de Kazue, il y passait toutes ses journées.  

 

Tu as eu du mal à lui annoncer, car tu savais les sentiments qu'il éprouvait pour toi, alors c'est moi qui l'ai fait. Puis tu t'es jeté dans ses bras et j'ai eu un pincement au coeur, de vous voir enlacés. C'est plus fort que moi, dès que je vois un homme trop proche de toi, je ne peux pas m'empêcher d'être jaloux. Mais il m'a regardé et m'a rassuré d'un regard. il s'était résigné et il ne chercherait jamais à nous séparer.  

 

 

 

Deux bras autour de ma taille interrompent mes pensées. tu es blottie contre mon dos. Sans me retourner, je te dis.  

 

- Je t'avais dis que je m'occupais de tout.  

 

Alors tu te colle encore plus à moi en murmurant.  

 

- Je sais, mais je n'aime pas être loin de toi.  

 

Cette douce étreinte n'est pas du goût de tout le monde, et dans mon dos je sens un coup de pied. Junior, ne semble pas trop apprécier le fait que tu te serres contre moi. Et tu te met à rire quand soudain je me penche sur ton ventre et que je me met à avoir une discussion des plus sérieuse avec ma progéniture.  

 

- Écoute moi bien Kazuo, Kaori est peut être ta maman, mais c'est également ma femme, alors fiston il n'y a pas d'autre solution, il va falloir partager...  

 

Nous avions choisis ce prénom de Kazuo, en mémoire de notre amie disparue mais également car il signifie, fils premier né. Et moi secrètement j'espère que Kazuo sera le premier d'une grande tribu.  

 

 

 

 


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