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Capitolo 2 :: Tu as dit ? Perdu . . . Pubblicato: 23-02-09 - Ultimo aggiornamento: 23-02-09
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Après avoir déguster ou plutôt engloutit le petit déjeuner de Laura, il décida comme tous les jours, de se rendre au Cat’s Eyes, histoire d’embêter son Mammouth préféré et d’attendre sa partenaire pour savoir si City Hunter était demander.
Il monta dans sa mini rouge, alla se garer un peu plus loin et marcha jusqu’au café, quand il rentra, il ne put s’empêcher de sauter sur la belle Mirna, mais celui ci n’alla pas loin car il fut accueillit par le charmant mari de Mirna, il lui balança un plateau, et ce pauvre Nicky se trouva encastré dans le mur . . .
F : Imbécile . . .
N : COMMENT CA Imbécile, je voulais juste dire bonjours à ta charmante femme
F : AH OUI EN ATTERRISSANT DANS SON DECOLTÉ
N : Radin !
F : Répète, et il l’attrapa par le col de sa chemise ; RRrrrr
M : Les garçons arrêter, s’il vous plaît, enfin vous faite peur à nos clients . . .
Falcon et Nicky se retournèrent et vit les visages effrayées des clients.
N : Ah ah ah mais mais non on ne v’a-s’entre tuer n’est ce pas mon mammouth chéri . . .
F : Rrrrrr tu m’agace, il écrasa la tête de Nicky sur le comptoir et s’éloigna de lui
Mirna servit une tasse de café à Nicky.
N : Merci ; dit-il en souriant
M : Dit moi Nicky ! ?
N : Oui
M : Sa fait un petit moment que j’ai remarqué . . .
N : Que tu as remarqué ?
M : Ce sourire
N : Ce sourire ? Celui là ; nicky se mit à faire une grimace
M : Non, le sourire comment dire, euh ? ? ? Oh ! Chéri aide-moi ? !
F : Le sourire d’un homme perdu
M : D’un homme perdu ? euh . . .
N : Non ! je ne dirais pas perdu mais confus, surtout quand celle-ci est proche
M : Hein ?
L : Nicky ! ! !
Laura arriva essouffler, elle s’appuya contre le dos de Nicky pour reprendre son souffle
N : Et bien ma belle qu’est ce qu’il t’arrive ?
L : Nicky ! Elle s’essaya à côté de lui ; j’ai trouvé cette lettre sur la tombe de Tony, c’est un XYZ
Nicky fronça les sourcils, il n’aimat pas ça, mais alors vraiment pas, il prit la lettre et la lu, quand il eut fini, il l’à passa à Falcon qui la lut à son tour ainsi que Mirna . . .
F : Qu’en pense-tu ?
N : Disons déjà que mon intuition me dit que cette femme ou cet homme n’est pas un client ?
L : Pas un client ?
M : Non, un fournisseur serait plus exact . . .
L : Un fournisseur ?
F : Un fournisseur d’ennuis !
M : Un malin qui cherche encore à défier City Hunter et se faire une réputation en béton ; dit Mirna d’un air de victoire
N : NON !! Cette lettre était sur la tombe de Tony c’est beaucoup plus qu’un jeu
M : ooh . . . .
L : Nicky !
N : Oui
L : Depuis ce matin, j’ai cette drôle de sensation, comme si on me suivait . . .
N : Hein ? Nicky étais surpris d’entendre ça d’habitude, il s’entait, et surtout concernant Laura, toujours la présence de quelqu’un, même observateur de loin . . .
L : Mais ce qu’il y a d’étrange c’est que, comment dire . . . ; Laura rougissait un peu . . . c’est la même sensation . . . qu que . . . quand . . . toi tu . . . tu tu . . . ma suit par moments . . .
M : Ah alors comme ça de temps en temps on suit mademoiselle Marconi, serait ce par jalousie ! ? ; dit-elle d’un ton à faire encore plus rougir Laura
N : QUOI ! Non mais sa va pas ! ! si je la suit c’est . . . c’est par ce que mademoiselle s’attire toujours des ennuis, et qu’il faut bien quelqu'un pour la défendre, elle ne sait rien faire toute seule
L : COMMENT CA JE NE SAIS RIEN FAIRE TOUTE SEULE ! ! ! !
N : Eh Eh ba oui ! ! !
L : Alors comme sa je ne sait rien faire toute seule, et bien tien voila une chose que je sais faire toute seule
BOUM ! ! ! 100t ^ ^ !
N : Sortant de sous sa massue : Chété prou prréchenté
L : Et bien tes blagues sont de mauvais goût mmhh, Où est ce que tu vas ?
N : Et bien nous sommes conviés à une réception non ? Sa ne serait vraiment pas poli de ne pas si présenter ?
M : On va avec eux, pas vrai chéri ! !
F : Oui si tu veux ; dit-il en rougissant
M : Chouette chouette de l’action !!!!!
L : Sa ne serait pas de refus mais, je n’ai que deux invitations !
M : Rrro Laura tu ne nous connaît pas depuis le temps ? On v’as s’infiltraient ? Pas vrai chéri ?
Falcon pencha la tête
L : Bon très bien alors à ce soir !
M : Et n’oubli pas de vous faire beau c’est un hôtel de luxe
Nicky et Laura sortit du café
L : Beau ? Au faite Nicky ?
N : Oui
L : J’ai pas rêvé tout à l’heure quand je suis rentrée, tu . . . tu m’as bien appelé ma belle ?
N : Nicky fut amusé par la remarque et décida de faire, ce qu’il préférait, la mettre dans tous ses états
N : Oui je t'ai bien appelé ma belle, pourquoi je n’est pas le droit de t’appeler ainsi ; dit-il en rapprochant son visage du sien
L : Toute rougissante ; Euh . . . si si
F : Nicky, tu peut venir 30 secondes
Nicky laissa Laura dans ses pensées, amusée du fait que sa partenaire rougie pour un rien, et c’est ce qu’il aimait chez elle, cette innocence et cette douce timidité
N : Oui
F : Fait bien attention à toi et à Laura, tu n’as pas senti la présence de quelqu’un qui la suivait c’est qu’il sait bien se cacher, et qu’il est très professionnel
N : Ne t’en fait pas, tu sait très bien que celui qui touche à mon cœur est déjà un homme mort ; puis il s’éloigna
F : De quels cœurs tu parle ?
N : Pourquoi pose tu la question alors que tu sait la réponse ?
F : Sa serait bien que tu lui dise à haute voie
N : Justement . . . j’y travail
F : Oui . . . c’était bien ça . . . perdu !
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