Capitolo 4 :: MESSIEURS ?

Pubblicato: 13-03-09 - Ultimo aggiornamento: 13-03-09

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Laura partit chercher dans l’infirmerie de quoi désinfecté la plaie, heureusement la balle n’était pas rentrée mais avait juste gravement blessé Nicky, Laura arriva vers lui elle sortit du désinfectant quel posa sur une moyenne serviette puis elle s’arrêta net, en effet Laura avait omis un petit détail, elle devint rouge pivoine  

N : Et bien qu'est ce qu’il t’arrive ?  

L : C’est que il faut que tu te déshabille, enfin je veux dire qu’il faut que tu enlève ta chemise ; plus timide que laura il n’y avait pas  

Nicky sourit décidément Laura seras toujours Laura, il décida donc d’enlever sa chemise, puis . . .  

N : Aie !  

L : Nicky ?  

N : Je crois que je ne pourrais pas la défaire moi-même  

L : Bon . . . je . . . je . . . vais t’aider . . . alors ! ?  

Laura posa sa serviette et commença à déboutonner la chemise de nicky, ses joues étaient encore rosies et ses doigts trembler à chaques boutons qu’elle dé fessait, nicky se sentit bien et rassurer, il s’en était voulu de confondre l’aura de sa partenaire avec un sale type, d’ailleurs il se demandait toujours d’où venait cette impression, puis il ce re concentra sur son cœur qui était toujours en train de défaire ses boutons de chemise, nicky ressentit du désir cette sensation était vraiment sensuelle et le fait de la voir troubler la rendait encore plus attirante, quand enfin ce doux moment fut passer, elle devait lui hotter sa chemise et Laura en déglutit, ses mains frôla son torse, le peu de contact de Laura lui donner des frissons, mais il revint vite dans leur salon puisque le sang avait collait à la chemise et celui-ci lui tirait la peau  

L : Tu as mal ?  

N : Non sa va, juste le tissu de la chemise qui me tire la peau  

Laura prit de l’eau et mouilla la chemise ce qui la décontracta un peu, elle tira légèrement la peau de nicky et fessa glisser sa main contre sa peau pour éviter le moins de douleurs possible à nicky, s’ayez la chemise était enfin retiré et Laura passa le désinfectant sur la plaie ensuite elle pulvérisa un autre produit désinfectant sur une première bande qu’elle lui mit, ensuite elle l’entoura d’une autre bande pour que le bras soit bien protégé.  

L : Voilà j’ai fini  

N : Merci  

L : Tu devrais aller te coucher  

N : Oui  

Laura se leva, rangea le nécessaire et partit, mais nicky lui attrapa le bras ; il s’approcha d’elle, plus nicky se rapprochait, plus le cœur de nos amoureux battaient à la chamade, nicky posa sa main sur la joue de Laura et déposa un baiser sur la moitié de ses lèvres  

- Merci de m’avoir soigné . . . bonne nuit ma belle  

- Bo… Bon… Bonne nuit nicky !  

Laura resta là un bon moment, elle n’arrêtait pas de se remémorer ce doux moment puis après avoir fini de rougir, elle partit se coucher.  

Nicky s’allongea dans son lit, se tourna du côté gauche et sourit puis son visage se crispa  

- . . . « et puis non je penserais à ça demain »  

Non loin de là un homme assis sur la plage regardait la mer et les vagues rebondir sur les falaises.  

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A l’hôtel des stars  

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P : Mais qu’est ce qu’il s’est passé ici ? mon . . . mon hôtel  

H1 : Patron !  

Le patron attrapa l’homme par le col et s’énerva  

P : WILLIAM C’EST VOUS QUI ÊTES À L’ORIGINE DE TOUT CA ????  

W : Non, monsieur mais il y a une demi-heure un de mes hommes m’a appelé et m’a dit que monsieur Polinac l’ai à appelé pour organiser une attaque sur vos invités  

P : Quoi mais IL EST FOU !  

Une voiture se gara devant l’hôtel, c’était François  

P : MONSIEUR POLINAC C’EST VOUS QUI AVEZ SACCAGÉ LA SALLE DE MON RESTAURANT ???  

La police arriva  

P : Rrr ! Vous êtes content vous avez fait venir la police !!  

Fr : Et alors ? Vous avez des choses à cacher peut-être ? ? ?  

P : Ha Ha ! ! Mais non mais non pas du tout  

Pol : Bonsoir Messieurs !  

P : Bonsoir Madame  

Pol : Je suis le lieutenant Lamberti, on nous à signalés du tapage nocturne venant des maisons un  

peu plus loin est ce que quelque chose est arrivé ?  

P : Non non pas du tout Madame Lamberti  

T : Je préférerais Lieutenant ! Monsieur ?  

P : Monsieur Lantos  

T : Bien monsieur Lantos puis-je rentrer ?  

Mr L : Eh ! bien oui . . . mais bien sûre c’est au premier étage  

Tania monta au premier étage avec Mr Lantos, Mr Polinac et William, Tania été très confuse, beaucoup de sentiments l’a traversait, celle de la méfiance et un sentiment de bien être.  

Quand elle rentra dans la salle, elle remarqua les sérieux dégâts qui s’y trouvaient  

Mr L : C’est juste le déroulement d’une fête qui s’est mal terminé  

T : Oui je vois, sa ne vous embête pas si je fais le tour de la salle ?  

Mr L : Non … non … bien sûre  

Tania fit le tour de la salle, il était évident qu’il avait eu une attaque ici, Tania marcha sur quelque chose de pointu, elle regarda, c’était une balle, mais pas n’importe qu’elle balle, celle ci provenait d’un Magnum 357 et à sa connaissance une seule personne utilisait ce genre d’arme  

T : BIEN MESSIEURS ! ! !  

Mr L et W : Oui . . .  

T : Je ne vois pas l’utiliser de rester ici, je vous conseille juste de bien choisir votre clientèle la prochaine fois que vous organisez une fête  

Mr L : Oui Oui Madame, Euh ! Lieutenant !  

T : Au revoir Messieurs  

Mr L : Au revoir lieutenant ! ! Dites au revoir à la dame  

W : Ah ! Euh ! au revoir madame  

Tania partit et décida d’aller boire son café au Cat’s Eyes demain matin  

Mr L : William, Monsieur polinac dans mon bureau  

W : Euh Oui  

Dans son bureau :  

Mr L : Je déteste ne pas comprendre, je pars pour régler une affaire et quand je reviens, je vois toute ma clientèle sortir en hurlant et courir partout  

Fr : C’est moi qui suis à l’origine de ça Monsieur  

Mr L : AH ! OUI ET PAR QUEL ORDRE ET PAR QUEL PRÉTEXTE ??  

Fr : Et bien celui d’éliminé City Hunter bien sûre !  

Mr L : Quoi ! City Hunter était là mais sa veut dire que vous l’avez tué !!!! ^ ^  

Fr : Non  

Mr L : Comment non, vous avez foutu le chantier dans mon hôtel, vous avez fait abattre 10 de mes hommes, tout ça pour rien ! De plus je vous rappelle que vous aviez une semaine pour les abattre et que le délai et largement passé, tout ce que vous faite c’est les observer chaques jours près de leur appartement . . .  

Et . . . comment se fait-il que City Hunter était là ?  

Fr : Je leur ai envoyé une invitation pour la soirée  

Mr L : Et pourquoi ?  

Fr : Je vous l’ai dit, monsieur, j’avais des conditions et observer et tester mon adversaire était l’une de mes conditions  

Mr L : Comment ????  

F : Si vous voulez bien m’excuser, je vais me retirer, je suis très fatigué  

Mr L : Attendez ! ! ! Vous allez bien abattre CITY HUNTER ? ?  

F : Oui  

Mr L : La somme que je vous ai promise et alléchante, ne faite pas l’imbécile Monsieur Polinac  

F : Donnez-moi trois jours  

Mr L : Bien !  

Fr : Bonsoir messieurs  

François se leva et partit  

Mr L : William  

W : Oui patron  

Mr L : Ce monsieur baisse dans mon estime et il là se je ne sais quoi qui m’agace, fait des recherches sur lui  

W : Bien patron  

Mr L : Et william ?  

W : Oui patron ?  

Mr L : RANGE-MOI TOUT LE BAZAR QU’A CAUSÉ CET IMBÉCILE ! ! !  

W : Oui . . . oui . . . patron  

William descendu en bas et commença à ramasser le fouillis qui était par terre  

W : Pourquoi toujours moi ? Rro j’ai besoin de vacances !  

William ramassa les serviettes en papier, mais senti une plus épaisse que les autres, il la regarda attentivement, en effet c’était une lettre manuscrite, il là lu :  

« XYZ : j’ai besoin de vous j’ai besoin de savoir, rendez-vous ce soir à l’Hôtel des Stars, voici des invitations pour vous et votre partenaire.  

A ce soir.  

FC. »  

W : FC ?? François ? Non impossible son nom commence par un P ? mmmh je vais quand même la garder, à tout hasard  

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TRÈS LOIN  

Jeune fille : Oh non ! ! C’EST PAS VRAI !!!  

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