Capitolo 7 :: UN BOUT DE MON PASSÉ

Pubblicato: 22-03-09 - Ultimo aggiornamento: 25-04-09

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Nicky fût réveillé par les rayons du soleil, il remarqua que quelque chose lui manqué en effet Laura s’était levé, il ne l’avait même pas entendu, il décida à son tour qu’il était temps d’aller prendre le petit déjeuner, il descendit, il trouva Laura dans la cuisine  

N : Bonjours !  

L : Ah ! Bonjours nicky  

N : Tu as bien dormit ?  

L : Oui dit’ elle le rouge aux joues, elle déposa une tasse de café et deux assiettes bien remplient pour son glouton de partenaire  

N : Merci, tu es levée depuis longtemps ?  

L : 6 heures  

N : nicky recracha le café qu’il comptait avalait ; 6 heures ! !  

L : Oui j’avais peur d’être en retard  

N : Haha ! C’est tout toi ça mais tu aurais eu le temps de tout faire, il n’est que 8 heures ! ?  

L : Rrro ne te moque pas, c’est vrai oui je voulais que tout soit parfait pour mon rendez-vous d’aujourd’hui  

N : Oui je m’en doute !  

L : Allait mange avant que se soit froid et puis toi aussi tu es levé bien tôt ! ?  

N : Oui j’avais froid dans mon lit et puis, je m’ennuyais tout seul  

Laura devint toute rouge, il le faisait exprès et elle le savait alors elle le cogna avec une poile ??  

N : Aie ! Mais pourquoi tu me frappe ?  

L : Parce que tu dis que des bêtises et en plus on dirait que tu le fais exprès !  

N : Et ton reflexe c’est de me frapper  

L : Ba oui tu voudrais que je fasse quoi  

N : Si tu savais toutes les choses que j’aimerais que tu me fasses  

Laura devint encore plus rouge que tout à l’heure  

L : Tu n’es qu’un abruti, puisque c’est comme ça je m’en vais  

N : Oh Laura ne boude pas ! Je voulais juste de détendre, tu es aussi crispé qu’un balai  

L : Je ne suis pas stressée !  

N : Bien sûre que si tu es stressée, tu sais bien que tu ne peu rien me cacher  

L : C’est vrai oui je suis un peu tendu, mais ce n’est pas une raison pour sortir des âneries  

N : Mais se ne sont pas des âneries, se sont des propositions très sérieuses  

Laura était plus que rouge d’ailleurs il ne semblait pas à Nicky de l’avoir vu autant gênée, c’est vrai qu’il y était allait un peu fort dans ses propositions mais il trouvait ça romantique, en tout cas c’était son principe du romantisme  

C : Bonjours tout le monde  

L : Ha ha Claudia . . . Mais venez installer vous je vais vous servir un petit déjeuner  

C : Laura tout va bien ?  

L : Oui oui . . . aie ; Laura avait trébuché et avait renversé des ustensiles de cuisine qui trainaient, elle était vraiment perturbée  

C : Sa va ? Tu veux que je t’aide ?  

L : Non non sa va aller, ne vous inquiétez pas  

N : « haha ha » Bon je vais me doucher  

Laura fût plus tranquille une fois Nicky partit, Laura déposa un petit déjeuner pour Claudia  

C : Merci, sa a l’air délicieux  

L : Merci !  

C : Laura  

L : Oui ?  

C : Euh . . . Vous sortez aujourd’hui !  

L : Oui  

C : Euh . . . Faite attention à vous  

L : Oui c’est promit  

C : Pourquoi vous souriez comme ça ?  

L : Pour rien je suis heureuse en pensant à ma journée d’aujourd’hui  

C : Finalement je n’ai pas faim  

L : Claudia  

C : Je vais aller me promener, cela me fera du bien  

L : Claudia . . .  

Claudia sortit de table prit son sac et partit. En attendant que François vienne chercher Laura, elle alla faire le lit à nicky et fit un peu de ménage dans sa chambre, puis s’ayez c’était l’heure il était exactement 9 heures et 58 minutes et Laura angoissait de plus en plus  

N : Ne soit pas tendu comme çà !  

L : Mais je ne suis pas tendu  

Un coût de clackson retenti, nicky s’approcha de la fenêtre François lui fit signe et nicky lui rendit son salut  

N : Il est arrivé ma belle  

L : Voui . . . voui . . . j’ai . . . j’ai . . . en . . . en . . . ten . . . tendu  

N : Est-ce que sa va aller ?  

L : Oui . . . oui . . . pourquoi sa n’irait pas  

Laura marcha jusqu’à la porte avec beaucoup de difficulté, elle était vraiment tendue et avait du mal à avancer  

L : Non non je n’irais pas ; et elle courut se réfugier dans les bras de nicky  

N : Mais si, il faut que tu y aille, tu en meures d’envie, tout se passera bien ne t’en fait pas  

L : Non  

N : Laura tu es juste angoissée, tout se passera bien  

L : Non  

Laura était trop angoissée et tendue pour y aller, alors nicky eu une idée délicieuse  

N : Laura regarde-moi  

Laura le regarda et sans qu’elle ne comprenne pourquoi les lèvres de nicky avait capturée les siennes, les lèvres de Nicky était douce, Laura resserra ses bras autour du cou de nicky et ferma les yeux, nicky était au bord du précipice s’il ne lâchait pas Laura maintenant, elle ne passerait jamais l’après-midi avec son père mais avec lui dans son lit, alors tout en continuant de l’embrasser, il la mena jusqu’à la porte, l’ouvrit, se dirigea dans le couloir et à regret quitta ses douces lèvres, il la regarda passionnément et ferma la porte, Laura resta abasourdi et ne bougea plus pendant un moment  

N : Bonne journée ma belle . . .  

Laura partit, là c’est sûr elle n’était plus crispé mais était dans un état de coma elle avançait sans rien dire, elle monta dans la voiture de François tel un robot  

Fr : Est-ce que sa va Laura, vous vous sentez bien ?  

Laura, fût réveillait par la voie de François, elle était toute rouge et François se doutait bien de ce qui avait put se passer  

L : Oui . . . oui . . . sa va !  

Fr : Bien ! Où désirez vous allez ?  

L : Et bien on pourrait aller se promener dans le parc pour s’ouvrir l’appétit  

Fr : C’est une très bonne idée  

François conduit Laura dans le parc où ils marchèrent bras dessus, bras dessous en discutant de tout et de rien, puis midi passé il décida d’aller mangé dans un endroit calme.  

Fr : Où désirez vous aller maintenant ?  

L : Je ne sais pas on pourrait marcher et improvisé au fur et à mesure  

Fr : Bien  

François et Laura marcha dans la ville s’arrêtant à quelques boutiques, pour faire des emplettes, puis Laura eue envi d’une glace, alors François partit leur chercher deux glaces italiennes c’est préféré, il l’est ramena à Laura qui s’était assise sur un bang  

Fr : Tenez  

L : Des glaces italiennes, je les adore se sont mes préférés  

Fr : Moi aussi  

Deux buissons plus loin une tête brune dépassait  

N : Mais apparemment tout se passe bien  

? : Mais oui on dirait, tu vois, tu t’es inquiété pour rien Nicky  

N : Ro sa va toi n’en raj . . . AH ! Mais qu’est ce que tu fous là toi  

F : Et toi alors  

N : Tu m’espionne ou quoi ?  

F : Ne hurle pas ou il v’ont’entendre  

N : Rrr pourquoi tu m’as suivi  

F : Je voulais t’éviter de faire une bêtise  

N : Moi faire une bêtise  

F : Oui et puis Claudia à débarqué chez nous ce matin, elle pleurait  

N : Ah ?  

F : La pauvre, elle est très perturbée  

N : Oui mais on y peu rien c’est à elle de pardonner, pas à nous !  

F : Oui  

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AU CAT’S EYES  

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M : Calmez-vous Claudia et si vous m’expliquiez ce qui c’est réellement passé  

C : Oui, je vais tout vous dire  

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RETOUR AU PARC  

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Fr : Laura  

L : Ca doit être sérieux ce que tu veux me dire pour que tu m’appelle par mon prénom  

Fr : Tu es une fille exceptionnelle tu sais  

L : Non, c’est juste l’instinct humain qui est très fidèle  

Fr : Laura m’a toute petite ; François passa la main dans ses cheveux ; et tu prête à tout entendre  

L : Oui  

Fr : Je dois t’avouer qu’il n’y a rien de glorieux dans mon histoire et que j’ai agit par lâcheté et par égoïsme  

L : Ca c’est à moi d’en décider  

Fr : Bien  

Nicky et Falcon écoutèrent avec attention ce que raconté François  

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30 ans plutôt  

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Un homme marché tranquillement dans la rue, il était fier d’avoir éliminé une salle brute et pour un bon paquet d’argent, quand soudain il entendit des pleures et des cris  

Une femme : Non laissait moi, pitié  

H1 : Oh ! t’a entendu cousin la ptite bourge veut qu’on la laisse tranquille  

H2 : Ouais sauf que pour une richousse elle est bien gaulée  

Les hommes commencèrent à la toucher quand l’un d’eux se retrouva par terre et que l’autre suivi derrière, il était mort  

Fr : Bande de salaud, est ce que sa va ?  

La jeune femme ne répondit pas, elle était trop choquée pour dire quoi que ce soit  

Fr : Rassurez vous je ne vous veux pas de mal, je vais vous raccompagnez chez vous  

La jeune femme : Oui . . .  

François la prit sur son dos et la ramena chez elle  

Fr : Ouuu chouette maison  

La jeune femme : Oui  

Fr : La richesse cour les rue dans ce quartier de bourge  

La jeune femme : Je ne suis pas une « bourge » mais parent travail dur pour avoir cet argent  

Fr : C’est vrai que ça doit être dur de faire travailler les pauvres  

La jeune femme : Oh mais quel vieillot vous fêtes, on est plus au 18ème siècle  

Un monsieur : Marie !  

Fr : Marie, même votre prénom sans l’argent  

François se prit une magnifique baffe par Marie et rentra chez elle  

M : Vous n’êtes qu’un sal macho, merci pour ce soir et bon vent  

Le papa : Ma chérie tu ne traine pas avec un tel individu  

Marie : Non rassurez vous père ce truc n’est qu’un simple admirateur  

Le papa : Ah ! Tu me rassure  

Fr : Pauvre cruche  

« Un peu plus tard, ta mère et moi on s’est revu dans un parc »  

M : Tiens le macho  

Fr : Tiens la bourge  

M : Vous êtes vraiment agaçant et vous êtes un grossier personnage  

Fr : Et vous très sexy quand vous vous énervez, sa vous direz d’aller boire un verre  

M : Euh oui, vous me devez bien ça !  

Un peu plus loin devant un bar  

M : Non mais vous rêvez, il n’est pas question que j’aille boire un verre dans un bar  

Fr : Et pourquoi ?  

M : Parce que ces endroits son sal et remplit d’hommes soul  

Fr : Oh pauvre nature  

M : Venez, on va aller dans un café  

Fr : Ronflante comme idée  

M : Rrr alors où voulez vous aller  

Fr : Chez moi  

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Fr : Et comment dire c’est là que ta sœur à été comment dire créait, j’aimais beaucoup ta mère et j’avoue l’avoir souvent fait souffrir et elle me pardonnait à chaque fois, j’étais jeune, je voulais profiter de la vie, je n’aimait pas les responsabilités et ta mère en a souffert, puis cinq ans après tu es née et là j’ai eu le déclic, j’ai voulu épouser ta mère mais ses parents voulait qu’elle épouse un jeune riche avec un métier stable et pas un voleur à la tire, alors les paroles de ses parents lui on montait à la tête et on s’est disputé, elle m’as dit des paroles dures, j’ai voulu me venger et lui faire du mal alors j’ai voulu t’emmener et t’élever seule mais la police m’a rattrapé, j’ai eu un accident, le policier t’a récupérer je pense qu’il me pensait mort et des hommes qui passait m’on récupéré et mon soigné  

L : Et ensuite  

Fr : Une fois guérit je suis partit, j’ai essayait de te retrouver et j’y suis arriver mais seulement quand je suis partit chez les Marconi, tu était dans le jardin et tu jouer avec ton père et ton frère, tu avait un sourire magnifique, j’ai pensé à ta mère et me suis dit qu’il fallait mieux que je disparaissent de vos vies  

Laura pleurait en écoutant son père parlait, surtout quand il avait mentionné son père et son frère  

L : Et où es-tu allé ?  

Fr : Je suis partit en Chine, là bas j’ai rencontré une femme qui m’a recueillit chez elle, malgré le faite qu’elle était très pauvre, elle était directrice d’une école pour enfant abandonné et j’ai décidé de l’aider à récupérait de l’argent pour que son école survive afin d’y créer des activités et surtout un internat mais les temps son dur là bas  

L : Et c’est pour ça que tu as accepté d’éliminer City Hunter la somme doit être importante  

Fr : C’est un peu de l’argent sal, mais si sa peut te rassurer ce ne sont que des gens qui le mérite que j’abats  

L : Oui je n’en doute pas  

Fr : Je comprendrais que tu me déteste  

L : Mais où vas tu ?  

Fr : Chérie, je vais devoir abattre nicky, c’est mon contrat  

L : Non tu ne le feras pas je le sais  

Fr : Tu es vraiment la personne que j’imaginais et même mieu encore  

L : C’est vrai tu n’est pas déçu  

Fr : Non pas le moins du monde ton père et ton frère doivent être fier de toi  

L : Merci second papa  

Fr : Ces mots sont encore plus doux que ne l’imaginait  

François prit Laura dans ses bras et la serra très fort, Laura versa quelques larmes ainsi que François  

L : Avant que tu me ramène, j’aimerais qu’ont aillent tous les deux voire tony et mon père  

Fr : Mais oui bien sur  

François et Laura partit se recueillir sur la tombe de la famille Marconi et raccompagna laura chez elle  

L : J’ai passé une agréable journée  

Fr : Laura  

L : Oui ?  

Fr : Tu ne m’as rien dit sur ce qu’il s’était passé avec ta mère  

L : Le passé est le passé, on ne peut revenir en arrière, par contre on peut tout faire pour changer son présent  

Fr : Laura ma chérie je t’aime tant  

L : Moi aussi je t’aime papa  

François partit, Laura lui dit au revoir du signe de la main jusqu’à tant que la voiture disparaisse, Laura rentra à l’appartement  

N : Tu rentre tard, c’est que la journée c’est bien passé non ?  

L : Pourquoi tu me demande, alors que Falcon et toi, vous nous avez suivis une bonne partit de la journée  

N : Je m’inquiétais pour toi c’est tout  

L : Oui  

Le téléphone sonna  

L : Allo !  

M : Laura c’est Mirna, ta journée c’est bien passé ?  

L : Oui merci  

M : Je voulais te prévenir que Claudia vas rester chez nous ce soir  

L : Bien d’accord, rien de grave  

M : Non elle est très fatiguée c’est tout  

L : D’accord à demain  

M : A demain  

N : Que ce passe t’il ?  

L : Claudia restera chez Mirna ce soir  

N : Je vois  

L : Au faite  

N : Oui ?  

L : François m’a donné cette lettre pour toi  

N : Bien merci je la lirais après mangé  

Laura prépara à diner et raconta toute sa journée à nicky, elle était vraiment heureuse de cette journée, pendant que Laura fessait la vaisselle nicky lu la lettre de François  

« Monsieur Larson  

Je vous donne rendez-vous demain pour notre combat dans l’ancien Hôtel des Lagunes il sera parfait pour notre grand combat, préparez-vous bien car il y aura des surprises.  

Je dois aussi vous avouer que Laura est une femme merveilleuse et que son père la bien élevé et que son frère là épanoui comme une vraie femme et qu’elle a muri auprès de vous, on ne sait ce qui arrivera demain alors je vous en pris fait sourire ma fille encore plus que ce matin. »  

L : Alors où devaient vous battre ?  

N : Laura  

L : Nicky c’est stupide tu ne vas pas te battre contre mon père  

N : Bien sure qu si  

L : Quoi ! Et tu pense à moi  

N : Laura tu ne nie pas le code d’honneur des professionnels  

L : Non, je le connais assez bien vu le nombre de fois que tu as dû combattre falcon pour des règles stupides, vous n’êtes pas des animaux  

N : Laura est-ce que tu as confiance en ton père ?  

L : Oui  

Nicky se leva du canapé et regarda Laura, droit dans les yeux  

N : Et est-ce que tu as confiance en moi ?  

L : Oui  

N : Alors tout se passera bien, comme d’habitude  

Nicky regarda intensément Laura, ce qui m’êta Laura très mal à l’aise et elle commença à rougir  

N : Pourquoi tu rougis ?  

L : Nicky tu as de ces questions franchement, parce que tu me regarde bizarrement voilà !  

N : Mais pas du tout je te regarde normalement, c’est toi qui me regarde bizarrement  

L : Tu n’es qu’un idiot qui tourne la situation à ton avan . . .  

Laura nu pas le temps de finir sa phrase que nicky l’embrasa fougueusement  

N : Qui est l’idiot ?  

L : C’est toi  

N : Haha même en m’embrassant, tu arrive à me disputer  

L : C’est parce que . . . quoi attend un peu c’est toi qui m’as embrassé  

N : Oui mais tu ne m’as pas repoussait  

L : Rrrr tu m’énerve pour la peine je m’en vais me coucher  

N : Ro je trouve que tu t’enflamme pour un rien  

Laura monta les escaliers, elle était arrivé en haut  

L : Qui s’enflamme po . . . !  

Décidément elle n’arriverait pas à finir ses phrases, nicky l’avait suivi, il l’avait de nouveau embrassait, il l’avait collé contre le mur, il ne comptait plus la lâcher  

N : J’ai envi de toi Laura  

Il regarda Laura intensément, il voyait bien quel était un peu troublait mais que ses yeux ne disait pas non alors tout en continuant de l’embrasser, il la porta et la conduisit à sa chambre, là il l’a posa sur son lit et se coucha près d’elle  

N : Est-ce que sa va ?  

L : Oui  

Laura enroula ses bras autour du cou de nicky et l’embrassa, puis une chose entrainant une autre, disons que nicky et Laura connaissaient tous les deux leur première nuit d’amour . . .  

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