Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prose

 

Auteur: nanou

Beta-reader(s): Cat

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 23 chapitres

Publiée: 21-01-05

Mise à jour: 14-11-05

 

Commentaires: 99 reviews

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GeneralHumour

 

Résumé: Et si Kaori retrouvait un autre membre de sa famille, je vous laisse deviner qui! je vais essayer de relever le défi de Naomy. Comme il faut qu'on me pousse pour que j'avance (un peu comme un âne qui n'a pas eu sa carotte!), je ne sais pas si je vais majer régulièrement...

 

Disclaimer: Les personnages de "Ah famille, quand tu nous tiens!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Ah famille, quand tu nous tiens!

 

Chapitre 20 :: Au secours de Kaori et Sakura

Publiée: 07-11-05 - Mise à jour: 07-11-05

Commentaires: Salut tout le monde! Comme promis j'ai majé rapidement! Merci à mon chat pour ses corrections. Merci aux revieweuses, Chibi, Saintoise, Eden, Lolo, Shan, Adnil et Moon. Bonne lecture et biz de votre star intergalactique.

 


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Nos nettoyeurs exploitaient toutes les possibilités pour retrouver Kaori et sa mère. Ryo passa une nouvelle nuit blanche ; cela devenait fréquent, surtout depuis qu’il s’était séparé de son ange.  

Le trio se retrouva au Cats’eyes pour mettre au point un plan d’attaque.  

 

- J’ai prévenu mes indics qui sont sur le pied de guerre, fit Falcon.  

- Moi de même, mais je n’ai pas de nouvelles pour le moment, rajouta Mick.  

Il posa une main sur l’épaule de Ryo.  

 

- T’inquiète pas vieux, nous les retrouverons…  

- Tu as raison, je retourne à la pêche aux renseignements.  

- Tu n’as pas bu ton café Ryo, fit Miki.  

- Merci ma belle mais une autre fois…  

Et il sortit.  

 

- Falcon, il ne va pas tenir le coup à ce rythme là ! Je me demande si Kaori et Sakura vont bien…  

- T’en fais pas Miki, Ryo remuerait ciel et terre pour les retrouver !  

- Je sais mon chéri mais je suis quand même inquiète…  

- Bon, c’n’est pas tout mais faut qu’on aille donner un coup de main à notre ami, dit Mick.  

- Je te suis, fit Falcon.  

- Retrouvez les s’il vous plaît…  

Le regard déterminé des deux hommes rassura un peu Miki. Kazue vint soutenir Miki au café, Mick l’avait mis au courant de toute l’histoire.  

 

Quelques heures plus tard, appartement de Ryo…  

 

- Bon sang, mes indics n’ont rien vu ! Je me demande si Mick et Falcon ont eu plus de chance que moi…  

Il se versa un verre de whisky quand on frappa à la porte.  

 

- Ah enfin, qu’avez-vous trouvé ?  

- Calme toi Ryo et viens plutôt t’asseoir, dit Mick.  

- Non, allez dites moi tout !  

- Bien, mes indics ont vu une camionnette aux vitres fumées immatriculée à l’étranger qui circulait en ville il y a quelques jours. Mais elle s’est mystérieusement volatilisée ensuite. Hier, l’un deux a vu la même camionnette et entendu une voix de femme. Le détail est que l’indic a vu une massue voltiger. Les bruits étaient plus étouffés ensuite ; je suppose qu’elle a été bâillonnée.  

- Y a pas de doute, mais dans quelle direction allaient-ils ?  

- Ils se sont dirigés en en dehors de la ville, c’est tout ce que j’ai pu récolter, fit Falcon.  

- Merci mes amis, dit Ryo. L’indice est plutôt mince mais à mon avis, ils doivent se cacher quelque part dans les entrepôts désaffectés. Comme plus personne n’y va, c’est une très bonne planque.  

- Quelles sont les directives Ryo ? demanda Mick.  

- Tout d’abord il fait que j’aille chercher Sayuri à l’aéroport et que je lui expose les faits. Je vais l’installer chez moi, elle sera plus en sécurité.  

- Tu as raison Ryo, je vais faire un tour près des entrepôts, tu m’accompagnes Mick ?  

- No problem, Falcon.  

- Soyez prudents…  

- Depuis le temps que tu nous connais vieux, t’as pas confiance ? fit Mick.  

- J’ai perdu un ami très cher il y a quelques années, je n’ai aucune envie de revivre la même chose…  

Puis se rendant compte qu’il avait trop ouvert son cœur, il changea de sujet.  

 

- Faites pas de zèle…bon faut que j’y aille sinon je vais être en retard, fermez la porte derrière vous.  

Après son départ, les deux nettoyeurs se regardèrent et sourirent.  

 

- Sacré Ryo, il n’aime pas dévoiler ses sentiments ! fit Mick  

- Oui mais c’est quelqu’un de sincère, même s’il est maladroit quand il s’agit d’avouer ce qu’il pense. C’est un homme extraordinaire qui n’hésiterait pas à donner sa vie par amitié.  

- En tout cas il nous estime même s’il ne veut pas l’avouer, ajouta Mick.  

- Bon, il ne faut traîner, tu as des munitions ?  

- Regarde !  

Mick entrouvrit son blouson où se trouvaient des armes en tout genre, des grenades et de la dynamite.  

- Pas mal !  

- Et toi ?  

- Viens voir dans la voiture…  

- Wouah !  

- Umi, t’as dévalisé une armurerie !  

- Regarde, j’ai un petit cadeau pour Kaori, elle sera contente de le voir même si elle peut pas l’utiliser !  

Falcon sortit un Bazooka dernier cri.  

- Ca va lui plaire !  

- Et comment !  

 

Falcon laissa sa jeep et monta dans la voiture de Mick, beaucoup plus discrète. Après une heure de route, ils arrivèrent à une rangée d’entrepôts plus ou moins délabrés. Ce furent autrefois de splendides bâtisses où prospéraient de grands industriels. Mais la concurrence étrangère eut raison de ces entreprises de textile il y a une dizaine d’années. Depuis, elles servent de repère pour les paumés en tout genre.  

 

Les deux compères laissèrent leur véhicule à l’abri et continuèrent à pied. Ils ne prirent que le strict nécessaire à savoir le bazooka, deux ou trois armes, la dynamite et quelques grenades !  

 

- (à voix basse) bien, je vais prendre par la droite Mick, prends la gauche.  

- Et pourquoi pas le contraire ?  

- Mick !  

- Bon, ben ne te fâche pas !  

 

Mick rampa en évitant les bris de verre et autres objets tranchants ou métalliques qui jonchaient le sol. Il inspecta deux ou trois entrepôts mais ils étaient vides. Il continua son avancée.  

De son côté, Falcon ne vit rien (NDA : enfin je me comprends !) dans la première rangée d’entrepôts. Soudain, il entendit des bruits de voix.  

 

Aéroport de Tokyo….  

 

- Ryo !  

- Ah Sayuri, donne moi ta valise.  

- Merci, qu’est ce qui se passe Ryo ? C’est quoi cette histoire de bagues ? Tu as une tête à faire peur !  

- Chut Sayuri, allons chez moi, je t’expliquerai tout.  

 

A l’appartement, Ryo lui fit un bref récit en évitant de lui donner trop de détails, comme la blessure de Kaori, pour ne pas l’inquiéter. Elle était déjà bouleversée par l’enlèvement de sa sœur et de sa mère.  

 

- Pourquoi tu ne m’as rien dit de tout cela avant Ryo ?  

- On n’avait rien de concret alors je ne voulais pas t’affoler pour rien.  

- Seigneur, j’espère qu’elles vont bien, que ces criminels ne vont pas leur faire du mal !  

- Tu veux boire quelque chose ?  

- Oui, donne moi quelque chose de fort s’il te plaît.  

Il lui offrit un verre de whisky. Sayuri toussota un peu mais reprit des couleurs.  

- Qu’est ce que tu vas faire maintenant ?  

- D’abord, montre moi ta bague, il faut que je vérifie s’il y a bien un bout de microfilm dedans.  

Après quelques minutes…  

- Et voilà le deuxième morceau !  

- Tu vas où Ryo ?  

- Mick et Falcon sont partis repérer les lieux…il faut que j’y aille. Tu vas rester ici et surtout n’ouvre à personne !  

- Non, je viens avec toi !  

- Non, c’est trop dangereux Sayuri, et puis tu me seras plus utile ici si Mick ou Falcon appelle sur le poste fixe.  

- Mais Ryo…  

- Ah Sayuri, tu es bien la sœur de Kaori, tu es aussi têtue qu’elle !  

Elle bouda un peu. Ryo posa une main sur son épaule.  

- Allez sois raisonnable, fit-il dans un sourire.  

- Bon d’accord, mais promets moi de les ramener saines et sauves !  

- N’oublie pas que tu as en face de toi le grand Ryo Saeba, le nettoyeur professionnel n°1 !  

- Doublé du pervers n°1 !  

Ryo tomba à la renverse.  

- Tu n’es pas gentille là !  

Il reprit son sérieux.  

- Bon Sayuri, fais attention à toi, je vais te les ramener très vite…  

- Merci Ryo…  

Il prit sa mini afin de rejoindre ses amis en vitesse.  

 

Les entrepôts en dehors de la ville…  

 

Falcon se rapprocha un peu et tendit l’oreille.  

 

- Si vous ne vous calmez pas Kaori, c’est votre mère qui va en pâtir !  

- Non, ne lui faites rien, je vous en prie, je vais me taire !  

- Voilà que vous devenez raisonnable !  

Il lui remit son bâillon malgré ses protestations et l’attacha contre un pilier.  

- Bon, à nous deux Mme Hisaichi ! Est-ce que la mémoire vous est revenue ?  

- Je vous ai déjà dit que je ne savais rien !  

Il la prit par le bras.  

- Dans ce cas, vous allez goûter un peu de ma spécialité !  

Kaori écarquilla les yeux.  

- De quoi vous parlez ?  

Oshiba chuchota à l’oreille d’un de ses gardes du corps qui sortit un flacon d’un liquide verdâtre et une seringue.  

- Qu’est ce que c’est ? fit Sakura tremblante.  

- Une nouvelle version de la drogue qui a ravagé l’Europe l’an dernier. Elle a été améliorée donc indétectable dans le sang. Je l’ai associé à un sérum de vérité. Vous allez tout me dire et après…  

Kaori essaya de crier.  

 

Pendant ce temps…  

- Le salaud ! fit Mick en serrant le poing.  

- Non Mick, pas maintenant, sois patient, lui dit Falcon  

- Mais tu as vu de quoi il est capable ?!  

- Je sais mais il ne fait que la menacer, tu vas voir…  

 

A l’entrepôt…  

- Qu’est ce que vous voulez Kaori ?  

Il lui retira le bâillon de la bouche à nouveau.  

 

- Pourquoi vous acharnez vous sur elle, ça fait des années que ça s’est passé !  

- Oui mais ça ne fait pas encore trente ans ma chère, il y donc prescription. Je peux être mis en prison si ces photos atterrissent sur le bureau du commissaire !  

- C’est donc pour ça ?!  

- Hé oui, alors acceptez-vous de coopérer ou allez vous laisser votre mère mourir ?  

- Ne lui faites rien, je vais tout vous dire !  

- Voilà qui est parlé !  

- Non Kaori, ne fais pas ça !  

- Je ne veux pas qu’il te fasse du mal maman, je ne veux pas te perdre à nouveau !  

- Kaori…  

Sakura pleura.  

- Comme c’est touchant ! Bon assez ! Alors Kaori ?  

- Les photos sont dans l’appartement…  

- Ne vous moquez pas de moi Kaori, mes hommes ont déjà fouillé votre appartement de fond en comble, ils n’ont rien trouvé !  

- Si, le microfilm est dans une bague…  

- Une bague ?  

- Oui, la bague avec un rubis qui se trouve sur ma table de chevet…  

- Soit, vous allez venir avec moi mais votre mère va rester ici, si vous me faites un sale coup, j’appelle mes hommes et votre mère…  

- Non ! je vous ai dit la vérité !  

- Alors allons-y !  

 

 

 

 


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