Chapitre 23 :: Epilogue

Publiée: 14-11-05 - Mise à jour: 14-11-05

Commentaires: Coucou, c'est encore moi! Snif, ça y est ma première fic dans le monde de HFC est terminée...ça fait tout drôle. J'espère que vous l'avez apprécié autant que j'ai pris du plaisir à l'écrire. En premier lieu, merci à NJ, notre webmistress vénérée d'avoir créé ce magnifique site qui regorge d'infos sur CH. Je tiens à remercier ma beta Cat pour avoir pu la corriger malgré son travail. Merci à Naomy pour m'avoir permis de relever son défi. Merci à toutes les revieweuses qui me suivent depuis le début et qui ont eu assez de patience pour attendre les derniers chapitres! Merci à tous ceux qui m'ont lu sans me laisser de reviews. Je vais pouvoir continuer mes autres fics qui j'espère vous plaisent aussi. Biz et bonne lecture. Votre star intergalactique.

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Pendant quelques jours, Ryo fut aux petits soins pour Kaori, entre ménage, cuisine et pansements. Il refusa l’aide Sakura et de Sayuri. Kaori était aux anges, Ryo débordait de tendresse mais ils faisaient quand même chambre à part.  

Au bout d’une semaine, Ryo l’emmena chez le Doc qui lui enleva son pansement. La plaie avait bien cicatrisé, ce qui valut des félicitations à Ryo ! D’ailleurs le Doc lui proposa de devenir son assistant. Notre nettoyeur failli accepter, voyant là une occasion de côtoyer la belle Kazue, mais une mini massue sortie de nulle part l’en dissuada !  

Kaori fut soulagée. Elle était ravie que Ryo s’occupe d’elle comme ça mais ses tâches quotidiennes, à savoir la cuisine et le ménage lui manquaient. Pourtant Ryo cuisinait à merveille et pouvait être une véritable fée du logis ! Et dire qu’elle ne le savait pas jusqu’à aujourd’hui ! (NDA : merci Chibi !)  

Quand ils rentrèrent chez eux, Ryo avait un étrange sourire aux lèvres mais il ne dit rien à Kaori.  

Immeuble de City Hunter…  

- Enfin, je vais pouvoir m’occuper du ménage !  

Elle s’apprêtait à prendre le chiffon mais Ryo la retint.  

- Tu pourrais peut-être t’occuper de moi d’abord…fit-il d’une toute petite voix.  

Elle se tourna vers lui.  

- Je vois bien où tu veux en venir mais c’est non !  

- Comment ça non ?  

- Tu n’auras pas de câlins et encore moins de mokkori !  

- Mais pourquoi ?  

- Ca t’apprendra à vouloir m’éloigner de toi ! dit-elle en croisant les bras.  

- Mais je croyais qu’on avait fait la paix ?  

- Oui mais je t’ai pas pardonné trop facilement, il fallait que je te punisse d’une manière ou d’une autre !  

- Tu es dure Kaori !  

- Et puis je ne sais pas ce que tu as fait avec cette hôtesse…  

- Tu veux dire Sarah ?  

- Tu vois ! tu n’as même pas oublié son nom !  

- Enfin Kaori, je t’assure que je n’ai rien fait avec elle !  

Kaori riait intérieurement, elle savait très bien que son Ryo n’avait rien fait de mal avec cette fille.  

- Je ne reviendrais pas sur ma décision !  

- Allez Kaori….  

- Non !  

- S’il te plaît…  

- J’ai dit non !  

- Sois compréhensive mon amour, sinon…  

- Sinon quoi ?  

- Sinon…je te viole !  

- Quoi !!!!!!  

Kaori entra dans une colère noire. Elle sortit une massue de 1000 tonnes et le poursuivit dans l’appartement.  

- Ryo, je vais t’apprendre à avoir ce genre de pensée !! Me violer, et puis quoi encore ?!  

Tout l’appartement y passa, meubles, parquets, murs furent dévastés par la tornade Kaori ! Malheureusement pour elle, Ryo esquivait tous ses coups !  

Après une course poursuite qui dura plusieurs minutes, ils arrivèrent à l’étage et Ryo se réfugia dans sa chambre. Au moment où la massue allait s’abattre sur lui, Ryo prit les mains de Kaori.  

- Kaori…c’est le meilleur moyen que j’ai trouvé pour te faire venir dans ma chambre…  

Aussitôt, elle laissa tomber sa massue en rougissant.  

- Ryo…  

Il la couvrit de baisers avant de lui faire vivre une nuit des plus torrides !  

Le lendemain, ils prenaient un bain ensemble quand la sonnerie de l’entrée retentit. Kaori se leva d’un bond.  

- Kaori, attends, tu es pleine de mousse !  

Mais elle ne l’écouta pas et fonça vers la porte, non sans oublier de revêtir un peignoir !  

C’était Sakura et Sayuri.  

- Oh, je crois qu’on dérange, dit Sayuri devant une Kaori, rouge comme une tomate. Tu as encore de la mousse sur le visage !  

- Ah bon ? dit Kaori, en essayant de s’essuyer.  

- Mais non, tu n’as rien je te taquine ! dit sa sœur en clignant de l’œil.  

- On peut revenir plus tard ? rajouta Sakura, qui ne résista pas l’envie d’embêter sa fille, qui virait presque au rouge violacé !  

- Non, non, entrez !  

Après que Ryo les ait rejoints, ils s’installèrent tous autour d’une tasse de thé et de petits gâteaux.  

- Kaori, Ryo, nous repartons après-demain….  

- Déjà !  

- Ne sois pas déçue ma chérie, six mois ça passe vite et puis tu peux toujours venir me voir !  

- C’est vrai tu as raison…  

- Mais avant il faut que j’aille voir l’inspectrice Nogami…  

- Saeko, mais pourquoi ?  

- Je lui avais demandé d’effectuer des recherches pour moi, pour savoir où se trouvait la tombe de ton père…  

- Ah bon ? Mais elle l’a trouvée ?  

- Oui, c’est pour ça que je suis venue…je voudrais que tu viennes avec ta sœur et moi ; Ryô, vous venez bien sûr ?  

- C’est que…je pensais que vous voudriez être un peu seule avec vos filles pour vous recueillir sur la tombe de votre mari…  

- Vous faîtes partie de ma famille maintenant mon garçon, alors vous venez !  

- Très bien ! (Ouh là, j’ai l’impression d’être avec Kaori, quel caractère ! Manquerait plus qu’elle me sorte une massue !)  

Une douce chaleur se dégageait de cette pièce où se trouvaient des membres d’une même famille…  

Le surlendemain, à l’aéroport, la célèbre bande avait accompagné Sakura et Sayuri. La tristesse était de courte durée car ils allaient bientôt tous se retrouver.  

En rentrant à leur appartement, Kaori sortit un livre de ses affaires.  

- Qu’est ce que c’est ? lui demanda Ryo.  

- Un manuel pour apprendre l’anglais en 40 leçons, tu sais que je ne suis pas très douée ! Si nous devons aller à New York, il vaut mieux que je me prépare.  

- Je peux te donner des cours particuliers, n’oublie pas que j’ai vécu aux Etats-Unis. Mais attention, va falloir me payer !  

- C’est vrai j’avais oublié ! Mais je ne pourrais pas te payer tout de suite, tu sais bien qu’on pas eu de clients depuis des lustres !  

- Ca ne fait rien, tu peux me payer en nature, je vais même prendre un acompte dès maintenant ! dit-il en lui prenant les lèvres….  

FIN  

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