Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prose

 

Auteur: Lexine

Beta-reader(s): Chouchery, Nadraider

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 6 chapitres

Publiée: 03-02-05

Mise à jour: 26-04-05

 

Commentaires: 50 reviews

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DrameRomance

 

Résumé: Une balle et tout s'effondre...

 

Disclaimer: Les personnages de "Le secret d'une balle" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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Que veut dire HFC?

 

C'est le nom du site. HFC = Hojo Fan City.

 

 

   Fanfiction :: Le secret d'une balle

 

Chapitre 6 :: Une journée ordinaire (1ère partie)

Publiée: 26-04-05 - Mise à jour: 26-04-05

Commentaires: enfin me revoili me revoilou me revoila lol ça fait un moment que j'ai pas majer je sais lol et j'espère que ce chap va vous plaire. encore un gros merciiiiiiiiiiiii à ma béta chouchéry pour son magnifique boulot (y t'adore ma puce) et je remercie tout ceux qui me lisent et qui m'encouragent et aussi ceux qui me laissent des reviews (vous arrété pas lol) vous adoreeeee je vous fait un énormeeee bisouuuu(nours) a tous et bonne lecture.

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6


 

Le soleil se leva doucement comme chaque matin. Un de ses rayons vint se poser sur le visage encore endormi de l'homme dans le lit. Il avait un visage si paisible et serein. Il avait eu un sommeil sans rêve, peut-être....... Mais il avait bien dormi.  

Cette maison et les personnes qui y demeuraient y étaient pour beaucoup. Ceux-ci, le rassurait de par leurs seules présences. C'est donc ainsi que le petit bout de femme qui venait d'entrer silencieusement dans la pièce le trouva. Malgré la malheureuse découverte qu'elle venait de faire, la jeune femme resta à le contempler et ne fit aucun bruit. Kaori fondit sous le charme de cet homme. (Nde de la Bêta : Qui ne le pourrait pas face à ce dieu Grec, cet Apollon, ce je sais pas mais Punaise !!!! Il est canon !!!!! Lol). Son cœur manqua même un raté. Il était tellement beau. Mais, elle n'était pas là pour simplement le contempler, elle devait lui faire part d'un événement. Elle s'approcha alors doucement du lit et murmura quelque chose à l'oreille de ce si beau mâle. (Nde de la Bêta encore : Ouaip un mâle, un vrai Yes !!!!!Merci Lex pour l’image)  

 

- Ryô ? Réveilles-toi.  

 

Ne le voyant toujours pas bougé d'un millimètre, elle décida de passer à l'offensive. Elle souleva la chemise du pyjama de son ancien partenaire et glissa ses doigts sur son torse musclé. Là, elle commença une série de chatouilles ce qui eut finalement l'effet escompté vu que son partenaire se mit à gigoter afin qu'elle arrête cette douce torture.  

 

- Ryo ? Allez réveilles toi s'il te plait !  

 

Ryo se réveilla doucement. Il venait de se rendre compte qu'il n'avait même pas entendu sa partenaire arriver. Il s'était senti si bien ici qu'il en avait oublié sa sécurité. Il savait qu'il ne craignait rien dans cette maison mais le professionnalisme avait repris le dessus quand il avait perçu de l'inquiétude dans le ton de sa partenaire. Elle avait même l'air un peu déboussolée.  

 

- Qu'est-ce qui se passe Kaori? Lui demanda-t-il la voix encore ensommeillée.  

- Désolée de t'avoir réveiller ! Mais… Aiko…  

- Quoi? Qu'est-ce qui se passe avec Aiko??? Parles moi Kaori!!!  

- Elle… Elle…..Elle a disparu… Avoua difficilement Kaori en fondant en larmes.  

 

Ryo s'assit dans son lit et prit son amour dans ses bras. Il n'aimait pas la voir ainsi. Il mit une de ses mains sur les cheveux de Kaori et commença à les caresser pour la calmer partiellement.  

 

- Comment as-tu découvert qu'elle avait disparu?  

- Je suis allée dans sa chambre, comme chaque matin, pour la réveiller. Et… Son lit… Il était vide… Lui expliqua t-elle entre deux sanglots.  

- Tut tut tut ! Calmes-toi ! On va la retrouver, t'inquiètes.  

 

Au moment même où il prononça cette phrase, les draps à son côté se mirent à remuer doucement et à se soulever. Les deux anciens partenaires virent le drap glisser contre une petite forme humaine.  

 

- AIKO??? S'écrièrent-ils en même temps.  

 

Une fois la surprise passée, Kaori s'assit plus profondément dans le lit et serra Ryô de toutes ses forces. Elle avait eu tellement peur. Elle se dégagea de l'étreinte de son partenaire et prit alors sa fille dans ses bras en pleurant de joie cette fois-ci.  

 

- Aiko! Mon bébé ! Mon tout petit ! Tu m'as fait si peur! (Nde la Bêta : La petite chipie c’est qu’elle l’adore notre Ryô national)  

 

La petite, nullement consciente du trouble et de la panique qu'elle avait engendrée, continuait de dormir paisiblement dans les bras de sa mère. Ryô put alors constater le regard empli de joie, de tendresse et d'amour envers ce petit être qu'avait sa partenaire à ce moment exact.  

 

- Elle était tout simplement ici ! Elle ne risquait pas d'être enlevée !!! Sourit Ryô.  

- C'est sûr! Mais ça m'a fait peur quand même ! J'ai cru que j'allais mourir tout à l'heure en ne la voyant pas dans son lit. Quelle chipie!!! Elle doit bien t'aimer…  

 

Pour enlever toute la tension de ce petit incident, ils se mirent à rire comme au bon vieux temps. Cela leur fit un bien fou. Ryô aimait ces moments-là dans le passé. Ils étaient tellement rares qu'il profitait un maximum de chaque instant passé en compagnie de cette femme. Mais aujourd'hui ils avaient un autre goût que celui de la complicité d'antan. C'était un goût de bonheur intense et ça lui plaisait encore plus. La petite en les entendant rire tous les deux se réveilla et sourit aux deux partenaires. Sans comprendre pourquoi, Ryô attira la mère et la fille contre lui et ils se retrouvèrent tous les trois dans le lit à rire. Si quelqu’un entrait à cet instant précis dans cette chambre il serait surprit par ce merveilleux tableau qui ce jouait. Le nettoyeur….. Prit d’assaut pas deux bouts femmes qui lui faisaient subir une délicieuse torture…. Des chatouilles. Ils riaient tous les trois aux éclats, savourant ces instants de bonheur, c’était comme si une bulle les enfermait tout les trois, les protégeait, les déconnectait du monde réel. Le nettoyeur se sentait bien, il était serein plus rien n’avait d’importance si ce n’est cet instant de bonheur passé avec sa partenaire et la petite Aiko.  

 

Cette petite séance dura bien une demi-heure. Ils se sentaient tellement bien ensemble qu'ils n'avaient pas envie de se quitter. Un vrai tableau familiale….. Pourtant l’appel de la nature fut le plus fort….. Leurs estomacs se firent entendre. Tout comme le nettoyeur, la petite voulut son petit déjeuner. Elle réclama un grand bol de lait avec ces céréales préférées. Sa mère acquiesça. Aiko, toute contente sauta sur le lit en battant des mains en signe de contentement.  

Plus Ryô l’observait et plus il s’attachait à elle, cette petite respirait la joie de vivre comme sa mère qu’il ne put d’ailleurs quitter des yeux. Elle était resplendissante, différente et pourtant la même…. Elle était devenue femme et mère. Un nouveau sentiment s’insinuait lentement dans ces veines sans qu’il ne le comprenne, une envie, un désir sur lequel il n’arrivait pas à mettre un nom….. Une sorte de manque. Quelque chose de vital commençait à naître en lui……  

 

Kaori se releva du lit et laissa ses deux "enfants" s'amuser. Elle sortit de la chambre et se rendit directement à la cuisine afin de préparer le petit déjeuner. Il fallait bien qu’elle nourrisse les deux ogres. Elle prépara un copieux repas fait avec amour.  

Pendant ce temps-là, dans la chambre, une atmosphère divine venait de s'y installer. C'était un mélange d'amour, de bonheur et de tendresse. En effet, après le réveil plutôt enjoué, la petite Aiko s'était réfugiée dans les bras de Ryô et lui faisait désormais un câlin dont elle avait tellement l'habitude. En réalité, Aiko faisait toujours un câlin à sa mère après s'être doucement et calmement réveillée. Mais là, vu que sa mère venait de partir, elle s'était précipitée dans les bras réconfortants de l'homme à coté duquel elle se trouvait à cet instant même, c'est-à-dire Ryô. Il la serrait toujours contre lui, elle avait passé ces petits bras autour de son coup. Il caressait les cheveux de la petite, il appréciait d’autant plus ce moment. Aiko reposait sur le torse de Ryô, il pouvait entendre battre son petit cœur, une douce mélodie qui l’apaisait. Tout était calme et silencieux autour d’eux. Mais Ryô désirait savoir une chose à propos de cet enfant.  

 

-Dis moi ma chérie, est ce que je peux te poser une question ?  

Aiko hocha la tête en signe d’affirmation.  

- Sais tu où est ton papa ? La petite fit non de la tête.  

- Maman simplement dit que mon papa n’était pas ici qu’elle était partie quand j’étais toute petite dans son ventre.  

- Donc tu ne sais pas qui est ton papa ? elle fit non de la tête une fois de plus.  

- Il te manque ton papa.  

- Oui !!! fit la petite en se serrant d’avantage dans les bras du nettoyeur.  

Un moment de flottement s’installa dans la chambre, Ryô tenant toujours la petite recassait ce qu’elle lui avait dit à propos de son père. « Maman est partie quand j’était dans son ventre », peut être que le père de la petite ne désirait pas cette enfant. Quel homme pouvait abandonner une femme et son enfant….. Lui peut être…… Mais il se disait qu’il avait une bonne raison, il n’avait pas le droit d’entraîner dans son monde femme et enfant, il l’avait fait avec Kaori et elle faillit mourir par sa faute.  

- Dis Ryô, maman m’a dis que tu étais un très gentil monsieur et que tu aidais les autres.  

- Oui si ta maman le dit c’est que c’est vrai  

- Est-ce que tu peux garder un secret ?  

- Oui, ma chérie, motus et bouche cousue !! Fit Ryô avec un sourire  

- Est que tu veux bien m’aider à retrouver mon papa, et pendant qu’on le cherchera tu pourras jouer à être mon papa s’il te plaît.  

La petite avait un regard d’ange, si innocent si pure et enfantin qu’il ne pouvait refuser. Après tout elle n’avait pas connu son père, alors pourquoi ne pas lui faire plaisir.  

- Si tu veux ma chérie, je te promets de tout faire pour retrouver ton papa et je veux bien le remplacer en attendant.  

Aiko sauta de joie et embrassa le nettoyeur sur la joue.  

- C’est vrai que tu es un gentil monsieur.  

 

Kaori arriva quelques minutes après et les trouva ainsi. Elle aimait tellement ces deux personnes. Elles étaient vitales pour elle. Et maintenant qu'elles étaient réunies, la jeune femme en était comblée. Elle remarqua le caractère câlin de son ancien partenaire. Il était si doux avec sa fille. « Elle pensa qu’il aurait fait un très bon père ». Il était transformé. Elle ne le reconnaissait plus. Et cela, depuis son arrivée au dojo où elle l'avait aperçu la veille.  

Elle ne le connaissait pas si attentionné, si passionné et si doux. De plus, c'était la première fois qu'elle le voyait nu ….. (Nde le Bêta : Oh hé doucement les filles, elle a dit nu pas tout nu comme tout tout nu, elle parle de ces sentiments !! J’envoie déjà qui s’imagine des trucs !! Non mais !!!), sans aucune barrière ou mur qui lui bloquait jadis l'entrée au mystère de l'espèce Saeba dont elle avait pourtant hérité.  

Ce matin, elle avait bien vu qu'il avait dormi comme un ange. Il n'avait pas mis de garde. Elle en avait encore des choses à apprendre de lui. Qu'est-ce que Ryô Saeba allait encore lui réserver comme surprise. C'est alors qu'elle surprit sa fille l'appelant "papa". Ce nom sonnait si bien dans la bouche d’Aiko et sciait parfaitement à Ryô.  

Aiko se tut, remarquant, enfin, l'entrée de sa mère dans la chambre. Elle mit un doigt devant sa bouche et devant la bouche de son "papa" par intérim. Ce geste fit sourire le nettoyeur.  

Kaori voyant cela sourit aussi. Elle vint enfin près du lit. Là elle déposa le petit déjeuner. Ces deux goinfres se ruèrent sur la nourriture. Tous se régalèrent et profitèrent de ce moment privilégié. Après le petit déjeuner, Kaori décida qu’il était temps pour sa fille de faire sa toilette.  

 

 


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