Chapitre 10 :: Au bord du précipice

Publiée: 18-02-08 - Mise à jour: 05-12-08

Commentaires: Bonsoir. Et oui vous ne rêvez pas c'est bien moi. Je suis désolée pour cette longue absence. Mon ordi m'a planté et j'ai du l'emmener en réparation et cela à mis un peu plus d'un mois. J'ai cru mourir sans ordi. C'est fou comme cette petite bête m'a manqué, qui l'eut cru. Enfin, voilà un nouveau châpitre, j'espère vraiment qu'il vous plaira? Je tiens à vous signaler que je vais être beaucoup moins régulière dans mes majs car avec le boulot j'ai presque plus le temps d'écrire. Je vais tout de même essayer de terminer mes fics. Bon voilà en vous souhaitant une bonne lecture. Pleins de bisous.

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Au même moment dans la cours de l'immeuble de Mick.  

_Merci doc de m'avoir raccompagnée.  

_Mais je t'en prie, tu ne m'invites pas à rentrer pour prendre un verre lui dit celui-ci d'une voix taquine.  

_Doc fit-elle en lui souriant, je ne crois pas que Mick le verrait d'un très bon oeil. On se voit demain.  

_Oui, j'en connais un qui va passer une sacrée nuit fit-il entre ses moustaches.  

_De quoi?  

_ Non rien. Rentre bien.  

_Merci, vous aussi dit-elle en fermant la porte de la voiture.  

A cet instant son téléphone sonna. Elle le prit et vit le prénom de Miki s'afficher.  

_A demain doc.  

Elle décrocha son téléphone et prit le chemin de son appartement.  

_Salut Miki.  

_Salut Kazue. Je te dérange.  

_Non, rassure-toi, doc viens juste de me déposer. Laisse-moi juste le temps d'ouvrir la porte et de déposer mes affaires.  

Elle s'exécuta, elle posa son sac à terre, referma la porte derrière elle, ôta ses chaussures puis regarda tout autour d'elle. Son chez elle lui avait manqué. Le silence qui régnait lui disait que Mick ne devait pas encore être rentré.  

_Je suis tout à toi. Dis moi, quelle heure est-il?  

_A peine 22H00. Ton message me disait de te rappeler . Alors voilà. Que voulais-tu me dire?  

_Au rien d'important, je voulais juste savoir si ça te disait de déjeuner en ville demain avec moi. On demandera à Kaori de se joindre à nous.  

_C'est une excellente idée.  

L'attention de Kazue fut alors attirée par la lumière qui venait de s'allumer en haut des escaliers. Elle vit Mick descendre vêtu d'un simple caleçon. Cette vision lui arracha un sourire. Elle qui avait cru qu'il aurait profité de son absence pour faire la tournée des bars. Il s'étira de tout son long puis se glissa derrière elle. Il passa ses bras autour de sa taille et plongea son visage au creux de son cou. A ce contact Kazue émit un petit gémissement de plaisir qui n'échappa pas à Miki à l'autre bout du téléphone.  

_Qu'est ce qui se passe demanda-t-elle?  

_Rien Mick vient de rentrer et il fait déjà des siennes lui dit -elle en riant sous l'effet des caresses de son homme.  

_Je vais vous laisser à vos retrouvailles alors.  

_Non, attend avant.  

Elle se dégagea alors de l'étreinte de Mick et alla jusqu'à la fenêtre afin d'en tirer le rideau pour se mettre à l'abri des regards indiscrets car connaissant son homme elle savait qu'il n'attendrait pas d'avoir regagner leur chambre. On se retrouve à quelle heure et où? On a plein de choses à se dire.  

_Que dirais-tu de 11H30 devant la gare, je me charge de prévenir Kaori.  

_C'est entendu lui répondit Kazue en posant sa main sur le rideau prête à tirer dessus lorsqu'elle s'arrêta subitement. Oh mon dieu, cria-t-elle d'effroi.  

Alerté par la peur et l'angoisse qui émanaient d'elle Mick la rejoignit et regarda vers l'endroit qui captait de la sorte son attention.  

_Qu'est ce qui se passe? demanda alors Miki soucieuse du changement de timbre de voix de son amie. Kazue que se passe -t-il?  

_Miki, je dois raccrocher. Kaori se tient debout sur la rambarde de la terrasse de son immeuble.  

_Kazue tu as bien dit que....mais c'était déjà trop tard Kazue avait déjà raccroché et Miki parlait dans le vide.  

En entendant cela Mick se positionna devant la fenêtre de tout son corps et porta son regard sur le toit de l'immeuble de leurs amis.  

_C'est pas vrai lâcha t- il en serrant des dents mais qu'est ce qu'elle fout? Kazue, appelle Ryo et dis lui ce qui se passe lui dit-il d'une voix grave qui ne masquait en rien son inquiétude.  

Sans rien ajouté et vêtu de son seul caleçon et pieds nus, il se jeta hors de son appartement et se précipita vers l'immeuble de leurs amis.  

_Pourvu que j'arrive à temps. Kaori ne fais pas de bêtises se dit-il à haute voix.  

De son côté, avec de doigts tremblants Kazue composa le numéro de Ryo. Son regard allait des touches de son téléphone au toit où se trouvait Kaori suspendue dans le vide. Elle avait réellement peur que celle-ci ne saute. Elle ne voulait pas regarder ça, mais en même temps, elle ne pouvait s'empêcher de regarder et de prier intérieurement pour que Mick arrive à temps. Dans l'immeuble d'à côté, le téléphone sonna, Ryo mit deux bonnes minutes à se décider à répondre. Ce fut en traînant des pieds qu'il se leva et alla décrocher.  

_Ca à intérêt d'être important dit-il d'une voix menaçante.  

_Ryo, c'est Kazue.  

_Kazue mon amour, la coupa-t-il.  

_Ferme la Ryo lui dit-elle d'une voix ferme et dure qui ne laissait pas de place à la plaisanterie. Kaori est suspendue dans le vide sur le toit de votre immeuble. Le timbre sérieux de la voix de Kazue ne laissait aucunement place au doute, elle était sérieuse.  

Une fois Ryo avertit, Kazue se précipita à son tour dans leur immeuble non sans avoir jeté un dernier regard en direction de Kaori.  

Ryo sentit son corps se raidir subitement, il lâcha le combiné et se jeta à son tour en caleçon en direction du toit. Il fut le premier arrivé suivi de prés par Mick qui le talonnait juste derrière. La vue qui s'offrait à eux les terrifia et les glaça d'effroi. Kaori était bien debout sur la rambarde les bras ballants le long de son corps et le regard porté droit devant elle au loin. Elle portait un somptueux déshabillé blanc tout fait de dentelles que son partenaire ne lui connaissait pas et qui lui sciait à merveille.  

_C'est pas le moment d'avoir de telles pensées se rabroua-t-il.  

C'est alors qu'une pluie fine se mit à tomber sur eux. Kaori ne semblait pas en percevoir les effets ce qui n'était pas le cas des autres. En quelques secondes ils se retrouvèrent trempés. Etait ce un signe annonciateur, un mauvais présage.  

Ryo fit un geste à Mick en plaçant son index devant sa bouche. Il ne fallait surtout pas faire de bruit, elle risquait de le prendre pour une agression et dieu seul sait comment elle pourrait réagir. Il fit donc un geste de la main à son ami qui contourna Kaori par le flanc gauche alors que lui allait la prendre par la droite. Tels deux félins ils firent quelques pas afin de se rapprocher d'elle. Ryo vit alors les lèvres de Kaori bouger. Il fit un geste en direction de Mick afin de le stopper. Les lèvres de son ange bougeaient bien, mais ils étaient tous deux trop loin pour entendre ce qu'elle disait. Elle tourna légèrement la tête sur le côté comme pour suivre quelque chose dans le ciel et c'est là que Ryo vit qu'elle pleurait. Ses larmes se mêlèrent ainsi aux gouttes d'eau qui ruisselèrent le long de ses joues. Son visage était ravagé par les larmes, on avait d'ailleurs du mal à les distinguer mais l'oeil aguerri de Ryo le remarqua. Il y vit un tel désespoir dans son regard fermé que cela le terrifia. De toute sa vie, il ne se souvenait pas avoir un jour ressenti une peur comme celle qu'il ressentait à cet instant. Son coeur frappait de grands coups dans sa poitrine, coeur qui le suppliait d'agir au plus vite afin d'éviter un désastre.  

Essoufflée Kazue arriva à son tour sur le toit. Les deux hommes remarquèrent son arrivée. Ryo se tourna alors vers elle et lui signifia de se taire. Celle-ci était prête à appeler, à crier le prénom de son amie poussée par l'angoisse et l'inquiétude, mais elle se retient à temps en étouffant son cri dans ses mains. En effet, afin d'éviter tout débordement de sa part elle porta ses mains à sa bouche, mains tremblantes qui en disaient long sur son état à elle aussi. Ryo et Mick se regardèrent alors, ils allaient avancer en même temps. Ils s'apprêtèrent à bouger lorsque Kaori se mit à crier, un cri strident, un cri terrifiant, un cri de désespoir qui venait du coeur, du plus profond de ses entrailles. Ce fut un cri empli de sa douleur et de son mal être, un cri d'abandon qu'elle dévoilait au monde.  

Les deux hommes se regardèrent de nouveau, ils n'avaient pas besoin de se parler pour comprendre, ils n'avaient pas affaire à Kaori. Ryo voulait agir avec douceur et lenteur, il ne fallait pas qu'elle s'aperçoive de leur présence mais ils se devaient d'agir vite avant qu'une catastrophe ne se produise.  

Sur la falaise Sakura se sentait vidée, comme morte. L'homme qu'elle aimait voguait vers d'autres rives pour une autre vie en compagnie d'une autre femme alors qu'elle criait son désespoir et son mal de vivre au monde. Résignée, désespérée, à bout de forces physiques et mentale, ses jambes flageolantes avaient de plus en plus mal à la soutenir, elle regarda le bateau s'éloigner d'elle. Elle était lasse de lutter, elle n'aspirait plus qu'à une chose à présent se laisser aller pour enfin trouver le repos qui lui avait fait défaut ces derniers jours. Alors dans un geste de désespoir elle se laissa guider par sa raison meurtrie qui lui dictait de se résigner et ce fut ce qu'elle fit. Elle se laissa tomber vers l'avant mais Shan In qui avait anticipé son geste la retient in extrémiste par la taille et l'attira à elle vers l'arrière sur le sol ferme. Elle avait perdu connaissance.  

Ryo tel un fauve la voyant chanceler et porter sa main à sa tête signe évident d'un prochain malaise, les mêmes symptômes que dans la chambre de Mick se jeta sur elle. Il lui attrapa le bras et l'attira vers lui. Il eut juste de le temps de la recevoir dans ses bras et de protéger sa tête de ses mains, tous deux roulèrent à terre. Kazue n'avait pu s'empêcher de pousser un cri un voyant son amie partir vers l'avant, se jeter dans le vide et se cacher les yeux avec ses mains, mais la rapidité et la dextérité de Ryo avaient prévalu. Elle n'avait pas voulu voir cela. Le silence qui régna suite à cela fut à la fois angoissant et terrifiant pour Kazue qui n'osait relever la tête afin de voir la réalité des faits. Elle avait vraiment peur de ce qu'elle allait découvrir. De plus, le silence qui régnait à cet instant sur le toit ne fit qu'accentuer cet état de peur, une odeur de mort flottait au dessus de leur tête. Tout comme Ryo, Mick s'était jeté sous Kaori afin de la rattraper mais Ryo avait été la plus rapide. Les deux corps gisaient alors sur le sol mouillés et immobiles, enlacés l'un dans l'autre, le corps de Ryo faisant ramparts entre celui de Kaori et le béton dur du sol. Le blanc du déshabillait contrastait terriblement avec la peau bronzée du corps de Ryo. On aurait dit un mélange de couleur savamment pensé. Inquiet Mick alla à leur rencontre puis se baissa à hauteur de Ryo. Celui-ci tenait son ange entre ses bras son dos appuyé contre son large torse. Mick posa alors une main sur son épaule afin de s'enquérir de son état et fut soulagé de le voir tourner la tête dans sa direction.  

_Il s'en est fallu de peu dit alors Mick en s'asseyant sur le sol trempé. Il laissait ainsi la pression retombée. Les deux hommes venaient d'avoir la frayeur de leur vie.  

Ryo sentit alors Kaori bouger dans ses bras. Les goûtes d'eau qui tombèrent sur son visage la ramenèrent peu à peu à la vie. Elle tenta de bouger mais elle était prise dans une sorte d'étau. Elle ouvrit alors les yeux et eut la surprise de voir le visage de Mick penché sur elle. Elle dut fermer les yeux à cause de la pluie qui l'empêchait de discerner correctement son ami. Elle se protégea alors les yeux et après les avoir bien fait cligner, regarda de nouveau et vit toujours le visage de Mick au dessus d'elle.  

_Mick dit-elle d'une petite voix.  

_Oui c'est bien moi lui répondit celui-ci avec un large sourire.  

En entendant le son de la voix de son amie Kazue s'autorisa enfin à découvrir ses yeux et à aller à leur rencontre, soulagée.  

_Kaori cria t-elle de joie de voir son amie à terre dans les bras protecteurs de Ryo.  

_Kazue fit Kaori surprise de la voir ici. Quand es-tu rentrée?Mais où on est?  

_Sur le toit de ton immeuble répondit Mick.  

Ryo n'avait toujours pas prononcé la moindre parole, ni fait le moindre geste, il ne voulait que la tenir dans ses bras de peur de la perdre. Elle venait de lui faire vivre la frayeur de sa vie et il s'en était fallu de peu. Sans le coup de fil de Kazue, il préférait ne pas penser à ce qui se serait, à ce qui aurait pu se passer.  

_Sur le toit répéta celle-ci.  

_Ca va Ryo demanda alors Kazue à l'attention de Ryo. La chute avait dû être rude et le peu de vêtement porté sur lui n'avait pas dû jouer en sa faveur.  

_Oui merci répondit celui-ci tout en restant immobile.  

_Ryo fit Kaori en sentant quelque chose de moue sous son corps. Il ne s'agissait que du corps de Ryo tout contre le sien. Je peux savoir ce que je fais dans tes bras et ce que tes mains font sur ma poitrine.  

_Ha ha ha rit celui-ci bêtement. Ce n'est pas ce que tu crois Kaori je peux tout t'expliquer.  

Il parlait, parlait mais n'avait toujours pas ôter ses mains des seins de sa belle, faut dire qu'il appréciait ce contact voluptueux avec elle.  

_Commence par ôter tes mains de là. Ote immédiatement tes mains de là avant que je ne sévisse cria-t-elle et allez-vous enfin m'expliquer ce que nous faisons tous sur toit et sous la pluie.  

Ryo préféra s'exécuter sur le champs avant qu'elle ne déploie ses nerfs sur lui. Il relâcha sa prise à contre coeur car il avait plus qu'apprécié ce contact plus que sensuel avec tout le corps de sa belle et en parti avec sa poitrine. Mick tendit alors une main à Kaori et l'aida à se lever. Ryo en fit de même. Elle se retrouva alors face à Mick et face à son regard de pervers lubrique qui la dévorait des yeux. Elle regarda alors Ryo et vit briller au fond de ses prunelles une étrange lueur.  

_Pourquoi vous me regardez ainsi leur demanda-t-elle en posant ses deux mains sur ses hanches? mais aucune réponse ne se fit. Elle sentait que tous deux tramaient quelque chose. De plus, jamais Ryo n'avait eu un tel regard pour elle.  

_Kaori, tu te trouvais sur la rambarde prête à te jeter dans le vide. Sans l'intervention de Ryo je n'ose imaginer ce qui se serait passer lui dit Kazue d'une voix rassurante et encore pleine d'angoisse.  

Le regard de celle-ci alla de l'un à l'autre de ces trois visages qu'elle connaissait si bien, regard incrédule et plein d'incompréhension. Si cela n'avait pas été Kazue qui le lui avait dit, elle ne l'aurait peut-être pas cru. Pourquoi était-elle montée sur la rambarde? Que faisait-elle dessus? Comment était -elle arrivée là? A toutes ses questions elle n'avait aucune réponse. Rien du tout pas le moindre souvenir même si elle savait parfaitement à quoi cela était dû: SAKURA.  

Elle se sentait juste extrêmement fatiguée, et résignée. Elle n'aurait su l'expliquer mais elle sentait un grand vide en elle, et en y pensant un frisson glacial lui traversa tout le corps. Oui, elle ne s'expliquait pas ses sensations, et cette impression d'abandon qu'elle ressentait au plus profond d'elle. Kaori était plongée dans ses pensées si bien qu'elle n'avait pas remarqué la situation dans laquelle elle se trouvait.  

Elle releva alors la tête et c'est alors que son regard se posa enfin sur les deux hommes et sur leurs corps. Ils étaient à moitié nus, ils ne portaient pour tout et en tout qu'un simple caleçon que la pluie avait collé contre leur peau dévoilant ou plutôt sculptant à merveille et avec délice certaines parties de leur corps ou plutôt de leurs anatomies. Les gouttes d'eau ruisselaient sur leurs visages et venaient s'écraser sur leurs larges torses d'homme virile. Elle avait manqué un élément. Elle ressentit alors le froid la gagner, elle se mit à se frictionner les bras, bras qui étaient dénudés à sa grande surprise. Elle se regarda alors et vit qu'elle aussi était à moitié nue sous les regards ardents et obsédés des deux plus grands pervers de tout le japon. Elle portait ce déshabillait blanc que Miki lui avait fait acheter qui la moulait parfaitement ,et les effets de la pluie ne l'avait elle non plus pas épargné. Le fin tissu soyeux lui collait à la peau offrant à la vue des deux hommes les contours parfaits de son corps et plus encore, car nous savons tous qu'un vêtement blanc et qui plus est trempé est plus que transparent. Son corps était dévoilé, sa poitrine ferme se dressait fièrement au contact de pluie tout en se soulevant au gré de ses respirations. Ses longues jambes fuselées apparurent aux deux hommes interminables, sans parler de sa chute de reins et de son fessier qui ne demandait qu'à être caresser. Réalisant sa nudité, elle se mit à crier et à se cacher la poitrine avec ses bras mais cela ne servit à pas grand chose. Mick et Ryo la dévorait toujours du regard. Elle aurait voulu les frapper avec une massue mais cela signifiait relever ses bras et se dévoiler à nouveau. Elle se trouvait dans une impasse démunie et gênée. De plus, malgré ses cris aucun des deux hommes ne fit le moindre geste pour tenter de la calmer et ils ne prirent pas non plus en considération ses paroles.  

_Fermez les yeux, je vous interdis de me regarder. Mick, Ryo cria-t-elle gênée et en colère le visage cramoisie.  

Cela devenait presque une habitude qu'ils la voient dans le plus simple appareil. Mais les deux hommes n'en firent rien, c'était plus fort qu'eux. La vue qui s'offrait à eux valait bien que toutes les misères du monde s'abattent sur eux.  

_Mais on ne fait rien de mal Kaori lui répondit alors Mick la bave aux lèvres , regarde nos mains sont plus que sages.  

_Vos deux mains peut-être mais pas la troisième répondit Kazue en baissant son regard en direction de leurs entre- jambes.  

Ce fut donc Kazue qui vient à son aide car malgré les protestations de Kaori qui demandait aux deux hommes de ne pas la regarder, ceux-ci n'en firent rien. Elle sortit alors deux massues, une dans chaque mains et aplatit chacun d'eux avec cet instrument de délivrance? Elle finit par ôter sa veste et la posa sur les épaules de son amie.  

_Mets ça Kaori. A présent rentrons avant que tu n'attrapes la mort. Tu trembles comme une feuille.  

Silencieusement les deux hommes se relevèrent et après avoir remis leurs vertèbres en place talonnèrent les deux femmes de prés avec des magnifiques sourirent aux lèvres aux souvenirs du corps de Kaori mais l'esprit encore pleins de question quant à sa présence sur ce toit et sur cette rambarde, même s'ils avaient déjà un élément de réponse..  

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