Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Author: Beautiful Strangeran

Status: To be continued

Series: City Hunter

 

Total: 15 chapters

Published: 29-04-04

Last update: 16-11-08

 

Comments: 51 reviews

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CrossoverSci-Fi

 

Summary: Un brun d'imagination, un couple explosif, un peu de science fiction et surtout le plus important un auteur complètement givré, vous mélanger tout ça et cela donne une nouvelle histoire qu'il faut lire pour comprendre et savoir ce qui s'y passe....

 

Disclaimer: Les personnages de "À la croisée des mondes" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.City Hunter

 

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It's the name of the web site. HFC = Hojo Fan City.

 

 

   Fanfiction :: À la croisée des mondes

 

Chapter 11 :: Les femmes prennent les choses en main, 3e partie

Published: 26-05-05 - Last update: 26-05-05

Comments: Ouhouh ! On se souviens de moi ? Bien, si oui, c'est génial, si c'est non et bah, je suis le fantôme de Beautiful Strangeran qui revient sur Terre finir son histoire... (lol) Bon, je remercie tous ceux et celles qui me lisent et qui me laissent des reviews. Je vous embrasse bien fort. Je remercie aussi ma génialissime beta Lifetreee qui se retrouve avec un peu de boulot, de ma part, après ces mois de chomâge technique... lol Gros bisous à tout le monde et notamment à ma chère Leeloo, Lifetree, Miyu, Lexine, Jenn, Zoe,.... Et Ginie dont les écrits vont erriblement nous manquer. Bon je vous laisse lire.... sVP : une petite review, cela fait toujours plaisir, surtout aux âmes en peine comme moi....

 


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Le Lotus d'argent 19h30  

 

Une douce agitation animait le restaurant le plus chic de la ville. Les hommes d'affaire discutaient contrats entre deux verres de Bordeaux, les couples dînaient en amoureux, d'autres charmaient davantage leurs jeunes maîtresses. Kitahachy assis au bar observait tous ces gens parmi lesquels étaient présents certains de ses concurrents, ainsi que certaines de ses connaissances qu'il ne pouvait qualifier d'ami, car dans ce monde de requin l'amitié n'existait pas. En tout cas pas en ce qui le concernait. De temps en temps son regard se portait sur l'entrée du restaurant à l'affût de l'arrivée de ces invités.  

Soudain, le léger tumulte des conversations se tut. Des regards admiratifs et d’autres envieux se posèrent rapidement sur les deux divines créatures qui venaient de pénétrer dans le restaurant. Kitahachy lui -même en avait le souffle coupé, incapable de détourner le regard et de réagir. Seul le maître d'hôtel, tout à son devoir, eut le courage de s'adresser à ces apparitions. Il n'en restait pas moins admiratif, mais ses fonctions intimaient qu'il s'adresse à ces dernières. Il les avertit donc que Kitahachy les attendait au bar. Ce dernier se décida enfin à avancer vers elles. Comment qualifier ces deux déesses tant elles étaient divines, dans leurs magnifiques tenues.  

Les jeunes femmes étaient réellement exquises dans leur robe, tout droit sortie de la dernière collection glamour d’Ériko. Un petit diadème incrusté de pierres noires dans les cheveux, un raz le cou de velours orné d’une même pierre noire, un visage d’ange aux yeux bleus était encadré d’une chevelure d’or et le cou, pour lequel n’importe quel vampire se damnerait pour y croquer, se trouvaient ainsi simplement mis en valeur. Une robe de velours noire au bustier corseté et légèrement brodé cintrait une taille fine et laissait deviner une poitrine avantageuse. Les épaules nues de la jeune femme étaient recouvertes d'une petite étole. La robe était longue et fendue jusqu’au haut de la cuisse, découvrant ainsi une jambe gauche d’un galbe parfait. Une petite chaînette de cheville toujours sertie de ces pierres noires scintillaient à la cheville de la dite jambe. De jolies chaussures à talon aiguille venaient compléter la tenue, accentuant l’aspect longiligne de ces jambes. Lizzie était plus que sublime ainsi vêtue et Laura de ce point de vue était loin de se trouver en reste. En effet, Laura portait une robe pourpre dos nue, avec un décolleté si vertigineux qu'il semblait presque lui arriver au nombril. Tout comme celle de Lizzie, il s’agissait d’une robe longue et fendue jusqu’au haut de la cuisse, sauf que cette fois-ci c’était la jambe droite qui était ainsi délicieusement dévoilée. Une chaînette sertie de rubis brillait à la cheville droite. Les chaussures étaient identiques à celle de Lizzie, mais en revanche celles-ci étaient rouges. Une barrette ornée d’une rose rouge retenait quelque peu les cheveux de la jeune femme. Son cou était également mis en valeur par un petit raz le cou rouge avec la pierre assortie. Incontestablement ces deux jeunes femmes étaient renversantes de beauté et le léger maquillage qu’elles s’étaient appliquées, n’accentuait que davantage la délicatesse de leurs traits et la profondeur de leur regard envoûtant.  

 

Il est inutile de dire au combien de telles beautés étaient sujettes de convoitise, en faisant baver certains. Et inutile de dire également, au combien il fut difficile pour les filles de se rendre au restaurant, lorsque Jack et Ryo s’aperçurent de leur tenue. Revenons d’ailleurs un peu plus tôt dans la journée qui fut si chargée pour tous, au regard de la préparation de la mission.  

 

*** Début du flash back ***  

 

Ils furent tous fort occupés cet après-midi-ci. Après le déjeuner, les filles durent se rendre chez Eriko, afin de trouver des tenues de soirées appropriées à leur plan. Les hommes pour leur part repartirent faire un tour du côté de l’entrepôt pour une dernière vérification. Puis Jack dû organiser toute la logistique relative aux renforts, en prévision des arrestations qui auraient lieu. Ensuite, il a fallu nettoyer les armes et charger le coffre de la mini. Enfin, à 18 heures, ils firent un dernier briefing récapitulatif sur le déroulement de la mission. L’assaut de l’entrepôt aurait lieu à 23 h, heure à laquelle les chargements de marchandises étaient les plus denses. Cela laissait également le temps aux filles d’attirer Kitahachy à l’entrepôt, car ce dernier ne s’y rendait jamais à des heures aussi tardives. L’attaque devrait être une attaque éclaire, afin de neutraliser au plus vite les gardes. Il serait ensuite simple d’interpeller le reste du personnel s’y trouvant, ainsi que Kitahachy que les filles auront déjà maîtrisé. La saisie du miroir cantique ne serait plus qu’une formalité alors. Si tout se déroulait comme prévu, l’opération de récupération serait bouclée pour 0h 30, pour l’arrivée des renforts. Puis, 18h30 avait sonné et les filles étaient parties se préparer.  

En l’espace de trois quart d’heures, elles étaient fin prêtes. Oui, cela est possible, contrairement à ce que pourraient penser certains, l’efficacité de Sam et de Kaori ne souffrait pas de retard. Daniel avait dû également se préparer, car il serait pour cette soirée le chauffeur de la limousine qu’elles avaient louée. Ainsi, Ryo et le reste de ces messieurs discutaient tranquillement dans le salon pariant qu’elles ne seraient jamais prêtes à l’heure. Ils furent aussi bien surpris lorsqu’à 19h 10, ces dames descendirent au salon. Tous, sans exception, tombèrent sous leur charme et certains plus que d’autres. Teal’c et Daniel ne tarirent pas d’éloges. Ryo et Jack, la surprise une fois passée, se renfrognèrent imperceptiblement.  

- Major, Kaori, vous êtes splendides mesdemoiselles. Mais êtes-vous vraiment obligées de porter ceci ? interrogea Jack.  

- Et je doute que ces tenues soient pratiques pour venir nous prêter mains fortes, lors de l’assaut, ajouta Ryo.  

Kaori et Sam ravies de l’effet produit sur leurs «hommes» offrirent un magnifique sourire à leurs interlocuteurs, avant de leur répondre.  

- Oui, il était nécessaire que nous nous vêtissions de la sorte, mon colonel, répondit Sam  

- Et inutile de t’inquiéter, nous serons parfaitement capable de venir vous filer un coup de main, compléta Kaori en montrant au reste de l’assistance ce que cachait la doublure de leur robe, ainsi que le contenu de leur sac à main.  

Constatant qu’elles avaient pensé à tout, ils durent les laisser partir à contrecœur. Toutefois, ils n’abandonnèrent leurs coéquipières que lorsque celles-ci franchirent la porte du restaurant. En effet, Ryo, Jack et Teal’c, les avaient suivi de loin jusqu’à leur rendez-vous et cela même si elles ne craignaient rien. Daniel stationna la limousine dans le parking du restaurant et s’engouffra ensuite dans la mini, pour aller grignoter un bout au Cat’s eye avec les autres, avant le début des hostilités. Le repas ne fut que de courte durée pour ses messieurs, contrairement à ces demoiselles, car Ryo et Jack avait prévu d’aller faire un petit tour rapide à Kitahachy Corporation et il fallait que Daniel aille reprendre son service de chauffeur pour la suite des opérations.  

*** fin du flash back ***  

 

Les heures, quant à elles, s’écoulaient tranquillement du côté du Lotus d’argent. En effet, les filles tentaient de profiter au mieux du repas, qui était exquis, bien que Kitahachy ne les insupportent que davantage à chaque minute passée. Elles goûtèrent ainsi à tous les meilleurs plats, et les plus chers, de la carte, ne buvant que de l’eau pour Laura et un soda light, pour Lizzie. Kitahachy, pour sa part, buvait un excellent Don Pérignon, sous les discrets encouragements de ces invitées. En effet, il serait plus simple pour elles d’en faire ce qu’elles voulaient si ce dernier était passablement éméché. Ce fut, dans une bonne humeur feinte en ce qui concernait les filles, que les trois compagnons sortirent du restaurant à 22h 15. Daniel, qui guettait leur sortie, avança la limousine. Les trois convives pénétrèrent dans le véhicule, sans que Kitahachy, ne remarque tout de suite qu’il ne s’agissait pas de sa limousine. L’alcool semblait faire son effet. Alors, lorsque Kitahachy se rendit compte qu’il ne s’agissait pas de son chauffeur et encore moins de sa voiture, les jeunes femmes s’empressèrent de le rassurer en lui assurant qu’elles se feraient un plaisir de le raccompagner, après une petite balade au clair de lune. Kitahachy, enchanté par l’audace de ces jeunes compagnes, se laissa faire sans rechigner.  

Ainsi, Daniel conduisit tout ce joli monde du côté du port, comme convenu, et dans les temps en plus. Or, arrivé aux abords du port et plus particulièrement aux abords de l’entrepôt tant convoité, Daniel stoppa la limousine.  

- Excusez-moi mesdemoiselles et monsieur, mais je crains que nous n’ayons un problème, intervint Daniel après que l’on ait ressenti une légère secousse dans la voiture.  

- - Comment Robert ? demanda Lizzie.  

- - Oui, que se passe-t-il, Robert ? interrogea aussi Kitahachy dans une attitude digne d’un mâle dominant dans un groupe de singe.  

 

NDA : Bien entendu, ici, je ne fais que souligner la bêtise et l’attitude maccho de Kitahachy. Vous l’aviez compris, n’est-ce pas, hein ?  

 

- Je crains que l’un des pneus ne soit crevé.  

- Oh ! Mais comment allons-nous faire ? s’écria Laura feignant d’avoir peur, tremblant et pleurant, tel une biche effarouchée. Le coin semble désert en plus !  

- Oh oui ! Mais comment va-t-on partir d’ici ! s’écria aussi Lizzie. Je suis sûre qu’il doit y avoir des individus mal famés qui traînent par ici et qu’ils ne vont pas hésiter à nous attaquer.  

- Ne craignez rien, mes chères amies. Nous avons de la chance, dans notre malheur, intervint fièrement Kitahachy, tel le sauveur du monde.  

- Ah oui ? interrogea Laura.  

- Vraiment ? ajouta Lizzie.  

- Oui, nous ne sommes pas très loin de l’un de mes hangars d’où nous pourrons attendre en toute sécurité que Robert change le pneu de la limousine.  

- Oh mais c’est merveilleux ! Vous êtes notre sauveur ! s’exclamèrent les jeunes femmes.  

- Oui je sais, mais je n’y suis pas pour grand-chose, répondit Kitahachy d’une fausse modestie à toute épreuve.  

C’est ainsi que, sans éveiller les soupçons et tout en donnant le signale pour le début de l’intervention, la limousine s’approcha de l’entrepôt et qu’à 23 heures précises, Kitahachy et nos deux héroïnes pénétrèrent dans le hangar.  

Laura et Lizzie ou Kaori et Sam, menèrent rondement leur plan à exécution. Il était temps, à présent, pour le reste de l’équipe d’entrer en scène ; puisque ayant pris les choses en main, les femmes avaient introduit tout en délicatesse les chats dans la souricière.  

 

 

 

 


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