Chapter 11 :: Retrouvailles!

Published: 17-11-07 - Last update: 11-03-08

Comments: voila la suite, bon je mexcuse a lavance pour les fautes eventuelles, jai plu tro le yeux en face des trou a 5h du mat' mai jespere ke c lisible. je remercie ceu ki mon laisser des commentaires !!!a + au chapitre suivant

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Hide et Saeko avait donné rendez-vous à leurs amis au cat’s eye, laissant La gare était bondée à cette heure de la journée, les touristes voulaient rejoindre leur lieu de vacances grâce au train, Ryô salua tout le monde valise à la main, laisse de kami dans l’autre il monta dans le wagon première classe, tous ses amis lui firent signe que c’était bon. Puis les agents de gare demandèrent de partir aux personnes rester sur le quai car le train allait partir.  

Le train traversait le pays à un rythme assez élevé laissant peu le loisir de regarder le paysage, Ryô repensa au dénouement de l’affaire d’Hide. Les tueurs à gage avaient été retrouvés pendus par les pieds dans l’hôtel où ils logeaient depuis des semaines, un mot collé à la glue sur leur torse signé de leur main où ils avouaient leur travail et qui les avait engagés, et pour finir on lui avait cassé les pouces et l’index de façon à ce qu’ils ne puissent pu s’en servir. Ryô pensait que quelqu’un avait devancé la police et avait rendu justice lui-même, il repensa à la phrase que Tony avait faite quand il lui avait dit la nouvelle.  

_Encore des tordus qui se croyaient invincibles de moins, ils avaient pas à vouloir toucher une de mes protégées.  

Il avait bien comprit que Tony y était pour quelque chose, et il ne lui en voulait pas pour son geste, si il avait eu l’occasion d’avoir les types en face de lui c’est pas les doigts qu’il leur aurait cassés  

Le train faisait une halte dans une gare, Ryô en profita pour dégourdir ces pattes et celles de son chien, kami était un chien formidable, il pouvait l’emmener partout et avoir l’esprit tranquille car il n’aboyait pas et ne voulait jamais se sauver, le chien idéal. Ryô avisa une fleuriste en bordure de quai, il lui restait à peine vingt minutes de trajet, il regarda les fleurs que la vieille dame vendait, il lui acheta une vingtaine de rose de plusieurs couleurs, pendant qu’il composait son bouquet la vieille femme lui parla.  

_Quel adorable chien que voila, il est mignon comme tout.  

Kami mit sa patte sur son museau comme si il était gêné, faisait rire la vieille dame.  

_Il est bon comédien, il s’appelle comment ?  

_Kami madame.  

_Quel beau nom pour ce chien. Pour la peine je vous fais moitié prix sur les roses.  

_Non c’est trop, j’ai de l’argent vous savez plus ce qu’un homme devrait avoir alors je tiens à vous les payez toutes.  

_Mon jeune homme j’y tiens, je n’ai pas besoin de beaucoup d’argent pour mes vieux jours, et puis vous vous allez sans doute voir votre fiancée aujourd’hui, donc j’y tiens.  

_Merci beaucoup.  

Ryô retourna dans le train avec son bouquet, il regarda par la fenêtre la vieille dame qui lui signe, il ouvrit la fenêtre et la remercia. Le contrôleur siffla pour annoncer le départ du train, Ryô pris place avec son magnifique bouquet imaginant nombre de façon de lui offrir.  

Ryô débarqua dans la ville, avec en main le plan que lui avait dessiné Hide, d’ailleurs l’inspecteur n’avait pas de talent car il se perdit dans le dédale de maisons avant d’avoir enfin pu trouver la fameuse plage. Le soleil tapait assez fort aujourd’hui, il se dirigea donc vers le restaurant où elle travaillait.  

Ryô demanda où se trouvait le directeur du restaurant à une serveuse qui s’arrêta de respirer tellement elle trouva l’homme séduisant, elle lui indiqua un homme grisonnant vers l’arrière boutique. Ryô la remercia avec un clin d’œil et parti en direction du patron d’un pas assuré.  

Le patron discutait avec le cuistot de tout et de rien, celui-ci avisa l’arrivée d’un client et retourna au fourneau laissant le patron avec l’homme.  

_Bonjour monsieur que puis-je pour vous ?  

_Bonjour, voilà je voudrais savoir si Kaori travaille ici ?  

_Oui mon brave, elle ne devrait pas tarder d’arriver.  

_Très bien, est-ce que vous pouvez me l’envoyer à ma table s’il vous plait ?  

_Je peux m’arranger pour, dès qu’elle commence son service je vous l’envoie.  

_Merci beaucoup.  

Ryô prit donc place à une table en terrasse, kami couché sous la chaise savourant l’ombre du parasol immense qui les protégeait des rayons chauds.  

La serveuse à qui Ryô avait demandé le renseignement se dirigea vers le patron et lui demanda pourquoi le client ne commandait pas. Le patron lui expliqua.  

_Il attend quelqu’un d’important. C’est pour ça qu’il est venu me parler pour je ne le serve que quand la personne sera là.  

_Je pourrait lui servir un verre en attendant.  

_Hitomie j’ai promis à ce client qu’il ne sera servit que quand cette personne sera là, donc tu continues de servir le reste des tables mais pas la sienne.  

_Bien patron.  

La serveuse repartie donc servir les autres clients, dommage qu’elle ne puisse pas s’approcher de l’homme elle aurait pu essayer de la charmer. Elle jeta attentivement un coup d’œil, il avait un visage magnifique, viril avec un coter enfantin à bien y regarder, elle pouvait deviner les muscle sous cette chemise de première qualité, puis elle avisa le bouquet qu’il posa sur la table. Elle devina qu’il devait retrouver sa fiancée, elle grogna un peu et continua son service.  

Kaori enfila son tablier à motif hawaïen bleu et pris son carnet pour marquer les commandes et arriva en salle, mais à peine eu telle le temps d’arriver que le patron l’appela. Il disposa deux verres sur le plateau et l’envoya à la table en terrasse. Elle se dirigea donc vers la table, ce qui n’échappa à l’œil d’Hitomie qui voulait savoir à quoi ressemblait la fiancée du bel apollon.  

Ryô vit arriver la belle, il improvisa en cachant son visage derrière le bouquet de fleur. Il sentait son cœur battre la chamade rien qu’à l’idée qu’elle se trouve à moins de 10 mètres de lui. Puis la jeune femme posa les deux verres sur la table.  

_Est-ce que monsieur souhaite autre chose ?  

_Oui.  

Kaori reconnu la voix tout de suite et regarda l’homme qui baissa le bouquet de devant son visage.  

_Je voudrais bien ramener ma cendrillon avec moi.  

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