Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: usakisa

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 4 capitoli

Pubblicato: 05-03-09

Ultimo aggiornamento: 02-07-09

 

Commenti: 44 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: La montagne, la neige, une affaire.... un changement?

 

Disclaimer: Les personnages de "La montagne ça vous gagne" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: La montagne, ça vous gagne!!

 

Capitolo 1 :: Du travail, enfin!!!

Pubblicato: 05-03-09 - Ultimo aggiornamento: 14-05-20

Commenti: Salut tout le monde!! Je me lance dans une nouvelle fic qui comme son nom l'indique va se dérouler à la montagne. Cette idée m'est venue en voyant mes belles montagnes toutes blanches. Je vous laisse la découvrir, en espérant qu'elle vous plaise. Bonne lecture

 


Capitolo: 1 2 3 4


 

Gare de Shinjuku  

 

Une charmante jeune femme brune à l’allure sportive s’approchait du tableau situé du côté Est de la gare. Elle prit la craie et commença à écrire : XYZ, puis ses coordonnées. Elle repartit aussitôt, se fondant dans la masse. Quelques instants plus tard un cri résonna dans toute la gare. Les gens stoppèrent leur marche et jetèrent un coup d’œil vers le tableau où ils aperçurent une jeune femme à genoux, les larmes coulant le long de ses joues. Elle avait porté la main gauche à ses lèvres, montrant le tableau de l’autre. Elle n’en revenait pas, quelqu’un avait laissé un message. Trop émue elle n’entendait même pas les propos des gens autour d’elle.  

 

Vingt minutes plus tard.  

 

- Lâchez moi sale pervers où j’appelle la police !  

 

Une étudiante tentait de se dépêtrer des griffes d’un homme qui tirait sur sa mini jupe tout en la suppliant de venir boire un café avec lui. Une gifle lui fit lâcher prise. Il se releva et voulut repartir à l’assaut mais une personne attira son attention. Reprenant un air sérieux il s’approcha de la forme agenouillée.  

 

- La pauvre, ça fait au moins 1/4h qu’elle n’a pas bougé.  

- Tu te rends compte, quel goujat, la larguer comme ça par un message que tout le monde peut lire. Y’a vraiment des salauds dans la vie.  

- Elle n’arrête pas de pleurer. Il faudrait peut être l’aider, tu ne crois pas ?  

 

Une goutte de sueur tomba sur le front de l’homme. C’était quoi cette histoire de largage ? Il regarda le tableau et put lire : « Je te quittes, je ne supportes plus ton allure de garçon manqué ni ta jalousie maladive. Je préfère les vrais femmes. Adieu. Natsuo. »  

 

Les yeux de l’homme exorbités par la surprise se reportèrent sur la jeune femme toujours agenouillée. Il ouvrit la bouche comme pour parler mais aucun son ne sortit. C’était qui ce Natsuo ? L’homme s’agenouilla à la hauteur de la personne et la détailla. Les gens n’avaient pas tort, elle pleurait effectivement. Il se décida à l’appeler doucement.  

 

- Kaori, hé, Kaori !  

 

Elle ne lui répondit pas, elle semblait être ailleurs. L’homme l’agrippa par une épaule et se mit à la secouer.  

 

- Kaori ! Reprit-il plus fort.  

- Hein, quoi ?  

 

La jeune femme semblait enfin sortir de sa torpeur.  

 

- Ah Ryô.  

- Qu’est-ce qui t’arrives ? Tu peux m’expliquer pourquoi tu pleures et c’est qui ce Natsuo ?  

- Qui ça ??  

 

 

Kaori eut l’air surprise en entendant ce nom. Elle avait toujours les yeux grands ouverts où deux larmes perlaient aux coins.  

 

- Ryô… le… le code ! On a du travail ! Enfin ! Murmura-t-elle.  

 

Ce dernier regarda encore une fois le tableau et vit enfin un magnifique XYZ. Tout à coup il se sentit partir en arrière. Kaori s’était jetée dans ses bras, trop heureuse et émue par cette bonne nouvelle.  

 

- Tu te rends compte ? Après 8 mois de vide complet on a enfin un client ! Oh Ryô c’est magnifique.  

 

Elle s’était collée à lui et avait enserré ses bras autour de son large torse.  

 

- Ah bin maintenant elle est contente ! Elle est bizarre cette fille.  

- C’est qui lui, son nouveau copain ?  

- Hum, sûrement vu comment elle lui a sauté dans les bras !  

- Non mais quel comportement je vous jure. Les jeunes d’aujourd’hui n’ont plus aucune retenue.  

- Elle se fait larguer et elle s'en fout !  

 

Kaori se mit à rougir en entendant les paroles des gens et s’écarta vivement de son partenaire.  

 

- Ce n’est pas ça ! Personne ne m’a laissée tomber, s’écria-t-elle, rouge de confusion. Vous vous trompez !  

- En tout cas si mon fiancé me laissait un message pareil et qu’un homme comme lui venait me réconforter, je réagirais de la même façon.  

 

Les propos allaient bon train autour de ce couple étrange. Un sourire satisfait vint se peindre sur les lèvres de l’homme. En un mouvement il se retrouva près d’une passante et lui déclara tout de go :  

 

- Mais si vous recherchez du réconfort je suis l’homme parfait . Accompagnez-moi au plus proche motel et vous verrez que je suis le meilleur coup de tout le Japon.  

 

En même temps qu’il parlait il avait enlacé la jeune femme et approchait sa bouche dangereusement. Une voix glaciale le fit revenir à la réalité.  

 

- Ryô !! Laisse cette femme tranquille où c’est la punition assurée, c’est compris ?  

 

Ryô obtempéra face à la menace. Apparemment sa partenaire avait vite repris du poil de la bête. Elle le saisit par la main et se dirigea à pas pressés vers la sortie de la gare sous le regard médusé des gens et ils se fondèrent dans la foule compacte de la capitale nippone.  

Kaori Makimura marchait rapidement. Derrière elle son partenaire Ryô Saeba la suivait, son regard rivé sur les hanches de la jeune femme. A les voir ainsi ils ressemblaient à des personnes normales, mais ceux qui les connaissaient, savaient qu’il n’en était rien. En effet Ryô était le nettoyeur n°1 du Japon, plus connu sous le nom de City Hunter et Kaori n’était autre que sa partenaire.  

Ils arrivèrent bien vite devant un immeuble de briques rouges. Kaori se précipita au 5ème étage puis sur le téléphone. Elle composa le numéro inscrit sur le tableau de la gare. Une voix féminine lui répondit. La jeune femme poussa un soupir intérieur. Son instinct lui disait que leur cliente était une très belle femme, ce qui n’allait pas être une partie de plaisir pour elle. Pendant qu’elle prenait rendez-vous Ryô s’était installé sur le sofa et avait prit une revue porno qu’il feuilletait. Son beau visage s’était transformé en rictus pervers face aux images qu’il voyait. Une main vint abaisser son magazine. Sa partenaire se tenait devant lui.  

 

- On a rendez-vous dans une demi-heure au Cat’s Eye avec notre cliente.  

- Une cliente ??  

 

Ryô s’était levé d’un bond et avait déjà saisit son pardessus.  

 

- T’attends quoi ? On ne va pas faire attendre une belle miss mokkori quand même ! Dépêches-toi Kaori.  

 

La jeune femme baissa la tête, dépitée. Ca y’est, ce pervers était bien réveillé et tout excité. Il allait être incontrôlable. Elle prit son manteau et suivit son partenaire qui sautillait tout guilleret.  

Ils arrivèrent très vite au café tenu par leurs amis mercenaires. Telle une fusée Ryô se jeta sur la barmaid tout en s’écriant :  

 

- Mikii mon amour !! Un bisou !  

 

Une massue de 100 tonnes le coupa court dans sa tentative et l’encastra dans le sol du café. Kaori passa à côté de sa loque de partenaire.  

 

- Bonjour, dit elle d’un ton joyeux.  

- Bonjour Kaori, lui répondit son amie. Et bien, tu as l’air ravi, aurais-tu reçue une bonne nouvelle ?  

- Ah Miki, nous avons enfin du travail ! C’est le plus beau jour de ma vie ! Je me sens revivre !  

 

Elle avait des étoiles plein les yeux en disant tout cela. Miki sourit. Cela faisait un moment qu’elle ne l’avait pas vue ainsi.  

 

- Vraiment ? Mais c’est génial ça. Je suis contente pour vous. Et vous devez retrouver votre client ici ? Tu sais qui c’est ?  

- Ce n’est pas un client, mais une cliente.  

- Cliente ? Où ça, où ça ? Elle est arrivée ?  

 

En entendant le mot Ryô c’était relevé d’un coup et tournait la tête de gauche à droite.  

Une claque derrière sa tête le fit revenir sur terre.  

 

- Arrêtes ton cinéma, personne n’est là. Au fait Miki, Falcon n’est pas avec toi ?  

- Non, il est allé faire des courses.  

- Tu en as de la chance, c’est pas Ryô qui se bougerait pour m’aider un peu.  

- T’as pas besoin de moi, vu que t’as Natsuo.  

- HEIN ??  

- Ah non pardon, tu avais Natsuo, mais maintenant tu l’as plu.  

 

Miki lâcha son torchon et regarda son amie, les yeux gros comme des soucoupes.  

 

- Kaori ! Tu m’avais cachée ça ! Raconte moi tout !  

- Mais… que… je…. Je ne sais pas de quoi tu parles Ryô !  

- Mouais, bien sûr. Tu as honte d’en parler parce que tu t’es faite jeter comme une malpropre à la gare.  

- De quoi ?  

 

Kaori n’en revenait pas, c’était quoi cette histoire ? Elle ne comprenait vraiment rien. De même pour Miki qui ne cessait de tourner la tête de gauche à droite, regardant ses amis à tour de rôle. Kaori avait l’air abasourdi tandis que Ryô pianotait du bout des doigt sur le comptoir. S’énervant, la nettoyeuse se mit debout et saisit son partenaire par le col de son pardessus. Les joues gonflées elle lui cracha au visage :  

 

- Non mais t’insinues quoi là ? Que je ne suis pas assez bien et qu’un homme peut me larguer comme ça ?? Je ne sais pas qui est ce Natsuo ou je ne sais quoi.  

- Vrai ? Demanda-t-il, plongeant son regard noir dans ses yeux.  

- Bi… bien sûr, répondit la jeune femme, rougissant face à ce regard pénétrant et relâchant sa poigne.  

- Je me disais aussi. Pourtant la description t’allait comme un gant : "garçon manqué toujours jaloux…". Hum, il ne doit pourtant pas avoir 10 personnes comme ça dans tout Tokyo.  

 

Ryô semblait maintenant réfléchir profondément, ce qui énerva encore plus sa partenaire.  

 

- Quoi ??? Hurla-t-elle. Je ne suis pas un garçon manqué ni jalouse ! Et puis personne ne m’a jamais jetée.  

- C’est vrai, mais bon tu n'es jamais sortie avec quelqu’un non plus. Ma pauvre, tu es une vraie antiquité.  

 

Ce fut trop pour Kaori qui souffla de la fumée, des flammes dans ses yeux. Une énorme massue apparut dans ses mains. Elle l’abattit avec force sur la tête de Ryô, explosant au passage le tabouret sur lequel il était assis.  

 

- Salaud ! Je t’interdis de dire ce genre de chose à mon sujet.  

- Heu, excusez-moi, dit une petite voix derrière elle.  

 

Kaori se retourna prestement et put voir une jeune femme qui se tenait sur le seuil de la porte.  

 

- Ah heu bonjour, dit-elle gênée.  

- Désolée de vous déranger en plein… heu…pleine dispute, mais je recherche City Hunter. Vous connaissez ?  

- Mademoiselle Asama ? Je suis Kaori Makimura.  

- Ah ! Enchantée.  

 

Elles se serrèrent la main.  

 

- Venez, allons nous asseoir plus loin.  

- Excusez mon indiscrétion, mais on m’avez dit que City Hunter était un homme.  

- En effet, je suis sa partenaire. En ce moment il est sous cette mas… sue.  

 

Kaori termina sa phrase dans un murmure. Comme par magie Ryô se trouvait déjà à côté de leur cliente, lui tenant les mains.  

 

- Mademoiselle, je suis entièrement à votre disposition.  

- Heu... merci…  

- Ryô…  

 

Entendant son prénom le nettoyeur déglutit et se décolla de sa cliente. Kaori lui jetait un regard noir. Il vint s’asseoir à ses côtés.  

 

- Mademoiselle Asama, je vous présente Ryô Saeba alias City Hunter. Si vous nous expliquiez votre affaire et ce que l’on peut faire pour vous aider ?  

- Très bien. Alors voilà je m’appelle Haruka Asama et je suis skieuse professionnelle. Comme vous le savez sûrement le championnat de ski du Japon va bientôt débuter. Depuis quelques temps je reçois des menaces me disant de me retirer de la compétition. Mon appartement a été fouillé et il y a deux jours une voiture a tenté de me renverser.  

- Hum, je vois, déclara Ryô. Et vous avez besoin d’un garde du corps pour vous protéger ? Avez-vous une idée de qui pourrait vous en vouloir ?  

- Et bien franchement non. J’ai bien réfléchi mais personne ne me vient à l’esprit.  

- D’accord. Alors nous acceptons de vous protéger mademoiselle, dit Kaori.  

- En ce qui concerne le paiement... commença Ryô.  

- Ne vous en faites pas Mr Saeba, l’argent n’est pas un problème pour moi.  

- Oh, je ne parlais pas d’argent.  

 

Il prit les deux mains de la jeune femme, un genou sur la table.  

 

- Voyez-vous, je demande toujours une récompense en nature. Vous devez tirer un p’tit coup avec moi !  

 

 

La cliente tomba à la renverse face à ces propos. Une seconde plus tard son interlocuteur avait disparut de son champ de vision, tout comme la table, pulvérisée par une massue.  

 

- Ne vous en faites pas mademoiselle Asama, vous n’avez plus rien à craindre, City Hunter se charge de votre protection.  

 

La skieuse ne semblait pas tout à fait rassurée.  

 

- Et moi je me charge personnellement de Ryô, vous n’avez aucune crainte à avoir, je vous l’assure.  

- D’accord. Heu, pour ce qui est de la compétition, elle va se dérouler à la station de ski Rusutsu, sur l’île d’Hokkaido. La compétition commencera la semaine prochaine. Nous partons avec l’équipe dans trois jours. Nous prendrons l’avion depuis Tokyo jusqu’à l’aéroport de Sapporo. Une navette nous conduira directement à l’hôtel où nous résiderons durons le temps de la compétition. Bien sur vous n’aurez rien à payez.  

- En avion ? S’écria Kaori.  

- Heu oui, cela vous pose-t-il problème ?  

- Et bien, à vrai dire...  

- Oui, cela pose un problème, coupa Ryô.  

- Vraiment ? la cliente semblait angoissée.  

- Mais ne vous inquiétez pas, nous irons là-bas par train, dit Ryô.  

- Mais cela va vous prendre un temps fou !  

- C’est n’est pas un problème, ne vous en faites pas pour nous.  

- Très bien. J’ai rendez-vous avec mon coach et les membres de mon équipe dans une heure. Je resterais avec eux jusqu’au départ donc je ne pense pas que l’on va s’en prendre à moi avec autant de personnes autour de moi. Je propose que l’on se rejoigne directement à l’hôtel de la station. Je vais demander à ce que l’on vous réserve une chambre.  

- Deux chambres ! crièrent en même temps les nettoyeurs.  

- Heu, deux chambres alors. Bon je dois vraiment y aller.  

- Merci, répondit Kaori. Et à dans trois jours.  

 

La cliente prit congé et s’en alla. A peine la porte fut elle refermée que Ryô se mit à rêver. La montagne signifiait la neige, le froid, un bon feu de cheminée et deux corps enlacés devant celui-ci, tentant de se réchauffer. Il commença à baver en s’imaginant faire des folies avec la belle Haruka.  

Kaori se frappa le front en voyant sa mine lubrique. Elle saisit son pardessus et se mit à le tirer à sa suite.  

 

- Bon Miki, on te laisse, on doit préparer nos valises et prendre nos billets de train.  

 

Elle fit un dernier coucou à son amie et disparut dans la rue.  

 

 

A suivre....... 

 


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