Capitolo 2 :: chapitre 1

Pubblicato: 19-10-04 - Ultimo aggiornamento: 19-10-04

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11

New York, 20h, dans la salle de fête d’un grand hôtel de luxe…  

« Mes dames et messieurs, encore une fois, je vous remercie de votre présence ce soir. Notre association qui vient en aide aux futurs entrepreneurs est heureuse de vous accueillir pour son 10ème anniversaire. Ce soir, un homme est à mettre à l’honneur. Plus que tout, c’est sa famille qui est à mettre à l’honneur aujourd’hui. En effet, c’est son père qui a eu l’idée de créer cette association…même s’il nous a quitté, nous avons le plaisir d’accueillir parmi nous ce soir, celui qui a repris en main ces affaires. Mes dames et messieurs, applaudissez monsieur Ryo Hojo- Saeba »  

Un tonnerre d’applaudissements retentit dans la salle. Un jeune homme qui venait à peine de dépasser la trentaine se leva et se dirigea vers la podium…Il était l’élégance même. Ces cheveux d’un brun noir était ensorcelant mais rien avoir avec son regard d’un magnétisme envoûtant qui a fait craquer on ne sait combien de jeunes femmes.  

Il était vêtu de façon très simple, un ensemble en daim bleu foncé et un pull à col roulé blanc cassé. Lorsqu’il eut atteint le podium et avant de prendre la parole, il regarda un instant l’assistance qui était pendu à ses lèvres, il ne put s’empêcher de sourire intérieurement.  

« Quel bande d’imbécile, un seul mot de moi et la plus part d’entre eux se retrouveront à la rue. Ils me détestent tous, je le sais…et pourtant, ils sont là…attendant de savoir qui je vais couler la semaine prochaine…quel bande de crétins »  

Mais Ryo, n’était pas le seul à être perdu dans ses pensées et tout le monde n’attendait pas son discours avec l’impatience qu’il pensait.  

Il y en a un qui pensait :  

« Pour qui il se prend ce type ? il n’arrive pas à la cheville de son père…ah, s’il voyait ce qu’il avait de la société qu’il a mis tant de temps à créer…ça le tuerais une seconde fois ! »  

Et un autre :  

« Il pense qu’il peut tous nous avoir, parce que c’est l’homme le plus riche des états unis et aussi parce qu’il possède 99% des entreprises présentes au cours de cette soirée…Mais, il y a quelque chose qu’il ne sait pas…non, il ne le sait pas…sinon, il rigolerait moins »  

Et encore un autre :  

« Bientôt, très bientôt, je vais te faire ravaler ce sourire de fils à papa…tu peux me croire mon cher Ryo, tes jours sur cette terre sont désormais compter et c’est moi que tout gens remercieront… »  

Et encore un autre :  

« 1, 2, 3…Le compte à rebours vient de commencer…sens tu ta fin, mon cher ? Non ? rassure toi, je te préviendrais avant de te porter le coup de grâce…hehehhe »  

- Mes dames et messieurs, c’est pour moi un plaisir que d’être ici et de représenter les entreprises que mon père a crée. Mon père a toujours voulu que chacun sur cette terre ait sa chance et si nous qui possédons tous…  

- C’est pas vrai, comment ose t-il dire ça ? il fulmina intérieurement.  

- …si nous qui possédons tout, pouvons ne fut ce que d’une façon infime aider ce qui n’ont rien (encore), nous ne devons pas hésiter une seconde. C’est notre devoir que de donner une chance à tout un chacun de réussir dans ce bas monde. Pour ce faire et pour continuer la tradition instauré jadis par mon père, je remets un chèque de 100 millions de dollars de la part des sociétés HOJO- SAEBA.  

- 100 millions de do…  

- Mais il est malade ?  

- Il faut dire que ça représente à peine son argent de poche de …de combien…euh…  

- 1 heure.  

- Quoi ? t’en es sur ?  

- Oui, cet enfoiré gagne environs 100 millions de dollars toutes les heures.  

- C’est incroyable !!!  

- ….je sais.  

Dans une autre table.  

- ce n’est pas possible…  

- combien son père donnait il ?  

- le plus qu’il n’est jamais donné en 9 ans c’était …  

- 20 millions.  

- Et lui, pour la première fois…  

- C’est pour montrer qu’il est bien meilleur que son père, il ne l’a jamais aimé.  

- S’il croit que c’est comme ça qu’il fera un bon homme d’affaire, il se trompe.  

- Laissez le, mon cher…Il est encore jeune, il l’apprendra…bientôt.  

- Et à ces dépends…  

- Monsieur Hojo-Saeba, je ne sais comment vous remercier…  

- Ce n’est rien, ce n’est rien…bon, je serais bien rester ici, mais j’ai d’autres projets pour la soirée. Je dois vous laisser.  

Sur, il se dirigea vers la sortie. Son chauffeur vint la chercher et lui ouvrit la porte arrière de sa limousine.  

- monsieur a passé une bonne soirée ?  

- c’est le moins que l’on puisse dire ! Bon, maintenant, on y va, je ne compte pas moisir ici plus longtemps.  

- Bien monsieur…  

Une fois dans sa voiture…Ryo prit le téléphone et composa un numéro.  

- allo ? oui, c’est moi…tout est prêt ? ok parfait, je serais là dans quelques minutes.  

Et il raccrocha, il bascula sa tête en arrière et se mit à penser à cette soirée qui avait excellemment bien débuté et qui allait s’achever en apothéose.  

Cette même journée là, dans une ville du japon, une jeune femme d’environs 25-26 ans entrait dans ce qui lui servait de bureau.  

Une pièce moyennement grande…très agréablement bien décoré mais dans un désordre abominable.  

Elle avait une pile de dossiers dans les mains.  

- où les poser ?  

- Bonjour mademoiselle Makimura !  

- Oh, c’est vous sœur Marie-Joseph ?  

- Oui, voulez vous un coup de main ?  

- Avec plaisir ma sœur.  

Les deux femmes tentèrent tant bien que mal de trouver une place où fourrer tout les dossiers que mademoiselle Makimura venait d’apporter.  

Une fois la tâche accomplie, la jeune femme se laisse tomber sur sa chaise. La sœur, lui jeta un regard plein de compassion. La jeune fille s’en apreçut…  

- Il y a quelque chose qui ne va pas, ma sœur ? demanda t-elle.  

- Non, tout va très bien…et ce grâce à vous, mademoiselle MA…  

- Oh, je vous ai déjà dit de m’appeler Kaori…et puis, ce que je fais, je le fais de bon cœur, vous le savez, non ?  

- Oui ! je le sais…Mais tout de même, je trouve que vous travaillez trop. Vous êtes si jeune et si pleine de vie…et vous passez vos journées enfermée dans ce bureau…  

Kaori ne put s’empêcher de rire en entendant ça. Elle soupira et leva les mains au ciel.  

- c’est exactement ce que dit mon frère.  

- Et il a tout à fait raison.  

- Mais vous savez, je travaillerais moins s’il y avait plus de gens qui se souciaient plus du mal qu’ils font autour d’eux et…  

Le téléphone sonna.  

- excusez moi !  

- oui, bien sur !  

- allo ?  

- oui !  

- Mademoiselle Makimura ?  

- Oui, c’est moi ! qui est à l’appareille ?  

- C’est …c’est…( la personne au bout du fil était au bord des larmes)…  

- Calmez vous et parlez calmement !!!  

- C’est Sakura Kido, mademoiselle.  

- Sakura, qu’est ce qui se passe ?  

- Je …je…mademoiselle, il a encore recommencé…je…  

- J’arrive tout de suite, Sakura…ne bougez surtout pas !  

- Mais, qu’est ce que… ?  

- Vous voyez ma sœur, c’est exactement ce que je vous disais…le monde irait vraiment beaucoup mieux, si les gens se souciaient un peu de ceux qui les entourent.  

Kaori quitta son bureau…précipitamment.  

- Mon Dieu, protégez cette jeune femme, elle est si gentille…c’est horrible la façon qu’elle a de faire passez le bonheur des autres avant le sien.  

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11