Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Nadraider

Beta-reader(s): Myriam

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 12 capitoli

Pubblicato: 17-01-05

Ultimo aggiornamento: 21-01-05

 

Commenti: 20 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: Ryô et Kaori sont ensemble depuis trois ans mais leur couple bât de l'aile sérieusement depuis 6 mois. leur future est donc menacé au plus haut point. Vont-ils réussir à passer ce cap ou leur faudra t-il un petit coup de pouce du destin?

 

Disclaimer: Les personnages de "Ma Raison de vivre" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 150 ...

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   Fanfiction :: Ma Raison de vivre

 

Capitolo 9 :: CHAPITRE 9:LA MISSION SECRETE

Pubblicato: 20-01-05 - Ultimo aggiornamento: 22-01-05

Commenti: Slt! Voilà le chap 9 version allongée. autant vous le dire de suite, j'ai eu beaucoup de mal avec ce chapitre qui devait me servcire de charnière. Perso, je n'en suis pas très contente. Mais bon, il ne s'agit que d'une fanfic, alors bon. Voilà. Le reste arrive très vite. Jai presque fini d'écrire le 10. Bis, Nad

 


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CHAPITRE 9 : LA MISSION SECRETE  

 

Kaori se souvenait de cette période où tout avait rebasculé entre eux. Ils ne communiquaient plus qu’à travers des mensonges et des faux- semblants. Elle avait même eu un doute à son sujet et avait commencé à le suivre discrètement. Et ce qui arriva, arriva. Kaori frappa du poing le pauvre oreiller.  

-« De toute façon, ça n’aurait jamais pu marcher… tu n’arrives même pas à t’empêcher de voir les autres filles ! » Elle repensa à ses dix années passées ensemble et à toutes les frasques de son pervers de partenaire lui avait fait subir. Certes, elle ne l’avait pas souvent prit sur le fait accomplit, mais elle l’avait bien retrouver au lit plusieurs fois avec une fille. A chaque fois, cela lui avait fait mal mais elle espérait qu’un jour il ouvre enfin les yeux sur elle. Elle se souvint de Bloody Mary qui avait été sa partenaire mais aussi sa compagne pendant longtemps, et même d’une autre femme qui leur avait fait croire que son fils était aussi le sien. Beaucoup trop de femmes le connaissaient dans le coin. « L’étalon de Shinjuku ! Pfff ! Tu l’as voulu et tu l’as eu ma vieille ! Y’en a plein qui t’avaient prévenue pourtant… » On lui avait dit de nombreuse fois que ce genre d’homme finissaient toujours par voir ailleurs même s’ils sont amoureux plus particulièrement d’une personne, c’est plus fort d’eux, ils ne peuvent pas se contrôler. Elle s’était vraiment fermée les yeux à ce sujet. Et elle pensait en avoir fait les frais tous récemment à son grand désespoir. Des larmes commencèrent à réapparaître. « Mais pourquoi a-t-il fallu que tu embrasses cette américaine ? »  

 

Flash-back  

 

Deux mois s’était écoulaient ainsi. Mai était déjà bien entamé et Kaori en avait eu marre des excuses que lui sortait régulièrement son partenaire pour justifier ses absences répétitives. Elle savait que ce n’était pas normal et que s’il s’agissait de faire un peu le ménage dans le quartier pour passer le temps comme il le disait si souvent, elle l’aurait déjà accompagné.  

-« Il faut que j’en ai le cœur net. » Elle en était malade de curiosité. Il fallait qu’elle sache. Elle décida alors de le suivre. Par chance, ses années d’expérience lui avaient finalement servi à quelque chose. Elle pouvait même suivre son partenaire sans se faire griller lamentablement.  

Elle le traqua dans les rue de Shinjuku un soir, alors que celui-ci justifia être obliger de surveiller une nouvelles bande de crapules qui sévissait dans les parages. Ce qu’elle vit, la déconcerta et lui enleva le sol qu’elle avait sous les pieds. Ce soir là, Ryô s’engouffra dans un love Hôtel du quartier. Espérant qu’il ne s’agissait que d’une demande de renseignement à un des types qui devaient y travailler, elle attendit un peu, mais aussi beaucoup, et même des heures. Sa tête se refusait à croire à l’évidence, mais son cœur s’arrêta net lorsqu’elle vit son compagnon sortir au bras d’une splendide blonde pulpeuse vers deux heures du matin. Elle voulait l’arracher à elle, le traîner jusqu’à la maison, le sermonner jusqu’à plus de raison, mais rien. Elle était anéantit. Certes, il savait qu’il n’avait pas vraiment arrêté d’embêter les jolies filles du quartier, mais il se prenait plus de râteaux que de réponses positives à ses avances et quand bien même cela arrivait, il déguerpissait en vitesse. Ce n’était qu’un jeu, histoire de tenir sa réputation et faire toujours concurrence à Mick comme il aimait le souligner.  

Mais un love hôtel avec une fille, elle en faisait l’expérience pour la toute première fois depuis qu’il était officiellement ensemble. « J’aurais dû écouter mes amies…. On m’avait prévenue… je ne suis qu’une pauvre idiote… » Kaori, désespérée, s’enfuit brutalement. C’est alors que Ryô sentit un regard vers lui et se retourna brusquement. Son instinct ne le trompait jamais.  

-« Qu’est-ce qu’il y a, Ryô ? » Demanda la femme blonde. Ryô regarda encore un moment en direction d’une ruelle.  

-« Rien… j’ai cru voir quelque chose… »  

-« Tu es sûr ? »  

-« Non… » Mentit-il.  

-« Aller vient, on a du travail. »  

 

Kaori attendit toute la nuit et presque toute la journée du lendemain le retour de son compagnon, mais il ne rentra pas. Désespérée, elle décida d’aller au Cat’s Eyes voir Miki pour essayer de trouver un peu de réconfort.  

Elle poussa la porte du café et entra la tête baissée, le pas traînant et les mains dans les poches. Malgré que Falcon ne voyait plus depuis longtemps, il avait sentit la détresse de la jeune femme.  

-« Kaori ? Ça ne va pas ? » Demanda Falcon. Elle ne répondit pas sir moment. Elle se contenta tout simplement de s’asseoir.  

-« Miki est là ? »  

-« Oui. Attends, je vais la chercher. » Le géant disparut dans l’arrière boutique. Après quelques minutes, Miki arriva.  

-« Kaori ? Tu en fais une drôle de tête… qu’est-ce qui se passe ? »  

Des larmes coulèrent sur ses joues.  

-« Mais dis-moi ce qui se passe enfin ! Je suis ton amie. »  

-« C’est… Ryô. »  

-« Qu’est-ce qui a encore fait celui là ? »  

-« Hier soir…je l’ai vu avec une fille… »  

-« Hein ? Mais comment ça ? Mais explique-moi ! »  

Kaori lui expliqua la scène dont elle avait été le témoin la vieille.  

-« C’est pas vrai ! j’ai du mal à y croire. Et tu me dis que c’est comme ça depuis presque deux mois ? »  

-« Oui… »  

A ce moment là, Eriko qui passait dans les parages fit sont apparition.  

-« Bonjour tout le monde ! Tiens Kaori… mais ça na pas l’air d’aller toi. Qu’est-ce qui se passe ? C’est Ryô ?»  

Kaori ne répondit pas.  

-« Oui, c’est lui. Elle l’a vu avec une autre fille … » Expliqua Miki  

-« Miki !! »  

-« Ben quoi ?! C’est ton amie aussi. Et puis ça se voit que c’est lui qui te tracasse. »  

-« Ryô ? Avec une autre fille ? Je n’avais donc pas rêvé l’autre jour… » Elle se m’y soudain la main devant la bouche.  

-« Quoi ? Mais qu’est-ce que tu es en train de me dire, Eriko ?! » Demanda Kaori étonnée par les paroles de son amie.  

-« Heu… Mon dieu… Je…. »  

-« Mais parle bon sang » ! Hurla Miki.  

-« Et bien… il y a une semaine… dans un bar…. Il m’avait semblait voir Ryô avec une magnifique blonde, type américaine… il avait l’air vraiment très proche… Et puis quand j’ai voulu aller le voir, ils avaient disparu, alors j’ai cru avoir rêvé…»  

-« Mais, comment ça très proche ? »  

-« Ils étaient bras dessus dessous.»  

-« Oh non… » Kaori s’effondra.  

Ses deux amies mirent un moment avant de pouvoir la calmer, puis décidèrent enfin de la ramener chez elle.  

 

Quand Ryô rentra, il était déjà le petit matin. Kaori avait pleuré toute la nuit et n’avait même pas dormi. Il la trouva là, recroquevillée sur le canapé.  

-« Ça ne va pas ma chérie ? » Lui demanda t-il un peu surpris de la voir ainsi.  

-« Me touche pas ! »  

-« Mais qu’est-ce qu’il te prend ? »  

-« C’est ça ! Fait l’innocent. »  

-« Mais enfin Kaori… mais de quoi tu parles là ? Qu’est-ce que j’ai encore fait ? »  

-« Tu oses me demander ce que tu as encore fait ? Mais je vais te le dire moi ! Tu passes pratiquement toutes tes nuits dehors prétextant t’occuper d’une bande de vieilles crapules, mais en fait, ce n’était qu’une excuse bidon, hein ? »  

-« Kaori ! Je t’assure… »  

-« Ne te fou surtout pas de moi ! Je t’ai vu !! »  

Ryô comprit très vite ce qui s’était passé. Il n’avait pas rêvé, son instinct l’avait bien alerté.  

-« Kaori ! Attends ! Ce n’est pas ce que tu crois ! »  

-« Ah, oui ? Et c’était quoi alors ? Une nouvelle cliente peut-être ? »  

Le tueur aurait bien voulu tout lui expliquer à ce moment là, mais son devoir de professionnel lui en empêchait. Il fallait qu’il trouve une excuse bidon mais valable, et lui mentir…. Il ne pouvait se résoudre à lui mentir ainsi mais il le fallait bien ainsi. Cela lui arracha le cœur mais ce n’était pas aussi pénible que de la voir s’imaginer qu’il la trompait.  

-« C’est juste une femme qui s’est faite agressée sous mes yeux par son ex petit ami. Je m’en suis occupée et après elle m’a demandé de la protéger. »  

-« C’est ça ! Et tu crois que je vais avaler ça ? Même Eriko t’a vu dans un bar avec elle ! Et à ce qu’il parait, elle n’avait pas vraiment l’air d’être qu’une simple cliente pour toi ! »  

Ryô sentit très vite que c’était très mal barré pour son compte. Il ignorait que Eriko l’avait aperçu et en plus, ce qu’elle avait vu.  

Ryô se demanda bien ce que lui voulait le ciel. Cela commençait sérieusement à lui courir sur les nerfs.  

-« Je te dis qu’il ne s’agit que d’un petit boulot qui n’était pas prévu et que je ne pouvais par refuser. Kaori ! Crois-moi, bon sang ! »  

-« C’est ça ! Si c’était un boulot, pourquoi tu ne m’en as pas parlé, moi, ta partenaire ?! »  

Ryô ne savait plus quoi dire. Il sentait bien que cela n’était pas prêt de s’arranger. Alors, désespéré et résigner, il regarda Kaori et préféra quitter les lieux pour aller se défouler au stand de tire, laissant Kaori avec ses questions blessantes. Ryô, enrageait. Les cibles volaient, les douilles s’entassaient sur le sol, son python s’enfumait. Il en avait assez de cette situation. Il n’espérait qu’une seule chose, que sa mission se termine vite et surtout avant qu’il ne soit trop tard.  

 

Une semaine était passée dans un silence de plomb entre les deux protagonistes de l’équipe City hunter. Ryô n’était rentré que deux fois en coup de vent. Sa mission touchait à sa fin. « Demain soir, c’est quitte ou double…» Pensait-il. Oui, car tout son avenir allait se jouer ce soir là. Avec sa nouvelle coéquipière américaine, ils allaient enfin pourvoir entrer dans le réseaux d’information qu’utilisaient la bandes de terroriste qu’ils essayaient de démanteler. L’habilité de sniper de Ryô devait leur permettre de paralyser provisoirement un large et complexe système d’alarme. L’américaine qu’en à elle, s’occupait de tout l’aspect technologique et logistique de l’affaire (NDA : Pas facile de refaire un petit univers à la Alias, mais bon…). Quant à leur couverture, ils se faisaient passer pour un couple de richissime revendeur d’armes de haute technologie près à fournir tout ce que désirait n’importe quel truand de la planète qui savait y mettre le prix. Cette couverture leur avait permis d’approcher de très près le chef de l’organisation et de sympathiser avec lui. Un homme sans complexe et sans état d’âme aimant le luxe et le plaisir mais qui avait aussi des opinions très arrêtées sur la façon dont devant tourner le monde. En d’autre terme, il s’agissait d’un véritable fou dangereux qui menaçait sérieusement la sécurité nationale de quelques pays. Leur opération finale consistait alors à pirater le cœur du réseau et ainsi mener une opération coup de poing dans toutes les planques de ces terroristes. (NDA : Pour ceux qui ont vu alias, Imaginez un peu ce que ça donnait quand ils ont démantelé le réseau du SD6. Je ne cherche pas à trop détailler ici l’opération car cela ne va rien amener à l’histoire. C’est juste pour donner un contexte.) Mais voilà, l’opération n’était pas sans risque et Ryô pouvait très bien y perdre la vie. Le nettoyeur pensait donc beaucoup à Kaori malgré les derniers évènements passés. Avant de devoir quitter les lieux pour aller terminer son boulot, il voulut essayer de parler une dernière fois avec elle histoire que s’il arrivait quelque chose, il n’y ait plus se vide entre eux, mais à sa grande surprise, Kaori n’était pas là. Seul un mot sur la table lui avait expliquait son absence « Ryô, je sors avec mes amies ce soir, je rentrerai tard. Ton repas est dans le frigidaire, Kaori ». Il était déçu mais il ne pouvait pas faire grand-chose.  

 

 


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