Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 28-11-05

Ultimo aggiornamento: 06-12-05

 

Commenti: 56 reviews

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General

 

Riassunto: Le meilleur ami de Kaori revient dans sa vie... Il a de forts sentiments pour elle ! Raviera-t-il le coeur de la jeune femme, qui est lassée par l'indifférence de son partenaire ?

 

Disclaimer: Les personnages de "Trop tard pour nous" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Trop tard pour nous

 

Capitolo 4 :: Quatrième partie

Pubblicato: 04-12-05 - Ultimo aggiornamento: 04-12-05

Commenti: Hello tout le monde ! je vous remercie ceux qui m'ont laissé des reviews et ceux qui me lisent ! J'espère que ce quatrième chapitre va vous plaire... Bonne lecture à tous ^^ ! la prochaine publication sera pour mardi ^^ !

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

Quatrième partie  

 

Quelques jours plus tard, force était de constater pour Kaori, que Ryo tenait ses engagements et ne reculait plus lui donnant toujours plein d’attentions de tendresses.  

Elle s’était confiée à Toshio, et il avait compris, il avait paru un peu triste. Mais il lui avait dit qu’il était heureux pour elle. Et dans son regard elle en fut effectivement certaine.  

 

Toshio prit sur lui, le fait d’être l’heureux perdant, mais il avait retrouvé sa meilleure amie, bien sûr il aurait aimé plus. En les observant ce soir-là, il avait compris qu’il n’avait aucune chance. Il voulait espérer. Il remerciait Kaori de sa franchise, même si au moment ou elle lui avait avoué, elle se tordait ses doigts dans tous les sens, les yeux presque en pleure puisqu’elle savait qu’elle allait lui faire de la peine et ses joues colorées. Il lui dit :  

 

- Ne t’inquiète pas Kao ! On reste ami.  

- Tu veux vraiment.  

 

Il fronça les sourcils :  

 

- Toi non ?  

- Mais si !! c’est juste qu’il me semble que les hommes n’aimaient pas rester amis…  

 

Toshio la força à le regarder dans les yeux.  

 

- Ne t’inquiète pas, ça va aller.  

 

Il l’embrassa sur la joue, puis sur le front avant de s’écarter. Il lui dit :  

 

- Allez Kaori fait moi un sourire.  

 

Elle se força à lui sourire, elle se sentait méchante de lui avoir fait croire que c’était possible.  

 

- Daïsuké et moi vous choisissons toi et ton ami comme baby-sitter attitré.  

 

Kaori rigola, apaisée. Dire que c’était entre autre à cause de la tendresse de son partenaire envers le petit garçon qu’elle avait finit par lui pardonner tous les excès qu’il avait eut depuis qu’ils se connaissaient.  

 

Deux heures plus tard, elle le quitta et s’en alla dans les rues de Shinjuku pour faire des courses.  

Ryo qui avait observé sa partenaire pendant qu’elle parlait avec Toshio Awayuki, avait compris que cette dernière avait mis fin à ses illusions. Il la voyait pleurer, et son ancien prétendant la consoler, il avait eu peur qu’il l’embrasse mais non.  

 

Le nettoyeur avait vu sa Kaori repartir avec un sourire hésitant mais un sourire tout de même. Il décida de la suivre mais de ne pas la rejoindre tout de suite, il sentait qu’elle avait besoin d’être seule. Ryo ne fut pas étonnée quand elle se recueillit sur la tombe de son frère. Lui aussi, venait régulièrement lui parler. Cela lui permettait de faire une introspection sur lui-même et de prendre des décisions.  

 

Kaori savait que Ryo était dans les parages, il ne cachait pas spécialement sa présence elle le sentait. Une fois qu’elle eut finit de se recueillir sur la tombe de son frère. Elle se tourna et le chercha des yeux, et comme mue par un instinct secret il sortit de sa cachette et avança vers elle.  

 

La jeune femme, alla droit dans les bras de son partenaire. Il referma ses derniers sur elle, ils restèrent un petit moment comme ça. Immobiles, aucun mots ne furent prononcés et cela n’aurait servi à rien. Il finit par lui dire :  

 

- Ça va mieux ?  

- Oui… tu sais j’étais allée voir Toshio pour lui dire que je n’avais que mon amitié à lui offrir pour pas qu’il se fasse d’illusion.  

 

Elle se cacha contre son torse et elle ajouta :  

 

- Finalement c’est lui m’a rassuré en me disant que ce n’était pas grave.  

- C’est un type bien.  

 

Kaori se dégagea un peu de ses bras, pour pouvoir le regarder dans yeux et lui dit :  

 

- Il m’a dit, qu’il nous nommait officiellement baby-sitter de Daïsuké.  

- Il est mignon ce gamin. – il se tut un instant conscient de s’être confié et finit par dire - On rentre ?  

- Oui.  

 

Doucement, ils retournèrent dans leur appartement, chez eux.  

 

Une fois arrivés, Kaori alla préparer le dîner mais Ryo l’en empêcha.  

 

- Je vais commander chez le traiteur.  

- Mais…  

- Pas de mais.  

 

Il lui vola un bisou avant de la forcer à quitter la cuisine. Il savait qu’il jouait avec le feu en essayant d’aller plus loin dans sa relation avec son ange. Jusqu’à présent il avait été patient, il voulait qu’elle lui pardonne et qu’elle retrouve confiance en lui. Il n’avait pas arrêté de lui montrer qu’il pensait à elle.  

Pour la première fois de sa vie, il avait eu peur qu’elle le quitte.  

Mais c’était ce qu’il avait cherché depuis toutes ses années, mais là rien qu’à la voir dans les bras d’un autre que lui…  

 

Ryo à présent était sûr de ce qu’il voulait, il la voulait dans ses bras, nue sous lui mouillée de sa transpiration en train de crier son nom et de haleter de plaisir. Il voulait la faire sienne, être le premier car il savait qu’il le serait et pour lui c’était un cadeau qu’il n’était pas sûr de mériter.  

 

 

Le nettoyeur passa un rapide coup de téléphone pour qu’on les livre puis il rejoignit la jeune femme dans le salon, elle était apparemment anxieuse. Kaori ressentait que ce soir tout changerait définitivement entre eux.  

Elle était posée devant la fenêtre, le regard perdu vers l’extérieur. Il s’approcha d’elle et passa ses bras autour de sa taille, instinctivement elle posa ses bras sur les siens et posa sa tête sur le torse de son partenaire il lui demanda d’une voix un peu rauque :  

 

- Si tu veux qu’on attende encore un peu…  

 

Elle se retourna dans ses bras et lui mit un doigt sur la bouche pour lui intimer de se taire :  

 

- Non. Je suis sûre d’aller plus loin. J’ai juste un peu peur… c’est la pre…  

- Je sais mon Ange ne t’inquiète pas, je serais pour toi le plus doux et le plus conciliant des professeurs.  

 

Les joues de la jeune femme prirent une teinte colorée alors quelle se serrait d’avantage contre son futur amant.  

Ce fut le moment que choisit le livreur pour apporter le repas, Ryo grogna un peu contre l’infortune tandis que Kaori s’écartait de lui en le repoussant un tout petit peu. Elle ramassa son portefeuille, et se dirigea vers la porte d’entrée.  

Elle avait toujours les joues rouges mais son sourire était éclatant.  

 

Entre-temps Ryo avait mis la table dans la cuisine et attendait sa belle dans cette même pièce. Le dîner se passa dans le calme olympien, même Ryo fit un effort pour se tenir correctement et ne pas se goinfrer, au restaurant il savait se tenir mais à la maison c’était autre chose.  

Une fois tout débarrassé, l’homme ne laissa pas sa partenaire se remettre à hésiter et à avoir peur. Il la prit par la main et la conduisit dans le salon.  

Elle tremblait comme une feuille, il la trouvait charmante dans son inexpérience, aussi prit-il un très grand plaisir à l’embrasser et lui apprendre à le savourer comme il la savourait.  

 

Tout en accentuant ce baiser, il fit glisser ses mains sous le chemisier de la jeune femme, il sentit sa partenaire frémire sous ses caresses. Sans qu’il s’en rende compte, il constata que la ceinture de son pantalon avait été détachée et que le bouton avait été enlevé.  

Il fut surpris par l’audace de sa Kaori mais il ne voulait pas que ce soit la jeune femme qui le devance aussi ses mains prirent la direction de l’attache du soutient-gorge. Il le détacha sans aucun problème prouvant qu’il était un homme d’expérience en la matière.  

Cela libéra un peu la poitrine ferme de sa partenaire, il passa ses mains pour aller voir de plus prêt ses deux collines qui n’attendaient que lui.  

 

Kaori savait que Ryo avait connu plus d’une fille, avant elle. Elle savait que si un jour ils formaient un couple, un vrai. Elle devrait arriver à chasser de sa propre tête le fait que tant de femmes aient connu le plaisir et lui en avaient donné. De plus, elle ne se trouvait pas vraiment jolie, comment un homme comme Ryo pouvait-il la désirer ? c’était impossible et pourtant…  

Elle sentait bien sa masculinité contre son ventre. Elle se mit à douter et ses bras tombèrent le long de son corps. Ryo s’arrêta aussi pour la dévisager, il se demandait ce qui se passait dans la tête de la jeune femme. Il lui caressa la joue et essuya la larme qui coulait de son œil.  

 

- Qu’est ce qui se passe mon ange ?  

- …  

- Dis-moi.  

 

Elle se dégagea de son étreinte, et lui murmura :  

 

- Je peux pas.  

 

Le nettoyeur bien que surpris lui demanda conciliant :  

 

- Nous pouvons attendre que tu sois prête, ce n’est pas grave ce n’est que partie remise… - pour lui il ajouta « j’en rêve depuis huit ans, je peux bien lui laisser du temps »  

- C’est pas ça.  

- Je ne comprends pas.  

 

Elle alla près de la fenêtre et lui dit :  

 

- Je… suis pas assez bien pour toi.  

 

Semblant se rendre compte que son soutient gorge sous son chemisier était dégrafé, elle passa habilement pour le remettre, mais à peine l’avait-t-elle fait que deux mains expertes le redéfit.  

 

- RYO ! dit-elle en se retournant brusquement.  

 

Mais il ne l’écouta pas il lui dit :  

 

- S’il y a quelqu’un ici qui n’est pas digne de l’autre, c’est moi.  

- Mais non toi…  

- Moi je suis un tueur, j’ai tué un nombre de personnes que tu ne peux imaginer ! alors si quelqu’un n’est pas assez bien c’est moi.  

- C’était la guerre Ryo, lui rappela-t-elle doucement.  

- Et après ? je suis devenu tueur à gage.  

- Mais aujourd’hui tu es City Hunter. Tu exécutes ce que te dicte ton cœur. Et moi j’aime le nettoyeur que tu es Ryo. Je ne serais pas restée, si je n’avais pas appris à aimer notre métier.  

- Je ne mérite pas de te prendre ton innocence… ta pureté…  

 

Elle le regarda et lui dit :  

 

- Et bien, ça tombe bien.  

- Quoi ?  

- Tu ne prendras pas ma virginité.  

- Je savais que je ne te méritais pas dit-il en se détournant.  

- Ryo !  

 

Il se retourna, elle lui octroyait un magnifique sourire.  

 

- Ma virginité, Ryo tu ne peux pas me la prendre, parce que c’est moi qui te l’offre. Je t’aime depuis si longtemps, tu seras mon premier. Mais j’ai peur de ne pas savoir te contenter. Comme je n’ai jamais… mon expérience est nulle. C’est de ça dont j’avais peur. Peur de ne pas savoir te faire plaisir…  

 

Les derniers mots furent prononcer dans un murmure presque inaudible. Bien que ses joues aient pris une teinte plus prononcée, elle n’avait pas baissé son regard, il était toujours dans celui du nettoyeur. Il n’en revenait pas.  

Elle pensait ne pas pouvoir le satisfaire, mais lui il ne doutait pas du plaisir qu’il prendrait à lui enseigner comment faire l’amour.  

 

Il s’approcha d’elle et la prit dans ses bras il enfouit sa tête dans son cou, il lui avoua :  

 

- Ne t’inquiète pas de ça, je ne doute pas un seul instant que tu ne puisses pas me contenter. Tu es la seule qui est importante pour moi, ce soir et les suivants, je te prouverais ce que je n’arrive pas à dire…  

 

Ryo avait vaincu ses dernières peurs, elle passa ses mains dans le dos du nettoyeur, elles s’octroyèrent un passage sous son t-shirt et elle put toucher ce dos, si ferme si musclé. Elle sentait sous ses mains les multiples cicatrices témoignant d’un passé sombre et ténébreux.  

 

- Kaori ?  

 

Elle s’écarta un peu pour le regarder dans les yeux et lui dit :  

 

- Apprends-moi.  

 

Un sourire apparut sur les lèvres du nettoyeur, il la prit dans ses bras et la mena jusqu’à sa chambre à lui. Une fois dans la place, il la déposa au pied du lit puis la quitta un instant pour allumer la lampe de chevet qui diffusa une lumière propice à ce qui allait se passer. Il baissa les stores et tira les rideaux. Il enleva ses chaussures et se positionna face à elle.  

 

Kaori semblait à nouveau inquiète, il voulait lui laisser le temps de s’habituer, il ne voulait surtout pas la brusquer. Il l’embrassa et descendit pour passer sous son chemisier, il en profita pour défaire la pression de la jupe de la jeune femme cette dernière glissa le long des jambes galbées de Kaori. Il remonta pour l’embrasser, à chaque étape de cet effeuillage, la jeune femme faisait un geste identique. Aussi elle défit timidement la fermeture éclaire du pantalon de son futur amant. Elle le fit glisser un peu, mais c’est Ryo qui s’occupa de l’enlever complètement, il était un peu pressé de continuer l’effeuillage de la jeune femme. Il voulait surtout éviter que la jeune femme se retrouve nez à nez avec son mokkori fièrement levé.  

Il s’attaqua ensuite à chaque bouton du chemisier de la jeune femme, quand il eut finit, il fit glisser le tissu le long de ses épaules. Kaori en profita pour faire enlever son t-shirt au nettoyeur.  

 

Quand il la fit s’allonger, elle ne portait plus que ses sous-vêtements, lentement il fit glisser le soutient-gorge le long de ses bras, il en profita pour embrasser chaque parcelle de ce corps offert. Il embrassa la jeune femme dans le cou puis descendit sur son sein droit dont la pointe était déjà dure de désir, ne voulant pas laisser l’autre jaloux, il passa au gauche et le mordilla gentiment. Avant de laisser une traînée de baisés sur son ventre plat.  

Pendant ce temps là, la jeune femme caressait les cheveux de son homme tout en haletant de plaisir.  

 

Finalement trouvant que le dernier sous-vêtement de la jeune femme le gênait, il le fit glisser puis disparaître au fond du lit.  

Il remonta et l’embrassa avec passion, elle se laissa transporter par une vague de désir infini, elle posa ses mains sur le dos de son amant jusqu’à arriver au niveau du boxer de Ryo, lentement sans en avoir l’air, elle le fit glisser doucement. Quand Ryo se rendit compte de l’initiative de sa partenaire il la regarda dans les yeux étonné. Elle sentit son regard, elle leva des yeux un peu inquiets mais lui octroya un sourire innocent. Attendri, il l’embrassa sur le nez avant de fondre sur sa bouche pulpeuse qui était faite pour être embrassée. Il l’aida à enlever son dernier vêtement.  

Il savait qu’elle était prête, il avait pu sentir son désir quelques minutes auparavant quand il avait pénétré la douce moiteur de son intimité. Alors il se plaça entre ses jambes et il s’enfonça d’abord doucement, chaque millimètre qu’il grappillait en elle, lui donnait l’impression qu’il allait craquer et ne plus savoir se retenir. C’est peut-être pour ça qu’il s’immobilisa l’espace d’un instant pour observer son ange, qui semblait être crispée par la douleur de cette intrusion. Il préféra attendre encore quelques minutes avant de bouger lentement en elle.  

 

Un peu plus tard, Kaori était calée contre lui, posant sa tête sur épaule et sa main posée sur son torse. La jeune femme était heureuse, un doux sourire était apparut sur ses lèvres quand elle s’endormit.  

Ryo la regarda dormir, il aimait la sentir dans ses bras. A présent cela ne faisait plus aucun doute, la place de la jeune femme était dans ses bras, dans son lit, dans sa vie.  

 

 


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