Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 28-11-05

Ultimo aggiornamento: 06-12-05

 

Commenti: 56 reviews

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General

 

Riassunto: Le meilleur ami de Kaori revient dans sa vie... Il a de forts sentiments pour elle ! Raviera-t-il le coeur de la jeune femme, qui est lassée par l'indifférence de son partenaire ?

 

Disclaimer: Les personnages de "Trop tard pour nous" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Trop tard pour nous

 

Capitolo 6 :: Sixième partie

Pubblicato: 06-12-05 - Ultimo aggiornamento: 06-12-05

Commenti: Hello tout le monde ! Voici le sixième chapitre et dernier chapitre ! Je vous laisse le savourer ! Je vous remercie pour les reviews, et je vous souhaite une bonne lecture !

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

Sixième partie  

 

Un mois environ après le départ de Toshio et Daïsuké, alors qu’elle revenait à pied du cimetière ou était enterré son frère. Elle avait le cœur léger, elle était en pleine forme mais à un moment donné elle eut une étrange impression, elle finit par repérer trois individus qui la suivaient.  

 

La jeune femme avança plus vite en direction du centre ville espérant qu’une fois dans les rues de la capitale elle pourrait les semer, seulement, ce ne fut point le cas. Kaori se sentait acculée, elle avait bien deux massues sur elle mais elle se doutait que cela ne suffirait certainement pas.  

 

Ils finirent par la rattraper, elle essaya de les assommer mais ils évitèrent les coups puis sortirent leur couteau. La jeune femme blêmit, elle se dit que c’était pas juste tout ça. Au moment ou elle allait se prendre un coup de couteau, elle ferma les yeux. Mais il n’y eut rien, elle les rouvrit et découvrit que son partenaire était en train de la défendre, seulement…  

 

Un coup de feu fut tirer, et une masse tomba au sol.  

 

- RYOOOOOOOOOOOOOOOO !!!!!!!!!!  

 

Les jeunes yakusa terrifiés par ce qu’ils venaient de faire, n’eurent pas le temps de réagir, ils furent écrasés sous des massues gigantesques. Kaori alla auprès de Ryo. Elle était en larme.  

Les Yakusas s’enfuirent en courant.  

 

- Ryo ! Réponds-moi s’il te plait.  

- Kaori ?  

- Ça va aller mon amour t’inquiète pas, déclara-t-elle avec une assurance qu’elle était loin de ressentir. Je reviens.  

- Sugar Boy…  

- Oui ?  

- Je t’aime, ne l’oublies jamais.  

- Tu vas t’en sortir, je t’assure. Je vais appeler de l’aide.  

 

Plusieurs heures plus tard, Kaori était dans la salle d’attente de la clinique du Doc, c’était Falcon qui les avait amenés, depuis ce dernier était reparti pour retrouver les malfrats qui avaient fait ça.  

Ryo était en salle d’intervention, ils allaient lui retirer la balle qui s’était loger dans le ventre. Une chance, elle n’avait pas touché la colonne vertébrale. Mais Kaori se faisait du mouron et surtout elle se sentait coupable, elle n’avait pas su se défendre et son homme était entre la vie et la mort par sa faute.  

 

L’attente fut longue, si longue. La jeune femme était pâle et fut incapable de manger quoi que ce soit. Quand elle repensait à sa culpabilité elle ressentait un haut-le-cœur qui l’avait déjà conduite à plusieurs reprises aux toilettes pour rendre un dîner fictif.  

Elle se prit la tête entre ses bras, et réfléchit à quand elle avait été utile à city hunter mais rien à faire, elle ne trouvait aucun exemple ou elle lui avait été utile. Elle lui avait même attiré beaucoup de problèmes, sans compter le nombre de fois ou elle s’était fait enlever demandant l’intervention de son partenaire.  

Rien à faire, Kaori se sentait inutile, elle était un poids mort pour Ryo et elle le conduirait sans aucun doute à sa propre mort si elle restait.  

Cette nuit-là, elle prit la décision la plus difficile de sa vie. Elle avait décidé de quitter City Hunter, pour ne plus être un poids mort pour lui.  

Elle voulait cependant attendre que son amour soit rétablit.  

 

Un peu plus tard, elle se trouvait dans la chambre aseptisée ou Ryo était allongé. Il était déjà le matin, et elle n’avait toujours pas dormi. Elle ne voulait pas dormir tant qu’il n’était pas réveillé.  

Probablement, mu par un instinct secret Ryo ouvrit les yeux à cet instant là. Il la vit très pâle, les yeux soulignés par d’immenses cernes.  

 

- Mon ange…  

 

Il souleva sa main pour essuyer une larme sur la joue de la jeune femme. Elle lui octroya un pâle sourire.  

 

- Je suis désolée… murmura-t-elle.  

- Chut… t’y est pour rien.  

- Je sais bien que si…  

 

Ce fut le moment que choisit Kazue pour entrer dans la chambre. Et elle dit sur un ton de reproche à la jeune femme :  

 

- Kaori… Tu dois aller te reposer.  

- Ça fait longtemps que tu es là ? demanda Ryo doucement.  

- Elle est là depuis le début, c’est à dire depuis deux jours. Elle refusait d’aller dormir. Comment vas-tu Ryo ?  

- Ça va, j’ai l’air entier. Regarde ! Je suis très en forme !  

 

Kaori et Kazue regardèrent dans la direction que Ryo leur indiquait et virent un magnifique « Coucou » pointer le bout de son nez. Des libellules passèrent autour des deux jeunes femmes, mais cette diversion, ne fit en rien rire Kaori qui restait le visage fermé et triste.  

 

- Kaori, rentre à la maison lui dit Ryo. Tu es épuisée et je veux pas que tu tombes malade.  

- D’accord, dit-elle doucement.  

 

La jeune femme se leva tel un automate, déposa un baiser sur la joue de son amant et passa à côté de Kazue pour sortir.  

Ryo la regarda partir et fut emprunt de sentiments contradictoires, comme s’il ne devait pas se séparer d’elle maintenant. Il avait peur de la perdre même encore maintenant, si Kazue n’était pas dans la pièce il lui aurait dit de revenir et il l’aurait alors embrassé passionnément peut-être même lui fait l’amour ici et tout de suite.  

Il lui avait dit les mots qu’il ressentait parce qu’il avait eut peur de mourir sans lui dire, maintenant Ryo savait qu’il fallait qu’il lui dise malgré la présence de Kazue. Il la rappela, elle se retourna, mais il ne trouva pas les mots.  

 

Il comprit comme un coup de poignard qu’elle avait pris une décision et que malheureusement elle risquait de ne pas lui plaire. Il lui demanda :  

 

- Tu reviens après t’être reposé ?  

 

Il avait voulu utiliser un ton indifférent mais les personnes présentes avaient tous ressentit l’inquiétude elle lui répondit, le plus naturellement :  

 

- Bien sûre !  

 

Ryo esquissa un sourire, elle ne l’abandonnerait pas maintenant, ça lui laissait le temps de la convaincre de ne pas le faire, du moins l’espérait-il.  

Les médicaments aidant, il sombra une nouvelle fois dans les bras de Morphée.  

 

Kaori était dans leur appartement, elle alla dans la chambre de Ryo, toucha chaque objet familier, elle prit un petit sac de voyage et y fourra quelques changes pour son partenaire.  

Mais elle fut prise d’une crise de larmes, elle se laissa tomber sur le lit de son amant et tenant le traversin contre elle, elle laissa les sanglots l’emporter.  

Pour une fois qu’elle obtenait de lui, son amour, ils l’avaient échappé belle cette fois-ci.  

Mais elle avait pris conscience que plus leur histoire avancerait, plus le nettoyeur voudrait la protéger et qu’à cause de son incapacité à se protéger, elle l’oblige à intervenir encore et encore.  

La dernière chose qu’elle voulait c’était qu’il meurt à cause d’elle, elle savait que leur métier était dangereux mais c’était plus intense maintenant qu’ils s’étaient donnés l’un à l’autre. Comme si ça les obligeait à protéger l’être aimé de tous les dangers et dans le cas de Kaori c’était encore plus puissant. Voilà pourquoi elle avait décidé de le quitter une fois qu’il serait rétablit. D’ici là, elle se promit de jouer au partenaire parfaite mais de ne plus faire l’amour avec lui, de peur de ne plus avoir la force de le quitter ensuite.  

 

Deux semaines passèrent, Kaori alla régulièrement chez le Doc mais passait le plus clair de son temps à préparer son départ, elle avait choisi comme ville d’arrivée Nagoya.  

Elle avait tout trouvé, un petit appartement et avait même obtenu déjà quelques rendez-vous pour la semaine suivante pour un travail de secrétaire dans une petite boîte.  

Ce soir-là Ryo rentrait, Falcon s’était proposé de le ramener, comme ça Kaori pouvait vaquer à ses occupations. Le nettoyeur avait été déçu que la jeune femme ne se déplace pas pour lui, mais quand une fois dans l’appartement, il s’aperçut qu’elle avait dut faire le repas toute la journée. Falcon les abandonna et retourna auprès de sa femme.  

Kaori vint à sa rencontre le libéra de sa valise et la posa un peu plus loin, elle lui dit :  

- Je suis désolée de ne pas être venue te chercher, mais j’étais malade ce matin et j’ai dut attendre avant d’aller faire les courses.  

 

Ryo fronça les sourcils, il lui dit tout en rapprochant son visage du sien :  

 

- C’est vrai que tu es un peu pâle… Tu es sûre que ça va ?  

- Oui, oui, j’ai dut prendre un coup de froid. Rien de bien grave. Tu as faim ?  

- Une faim de loup, mais je passerais volontiers au dessert lui dit-il tout en essayant de l’embrasser.  

 

Mais la jeune femme s’écarta, et retourna finir de préparer le repas. Ryo alla jusqu’à la chambre de la jeune femme et remarqua les deux sacs de voyages prêts à partir.  

Un poids sourd s’abattit sur lui, il espérait que tout n’était pas perdu. Il alla dans la salle de bain pour se mouiller le visage, quand sa partenaire l’appela. Il retourna dans la cuisine, il n’eut qu’à mettre les pieds sous la table.  

Kaori ne semblait pas avoir très faim, lui avait l’appétit coupé par la perspective de perdre son ange. Elle l’invita à aller dans le salon pour boire le café, elle se triturait les doigts, Ryo savait. Il s’avança vers elle et la prit dans ses bras.  

 

- Ryo…  

 

Il mit sa tête dans son cou et lui dit au creux de l’oreille :  

- Kaori, je ne veux pas que tu me quittes.  

 

Ryo la sentit tressaillir, il avait donc vu juste… De toute manière vue les bagages il ne pouvait pas en être autrement. Elle se dégagea de ses bras :  

 

- Ryo… je ne veux plus que tu coures de danger par ma faute.  

- C’était un incident, je n’ai pas vu qu’il avait une arme !  

- Un incident qui peut se reproduire à cause de moi !  

- Il peut se reproduire sans toi aussi…  

- Je sais, mais je ne veux pas que ça arrive par ma faute. Je m’en irais demain matin.  

 

Elle tourna les talons en direction de sa chambre avant de craquer et de lui jurer de rester toujours. Mais Ryo ne voulait pas la laisser lui échapper comme ça, pas sans avoir essayé, le tout pour le tout quitte à le regretter.  

 

Il la retint dans ses bras, et l’embrassa fougueusement. Il la plaqua contre la porte d’entrée, cet échange était limite bestiale. Il n’y avait pas de tendresse, il voulait juste lui prouver qu’il l’aimait et lui montrer la force de sa passion. Passion que la jeune femme ne pouvait ignorer tant le mokkori de monsieur était gonflé contre elle. A bout de souffle, il dut mettre faim à ce baiser.  

 

- Ne me quitte pas Kaori.  

- Je suis désolée Ryo, lui dit-elle les larmes aux yeux.  

- Enfin Kaori ! Je t’aime !  

- Moi aussi je t’aime, lâcha-t-elle dans un souffle et elle ajouta les yeux en larmes – et c’est pour ça que je m’en vais.  

 

Elle voulut se dégager, mais Ryo resserra son étreinte. Il lui dit :  

 

- Alors j’aimerais que tu sois mienne encore cette nuit mon ange.  

- Je ne sais pas, je n’aurais plus la force de te quitter si nous passons la nuit ensemble.  

- Je t’en pris, laisse-moi, t’offrir mon amour une dernière fois…  

 

Kaori savait que c’était une mauvaise idée et pourtant elle se laissa emporter par la tentation d’être aimé par son partenaire une dernière fois. Elle voyait qu’il attendait son autorisation. Elle se mit sur la pointe des pieds pour atteindre son oreille et commencer à la mordiller tendrement. Pendant ce moment là Ryo ferma les yeux, ses mains en profitèrent pour effeuillé les vêtements de la jeune femme. Il finit par lui arracher les deux pans de son chemisier plutôt que de lui enlever, il se sentait consumer de l’intérieur. Il la voulait maintenant et tout de suite.  

 

Il l’aida à quitter son pantalon et fit de même avec le sien. Il la poussa contre la paroi glacée elle n’était plus qu’en sous-vêtements. Il dégrafa avec des mains d’expert, la cage de dentelle noir qui retenait les deux collines qui étaient déjà tendues de désirs. Il les massa et les titilla de sa langue, il était vaguement conscient que sa partenaire haletait déjà. Mais Ryo la voulait, et vite. Alors, il enleva leurs derniers rempart, la souleva et avec un peu de violence la fit sienne, la jeune femme poussa un petit cri, il s’immobilisa croyant lui avoir fait mal mais en fait c’était de surprise. Il continua donc plus fort, toujours plus fort. Très vite l’orgasme les prirent tous les deux.  

Cette façon un peu forte de faire l’amour les avait électrisés tous les deux. Il lui murmura à l’oreille :  

 

- Pardon.  

 

Bien qu’attentif, il était conscient de s’être jeté en elle, un peu comme un animal en rut. Il voulait lui prouver qu’il pouvait lui faire l’amour divinement, aussi la prit-elle dans ses bras malgré ses protestations en disant qu’il avait eut ce qu’il voulait…  

Il la déposa sur le sol de sa chambre et lui dit :  

 

- Non, car je ne t’ai pas donné suffisamment de plaisir mon ange, c’est ça ma mission ce soir. – il ajouta pour lui – « Et essayer de te convaincre que tu es faîtes pour moi et que le danger n’a pas d’importance ».  

 

Cette nuit-là, il lui fit l’amour à plusieurs reprise espérant à chaque fois qu’elle deviendrait à insatiable, la jeune femme était très réceptive. Elle faisait de son mieux pour lui donner autant de plaisir que son partenaire.  

Il était près de quatre heures du matin quand enfin ils s’endormirent. Kaori était bien dans les bras protecteurs du nettoyeur et pourtant elle n’avait pas renoncé à le quitter.  

Bien sûre elle aurait préféré, mais la perspective d’écourter sa vie en étant là, ne lui disait rien. Il était huit heures trente, quand la jeune femme se leva. Elle avait beaucoup de route à faire donc il ne fallait pas qu’elle perde de temps.  

 

Kaori se dégagea de l’étreinte de Ryo qui dormait comme un ange. Elle avait déjà préparé sa lettre, elle la déposa sur la table de la cuisine. Elle fila prendre une bonne douche pour détendre ses muscles complètement courbaturés, il faut dire que Ryo avait donné tout ce qu’il pouvait pour lui faire l’amour cette nuit-là.  

 

Elle déposa ses bagages devant la porte, elle hésita à partir comme une voleuse. Elle y renonça, une dernière confrontation était nécessaire, elle le savait.  

Kaori monta les marches qui la séparaient de la chambre du nettoyeur, elle fut surprise de le trouver assis sur le bord du lit, le regard triste et malheureux. Il leva son regard vers elle, Kaori fut comme électrocutée par ce qu’elle y voyait.  

Son cœur se serra, elle ne voulait pas lui faire du mal, et malheureusement elle avait conscience que c’était exactement ce qu’elle faisait. Elle porta à sa main gauche la bague offerte par son frère. Elle s’approcha de lui, il avait mis un caleçon. Elle s’installa à même le sol, et posa la tête sur les genoux de l’homme qu’elle aimait le plus au monde.  

Kaori avait beau faire la forte, ses larmes se déversèrent sur les genoux de Ryo qui la regarda attendrit et attristé en même temps il la supplia :  

 

- Je t’en pris reste Kaori.  

 

Elle leva vers lui un regard embué de larmes et lui dit :  

 

- Non, je veux que tu vives, lui dit-elle en se levant  

- Si tu pars, je mourrais.  

 

Kaori le gifla, Ryo la regarda interdit, il ne comprenait pas.  

 

- Ryo Saeba ! je ne te pardonnerais jamais si tu te laissais mourir compris ? si je pars c’est pour que tu meurs un peu moins tôt à cause de moi ! alors tu vas me faire le plaisir de vivre !  

- Kaori… Tu n’as jamais été un boulet.  

- Peut-être, mais je ne t’ai jamais simplifié la vie. Je t’aime Ryo, et si je te quitte c’est pour ton bien. Je ne veux pas que ton espérance de vie soit réduite par ma faute.  

 

Elle s’approcha de lui et l’embrassa délicatement, mais le nettoyeur voulait un vrai baiser aussi tout en se levant, il l’attira à lui. Ce baiser fut long, approfondit et rempli de tristesse. Ryo l’embrassa sur tout le visage, puis dans son cou comme pour s’imprégner de son odeur, Kaori glissa les mains dans son dos pour pouvoir ressentir une dernière fois toutes les cicatrices de son homme qui faisaient de lui celui qu’il était aujourd’hui.  

 

Il lui dit dans l’oreille :  

 

- Quand je prendrais ma retraite, je te retrouverais et tu ne pourras plus te passer de moi ma belle.  

 

Il lui prit la tête entre ses mains, il lui dit :  

 

- Je veux que tu sois heureuse, alors si tu rencontres quelqu’un d’autre fonces.  

- Tu es celui qui aura toujours la place la plus importante dans mon cœur Ryo.  

 

Elle quitta ses bras, elle sentait une boule au fond de son estomac. Elle enleva sa bague et lui donna. Son regard était triste mais résigné, elle quitta la chambre, descendit l’escalier.  

 

Kaori récupéra ses sacs, tourna la tête vers le haut des escaliers.  

Ryo était là, statique, immobile, malheureux. Il regardait son ange quitter sa vie, probablement à jamais. Il lui avait promis que dès qu’il prendrait sa retraite il viendrait la retrouver.  

Seulement ils savaient tous deux que cela était peu probable. Une fois qu’elle eut disparut dans l’escalier et qu’il n’entendit plus ses pas, il alla devant la fenêtre et regarda la voiture verte de son ange s’en aller et quitter sa vie.  

Ryo fixa ensuite sa main, l’ouvrit et vit qu’elle lui avait donné la bague que son frère lui avait offert avant de mourir.  

 

 

FIN
 

 

Et voilà, cette petite fic est finie ^^ ! je tenais à la finir avant de monter à paris pour la rencontre, afin d'éviter que l'on veuille me jeter sous le métro mdr ^^' ! J'espère qu'elle vous aura plus... Je sais que la fin est triste ! Allez ! je vous dis à bientôt ! dans une fic qui servira de suite ! Je commencerais à la publier bientôt (dépendra du temps que je suis capable de tenir mdr ^^') Merci à tous pour vos reviews ! A bientôt !  

 

PS : que la fin ne vous empêche pas de poser des reviews mdr ^^ hein ?? 

 


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