Capitolo 7 :: Un début de cohabitation difficile

Pubblicato: 19-01-06 - Ultimo aggiornamento: 19-01-06

Commenti: salut tout le monde, merci à tous pour vos commentaires qui m'ont fait super plaisir, un énorme merci à ma milene à moi pour la correction de ce chapitre, hier soir j'ai recu un mail de mon méchant préféré Nikky qui se plaignait d'être trop détesté mdr, je me demande bien ce qui a bien pu lui faire croire ça, vous inquiétez pas dans ce chapitre il n'apparait pas personnellement, en tout cas j'éspère que vous aimerais, et oubliez pas de me dire ce que vous en pensez bonne lecture à tous

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Lorsque Kaori arriva dans l’appartement de Ryo, elle crut que son cœur allait s’arrêter. Jamais de sa vie elle n’aurait pensé voir un appartement dans cet état. On ne comptait plus les cannettes de bières abandonnées sur le sol, les magazines cochons et les vêtements sales qui avaient pris la place de la moquette.  

Ryo entra dans le salon et s’assit sur un côté du canapé.  

R: Ne faîtes pas attention au désordre et entrez! (NDB: Je me demande comment elle peut le faire!)  

K: Je vous préviens tout de suite, je sais me défendre alors gardez vos mains dans vos poches!  

R: J’adore votre manière de me remercier de vous avoir sauvé la vie deux fois.  

K: Merci, mais je ne vous avais rien demandé!  

R: Je sens que cette co-habitation ne va pas être du gâteau...  

R: Vous comptez rester sur le pallier longtemps ou vous allez finir par entrer?!  

K: Du calme Kaori, s'il t’approche de trop près, tu lui mets un coup de genou dans le "panier" et tu t’enfuis.  

Kaori s’avança dans le salon et s’assit sur le côté opposé à Ryo. Après un long silence, une Kaori gênée demanda:  

-Est-ce qu’il s’est bien battu ?  

Ryo fut étonné par cette question. Ne comprenant pas, il demanda:  

-De qui vous parlez ?  

K: De mon père...  

R: Mais comment voulez vous que je le sache ?  

K: C’est bien vous qui l’avez tué non ?  

R: Et qui vous a dit que je l’avais tué ?  

K: (dans un murmure): Nikky...  

R: Qui est Nikky ? Je sais, je vous ai dit de nous en parler demain mais vu que vous êtes bien partie...  

K: Nikky est l’homme avec qui j’ai vécu durant plusieurs années.  

Kaori avait dit cette phrase avec une telle tristesse dans le son de sa voix que Ryo n’eut pas le courage de continuer à l’interroger.  

Quelques secondes passèrent avant que Ryo ne réponde:  

-Je ne l’ai pas tué.  

K: Comment pouvez-vous le savoir ? Je ne vous l’ai même pas décrit.  

R: Pas besoin, je ne me rappelle pas avoir tué qui que ce soit qui vous ressemble, de près ou de loin.  

K: À vrai dire, c’est mon père adoptif, enfin mon beau-père...  

R: Vous voulez m’en parler ?  

K: Je ne vois pas pourquoi je vous en parlerai. Ce ne sont en rien vos affaires et en plus, j’ai lu quelque part qu’un tueur se renseigne toujours sur sa victime avant de passer à l’acte.  

R: Que faut-il que je fasse pour que vous me fassiez confiance ?  

K: Pourquoi ?  

R: Pourquoi quoi ?  

K: Pourquoi voulez-vous ma confiance, après tout vous n’êtes qu’un tueur!  

Ryô se sentit blessé par la remarque de la jeune femme. Avec une certaine amertume, il murmura:  

-Oui, vous avez raison, je ne suis qu’un tueur. Je vais vous alléger de ma présence.  

Ryô se leva et prit la direction de sa chambre, mais Kaori l'arrêta:  

K: ATTENDEZ!  

Le nettoyeur se retourna pour voir une Kaori vraiment mal.  

K: Je suis vraiment désolée si je vous ai blessé, mais ne me laissez pas la seule. Je vous en prie.  

R: C’est bon, comme si un grand gaillard comme moi pouvait être blessé par une si jolie jeune femme.  

Kaori devint toute rouge à cette remarque, ce qui amusa Ryô. Mais il remarqua qu’elle était fatiguée et arrêta là ses petits compliments.  

R: J’ai l’impression que vous êtes un peu fatiguée. Venez, je vais vous montrer votre chambre.  

Il l’a conduit à l’étage dans la seule pièce qui semblait habitable.  

R: Voilà, ce sera votre chambre.  

K: Monsieur Saeba...  

R: Oui ?  

Kaori avait été, en quelque sorte traumatisée, par tous ces événements. En une nuit, la jeune femme avait faillit se faire violer, avait rencontré un assassin et s’était fait pourchasser. C’était beaucoup plus qu’elle ne pouvait supporter. Avec toute la peur qu’elle avait accumulé, Kaori demanda:  

-Est-ce que vous voulez bien laisser la lumière du couloir allumée ? A vrai dire, vu que c’est un endroit que je ne connais pas, je ne me sens pas très bien.  

(Nda : le jolie petit bébé)  

R: Pas de problème, je pourrais même laisser ma porte ouverte au cas où.  

(Nda : comme si il allait dormir chez lui lol) (NDB: Et où il partirait dormir? Pas chez une conquête hein! *regard noir vers l'auteur!!!* mdr)  

K: Merci. Bonne nuit Monsieur Saeba.  

R: Bonne nuit Kaori.  

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