Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG - Prosa

 

Autore: amarina

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 21-04-06

Ultimo aggiornamento: 07-04-10

 

Commenti: 46 reviews

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RomanceAction

 

Riassunto: Suite et fin ( oui oui promis juré, après j'arrête!!! ) de "Chacun pour soi". City Hunter c'est fini!! Oui mais voilà, Ryo voudrait bien recoller les morceaux. Arrivera-t-il à reconquérir le coeur de la belle Kaori ?...

 

Disclaimer: Les personnages de "Et que tombent les masques..." sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

What is NC-17 fanfiction?

 

A NC-17 fanfiction is strictly forbidden to minors (17 years old or less). It can contain violence and graphically explicite sexual scenes. We try to set limits to the content of R fanfictions, but we don't have time to read evrything and ...

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   Fanfiction :: Et que tombent les masques...

 

Capitolo 6 :: Rendez-vous manqué

Pubblicato: 07-04-10 - Ultimo aggiornamento: 07-04-10

Commenti: Bonjour à tous et à toutes. Désolé pour le temps qui passe vite et de ne pas majer plus vite, mais je bloque un peu sur le prochain chapitre. Mais rassurez-vous je n'abandonne pas! Merci pour tous vos gentils comm' ils sont tous très encourageants. Patience la confrontation Ryo/Kaori arrive... A très bientôt! ^_^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

Les membres de l’équipe tremblaient encore quand l’inspectrice Nogami franchit d’un pas martial la porte de leur bureau, mais finalement, dans l’ensemble ils ne s’en étaient pas trop mal sortis.  

Le disque dur était très endommagé et les quelques rares informations qu’ils avaient finalement réussi à récupérer s’étaient mystérieusement volatilisées, ainsi que l’ordinateur. Heureusement, l’agent Toshiba (on l’invente pas hein ?!) avait cependant pu lui donner une information qui pouvait se révéler utile. Visiblement la jeune comptable avait fait un double des programmes de BioFirm et les avaient gravés sur un disque. Il suffisait de remettre la main dessus pour avoir toutes les informations nécessaires pour obtenir un mandat de perquisition et pouvoir rendre visite aux dirigeants de cette société.  

 

Saeko espéra que le disque n’ait pas disparu dans l’incendie, mais d’après les policiers du département scientifique, ils n’en avaient pas découvert la trace. Bien sur, ils n’avaient pas encore complètement terminé de relever tous les indices dans l’appartement, mais il restait un espoir. Saeko n’avait plus qu’à attendre que Mlle Lane sorte du coma et se réveille pour savoir où se trouvait le précieux disque.  

Saeko commençait à comprendre pourquoi la jeune comptable était encore en vie. Il fallait absolument renforcer la sécurité auprès de la jeune femme. Et pour rendre son dispositif encore plus efficace, Saeko savait à qui elle devait s’adresser.  

 

Mais d’abord elle devait passer à l’hôpital et prendre des nouvelles de la santé de Mlle Lane. A cette pensée, le sentiment de culpabilité lui serra la gorge. Si seulement elle avait pris ce dossier plus au sérieux, si seulement elle avait pris des dispositions pour protéger la jeune femme, rien ne serait arrivé. Saeko espérait autant qu’elle redoutait de se retrouver face à la victime de son incompétence.  

 

Perdue dans ses pensées, elle gagna lentement le parking et monta dans sa voiture.  

 

*****************  

 

Il était midi quand un groupe de jeunes étudiants franchit le seuil du café et s’installa bruyamment autour d’une table. Miki avait à peine pris leur commande, que trois hommes d’affaires demandèrent la carte, suivi par deux jeunes femmes qui souhaitaient s’installer en terrasse.  

Rapidement, Umi et Miki se retrouvèrent bien occupés. A leur retour de voyage, Miki s’était montré plus que jamais déterminée à mener une vie normale et heureuse avec son mari. Elle avait redécoré la salle et changé la disposition des tables, puis la publicité qu’ils avaient fait pour leur nouvelle carte leur avait apporté de nouveaux clients. La stature du patron continuait d’impressionner la clientèle, mais cette « particularité » était heureusement largement compensée par la qualité de l’accueil et la gentillesse de l’hôtesse.  

 

Avec Umi aux fourneaux et Miki au service en salle, le couple ne prêta pas immédiatement attention à la jeune femme qui venait de faire son entrée. En revanche Ryo, lui, l’examina attentivement. Elle était assez grande, sa jupe droite laissait voir de très belles jambes fines, tandis que ses mollets galbés par des chaussures à talons hauts lui donnaient un port de reine. Sur un débardeur très échancré, mettant sa poitrine en valeur, elle portait une légère veste cintrée qui accentuait la finesse de sa taille. Sous son bras, une pochette en cuir apportait à l’ensemble de la tenue une touche de sophistication. Ses cheveux étaient remontés en un léger chignon qui laissait retomber des mèches qui soulignaient la délicatesse de la nuque. Dans la lumière, une des boucles d’oreille brilla, faisant miroiter sur la joue poudrée un éclat doré. Ses yeux étaient cachés par d’imposantes lunettes qui masquaient une grande partie de son visage.  

Ryo fut immédiatement sous le charme de la belle inconnue. Elle était diablement séduisante et tout à fait à son goût.  

 

D’abord hésitante, elle fit quelques pas en direction du bar, puis s’arrêta de nouveau. C’était sûrement la cliente qu’il attendait. Déjà Ryo se levait pour lui faire signe, mais avant d’avoir eu le temps d’ouvrir la bouche, il vit la jeune femme poser de nombreux paquets à ses pieds, enlever ses lunettes de soleil, puis interpeller joyeusement la propriétaire.  

 

« Bonjour Miki ! »  

 

Miki regarda la jeune femme qui venait de la saluer si amicalement, avant de reconnaitre Kaori. Sous l’effet de la surprise, la jeune femme ne pu retenir une exclamation.  

 

« Kaori ? C’est bien toi ? »  

 

« Bien sur que c’est moi ! Qui veux-tu que ce soit ? » Pouffa de rire Kaori. « Alors comment tu me trouves ? Ca me change, pas vrai ? » Demanda-t-elle en tournant rapidement sur elle-même.  

 

Et devant le mutisme de son amie, Kaori rayonnante parti dans un éclat de rire qui fini d’achever Ryo. Il retomba abasourdi sur la banquette.  

 

«Ca pour changer, ça change ! Tu es superbe ! C’est incroyable ! » Fini par dire Miki qui n’en finissait plus d’admirer son amie, avant de la prendre dans ses bras.  

 

« Tu restes manger avec nous n’est-ce pas ? » Lui demanda Miki qui s’empressait de prendre les assiettes que lui tendait Umi.  

 

« Mais oui bien sur, avec plaisir. » répondit Kaori en rangeant ses paquets dans un coin, puis en retournant s’asseoir elle salua le cuisinier. « Bonjour Umi, tu vas bien ? » Question à laquelle le géant lâcha un bref « Bien. », avant de retourner à ses casseroles.  

 

Miki lui servit un verre, mais déjà un autre client arrivait.  

 

« Tu veux que je te donne un coup de main ? » Lui proposa gentiment Kaori.  

 

« Tu es folle ! Reste donc tranquille. J’arrive toute suite. » Répliqua Miki avant de se diriger vers une table une carte sous le bras et son carnet à la main.  

 

Kaori s’assit plus confortablement sur le tabouret, mais la jupe ne facilitait pas ses mouvements. Elle finit par croiser les jambes, et satisfaite de la tournure que prenait les événements, sirota son jus de fruit tranquillement.  

 

Dans le coin de la salle, Ryo se sentait misérable, et pour dire la vérité, assez minable. Sa situation était délicate, il ne pouvait pas continuer à jouer les voyeurs et il ne pouvait pas sortir sans être vu par Kaori. De toute façon il avait un rendez-vous avec une cliente. Bon sang ! C’était Kaori qu’il venait de dévorer des yeux quelques instants plus tôt. Pourtant, malgré lui, son regard déviait vers la jeune femme. Sa présence agissait sur lui comme un aimant. Elle ne l’avait pas encore aperçu, il pu donc continuer un moment à l’observer en détail. Elle était absolument superbe, mais ça il le savait déjà. La contemplation de ses jolies formes le ramenait immanquablement vers les souvenirs de la nuit où elle avait bien faillit lui appartenir. Le balancement de sa jambes lui rappela la douceur de sa peau, et emporter par l’évocation de ce souvenir brulant, il ferma les yeux un instant.  

 

Il secoua la tête. Décidément, il avait bel et bien commis une erreur en donnant rendez-vous ici.  

 

Kaori regardait à travers la vitrine du restaurant son amie conseiller les jeunes femmes assises en terrasse, tout en humant les bonnes odeurs de nourriture. Umi était réellement un excellent cuisinier, reconnu Kaori tout en finissant de boire son verre. Elle sourit quand elle vit se dernier en tablier sortir de la cuisine pour porter un plat. Mais son sourire se figea quand elle entendit prononcer son nom.  

 

« Bonjour Kaori. »  

 

Lentement elle tourna la tête et se retrouva face à face avec Ryo, mais demeura muette.  

 

« Tu vas bien ? » demanda Ryo, rendu subitement très nerveux par le silence de son ancienne partenaire.  

 

Il allait ouvrir de nouveau la bouche, mais elle ne lui en laissa pas le temps.  

 

« Qu’est-ce que tu fais là ? » Demanda-t-elle précipitamment.  

 

Aussitôt, Kaori se sentit rougir. Elle détourna rapidement la tête et d’une main tremblante saisit son verre pour se donner contenance. Quelle idiote ! Qu’est-ce que cela pouvait bien lui faire de savoir ce que Ryo faisait là ? Elle ne pouvait pas simplement lui répondre « bonjour » ou lui dire n’importe quelle autre banalité! Elle se fit l’effet d’une femme jalouse qui soupçonne son mari de la tromper. Mais c’était plus fort qu’elle, dès qu’il était près d’elle, elle perdait tous ses moyens et son cerveau lui faisait dire et faire les pires bêtises. Heureusement, avant qu’il ait pu lui répondre, Miki se retrouva entre eux.  

 

« Oh ! Désolé Ryo, je t’avais complètement oublié ! Je t’apporte ta commande toute suite ! » Dit Miki en le raccompagnant vers sa table pour l’éloigner rapidement de Kaori qui était rouge de confusion.  

 

Puis, disparaissant derrière le comptoir, elle alla chercher les plats, sans oublier d’adresser un sourire réconfortant à Kaori.  

 

Cette dernière se sentit profondément malheureuse. Le sentiment de confiance qu’elle avait affiché à son entrée dans le café et qui l’avait portée jusque là, s’effondra soudainement. Elle avait l’impression de tomber au ralenti. Sans compter qu’elle avait l’impression d’être parfaitement ridicule dans ses nouveaux vêtements. « Il a du me trouver stupide habillée de cette façon. Une espèce de travesti ! » Se disait-elle, se rappelant toutes les fois où il s’était moqué d’elle lorsqu’elle faisait l’effort de se vêtir de manière plus féminine.  

La tête baissée sur le comptoir, elle s’aperçu avec horreur que de petits ronds avaient déjà commencé à se former sur la surface lisse du bar. Kaori crispa sa main autour du verre. « Non ! Elle ne pouvait pas se laisser aller comme ça. Où était passé sa fierté bon sang ! »  

 

Mais si son esprit lui intimait l’ordre de réagir, son cœur, lui, gémissait et pesait très lourd dans sa poitrine. Sentant sa gorge se contracter, elle bondit de sa chaise, et elle se serait enfuie du bar si Miki ne l’avait pas retenu à temps. Comprenant la détresse de son amie, Miki prit Kaori dans ses bras et l’obligea à la suivre dans la partie privée du restaurant.  

 

Ryo, les regarda passer près de lui, incapable de réagir. De toute façon, son rendez-vous venait d’arriver.  

 

« Vous êtes City Hunter ? » demanda timidement une très jeune femme brune.  

 

**********************  

 

« Dieu, qu’elle détestait les hôpitaux ! » se répétait Saeko en attendant que le médecin chef vienne l’informer de l’évolution de l’état de santé de la jeune comptable. Et frissonnante, malgré la chaleur qui régnait dans le couloir, Saeko referma nerveusement les mains sur ses bras. Elle savait que l’angoisse qu’elle ressentait était liée à son séjour à l’hôpital. L’expérience traumatisante qu’elle avait subie l’avait profondément marquée. Et l’odeur des produits lui rappelaient trop bien ceux qu’avait utilisés le « Docteur », ou plutôt le boucher sadique qu’il l’avait enlevé et drogué, pour nettoyer les instruments dont il s’était servi pour lui ouvrir les veines. De sa mémoire surgissaient des images aussi précises et terrifiantes qu’un scalpel. Le sous-sol de l’entrepôt, les lumières froides, et elle, allongée, nue, sans défense, sentant la vie qui la quittait.  

Saeko se sentie devenir livide et légèrement nauséeuse. Elle se remit à marcher, il fallait qu’elle reste active pour échapper à l’étau glacial de ses souvenirs. Dans le couloir, une infirmière lui demanda si tout allait bien avant de s’éloigner avec un sourire plein de compassion. Elle détestait provoquer ce genre de sentiment chez les gens. « Qu’ils aillent tous au diable, eux et leur pitié ! » Mais elle fut interrompue au milieu de ses amères réflexions.  

 

« Inspecteur Nogami ? » Appela une voix autoritaire. Elle vit s’avancer un homme corpulent d’une soixantaine d’année, grisonnant, qui avait du être séduisant dans sa jeunesse, mais le pli sévère de sa bouche le rendait antipathique.  

 

« Oui, c’est moi. Bonjour docteur. » Répondit Saeko en tendant la main au médecin qui l’ignora en la dévisageant froidement, avant de retrousser son nez d’un air méprisant.  

 

« Vous venez pour Melle Lane, c’est bien ça ? » Demanda-t-il en jetant un rapide coup d’œil au dossier qu’il tenait à la main.  

 

« Oui. Comment va-t-elle ? Est-ce qu’elle va s’en sortir ? » Demanda Saeko inquiète.  

 

« On peut dire qu’elle a eu une sacrée chance ! Quelques minutes de plus et elle y restait ! Elle est toujours dans le coma, mais il y a de fortes probabilités qu’elle se réveille d’ici un ou deux jours. Mais on ne peut jamais vraiment savoir avec le coma. Le tout sera de voir s’il n’y aura pas de séquelles, vous comprenez ? » Le ton condescendant qu’avait pris le chirurgien pour lui parler, mit Saeko de très mauvaise humeur, mais elle s’efforça de ne rien laisser paraitre. Il était évident que cet homme désapprouvait le fait qu’une femme puisse exercer une activité professionnelle, et à plus forte raison dans la police.  

 

« Vous pensez que l’incendie, ou plutôt la fumée, aurait provoqué des dégâts sur le cerveau ? »  

 

« Non, pas exactement. En fait, on a trouvé un hématome à l’arrière de la tête, elle a sans doute reçu un coup très violent avant de se retrouver sur le palier. Curieux quand même pour une chute, vous ne trouvez pas ? » Il leva un sourcil et la toisa d’un air supérieur.  

 

« Vous voulez dire qu’elle aurait été frappé par derrière avec un instrument ? » L’interrogea vivement Saeko.  

 

« Je ne suis pas policier, bien sur » ajouta-t-il sur un ton légèrement méprisant « mais, il est assez rare qu’une chute d’escalier ne provoque qu’une seule blessure de ce type. En général, les plaies sont multiples. Ce n’est pas le cas pour Melle Lane. »  

 

« Je vois. Et pour les conséquences de « l’accident » ? » Insista la jeune femme.  

 

« Encore une fois, nous ne pouvons avoir aucune certitude à ce sujet. Melle Lane peut très bien se réveiller avec toute sa mémoire intacte ou alors complètement amnésique. » Conclut le médecin, puis après un très bref signe de tête signifiant qu’il prenait congé, il se retourna et s’éloigna rapidement.  

 

Ce type n’était qu’un imbécile prétentieux et arrogant, mais il venait quand même d’éclairer Saeko sur un point. Daria Lane avait elle aussi été attaquée. Mais pour une raison ou une autre, ils n’avaient pas fini le boulot, et le ou les tueurs avaient filé en la laissant toujours en vie. A moins qu’ils aient cru l’avoir tuée sous la violence du coup ? C’était une possibilité.  

Le deuxième point, plus ennuyeux, était l’éventualité que la comptable, l’unique témoin dans cette affaire, perde la mémoire à son réveil.  

 

Avant de quitter l’hôpital, Saeko vérifia que les policiers de garde soient à leur poste et parfaitement opérationnels. Elle inspecta la chambre de la jeune femme pour s’assurer qu’aucune intrusion par la fenêtre ne puisse avoir lieu. En revanche, elle ne jeta qu’un bref regard au corps allongé sous les draps et entouré des différents appareils qui maintenaient la jeune femme en vie. Le bruit de l’électrocardiogramme et du respirateur la replongeaient dans ses souvenirs cauchemardesques, elle quitta la pièce précipitamment.  

 

Sur le parking, elle découvrit que Mauve Tsunamu, moulée dans un pantalon de cuir et une veste de la même matière, l’attendait. Appuyée contre sa moto, la jeune inspectrice fumait lentement une cigarette, affichant un air vaguement absent. Ce n’était pas la première fois que Saeko remarquait l’expression vacante de son regard, comme si la jeune femme n’avait plus conscience de ce qui l’entourait et se tournait vers une vie intérieure. Saeko avait quelques difficultés à cerner la personnalité de Mauve. Cette dernière était efficace, organisée et énergique, mais elle restait secrète. Depuis plusieurs mois à présent elle était affectée au commissariat dans lequel travaillait Saeko, mais elle n’avait pas réussi à s’en faire une amie. Mauve ne sortait pas avec ses collègues pour boire un verre après le travail, préférant rester à l’écart. Pourtant elle ne semblait pas souffrir de cet isolement. La vérité était que personne ne la regretterait si jamais elle repartait à Hokkaido.  

 

« Alors, quelles nouvelles ? » Demanda Mauve dès que Saeko fut à porté de voix.  

 

« Les médecins disent que c’est trop tôt pour se prononcer, mais normalement, elle devrait sortir du coma d’ici un ou deux jours. » la rassura Saeko.  

 

« C’est très bien. » Finit par dire Mauve en jetant sa cigarette par terre avant de l’écraser du bout de sa botte.  

 

« On se retrouve plus tard au commissariat O.K, je dois d’abord passer voir quelqu’un. » l’informa Saeko avant de monter dans sa voiture.  

 

Mauve regarda la voiture s’éloigner avant de reporter son étrange regard sur la façade du bâtiment. Elle resta un long moment à observer les fenêtres, puis passa un coup de téléphone.  

 

« Elle va bientôt sortir du coma. » Son interlocuteur parla longtemps, elle finit par lui couper la parole « Non, cette fois c’est moi qui m’en occupe. Restez à l’écart et attendez mes ordres. Compris ? » Lança-t-elle d’un ton autoritaire avant de raccrocher brutalement.  

 

Elle remit tranquillement son casque et repartit rapidement en direction du commissariat.  

 

 


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