Capitolo 2 :: Chapitre II

Pubblicato: 22-04-08 - Ultimo aggiornamento: 22-04-08

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Chapitre II  

Kaori marchait à grand pas en direction de la City.  

-(kaori) Ryo Saeba, je te jure que tu me le payeras…  

Tout en se parlant à elle même, elle se retrouva devant le tableau des messages.  

Elle leva la tête a contre cœur, sachant déjà qu’il n’y aurai rien, et là que fut sa surprise de constater qu’il y en avait un.  

XYZ, je vous attendrais dans le parc d’Hayo à 12h à côté de la fontaine. Signé Hita  

-(kaori) Ah mon dieu, ce n’est pas possible, une affaire !!!  

Elle se mit à pleurer toutes les larmes de son corps tellement elle était heureuse.  

Mais, regardant de plus prêt elle lu le nom de Hita…  

-(kaori) Humm c’est une femme, mais ça fait tellement longtemps qu’on n’a pas eut d’affaire, que je suis obligée d’accepter.  

Quelle heure est il ? 11h42, j’ai juste le temps d’arriver à l’heure.  

Quand elle arriva au parc d’Hayo, elle chercha du regard une femme qui pourrait attendre à côté de la fontaine, comme le rendez vous le suggérait.  

Mais elle ne vit personne, ou plutôt juste un homme, d’ailleurs plutôt pas mal.  

-(kaori) Mais qu’est ce qui t’arrive tu n’es pas là pour ça.  

Elle attendit 20 minutes et n’en pouvant plus décida de se rapprocher de la fontaine et d’y attendre à côté, car elle s’était posté un peu plus loin, histoire de voir à quoi pouvait ressembler la cliente.  

Arrivant juste au point de rendez vous, l’homme qui était toujours là, se tourna vers elle et lui demanda :  

-(Franck) Bonjour, est ce que par hasard, vous…  

Il n’eut pas le temps de finir.  

-(kaori) Quoi qu’est ce que vous voulez, vous ?  

-(Franck) Et bien, j’ai rendez vous avec une personne à côté de la fontaine à 12h, est ce que c’est vous ?  

-(kaori) Ah oui, pardon, je croyais… enfin je veux dire je cherchais… une femme. Hita ?  

-(Franck) Oui, je sais c’est un prénom féminin, mais j’ai eut peur d’inscrire mon vrai prénom, alors…  

-(kaori) Ne vous inquiétez pas, que diriez vous d’aller prendre un café quelque part et de discuter un peu de ce qui vous arrive.  

-(Franck) Oui, c’est une bonne idée.  

Kaori décida de l’emmener au café Cat’s eyes, histoire de discuter tranquillement.  

Ils arrivèrent au café, et elle poussa la porte d’entrée.  

-(kaori) Salut c’est moi, comment vas tu Umibôzu ?  

-(Umibôzu) Bien merci et toi ?  

-(kaori) Très bien je te remercie, je suis avec un client, on va s’asseoir au fond.  

-(Umibôzu) Fait comme chez toi, kaori. Deux cafés ?  

-(kaori) Oui merci.  

Une fois assise, Kaori, le regarda un peu plus attentivement, il était vraiment très beau, de grands yeux verts, le teint un peu mat, les cheveux noir, comme ceux de ryo.  

Il était aussi très grand et il avait l’air assez musclé.  

Elle constata qu’il n’était pas non plus japonais, mais n’arrivait pas à définir ses origines.  

Puis elle remarqua son regard posé sur elle. Elle rougit et décida de couper le silence qui s’était installé entre eux.  

-(kaori) Alors et si on commençait par votre nom.  

-(Franck) Oui, je m’appelle Franck Gueuning, je ne suis pas japonais comme vous pouvez le remarquer, en fait je suis anglais.  

-(kaori) Mais qu’est ce que vous faite loin de chez vous ?  

-(Franck) C’est une longue histoire.  

-(kaori) Allez y j’ai tout mon temps, et puis je dois vraiment tout savoir si vous voulez que l’ont puissent vous protéger efficacement.  

-(Franck) Oui, je comprends. Mais vous êtes plusieurs alors ?  

-(kaori) Oui, je suis Kaori et mon partenaire, ryo, c’est lui qui s’occupe de la protection, mais nous le rejoindrons un peu plus tard.  

-(Franck) Bien, alors pour commencer…  

… Je suis arrivé au japon il y a 2 mois, c’était pour la promotion de notre nouveau consortium.  

Je suis directeur générale des sociétés Wimco.  

Nous sommes déjà installé en Europe, aux Etats Unis et nous avons ouvert notre dernière succursale ici même au Japon.  

Tout se passait pour le mieux, jusqu’à ce que je découvre certaines anomalies sur les comptes clients déjà en cours. J’ai donc poussé mes recherches et je suis tombé sur des comptes courants de société fantôme.  

Il y a un trafic au sein de ma société et j’ai donc fait ma petite enquête et découvert que le sou directeur de wimco blanchissait de l’argent pour le cartel d’Okaido.  

Je l’ai donc convoqué, afin de le congédier, je lui ai dit que je ne porterai pas plainte à condition qu’il démissionne sans faire d’histoire.  

-(kaori) Mais pourquoi ?  

Au contraire il aurait fallut le dénoncer à la police.  

-(Franck) Oui je sais, mais je ne voulais pas de mauvaise publicité pour l’entreprise, nos clients auraient prit peur et se seraient destitué.  

-(kaori) Ah oui, je comprends.  

-(Franck) Donc, j’avais décidé de reprendre les affaires en cours, j’ai donc fait un grand nettoyage, mais depuis quelque temps, je reçois des lettres de menaces, et j’ai eut plusieurs accidents, qui par chance ne m’ont pas ôté la vie. J’ai donc décidé de faire appel à vous.  

-(kaori) Mais comment avez vous entendu parlé de city hunter ?  

-(Franck) Il y a deux ans vous avez aidé une jeune femme, Iromi, c’est une très bonne amie à moi, et quand je lui ai plus ou moins parlé de tout ça, elle m’a suggéré de faire appel à vous, en me disant que vous étiez de confiance.  

-(kaori) Ne vous inquiétez plus de rien, nous prenons la relève.  

-(Franck) Merci kaori, je peux vous appeler kaori ?  

-(kaori) Oui bien sur.  

-(Franck) Vous êtes une très belle femme, si je vous avais croisé dans la rue, je ne me serai jamais douté que vous soyez un garde du corps ou dit on plus tôt une garde du corps ?  

-(kaori) En fait j’assiste ryo, c’est lui qui se charge plutôt de ça.  

Kaori était très touché par le compliment que venait de lui faire Franck, mais elle décida de ne pas lui faire remarquer.  

- (Franck) Alors vous acceptez ?  

- (kaori) Oui, et maintenant je vais vous présenter ryo, et il faudrait aussi que vous veniez habiter chez nous, par sécurité, ça sera plus facile pour nous de vous protéger.  

- (Franck) C’est d’accord.  

Sur ceux, ils se dirigèrent vers Umibôzu et réglèrent la note.  

-(kaori) Salut, tu embrasseras Miki pour moi, je ne l’ai pas vu aujourd’hui.  

-(Umibôzu) Oui, elle est partie faire les courses, mais je lui dirais. Au revoir Kaori, …Monsieur.  

-(kaori) Au revoir Mammouth.  

Le crâne de celui-ci se mit à fumer comme une cheminée… Umibôzu, n’aimait pas qu’on le surnomme comme ça, mais quand c’était kaori, il ne disait trop rien.  

-(Umibôzu) Kaori…  

-(kaori) Oups… pardon… au revoir Umi…  

Ils sortirent du café, et Franck, un peu impressionné par la stature du tôlier, demanda :  

-(Franck) Dite kaori, ça fait longtemps que vous le connaissez ce mammouth ?  

-(kaori) Oui c’est un très bon ami, mais il a horreur qu’on l’appelle mammouth, c’est ryo qui lui à donné ce p’tit nom, il s’appelle Umibôzu.  

-(Franck) Ah, d’accord je tacherai de m’en souvenir, il n’a pas l’air d’être à prendre avec des pincettes, j’imagine ce que ça doit être quand il est en colère.  

-(kaori) Oui, il vaut mieux. Allez venez on rentre.  

Tout en se dirigeant vers l’appartement, Franck proposa à kaori de rentrer dans un magasin pour regarder une robe qui avait attiré l’œil de celle ci.  

-(Franck) Rentrons, elle a l’air de vous plaire, vous devriez l’essayer.  

-(kaori) Non, ça ira merci, et puis il ne vaut mieux pas trop traîner en ville, on ne sait jamais, et puis ryo dit toujours que ce genre de vêtement n’est pas très confortable pour notre métier, c’est vrai que si nous devions prendre la fuite, je serai plutôt gêné qu’autre chose.  

-(Franck) Mais il exagère votre partenaire, ne me dite pas que vous ne portez jamais de robe à cause de votre métier, c’est ridicule, vous êtes très belle et vous ne vous mettez pas en valeur.  

-(kaori) Ne vous inquiétez pas, de toute façon je suis plus alaise en pantalon, allez venez il faut rentrer.  

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