Capitolo 5 :: Chapitre V

Pubblicato: 22-04-08 - Ultimo aggiornamento: 22-04-08

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Chapitre V  

Quand ryo redescendit, les trois hommes se mirent en route.  

Sur le chemin, ryo proposa à Franck de le laisser au Cat’s eyes en compagnie de miki, en attendant qu’ils reviennent avec kaori.  

Franck refusa, ce qui venait de se passer était arrivé par sa faute, il se devait de secourir également kaori.  

Et dans son fort intérieur il se disait qu’il arriverait sur ment à conquérir son cœur, si il lui montrait sa bravoure.  

Arrivée à 500 mètres de la propriété, ils décidèrent de cacher la mini et de finir le reste du parcours à pied, histoire de ne pas se faire repérer.  

Umibôzu brandit son bazooka, de nul part et ryo lui demanda :  

-(Ryo) Je te signale que l’on avait décidé de ce la faire discret, qu’est ce que tu fous avec ton joujou ?  

-(Umibôzu) Je ne sors jamais sans lui, et de toute façon, je suis sure que l’on va en avoir besoin, alors lâche moi…  

-(Franck) Heuhhh ! Monsieur Mammouth, vous ne croyez pas que c’est un peu bruyant ?  

-(Umibôzu) Et, t’es qui toi, duchnoque pour m’appeler mammouth ?  

Ryo, partit dans un fou rire, en voyant la tête en colère et rouge pivoine de mammouth.  

-(Umibôzu) Dit à ton pote de faire attention à ce qu’il dit sinon je le réduit en charpie, compris ?  

-(Ryo) Et ! ce n’est pas mon pote…  

Bon, Franck, je dois déjà vous protéger de tout le cartel d’Okaido ainsi que de l’Ange noir, j’apprécierai que vous ne me mettiez pas mammouth sur la liste.  

-(Umibôzu) Ouaih, tu peux le dire je te réduirai en chaire à saucisse !!!  

-(Ryo) Saucisse toi même, je suis le numéro 1, je te rappelle.  

-(Umibôzu) Non c’est moi.  

-(Franck) C’est fini oui, et kaori vous y pensez ?  

Les deux nettoyeurs se regardèrent, tout peno, tel deux gamins en se triturant les doigts.  

-(Ryo) Ben quoi, on discutait…  

-(Umibôzu) Ben oui…  

Mammouth se rapprocha discrètement de ryo et lui dit à l’oreille…  

-(Umibôzu) C’est moi le meilleur !!!  

-(Ryo) Grrrr !!!!  

Pendant ce temps, kaori qui était enfermé dans une des caves de la propriété, commençait à sérieusement s’inquiéter.  

Elle avait entendu les deux gardes en poste devant sa porte discuter, sur le comités de bien venu, qui avait été préparer pour l’arrivé de ryo, car nul doute, ils s’attendaient à ce que celui-ci vienne ce soir la chercher.  

Kaori, s’avait également pertinemment, que ryo cachait toujours un émetteur dans ses vêtement, elle ne doutait pas non plus qu’il viendrait et commençait à craindre pour sa vie.  

Elle décida de détruire l’émetteur pour qu’il ne la trouve pas et donc qu’il ne tombe pas dans le piège.  

Elle avait peur pour lui, elle l’aimait tant, elle ne pourrait jamais survivre, si il lui arrivait malheur.  

Elle repensa à la proposition de Franck faite un peu plus tôt dans la journée, et sourit.  

-(kaori) Je suis désolée Franck, mais même si j’essaye et de tout mon cœur, je n’arriverai jamais à oublier ryo.  

Je l’aime trop, même pour pouvoir l’envisager.  

Dans le parc de la propriété, la bande approchait sans bruit, quand tout a coup, Umibôzu, brandit son bazooka et tira en direction de la villa.  

-(Ryo) T’es content maintenant ils savent qu’on est là.  

-(Umibôzu) Je préfère les attaque franche, moi Monsieur.  

Les gardes furent surpris par l’explosion mais s’organisèrent pour contre attaquer.  

-(Ryo) Oh ! Oh ! on nous envoie un comité de réception.  

A toi de jouer, Mammouth…  

Franck vient avec moi, on va contourner par la gauche.  

-(Umibôzu) On se retrouve tout à l’heure, ryo.  

-(Ryo) Ok, mais ne les tue pas tous, tu m’en laisses un peu.  

Ryo courrait en direction de la villa, il s’aperçut que le traceur avait arrêté d’émettre, quand un groupe de 6 hommes surgit.  

Son regard se fit plus dure, il avait perdu son expression humaine et il ressemblait désormais à un guerrier que rien n’arrête.  

Franck le regardait médusé, ce n’était plus la même personne, il s’emblait habité par le démon. Ryo, agilement et en moins de temps qu’il n’en faut, extermina les assaillants. Puis il repris sa course.  

-(Ryo) Avec tout ça, j’ai perdu du temps, moi… dépêche toi…  

Il courrait à une telle vitesse, que Franck, bien que sportif, avait du mal à suivre.  

Quand ils arrivèrent à la porte d’entrée, sans encombre, il n’y avait pas de gardes, Umibôzu avait fait un grand nettoyage.  

Ils pénétrèrent dans l’enceinte de la maison pour aller enfin récupérer kaori, quand ryo fut attiré par sa voie, ou plutôt par le bruit que provoquait sa massue sur une porte blindée se dit il.  

-(kaori) Laissez moi sortir, bande de brut, lâche, vous avez peur d’une simple femme sans défense, allez venez me trouver, renard, rapace….  

Et tout en hurlant, elle balançait des coups de massue sur le seul accès de sortit.  

Des pas se firent entendre et kaori, arrêta de s’énerver sur cette pauvre porte.  

Elle tendit l’oreille et se demanda qui pouvait bien arriver. La démarche était calme et sereine, ça ne pouvait être un des gardes, mais qui, Ryo ?  

-(kaori) Ryo, c’est toi ?  

-(le méchant) Non, ma jolie ce n’est pas Saeba.  

Le nouveau venu pénétra dans la pièce en explosant la serrure et attrapa kaori sans ménagement.  

En lui pointant son arme sur la tempe.  

-(le méchant) Tu vas être bien sage et on va attendre tous les deux ton associé.  

Et tout en disant cela, il tira sur l’éclairage pour se plonger dans la pénombre.  

Ryo entendit plusieurs détonations venir du sous sol et décida d’aller vérifier.  

Il se retourna vers Franck et lui dit t’attendre ici.  

Il commença à descendre les escaliers, tout en sentant la présence de l’ennemi.  

Toujours sur ses gardes il demanda :  

-(Ryo) Où est kaori ?  

-(le méchant) Avec moi. Lâche ton arme maintenant Saeba, sinon je lui fais sauter la cervelle.  

-(Ryo) « Je peux seulement me repérer sur sa voie.  

Ah ! C’est bien trop risqué il vaut mieux attendre l’occasion de tirer sans me tromper de cible ».  

-(le méchant) Tu as entendue, tu vas suivre mon conseil et jeter ton arme, sinon elle sera beaucoup moins jolie dans un petit instant.  

Le silence se faisait pesant et ryo ne bougeait pas.  

-(le méchant) Allez dépêche toi ou bien tant pis pour elle.  

Ryo abaissa tout doucement son arme, mais le garda en main.  

Puis, les murs de la maison se mirent à trembler, comme si on subissait un tremblement de terre, et L’Ange noir perdit son attention l’espace de quelques dixièmes de secondes.  

Tout le temps nécessaire à ryo, pour se repositionner et tirer à deux reprise.  

Il le toucha à l’épaule et il fut éjecté ainsi que son arme sur le sol.  

-(le méchant) Ah, je suis touché…  

-(Ryo) En tirant sur une surface métallique, j’obtiens assez d’étincelle pour y voir clair et pour tirer la deuxième balle ensuite.  

Une explosion provoqua un gé de lumière, l’homme regarda son revolver, et tendit la main pour essayer de l’atteindre, mais ryo, arriva avant lui et le dégagea du pied.  

-(Ryo) Alors là franchement ça ne serait pas raisonnable, mon vieux. Vous allez finir par vous faire mal si vous insistez.  

Ryo se rapprocha de kaori, et instinctivement la prit par la taille en lui demandant si elle allait bien.  

-(kaori) Oui, mais je pense qu’il ne faudrait pas trop traîner dans le couin, ça commence à sentir le roussi.  

-(Ryo) Ah oui, Umibôzu est venu avec moi, et tu le connais ? !!! Tout dans la délicatesse !!!!  

Ryo l’attrapa par la main et couru en direction de la sortie.  

Au passage, il récupéra Franck qui était resté en haut des escaliers, et essayait tant bien que mal de survivre à tout ceci.  

-(Ryo) Allez, dépêchez vous, tout va s’écrouler.  

Kaori trébucha, et le temps que ryo s’en aperçoive, l’Ange noir surgit à son tour de la cave, et empoigna kaori par les cheveux.  

-(le méchant) Cette fois je vais la tuer, juste pour te voir souffrir, Saeba.  

Ryo regarda intensément kaori dans les yeux, et juste au moment ou l’Ange noir allait tirer, elle bloqua le barillet du revolver avec sa main, empêchant celui ci de faire feu.  

Et ryo en profita pour l’abattre d’une balle entre les deux yeux.  

Kaori, se rapprocha instinctivement de ryo, en se calant contre son torse.  

Franck regarda la scène et en son fort intérieur compris, que rien, et même pas lui pourrait s’immiscer entre ses deux là.  

Il y avait une telle confiance entre eux deux…  

Umibôzu, arriva aussi en courrant, et la petite troupe se réfugia au milieu du jardin, pour voir le bâtiment finir par s’écrouler.  

-(Ryo) Bon et si on rentrait, ce n’est pas tout ça, mais je n’ai pas mangé et je meurs de faim.  

Kaori, regarda ryo et ne dis pas un mot, mais on pouvait voir une petite étincelle perler au coin de son œil.  

-(Ryo) Tu pleures kaori ?  

-(kaori) Non, ça va.  

-(Ryo) Dit, je voulais te dire…  

Enfin je veux dire que, je voulais m’excuser pour l’autre jour, je ne pensais pas ce que je t’ai dis, je voulais que tu le saches.  

-(kaori) Mais !!! ce n’est pas ton genre de t’excuser.  

-(Ryo) Euh ! oui, c’est vrai, mais je ne voudrais pas que tu me quittes non plus, alors…  

Bon arrête de me regarder comme ça et dis moi ce que tu comptes me faire à manger, j’ai le ventre qui commence à gargouiller.  

Elle le regarda tendrement, se hissa sur la pointe des pied et lui donna un doux baiser sur la joue.  

Ryo n’était pas du genre très délicat, mais c’est comme ça qu’il était et c’est comme ça qu’elle l’aimait, et puis il avait eut peur de la perdre, et c’est pour ça qu’il avait fait l’effort de lui ouvrir un peu son cœur.  

Et elle se rendit compte que ça lui suffisait amplement…  

Umibôzu, les regarda et sourit, ses deux là, c’était vraiment à la vie, à la mort et surtout pour l’éternité.  

Sur ceux tout le monde repartit en direction de l’appartement.  

Le lendemain, Franck ayant décidé de rentrer en Angleterre quelque temps, histoire de se remettre des évènements de ces deniers jours, ils l’accompagnèrent à l’aéroport.  

Il fit ses adieux à ryo et avant de partir demanda à kaori :  

-(Franck) Alors, si je comprends bien vous avez choisis ?  

-(kaori) Oui  

-(Franck) Bien, alors au revoir kaori, je ne vous oublierai pas.  

-(kaori) Moi non plus Franck, prenez soin de vous et écrivez nous.  

Ryo et Kaori, attendirent que l’avion de Franck décolle, et après un regard complice, ryo l’a prit dans ses bras.  

-(Ryo) Dit, qu’est ce que tu veux faire aujourd’hui, kaori ?  

Kaori rougit légèrement et les yeux pleins d’étoiles et de promesses pour l’avenir répondit :  

-(kaori) Et bien je ne sais pas, qu’est ce que tu proposes ?  

-(Ryo) On pourrait aller saluer Hideyuki aujourd’hui, qu’est ce que tu en penses ?  

-(kaori) C’est une très bonne idée.  

Ryo glissa sa main dans celle de kaori et ils se dirigèrent vers la sortie, pour récupérer la mini et pour se rendre au cimetière.  

THE END…  

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