Capitolo 3 :: Chapitre III

Pubblicato: 22-04-08 - Ultimo aggiornamento: 22-04-08

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Chapitre III  

Arrivé à l’appartement, kaori, se demandait comment allait elle si prendre pour convaincre ryo de protéger un homme, car il est clair qu’il ne voudrait pas.  

Elle était devant la porte d’entrée, quand elle l’ouvrit d’un coup en criant :  

-(kaori) Salut, c’est moi, je suis rentée… ryo, nous avons un invité.  

Ryo qui était dans le canapé tourna la tête (tout en se disant qu’il s’agissait sur ment d’une superbe créature…) et tout en se dévêtissent, fit un saut dans l’air pour souhaiter la bienvenue à sa nouvelle invitée.  

-(Ryo) Saluuuut… MOKKORI !!!  

Et là, une massue de 100 tonnes s’abattit sur lui.  

-(kaori) Tu as finis, oui, c’est pas possible tu me fais honte. Et puis si tu regardais un peu mieux tu verrais que ce n’est pas une femme.  

Ryo reprit contenance et dévisagea le nouveau venu avec attention.  

-(Ryo) Qui s’est celui là ?  

-(kaori) C’est notre nouveau client, je te présente Monsieur Franck Gueuning, c’est le directeur géné…  

-(Ryo) Pas question, je ne travaille pas pour les hommes, tu le sais très bien kaori.  

-(kaori) Ne sois pas idiot, je te signale que nous sommes dans le rouge à la banque, alors tu vas faire un effort, et de toute façon je ne te laisse pas le choix, on prend cette affaire un point c’est tout.  

-(Ryo) Dis donc toi, tu es sure que c’est pour l’argent et non autre chose ?  

-(kaori) Tu es ridicule !!!  

-(Ryo) Ah oui, alors pourquoi est ce que tu rougis ?  

Et là, ryo se repris une massue, et cette fois si, ce fut un 200 tonnes « punition divine !!! »  

Franck interloqué, regarda la scène assez perplexe…  

-(Franck) Il y a quelque chose qui ne va pas ? je ne voudrais pas vous déranger.  

-(kaori) Mais non je vous assure, ça va et de toute façon tout est arrangé. N’est ce pas ryo ?  

-(Ryo) Ouaih… de toute façon je n’ai pas le choix, alors…  

Après les présentations, kaori expliqua à ryo les causes de la demande faite par Franck.  

-(Ryo) Je vois, j’ai entendu parler de votre société, je ne suis d’ailleurs qu’a moitié surpris. Ici le blanchiment d’argent, c’est monnaie courante.  

Le problème c’est que le cartel y est mêlé, ça ne va pas être évident. Bien, je vais me renseigner, en attendant d’en savoir plus il va falloir rester ici.  

-(Franck) C’est entendu, mais il faut quand même que j’aille travailler.  

-(Ryo) Et bien vous le ferez d’ici, avec Internet tout est possible…  

-(Franck) Bien, vous serez avec nous kaori ?  

-(kaori) Oui bien sur.  

Ryo observait la scène, ils ont l’air de bien s’entendre ses deux là…  

Il reporta son attention sur Franck, et son regard se fit plus glacial.  

Celui ci le nota, mais ne détourna pas les yeux de kaori.  

-(kaori) Bien, je vais préparer le dîner, ryo tu peux montrer la chambre d’ami à Frank.  

-(Ryo) Non je suis occupé, tu n’as cas le faire.  

Kaori s’approcha tout doucement de l’oreille de son partenaire et lui susurra tendrement :  

-(kaori) Tu sais ryo, si tu n’y m’es pas du tient, je te jure que je te mets au régime, pense s’y !  

D’un bon il se redressa…  

-(Ryo) Alors vous me suivez, c’est que si je ne prends pas soin de vous, le dragon derrière moi, risque de me faire mourir de faim, alors… on y va…  

-(kaori) Tient prend ça… Un 1000 tonnes « Dragon céleste !!! » s’abattit sur lui et l’éjecta directement dans le mur du salon.  

Franck se demandait franchement si finalement ce n’était pas plus dangereux pour lui de rester avec ses deux là.  

Un corbeau repassa au dessus de la pièce…  

Après que ryo est montré la chambre ainsi que la salle de bain à Franck, il laissa celui ci, et redescendit au salon rejoindre kaori.  

Il n’aimait pas ça du tout, le cartel d’Okaido était mêlé à cette affaire, et kaori qui en plus ne semblait pas insensible au charme de leur client.  

-(Ryo) Ah non, il n’aimait vraiment pas cette affaire.  

De retour au salon, il appela kaori qui se trouvait dans la cuisine, entrain de préparer leur dîner.  

-(Ryo) Qu’est ce que tu fais ?  

-(kaori) Je prépare un repas typiquement japonais pour Franck, il ne doit pas très bien connaître notre culture, c’est l’occasion…  

-(Ryo) Et moi alors, t’y pense ?  

-(kaori) Mais qu’est ce qui t’arrive depuis tout à l’heure tu es jaloux ?  

Elle avait prononcé cette phrase en espérant que ryo y réagisse.  

-(Ryo) Tu plaisantes j’espère, en tout cas, si je peux me permettre, il est plutôt pas mal, jeune, il a une bonne situation, et très important il a l’air de t’apprécier…  

J’avoue que je ne sais pas comment il fait, mais bon…  

Tu devrais sauter sur l’occasion, tu sais à ton age ça n’arrive pas tous les jours, et puis c’est peut être le bon moment pour te reconvertir, qu’est ce que t’en pense ?  

Il avait reculé d’un pas anticipant la colère de kaori…  

Mais… Kaori le regarda vraiment très sérieusement, elle était terriblement blessé par ce que venait de dire ryo, et en plus, le plus naturellement possible.  

Décidément, elle ne pouvait pas croire qu’il puisse avoir des sentiments pour elle.  

Etre aussi froidement capable de lui parler de la sorte, et de lui dire ouvertement de partir.  

-(kaori) Vu sous cette angle ryo, et vu que tu y attaches autant d’importance, je vais y réfléchir très sérieusement. Maintenant j’apprécierai que tu sortes de la cuisine, je t’appellerai quand le dîner sera prêt.  

Elle s’était exprimée avec un calme glacial… ce qui ne manqua pas de faire effet sur ryo, bien évidemment. Il sortit de la cuisine en rageant contre lui même, cette fois si il avait exagéré. Il avait lu de la tristesse dans son regard, plus que ça, de la douleur…  

-(Ryo) Ce soir, avant d’aller me coucher j’irai la voir pour m’excuser.  

Puis il se dirigea dans sa chambre pour patienter jusqu’à l’heure du dîner, plus question de traîner dans le couin à jouer le pitre.  

Le souper se déroula dans le calme, et aucun de nos deux compagnons n’osaient dire mot, vu l’expression fermée de kaori.  

Elle n’avait toujours pas digérée la conversation avec ryo.  

Une fois le repas terminé, elle fit la vaisselle et prit congé.  

-(kaori) Bonne nuit Franck, je suis un peu fatiguée, je vais aller me coucher, je vous dis à demain.  

-(Franck) Merci, bonne nuit Kaori.  

Elle ne regarda même pas dans la direction de ryo et monta l’escalier jusqu’à sa chambre.  

Franck un peu étonné demanda :  

-(Franck) Il y a quelque chose qui ne va pas, kaori avait l’air tendu ce soir, je n’ai même pas osé ouvrir la bouche.  

-(Ryo) Non, non… rien, ça ira mieux demain (l’espérait il dans son fort intérieur).  

-(Franck) Dite, vous êtes marié ? Je n’ai pas remarqué d’alliance à la main de kaori ?  

-(Ryo) Non, nous sommes juste partenaire de travail.  

-(Franck) Et vous vivez ensemble, Ce n’est pas vraiment la coutume au japon ?  

-(Ryo) C’est juste pour le travail, c’est plus pratique pour nous.  

-(Franck) Vraiment, mais est ce que vous pensez à sa réputation ? et puis comment voulez vous qu’elle puisse rencontrer un homme et se marier dans ses conditions ?  

-(Ryo) Je serai vous, je me préoccuperai un peu plus de mon sort. Je monte me coucher, bonne nuit Franck.  

Il laissa l’homme méditer sur ses dernières paroles et prit congé. En allant à sa chambre, il passa devant celle de kaori et décida d’aller lui parler pour s’excuser de sa conduite. Il frappa une fois, puis deux fois, n’ayant pas de réponse il l’appela.  

-(Ryo) Kaori, c’est moi, je peux entrer, stp ?  

… Il était là devant la porte, à attendre qu’elle lui réponde…  

-(Ryo) Kaori, je… Bonne nuit.  

Derrière la porte, kaori ne dormait pas, mais elle était toujours aussi en colère et ne répondit pas.  

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