Capitolo 4 :: Chapitre IV

Pubblicato: 22-04-08 - Ultimo aggiornamento: 22-04-08

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Chapitre IV  

Le lendemain matin, elle se réveilla, terriblement fatiguée, elle n’avait pratiquement pas fermé l’œil de la nuit. Elle se prépara et alla faire le petit déjeuner. Une fois prêt, elle alla réveiller ryo. Elle ne rentra pas dans sa chambre, mais se contenta juste de frapper et de lui dire de descendre. Puis elle fit de même avec Franck.  

Quand les deux hommes pénétrèrent dans la cuisine, kaori les accueillit avec un large sourire et leur servie le petit déjeuner. Ryo nota, qu’elle avait des cernes et qu ‘elle n’avait pas du fermer l’œil de la nuit. Mais il joua le jeu et dit bonjour de bon cœur, comme si de rien était.  

La semaine se déroula dans la même ambiance, et kaori et Franck s’entendaient mieux de jour en jour.  

Il avait même commandé (par Internet) et fait livrer à l’appartement la robe vu quelque jour plutôt dans la vitrine avec kaori pour celle ci, qui avait été ravi de ce geste si attentionné.  

Tout se passait donc pour le mieux. Néanmoins et bien que Franck s’occupait tous les jours sur son travail à distance, le pauvre homme était enfermé depuis si longtemps qu’il tournait en rond comme un lion dans une cage.  

-(kaori) Ryo, tu ne veux pas sortir un peu avec Franck, il n’en peut plus de resté enfermé et je veux bien le comprendre.  

-(Ryo) Pas question c’est trop dangereux.  

-(kaori) Mais si tu sorts avec lui, il ne craindra rien ? !!  

-(Ryo) Je te dis que c’est dangereux, tu veux qu’il lui arrive malheur, ou quoi ?  

-(kaori) Bien sur que non, mais d’abord et toi, qu’est ce que tu fais ?  

Tu ne devrais pas chercher ses agresseurs, plutôt que de rester la à ne rien faire de la journée ?  

Et ne me dis pas que c’est pour mon bien que tu rallonges cette affaire, histoire de me marier ou je ne sais quoi…  

-(Ryo) Et bien fait comme tu veux, si vous voulez aller vous promenez, mais ne vient pas pleurer après.  

-(kaori) Très bien, de toute façon, je suis capable de me débrouiller toute seule.  

Franck, Franck… vous venez nous allons faire un tour, ça vous fera le plus grand bien.  

Mais il faudrait peut être mieux vous déguiser ?  

-(Franck) Pardon ?  

-(kaori) Oui, un chapeau, un manteau, ce genre de chose, quoi !!!  

Franck s’exécuta trop heureux de pouvoir enfin mettre le pied dehors.  

Il partirent tous les deux en direction du parc, pour profiter de cette belle journée.  

Tout se passait pour le mieux, mais kaori restait quand même sur ses gardes.  

-(Franck) Vous devriez vous détendre un peu, je suis bien déguisé et je pense que personne ne me reconnaîtra dans cet accoutrement.  

-(kaori) Oui, c’est vrai, mais je dois quand même faire attention.  

Il passèrent l’après midi sous les arbres à parler de leurs goûts commun, de leur vie, et leur attente.  

-(Franck) Kaori, je voulais vous demander, y a t il quelqu’un dans vote vie, je veux dire un homme ?  

-(kaori) Euh, et bien non, pourquoi cette question ?  

-(Franck) ça fait quelques jours que nous nous côtoyons et j’ai appris à vous connaître un peu mieux.  

Vous êtes une femme merveilleuse, je crois que je vous ai cherchez pendant très longtemps, et je me demandais, si vous ressentiez les mêmes sentiments à mon égard.  

-(kaori) Franck, nous nous connaissons que depuis quelques jours seulement.  

-(Franck) Oui, je sais, mais… Y a t il quelque chose entre vous et M. Saeba ?  

-(kaori) Non  

Il avait posé cette question qui le brûlais depuis un moment, après avoir passé une semaine à vivre avec les deux partenaires, il avait noté, une certaine complicité, puis de la tristesse, et des rires… il y avait quelque chose de presque palpable entre ses deux la, mais il ressentait des sentiments pour kaori, et il la voulait.  

-(Franck) Quand cette affaire sera finie, voulez vous venir vivre avec moi ? Vous savez, vous méritez mieux que cette vie, et mes sentiments pour vous sont purs et sincères.  

Kaori était perplexe, que n’aurait elle pas donné pour que se soit ryo qui lui dise ses mots. Mais cela n’arrivera jamais. Pourquoi ne pas tenter sa chance avec Franck, et avec un peu de temps peut être qu’elle finirait par oublier ryo.  

-(kaori) Je ne sais pas, il faut que j’y réfléchisse.  

-(Franck) D’accord.  

Et sur ces dernières paroles, ils décidèrent de rentrer. Sur le chemin du retour, kaori fut alerté par les crissements de pneus d’une voiture, et se détourna pour voir ce qui se passait.  

A ce moment précis, la porte d’un 4/4 s’ouvrit et un homme empoigna le bras de kaori, et l’attira sans ménagement à l’intérieur de la voiture, qui d’étala aussitôt.  

Franck n’eut même pas le temps de réagir tant l’action fut rapide. Il courut jusqu’à l’appartement pour prévenir ryo de ce qui venait de se produire.  

Celui ci resta très calme, et Franck le fusilla du regard en lui demandant :  

-(Franck) On dirait que ça ne vous fait rien que votre partenaire se soit fait enlever ?  

-(Ryo) Je vous avais prévenue.  

-(Franck) Vous comptez faire quelque chose j’espère ?  

-(Ryo) Arrêter de paniquer, vous me donné mal à la tête, on ira la chercher ce soir.  

-(Franck) Mais vous ne savez même pas ou elle se trouve ?  

-(Ryo) Ne vous inquiétez pas, je vous dis, connaissant kaori, les ravisseurs vont sûrement téléphoner en me demandant de venir la récupérer, tellement il n’en peuvent plus de la supporter !!!  

-(Franck) Vous êtes ignoble, avec elle, c’est une femme comme il n’en existe plus.  

Quand cette histoire sera finie, je l’emmènerai avec moi, elle mérite beaucoup mieux que cette vie.  

Et vous ne l’a méritez pas.  

-(Ryo) Vous ferez comme vous voudrez…  

Sur ceux il disparut dans sa chambre. Ryo était beaucoup moins calme que ce qu’il laissait paraître, mais il s’avait qu’on ne ferait rien à sa partenaire, sous peine d’être tué sur le coup.  

Il avait également été très surpris par les dernières paroles de Franck…  

Il commençai à se sentir menacé par celui-ci, mais il ne pouvait s’empêcher de penser que kaori serait peut être plus heureuse avec un homme qui lui apporterai l’amour qu’elle mérite.  

Quand le téléphone sonna au même moment…  

-(le méchant) Saeba ?  

-(Ryo) Oui.  

-(le méchant) Je vous propose un échange.  

La fille contre Gueuning.  

-(Ryo) Pourquoi Gueuning, il ne vous a pas dénoncez et il ne compte pas le faire ?  

-(le méchant) Ceci n’est pas votre problème.  

Nous vous connaissons de réputation et savons que si il arrivait quelque chose à la fille, tu nous poursuivrais jusqu’en enfer, alors rasure toi, elle n’a rien et on ne lui fera aucun mal.  

-(Ryo) Je peux lui parler ?  

-(le méchant) Oui.  

-(Ryo) Kaori ?  

-(kaori) Ryo, ne les écoute pas, et protège Franck.  

-(Ryo) C’est bien ce que je comptais faire !!!  

Comment ça va toi ?  

Il fait beau vers chez toi ?  

-(kaori) Tu te fous de moi, mais qu’elle partenaire de pacotille, ryo je vais de tuerrrrr…  

-(le méchant) Ça suffit vous deux. Bon l ‘échange se fera demain soir, je te rappellerai pour te donner l’adresse de la transaction.  

Puis il raccrocha, non sans se demander si c’est deux la était réellement partenaire.  

Comme à son habitude ryo avait soigneusement caché un émetteur dans le corsage de kaori, qui lui permettrait de la retrouver facilement.  

Il sortit donc le traceur, pour la localiser.  

Apparemment, elle devait se trouver en dehors de la ville, sur ment dans une planque ou une maison isolée.  

Il en était là de ses réflexions quand il entendit frapper à la porte d’entrée.  

Il descendit rapidement, au cas ou le don juan de pacotille qu’il devait protéger n’est la bonne idée d’aller ouvrir la porte. Vu qu’il n’attendait personne, il préféra se méfier.  

Les coups redoublèrent et ryo se plaça sur le coté de la porte, son magnum à la main, et ouvrit celle-ci d’un geste énergique.  

-(Ryo) Umibôzu ? Mais qu’est ce que tu viens faire ici ?  

-(Umibôzu) Je venais voir si tu avais besoin d’un coup de main pour la petite. Vu que tu n’es même pas fichu de la protéger, je me suis dis que tu aurais besoin de renfort pour aller la chercher.  

-(Ryo) Je te signale, que j’ai été engagé pour protéger Gueuning et non kaori, donc je n’ai commis aucune faute, espèce vieux poulpe quinquagénaire !!!  

-(Umibôzu) Nettoyeur de seconde zone, t’es même pas fichu de surveiller deux personnes à la fois…  

-(Ryo) Grrrrrrr !!!  

-(Umibôzu) Bon laisse moi rentrer.  

Ryo, se poussa pour laisser rentrer l’éléphant. Franck quand à lui n’en revenait pas que les deux hommes puissent agir aussi légèrement fasse à la situation.  

Umibôzu s’installa dans le canapé et demanda :  

-(Umibôzu) Bon qu’est ce que tu comptes faire Ryo ?  

-(Ryo) Elle se trouve à l’extérieur de la ville, je compte y faire un tour ce soir.  

-(Umibôzu) Mon indic m’a mit au courant, apparemment, elle se trouve dans la propriété du Cartel d’Okaido.  

Le système de sécurité y a été renforcé, et ils n’ont pas lésiné sur les gardes.  

En plus ils ont fait appel à l’Ange noir.  

-(Ryo) Merci pour le tuyau, tu peux rentrer auprès de miki maintenant.  

-(Umibôzu) Ryo, ça va être plus compliqué d’aller la chercher, je viens avec toi, on ne sera pas trop de deux.  

-(Ryo) Non mais dis donc tu t’ennuie ou quoi ?  

-(Umibôzu) La ferme !!!  

-(Ryo) Bon, comme tu voudras mais si il t’arrive quelque chose, ne t’inquiète pas je prendrais soin de ta chère petite femme.  

Bon je monte récupérer le traceur et j’arrive.  

Franck regarda le nettoyeur se diriger vers sa chambre, et se retourna vers Umibôzu.  

-(Franck) Vous avez l’air d’apprécier kaori, comment pouvez vous la laisser avec cet homme ? Je ne suis même pas sure qu’il puisse aller la sauver.  

L’éléphant ne bougea pas d’un cil, les bras croisés et regarda dans la direction de la voie de Franck.  

-(Umibôzu) Vous ne connaissez rien de leur vie, et surtout, vous n’avez aucune idée de qui est ryo.  

Et pour répondre à votre question, oui je l’apprécie énormément.  

Hideyuki, le meilleur ami de ryo qui est également le frère de kaori, l’a confié à celui-ci juste avant sa mort.  

Et connaissant ryo, il ne laissera jamais quiconque faire du mal à kaori.  

Alors je serai vous, je resterai en dehors de tout ça.  

Franck était surpris, et à voir l’expression d’Umibôzu, il n’avait pas l’air de plaisanter.  

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