Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 9 capitoli

Pubblicato: 22-07-08

Ultimo aggiornamento: 07-03-15

 

Commenti: 35 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Ryô tombe dans le coma en sauvant une enfant, tout le monde est inquiet pour lui mais quand il se réveille, il n’est pas exactement à l’endroit où il s’attendait... En fait, il a regardé "Robin des Bois" avant de se coucher la veille, et il se retrouve dans l’histoire...

 

Disclaimer: Les personnages de "Ryô des Bois" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Certaines scènes sont la propriété des producteurs du film "Robin des Bois, Prince des Voleurs"

 

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   Fanfiction :: Ryô des Bois

 

Capitolo 2 :: Chapitre 2

Pubblicato: 01-08-08 - Ultimo aggiornamento: 01-08-08

Commenti: Salut tout le monde, me voilà avec le 2ème chapitre de cette fic un peu délirante. Je vous remercie de vos reviews, je vois avec plaisir que je ne suis pas la seule à aimer ce film. Donc notre Ryô continue à évoluer dans ce monde qu'il ne connaît pas mais où il croise pleins de visages connus... J'espère que ça vous plaira. Je remercie ma Superbeta, ma Nanou, qui malgré la crève a corrigé mon chapitre, je lui fais pleins de gros poutoux en espèrant qu'elle va vite pêter la forme ;) Bon, je vous laisse lire tranquille et je vous dis à très bientôt ;)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9


 

Quand ils arrivèrent enfin sur les terres de Hideyuki Makimura, ils constatèrent que tout avait l’air bien désolé. Ils n’avaient croisé personne en chemin et Ryô commençait à se poser des questions sur ce qu’ils allaient trouver en arrivant à destination.  

 

- Tu es sûr qu’on va trouver quelqu’un chez toi ? fit Ryô à son ami.  

- Pourquoi dis-tu cela ? répondit Hide étonné.  

- Eh bien, on dirait qu’il n’y a pas âme qui vive dans le coin.  

- Ne t’inquiète donc pas, arrivés au château nous serons bien accueillis et nous festoierons avec ma famille !  

- Tu crois vraiment qu’on va nous laisser rentrer avec la dégaine qu’on se traîne ?  

- La quoi ?  

- Euh, nos atours ne sont pas de la première fraîcheur, on est à faire peur ! (NDB : lol)  

- Mais non, dès que je dirais que je suis de retour, on nous accueillera à bras ouverts !  

- Justement, tu ferais peut-être mieux de taire ton identité, il ne fait pas bon être un revenant par ici, t’as vu ce qu’on a trouvé chez moi !  

- Bon eh bien, nous attendrons d’être face à ma mère pour être plus sûr, si cela peut te rassurer.  

- Je pense, en effet, qu’il vaut mieux être prudent. Moi, on sait que je suis là, je me présenterais et je dirais que je viens de ta part.  

- C’est ridicule…  

- On ne sait jamais !  

- Si tu le dis, fit Hide en soufflant.  

 

Quelques heures plus tard, ils virent se profiler à l’horizon la demeure de la famille Makimura. Ryô se dit qu’au moins, ce château n’était pas en cendres, il avait peut-être, en plus, une chance d’y trouver Kaori.  

 

Arrivés devant la porte, ils cognèrent contre le battant où se trouvait une petite fente qui s’ouvrit rapidement, ils aperçurent brièvement des yeux et on leur dit qu’on n’ouvrait plus aux mendiants et on referma.  

 

- Charmante l’hospitalité chez toi ! dit Ryô en rigolant.  

- Tais-toi ! répondit son ami en frappant à nouveau à la porte et en demandant si sa grâce était là.  

- Peut-être ben que oui, peut-être ben que non, rétorqua la voix avant de refermer l’ouverture, lui coinçant les doigts dedans. (NDB : Aïe ! Pauvre Hide…ils sont tarés là-dedans !)  

- Laisse-moi faire, fit Ryô, en écartant son ami qui avait failli se faire amputer d’une main.  

 

Il frappa à son tour et demanda à ce qu’on dise à l’intérieur que Ryô Saeba était là pour remettre un message à Mademoiselle Makimura. L’ouverture se referma aussi vite que précédemment.  

 

Makimura fulminait, il jurait qu’il allait corriger cette servante pour ne même pas l’avoir reconnu ; il remit sur le tapis qu’il aurait dû s’annoncer mais Ryô lui dit qu’il ne valait mieux pas. Vu l’accueil, qui sait ce qu’il pouvait s’attendre à trouver à l’intérieur.  

 

Il en était là de ses réflexions quand la porte s’entrouvrit et la servante passa la tête par l’embrasure ; elle les regarda tous les trois avant de s’adresser à Ryô.  

 

- Vous pouvez entrer mais sans arme, fit-elle. Ils enlevèrent tous les trois leurs armes, quand elle rajouta : lui seulement, en montrant Ryô.  

- Très bien, attendez-moi là, fit Ryô à ses compagnons. Hide, je t’en prie, garde ton sang-froid, je sais que ça t’énerve mais on ne sait jamais, j’aurais peut-être besoin que tu viennes à mon aide si c’est un piège, glissa-t-il à l’oreille de son ami.  

- D’accord, fais attention, lui souffla Makimura.  

 

Ryô fut introduit dans une grande salle et la servante lui indiqua l’endroit où il devait attendre. Il attendait depuis un petit moment déjà quand il entendit une voix qui provenait des hauteurs, il leva la tête vers une sorte de balcon et vit une ombre.  

- Qui êtes-vous ? fit la voix de femme.  

- Ryô Saeba.  

- Ryô Saeba est mort.  

- Je trouve que je me porte plutôt bien.  

- Avancez-vous dans la lumière ! Tournez-vous pour je vous vois. Ryô s’exécuta et demanda s’il faudrait qu’il danse. La voix lui répondit que le Ryô Saeba qu’elle avait connu n’était qu’un sale garnement qui ne songeait qu’à faire ripaille ! (NDB : Hum, quelle réputation ! lol)  

- On peut changer, se défendit Ryô. Puis-je savoir à mon tour à qui j’ai l’honneur ?  

- Je suis Dame Kaori !  

- Puis-je vous voir, à mon tour, afin de reconnaître celle que j’ai connue jadis ? tenta-t-il.  

 

La femme sortit de l’ombre et Ryô faillit s’étrangler sur place. Ce n’était pas du tout sa Kaori. Pourtant il ne connaissait que trop bien ce visage et il ne savait qu’en penser ; qu’est-ce que Saeko foutait là et pourquoi elle se faisait passer pour Kaori ?  

 

- Toujours aussi belle, Mademoiselle Kaori, insista Ryô.  

- Merci mais vous comprendrez qu’en l’absence du Roi, nous ne pouvons faire confiance à n’importe quel étranger qui pourrait s’en prendre à sa cousine ! Vous pouvez partir ! fit Saeko toujours sur le même ton.  

- Mais j’ai promis de vous protéger, fit-il tout en sentant la lame d’une épée pointée contre son dos.  

- Comme vous pouvez le voir, je n’ai nullement besoin d’être protégée, fit elle tout en reculant dans l’ombre.  

- Vous êtes désarmante, fit Ryô avant de se retourner vers son assaillant masqué et de le pousser contre le mur. Et toi mon pote, tu manques pas de culot de t’attaquer à un mec désarmé ! fit-il en le chargeant.  

 

Surpris, son adversaire recula mais reprit vite l’avantage car il était armé, contrairement à notre ami. Ce dernier essaya de l’occuper en lui balançant tout ce qui lui tombait sous la main, mais rien n’y faisait, l’autre réduisait tout en charpie.  

 

Entendant le bruit de la lutte menée à l’intérieur, Hideyuki et Duncan commencèrent à essayer d’enfoncer la porte pour aider leur ami. Ryô évitait les coups d’épée assez facilement mais il n’arrivait toujours pas à désarmer son assaillant. Il esquiva un dernier coup avant d’arriver à le plaquer contre le mur et lui mit de force le bras au dessus d’une bougie, afin de lui faire lâcher son arme.  

 

L’assaillant cria en se brûlant, Ryô reconnu cette voix et lui enleva son masque. A ce moment là, Hideyuki parvint à forcer la porte ; Ryô se détourna un instant et ce répit suffit à son attaquante pour l’écraser contre le plancher. Hideyuki resta interloqué tandis qu’une femme qu’il ne connaissait pas fonçait sur lui d’un air menaçant, munie d’un couteau. Ryô parvint à pousser la massue qu’il avait prise sur la tête et tout le monde s’arrêta net quand il parvint à articuler une phrase pas très compréhensible  

 

- Monfour Paori (Traduction : Bonjour Kaori), articula-t-il avant de retomber à la renverse.  

- Kaori ! fit aussitôt Hideyuki, c’est toi ?  

- Hide ! Tu es revenu ? Tu es vivant ? fit la jeune femme en sautant dans les bras de son frère tandis que l’autre femme rangeait son poignard en comprenant qu’il ne s’agissait pas d’un ennemi.  

- Ma petite sœur adorée ! Mais qu’est-ce que c’est que cet accoutrement ? fit Hide en regardant mieux sa sœur.  

- Disons que les hommes étant une espèce rare au château, il faut bien donner le change et faire croire qu’il y en a quand même un ici pour défendre la demeure.  

- Toujours un sacré caractère !  

- Et un bon coup de massue, ajouta Ryô qui venait de reprendre ses esprits.  

- Désolée, mais je ne pouvais pas deviner que mon frère était avec vous, fit Kaori.  

- Ben voyons, la bonne excuse…  

- Je vous demande pardon ?  

- J’ai rien dit, abandonna Ryô.  

- Mais qui est cette jeune femme ? fit Hide en montrant Saeko.  

- Oh, c’est une amie, répondit Kaori.  

- Vraiment ? J’ai cru qu’elle allait me tailler en pièces ! fit Hide.  

- Excusez-moi, j’ignorais qui vous étiez donc je voulais protéger Kaori.  

- Ah, dans ce cas, je ne peux vous en vouloir, charmante demoiselle, fit Hideyuki tout sourire, sous l’œil amusé de Ryô.  

- J’aimerais tout de même savoir ce que Mademoiselle Saeko Nogami fiche ici, moi, intervint Ryô.  

- Vous vous connaissez ? dit Kaori étonnée.  

- Il semblerait que oui, fit Saeko, puisque ce monsieur connaît mon véritable nom.  

- Ton véritable nom ? répéta un Ryô étonné.  

- Oui, pour l’instant je me fais appeler Sarah, et je suis censée être la servante de Kaori.  

- Mais en réalité… fit Ryô pour la pousser à en dire plus.  

- Je suis la fille du précédent Shérif qui est mort mystérieusement, je suis sûre que ce Kaïbara l’a tué pour prendre sa place et j’ai juré de le venger.  

- Le nouveau Shérif s’appelle Kaïbara ? fit Ryô perplexe.  

- Oui, mais ça vous ne pouviez pas le savoir, vous étiez en train de vous amuser à guerroyer pendant qu’il a mis le comté sous sa coupe.  

- Eh oh, doucement ! fit Ryô n’aimant pas trop qu’on l’attaque comme ça.  

- Certes, nous n’étions pas là, mais imaginez qu’à notre retour, on a eu de nombreuses surprises, fit Hide à son tour. A commencer par la maison de Ryô, le corps de son père et les divagations de ce pauvre Duncan.  

- Il ne faut pas croire ce qu’on dit sur votre père, fit Kaori en s’adressant à Ryô.  

- Mais je ne le crois pas…  

 

Soudain, une jeune femme accourut dans la pièce, toute essoufflée ; Ryô la reconnut immédiatement et se demanda s’il allait encore rencontrer des têtes connues sur son chemin.  

 

- Kazue, mais que se passe-t-il ? demanda Kaori à la jeune femme.  

- Kazue ? Tu veux dire, notre cousine ? fit Hide. Mais qu’est-ce qu’elle fait là ?  

- Elle se cache tout comme Saeko mais là n’est pas le problème.  

- Les soldats, ils viennent ici, je les ai vus quand j’étais dans le jardin, ils sont armés.  

- Mais pourquoi ? se demanda Kaori.  

- Je crois qu’ils viennent pour nous, fit Ryô en grimaçant. On leur a foutu une raclée ce matin.  

- C’est bien les hommes ça ! Et c’est comme ça que vous êtes censés nous protéger ? hurla Kaori.  

- Désolée Soeurette, on pouvait pas deviner mais on va se battre.  

- Vous allez ficher le camp, oui !  

- Mais je ne peux pas te laisser seule !  

- Arrête de faire l’idiot, ils vont vous tuer, filez !  

- A vos ordres, Mademoiselle Kaori, fit Ryô en tirant ses deux compagnons derrière lui.  

 

Ils foncèrent dans la cour et empruntèrent des chevaux avant de filer, bientôt suivi par les soldats avec à leur tête Guy de Guysbourne. Ce dernier s’arrêta quelques instants à la hauteur de Kaori, qui avait vite enfilé un manteau par-dessus sa tenue d’homme.  

- Vous recevez des hors-la-loi, Milady ?  

- Vous voyez bien qu’ils sont venus me voler.  

- Il est heureux qu’ils ne vous ait volé votre vertu, rétorqua-t-il avant de suivre ses hommes à la poursuite des fugitifs. (NDB : oh, le goujat !)  

 

Ryô avait pris Duncan derrière lui sur son cheval et Hide avait sa monture blessée par une flèche. Ils avaient un peu d’avance mais dans les conditions actuelles, ils avaient peu de chance d’échapper à leurs poursuivants. Ryô regarda de tous les côtés et opta pour se cacher dans les bois. Duncan protesta en disant que la forêt était hantée.  

 

- Quitte à choisir, je préfère les fantômes, allez, on y va !  

- Tu as raison, fit Hide en talonnant son cheval pour le suivre.  

 

Ils pénétrèrent dans la forêt et attendirent cachés ; Guysbourne s’égosillait devant les bois car aucun de ses hommes ne voulaient continuer la chasse à cause des spectres. Ne pouvant rien faire d’autre, il abandonna tout en balançant des horreurs à Ryô sur la façon dont son père était mort. Ce dernier ne bougea pas mais en lui-même il se dit que ce connard ne perdait rien pour attendre.  

 

Ils reprirent donc leur chemin en traversant la forêt de Sherwood, ils entendirent des bruits étranges mais ils découvrirent bientôt que les spectres étaient en fait des harpes éoliennes, un jouet d’enfant habilement utilisé. Hideyuki rigola de ce subterfuge mais Ryô ne dit rien, il sentait que cette forêt cachait quelque chose, il avait l’impression d’être observé, il en était sûr.  

 

Ils n’étaient sûrement pas au bout de leurs surprises…  

 

 


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