Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 9 capitoli

Pubblicato: 22-07-08

Ultimo aggiornamento: 07-03-15

 

Commenti: 35 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Ryô tombe dans le coma en sauvant une enfant, tout le monde est inquiet pour lui mais quand il se réveille, il n’est pas exactement à l’endroit où il s’attendait... En fait, il a regardé "Robin des Bois" avant de se coucher la veille, et il se retrouve dans l’histoire...

 

Disclaimer: Les personnages de "Ryô des Bois" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Certaines scènes sont la propriété des producteurs du film "Robin des Bois, Prince des Voleurs"

 

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   Fanfiction :: Ryô des Bois

 

Capitolo 3 :: Chapitre 3

Pubblicato: 18-08-08 - Ultimo aggiornamento: 18-08-08

Commenti: Hello, everybody, hello :D Me voilà avec le chapitre 3, je continue mon petit délire et j'espère que ça vous plaira, en tout cas, merci beaucoup pour vos reviews :D De nouveaux personnages connus pointent leur nez et l'une d'entre vous ne sera pas surprise car dans sa review elle m'en parlait, à croire que les grands esprits se rencontrent MDR... Un grand merci à ma Superstar qui prend le temps de corriger mes bêtises ;) Bonne Lecture et à bientôt ;)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9


 

Nos amis continuaient tranquillement leur traversée de la forêt quand ils atteignirent une rivière. Ils mirent pied à terre et Ryô aida Duncan à descendre de la monture avant de le confier à Hide sous le prétexte qu’il ne voulait pas aller le chercher s’il tombait à l’eau.  

 

Puis il se dirigea vers la rivière en leur disant qu’il allait voir s’ils pouvaient traverser. Il sortit son épée et commença à traverser tout en tâtant la profondeur de l’eau. Soudain, alors qu’il se tournait vers ses compagnons pour leur dire qu’à priori, ils pourraient passer, une corde se tendit et il tomba dans la rivière.  

 

Il se demandait qui avait bien pu lui jouer un tour pareil quand une voix chantonnante parvint jusqu’à ses oreilles.  

 

- Un jour, un riche damoiseau, une rivière traverse, mais ce couillon tombe à l’eau et se trempe les fesses. (NDB : MDR !)  

- Nom de Dieu ! s’exclama Ryô en reconnaissant la voix. J’aurais dû me douter qu’il n’y avait qu’un crétin d’amerloque comme toi pour t’amuser à des conneries pareilles !  

- Bonjour, Messire, désolé pour la petite plaisanterie, répliqua celui qui se tenait à l’autre bout de la corde et qui n’était autre que Mick, mais visiblement il ne connaissait pas Ryô. Cette rivière est à nous et toute personne qui souhaite la traverser doit payer la taxe.  

- Quelle taxe, espèce de débile ? Tu veux mon blé pour aller faire le tour des cabarets, tu peux toujours te brosser !  

- Visiblement, vous n’êtes pas d’accord, rétorqua Mick en interprétant ce drôle de langage comme un refus.  

- En plein dans le mille, mon pote ! Alors tu comptes faire quoi ?  

- Moi, rien, tu vas en discuter avec notre chef, répondit le blondinet en rigolant tandis que toute une bande sortait des buissons, bientôt devancé par un géant que ne connaissait que trop bien notre nettoyeur.  

- Tête de Poulpe ! fit Ryô en éclatant de rire.  

- Dis donc l’avorton, pour qui tu te prends ? Ici, c’est moi le chef et si tu veux passer il va te falloir payer la taxe !  

- Désolé, mais j’ai pas un radis sur moi !  

- De quoi ? Qui te parle de légumes, on te parle d’or ou de bijoux, de tout ce qui pourrait avoir de la valeur sur toi. (NDB : lol)  

- J’ai rien du tout ! fit Ryô avec un grand sourire.  

- L’homme qui voyage avec deux serviteurs et qui se dit pauvre est soit un menteur soit un idiot !  

- Il est les deux, rajouta Mick en fanfaronnant.  

- Toi, tu la fermes ! s’écria Ryô avec un regard mauvais vers l’amerloque.  

- Je n’ai pas de serviteurs, ce sont mes amis et eux non plus n’ont rien sur eux, alors on fait comment ?  

- Eh bien, essaie de me battre ! lui proposa t-il en lui tendant un gros bâton tandis qu’un jeune gamin venait lui en donner un autre. Si tu y arrives, je te laisserais passer, sinon vous repartirez à pied.  

- Père, fais attention, il a battu plusieurs hommes du shérif ce matin !  

- T’inquiète pas pour ça, fit Falcon.  

- Eh toi, fit Ryô, interpellant le gamin qui était en fait celui qu’ils avaient sauvé de Guysbourne. C’est ton père ? Le gamin fit « oui » de la tête avec un grand sourire et s’enfuit. Alors là je rêve, je sauve la vie de ton mioche et tu vas me taper dessus avec un bâton, autant me filer un coup de bazooka !  

- Cesse de babiller comme une femme et bats-toi ! gronda Falcon en lui balançant le premier coup directement sur les doigts.  

- Aïeuh ! fit Ryô. Tu m’as fait mal espèce de grosse brute !  

- Défends-toi dans ce cas !  

- D’accord, répondit Ryô en lui balançant un coup à son tour mais en le loupant. Au fait, fit-il, est ce que ta chère Miki sait que tu as un mioche de cet âge là ?  

- Pourquoi tu parles de ma femme ? Comment tu la connais ?  

- Parce que c’est une exquise jeune femme et que je ne cesse de lui dire de te quitter pour venir vivre avec moi !  

- Quoi ?! fit Falcon en lui balançant un coup sous le menton qui l’envoya valdinguer dans la rivière.  

- Eh ben, t’es susceptible mon gros ! le provoqua Ryô en émergeant de l’eau.  

- Je vais t’écrabouiller la tête ! rugit Falcon en rigolant.  

- Eh Hide, tu peux pas me dégoter un chat dans le coin ? cria Ryô à son ami.  

- Qu’est-ce que tu veux faire d’un chat ?  

- Il en a une trouille pas possible, lui expliqua notre nettoyeur en montrant le géant du doigt avec un air de comploteur.  

- Arrête tes idioties et sois plus agile ! lui conseilla Hide en secouant la tête.  

- Sois plus agile ? T’en as de bonnes, tu veux ma place ?! protesta t-il sans avoir vu venir un autre coup qui le propulsa un peu plus loin dans la rivière.  

- Alors, il est noyé le damoiseau ? demanda Falcon en regardant la surface de l’eau alors que Ryô n’était plus visible. C’est bête, je me serais bien amusé plus longtemps fit-il à la cantonade avant de sentir quelque chose entre ses jambes qui le tira dans l’eau.  

- Alors on fait moins le malin ? fit Ryô en le maintenant sous l’eau.  

- Arrête, je ne sais pas nager ! lui cria Falcon tout rouge.  

- C’est donc ça, ici, c’est l’eau qui te fait peur.  

- Oui, arrête, je t’en prie !  

- Tu en as assez ? Eh bien tu n’as qu’à te mettre debout, Tête de Poulpe, tu as pied, crétin !  

- Alors là, on peut dire que tu m’as bien eu ! éclata t-il de rire en se relevant. Dis-moi comment tu t’appelles que je sache à qui je serre la main.  

- Ryô Saeba, se présenta ce dernier en acceptant cette marque de respect.  

- Allez, venez avec nous, vous nous raconterez comment vous avez atterri dans la forêt hantée de Sherwood, les invita Falcon en entraînant son nouvel ami.  

 

Ils suivirent leurs nouveaux amis jusqu’à leur campement et Falcon leur expliqua qu’ils étaient tous des hors la loi, que le shérif avait mis leurs têtes à prix juste parce qu’ils n’avaient pas pu payer toutes les taxes dont il les assommait.  

 

- Pourquoi vous ne vous battez pas ? demanda Hide.  

- Nous ne sommes que des fermiers ! Et puis ce shérif est étrange, il n’est pas comme le précédent. Il est conseillé par une sorcière et on dirait qu’il ne veut que faire le mal, expliqua Falcon.  

- Une sorcière ? répéta Ryô sceptique.  

- Oui, elle jette des sorts et vole, rajouta le gamin perché sur une branche.  

- Arrête de dire des bêtises ! Ça, ce sont des histoires pour faire peur aux enfants ! intervint Falcon.  

- En quoi, nos malheureuses histoires peuvent intéresser le fils d’un homme qui adorait le malin ? interrogea soudain Mick en sortant de derrière un arbre.  

- Mon maître n’a jamais fait ça ! s’écria Duncan, qui ose dire de telles vilénies ?  

- Arrête Duncan, calme-toi ! Puis s’adressant aux autres. Il est vrai qu’on raconte ces choses là mais je tuerai ceux qui y apporteront foi ! Je suis désormais un hors-la-loi, comme vous.  

- Non, tu n’es certainement pas comme nous, tu es noble ! lui balança Mick à la figure.  

- C’est exact, mais le shérif me hait sans même que je ne l’ai croisé une seule fois. C’est d’ailleurs étonnant mais ma noblesse ne change rien au fait qu’il me traque.  

- Tu n’as rien à faire avec nous ! insista Mick d’un air hargneux.  

- Tais-toi, Angel ! intervint Falcon tandis que Mick s’éloignait très énervé. Ne t’en fais pas, il parle beaucoup mais c’est pas un mauvais gars, il n’aime pas beaucoup les nobles.  

- Ca peut se comprendre, vu le contexte actuel, remarqua Ryô.  

- En tout cas, vous êtes les bienvenus dans notre modeste campement, on n’a pas grand-chose mais on est chez nous.  

 

Ryô, Hide et Duncan dormirent donc au campement de Falcon et ses amis. Notre nettoyeur se posait beaucoup de questions, il avait atterri dans une autre époque, parmi les gens qu’il croisait, certains étaient ses amis mais ils vivaient différemment. C’était à devenir fou mais il décida de voir comment les choses évolueraient et de s’adapter en fonction.  

 

Qui sait, peut-être faisait-il un mauvais rêve et qu’il n’allait pas tarder à se réveiller ? Il en était même à la limite de prier pour que ce soit ça. Il finit par s’endormir et se réveilla en sursaut pour réveiller Duncan ; il ne savait pas pourquoi mais en envisageant la prière, il avait pensé à une église et donc avait eu un flash à propos de la messe qui se donnait en ville. Duncan lui confirma qu’il y avait toujours l’office et Ryô décida de s’y rendre.  

 

Il assista à la messe caché dans un coin de l’église et put constater que cette ordure de Kaïbara était là à se pavaner en tant que shérif, accompagné de son cousin et qu’il n’arrêtait pas de regarder Kaori. Cette dernière tentait tant bien que mal de se dérober à son regard en s’enfonçant un peu plus dans son siège, de manière à se retrouver cachée par Saeko.  

 

Quand la messe fut terminée, Kaori demanda à Saeko de donner de l’argent aux pauvres gens qui mendiaient et alla se recueillir devant l’autel de la Vierge. Soudain, elle entendit toussoter et fit comme si elle n’avait rien entendu mais l’importun finit par lui parler.  

 

- Mademoiselle, ayez pitié pour un pauvre aveugle qui ne peut pas voir votre beauté !  

- Vous ? s’écria Kaori en se retournant. Mais vous êtes fou, le shérif veut votre tête, il a même promis une récompense de 500 livres !  

- C’est tout ? répondit Ryô en souriant. Bientôt il donnera plus, disons 1000 !  

- A ce prix là, je vous livrerai moi-même !  

- Ce n’est pas très gentil, Mademoiselle Kaori.  

- Comment va mon frère ? Et qu’est-ce que vous fichez là, on pourrait vous voir !  

- Hide se porte comme un charme, il a préféré faire la grasse mat’ plutôt que de venir avec moi pour voir tout ce beau monde et la tronche de ce shérif de pacotille !  

- La grasse mat’ ? La tronche de pacotille ?  

- Hum, laissez tomber… Hide dormait, mais vous inquiétez pas il est en sécurité.  

- Très bien, maintenant filez, passez par la sacristie, le shérif est de l’autre côté !  

- Merci du conseil ! fit Ryô avec un clin d’œil.  

- Ryô !  

- Quoi ?  

- Faites quelque chose pour moi !  

- Tout ce que vous voulez, ma chère Kaori.  

- Prenez un bain !!  

- Un bain ?  

- Oui, s’il vous plaît, fit-elle en souriant devant son regard perplexe.  

- Pas de problèmes, Milady, que ne ferais-je pas pour vous faire plaisir ! ajouta t-il tout en prenant congé de Kaori avec une courbette.  

 

Le shérif Kaïbara arriva sur cet entrefaite et alla parler à Kaori pour l’informer qu’il était au courant du vol de chevaux ; il lui proposa de venir s’installer à l’abri chez lui pour sa sécurité. Elle dit que ce n’était que des chevaux et qu’elle se sentait parfaitement en sécurité chez elle pour l’instant. Tout en lui parlant elle essaya tant bien que mal de l’attirer à l’opposé de la direction qu’avait pris Ryô. Mais ce dernier continua à se diriger vers la sacristie. Soudain il insista pour lui offrir un présent : un poignard orné de pierres précieuses ; elle le remercia vivement en prenant soin de s’assurer que Ryô n’était plus à portée de vue. Puis elle mit ce misérable cadeau dans la poche de son manteau et rejoignit Saeko pour regagner leur demeure.  

 

Ryô entra dans la sacristie et tomba nez à nez avec le prêtre ; ce dernier fit un bond, comme s’il avait vu un fantôme, ce qui intrigua Ryô. C’est pourquoi il insista en saluant l’homme d’église. Ce dernier lui répondit qu’il l’avait bien connu enfant et qu’il était désolé de ce qui s’était passé par la suite. Notre nettoyeur ne retint pas tout mais le laissa continuer. Il comprit quand l’homme fit allusion à son père. Ce type était un homme d’église mais sûrement le complice de Kaïbara pour faire croire aux gens qu’un homme adorait le diable ; il était sur le point de le corriger quand la porte s’ouvrit sur le shérif. Ryô prit son couteau et lui balafra la joue avant de refermer la porte sur le nouvel arrivant.  

 

Puis, tandis que les hommes du shérif défonçaient la porte, il attrapa la corde du lustre et la coupa ; cette dernière agit comme une poulie et il s’envola vers le haut de la pièce où une petite ouverture lui permit de s’échapper. Kaïbara eut beau vociférer qu’il lui arracherait le cœur avec une petite cuillère, Ryô lui rétorqua qu’il faudrait d’abord qu’il l’attrape et il se sauva. Arrivé sur le bord du toit, il sauta sur un cheval qui se trouvait là et fila. Il assomma un garde avec un sac de pain qu’il vola au passage et rejoignit Sherwood en filant comme le vent.  

 

Quand il arriva, il se fit aussitôt attaquer par Mick car il avait volé le cheval du shérif. Quand Ryô lui rétorqua qu’il l’avait piqué au vif, l’autre apprécia encore moins, prétextant qu’il les mettait tous en danger. Quoiqu’il en soit, personne ne dit rien, trop occupé à se servir dans le sac de pain qu’avait ramené notre nettoyeur.  

 

- Tu aurais pu me prévenir, je serais venu avec toi, c’était dangereux de faire ça ! protesta Hideyuki.  

- Ne t’inquiète donc pas ! Au fait, j’ai vu ta charmante sœur, elle s’inquiétait pour toi.  

- Et qu’est-ce qu’elle t’a dit ?  

- De prendre un bain ! grogna Ryô avec une moue qui fit éclater de rire son ami.  

- Tu croyais vraiment pouvoir charmer ma sœur comme ça ?  

- Charmer ta sœur ! Mais ce n’est pas ce que tu crois !  

- Ce n’est pas grave mais elle t’a bien eu, avoue-le !  

- C’est vrai, répondit Ryô en souriant à son ami.  

 

Notre nettoyeur avait enfin rencontré l’ennemi à abattre et il se ferait un plaisir de le harceler d’autant qu’il n’appréciait pas trop le fait que Kaïbara lorgne ainsi sur sa Kaori.  

 

Sa Kaori…ça l’amusait de l’appeler comme ça. Ce petit jeu de charme avec elle n’était pas pour lui déplaire, ici il n’était pas un tueur, il était quelqu’un de normal, enfin, aux yeux des autres et il se voyait bien lui servir de chevalier servant sans se soucier des conséquences. Il se disait qu’il avait peut-être enfin le droit de l’aimer… (NDB : arf, c’est trop beau ma Bougnate ! ^_^)  

 

 


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