Capitolo 15 :: Du nouveau.

Pubblicato: 12-06-04 - Ultimo aggiornamento: 12-06-04

Commenti: Bonjour, waouh enfin un nouveau chapitre. Je vais vous faire un petit résumé: Haruka, une amie de Ryo et Kaori, est bléssé lors de son mariage. Ryo sera lui aussi blessé mais il sera vite remis. L'affaire est lié à la famille d'Haruka mais aussi celle de Ryo! Ryo décide d'aller voir sa tante qui est à l'origine d el'affaire. Ryo decouvre de nouveaux éléments qui le concerne, que fera-t-il? Envoyez moi pleins de review!!!!!Bonne lecture.

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23

L’entreprise Yakudo.  

Marc était dans cet endroit depuis un certain temps déjà. On ne l’avait informé de rien. On lui avait seulement dit que le grand patron voulait lui parler. D’ailleurs, c’était ses deux gardes du corps qui étaient venu l’arrêter, juste après l’explosion de l’armurerie. Cette cellule se trouvait dans le sous-sol du manoir, l’éclairage y était faible. Au moment où il réfléchissait à ce qu’il pouvait bien se passer au dehors, il entendit des bruits de pas. Ils se dirigeaient vers lui. C’était l’heure de l’interrogatoire. Les deux hommes, qui venaient le chercher, étaient les mêmes que ceux qui l’avaient enfermé dans cet endroit. Ils étaient connus pour leur violence et leur fidélité à leur patron. Marc savait qu’il ne devait pas protester et ne rien tenter au risque de ne pas arriver entier en haut du manoir. Les deux hommes attachèrent ses mains derrière le dos et le conduisirent chez leur patron. Ils montèrent plusieurs escalier, traversent plusieurs couloirs et enfin le bureau où son avenir était écrit. Sur la porte, des lettres noir signifiant le nom Yakudo. Un des deux hommes frappa à la porte, un « entrez » se fit entendre. Le deuxième homme poussa Marc à l’intérieur.  

Devant lui se trouvait Yakudo assis à son bureau. A coté de lui son bras droit. C’était un homme mystérieux que personne ne connaissait vraiment pourtant le patron paraissait lui accorder toute sa confiance.  

Yakudo fit signe de le détacher et il prit la parole :  

« - Bien, Marc, désolé de ce séjour mais j’ai eu des affaires à régler après cette petite explosion, dirons-nous.  

- …  

- Vous savez pourquoi vous etes là ?  

- Non, monsieur.  

- On a retrouvé prés de l’armurerie des boutons de manchette gravés à ton nom !  

Yakudo ouvrit un tiroir et sortit les boutons d’un sachet.  

- C’est bien les votres ?  

- Oui, monsieur mais je les ai perdus. Ou on me les a volés car je ne les ai pu depuis un mois. Je n’ai rein à voir avec l’explosion, croyez-moi, dit-il blêmissant.  

- Pourquoi je te croirai ?  

- Je…je suis le fils d’un de vos associés, pourquoi je ferai exploser ce qui me rapporte.  

- Peut être as-tu eu envie de diriger ta propre entreprise et que pour cela tu devais m’éliminer !  

- Non, non, je vous assure. Je ne ferai jamais ça !  

- …  

- Je sui un de vos fidèle soldat.  

- Tu sais quoi ? je te crois. Connaissant ton père, il te punirait chèrement si tu avais tenté de détruire mon entreprise. Et je crois pas que tu aurais pu manipuler autant d’explosif. c’est quelqu’un qui s’y connaît. Mais une question est en suspens : qui est l’auteur de cette explosion ?  

Relâchez-le mais gardez le sous surveillance permanente.  

- Meri de m’accorder votre confiance, dit-il en s’inclinant.  

- Raccompagnez-le ! »  

Les trois hommes sortirent. Yakudo se tourna vers son homme de main.  

« - Mauie, qu’en dites-vous ?  

- Je suis d’accord avec votre décision de le libérer. D’autant que tous vos ennemis auraient pu commanditer l’explosion.  

- Et au sujet de l’armurerie, quand sera-t-elle opérationnelle ?  

- Dans une semaine au maximum.  

- Et les héritiers ?  

- Saeba et Haruka sont toujours mal en point.  

- Bien, dans une semaine la corporation Hunke sera à moi. »  

L’homme de main prit congé et parcoura une vingtaine de kilomètres avec sa voiture. Il s’arrêta devant une cabine téléphonique et décrocha le combiné.  

«- Madame ?  

- Oui, les nouvelles ?  

- Ils ne se doutent toujours pas que Saeba est chez vous. Et ils préparent une attaque d’ici peu. Quels sont vos ordres ?  

- Pour le moment ne bougez pas où ils commenceront à avoir de soupçons. Apres l’explosion ça ferait beaucoup. Quand vous aurez des informations sur l’opération appelez-moi. »  

Elle raccrocha. Il profita, lui, un peu du calme que lui conférait l’endroit avant de retourner dans ce conflit.  

L’hôpital.  

Mick et Umi discutaient avec James, attendant l’arrivée de Saeko.  

L’état de Haruka s’améliorait. Un bruit de talon fit tourner la tête de Mick qui vit son inspectrice préférée au bout du couloir.  

« - AIE ! Tu arrives en retard et en plus tu me frappe !  

- Tu n’as qu’à pas te jeter sur moi !  

- Stop vous deux, c’est pas le moment de vous chamailler ! dit Umi. On peut y aller Saeko ?  

- Oui, suivez-moi !  

- Mick, ne fais pas ça, dit Umi qui le tenait par le pantalon.  

- Mais euh ! c’est elle qui marche devant moi.  

- C’est ici, je vous laisse un quart d’heure.  

- C’est suffisant !dit Umi. »  

Umi et Mick pénétrèrent dans la chambre. L’homme était assis sur le bord du lit. Il regardait dehors, ne se souvenant d’aucuns des derniers évènements de sa vie.  

Il se retourna vers eux :  

« - Qui etes vous ?  

- Moi c’est Umi et lui c’est Mick.  

- Et ?  

- On est des amis de la personne que tu as agressé.  

- Je me souviens de rien !  

- C’est ce que nous allons voir !  

- Quel est ton nom ?  

- Aucune idée.  

- Pourquoi tu es venu ici ?  

- Aucune idée.  

- Pour qui travailles-tu ?  

- Aucune idée.  

- Tu commences à m’énerver ! dit Mick le prenant par le col.  

- Attend ! Une seule question de quoi te souviens-tu ? et tu as intérêt à être sincère où je laisse mon ami se défouler, dit Umi.  

- Je ne me souviens que d’un élément : une marque en forme de H.  

- Ok, on va pas aller loin avec ça ! dit Mick.  

- C’est toujours ça.  

- Si tu nous cache quelque chose, gare à toi ! »  

Mick, suivi d’Umi sortirent de la chambre.  

« -Qu’avez vous appris ?  

- Rien à part qu’il se souvient d’une marque en forme de H. Mais ça peut être un souvenir qui ne fait pas parti de notre affaire.  

- Oui, mais on peut toujours chercher de ce coté là, dit Umi.  

- Encore merci Saeko. »  

Les trois personnages repartirent chacun de leur coté, chercher des indices sur ce nouvel élément.  

Corporation Hunke.  

Yuka venait de raccrocher le combiné du téléphone de son bureau quand elle entendit Ryo entrer dans le salon.  

Elle se précipita vers lui :  

« - Ryo, vous allez bien ?  

- Oui, merci. Tenez.  

- Gardez les encore un peu, s’il vous plait.  

- Merci.  

- Bon mes amis je vous laisse, j’ai des affaires à régler. On se retrouve pour le dîner. Profiter de la maison. C’est chez vous, dit-elle en regardant Ryo.  

- Moi, je vais aller dans ma chambre. A tout à l’heure les jeunes, dit le grand-père. »  

Ryo et Kaori étaient seul. Elle le dévisageait et elle ressentait combien il doutait. Il était perdu dans ses pensées, et il ne prêtait aucune attention à sa partenaire. Kaori lui posa la main sur le bras.  

Il se retourna vers elle :  

« - Excuse-moi Kaori, j’étais dans mes pensées.  

- Tu veux en parler ? je sais que c’est pas ton genre mais tu sais ça peut t’aider. »  

Il lui sourit.  

« - Tu sais, je ne croyais pas du tout au fait que c’était ma famille, depuis le début je croyais que quelqu’un essayait simplement de me déstabiliser. Mais en observant ces photos, c’est si troublant !  

- Je peux ? demanda t-elle en désignant les albums photos.  

- Oui, bien sur. »  

Elle commença à le feuilleter. Elle commença à ressentir le meme trouble que Ryo. Ces visages, tout, lui rappelaient l’homme qu’elle aimait. Elle comprenait pourquoi Ryo était si déconcerté, lui qui pourtant était toujours sur de lui.  

« - Ryo, c’est…  

- Quand je regarde ces photos, je ressens de la peine mais en meme temps de la joie. Comme si je me souvenais des moments passés avec eux. Mais c’est si flou. Ces deux visages, pourtant, me paraissent si familiers.  

- Ryo, que feras-tu si c’est ta famille ?  

- Je ne sais pas. Je sais c’est que je travaille dans un monde dangereux et qu’ils risquent d’être en danger.  

- Ryo, ne les fuis pas s’il te plait ! Tus ais quand j’ai retrouvé ma sœur, j’ai ressenti une telle sérénité.  

- Kaori, je comprends mais moi ma seule famille ça n’a toujours été que toi. Je…je suis perdu.  

- Ryo ! merci Ryo ça me touche beaucoup. Tu peux compter sur moi, on découvrira la vérité ensemble, d’accord ? On reste encore un peu ?  

- …  

- Ryo ?  

- Oui, dit-il en lui prenant la main. »  

La porte du salon était restée entrouverte. On pouvait apercevoir une personne cachée derrière, qui les écoutaient. Quand elle s’éloigna de la pièce, cette personne prononça une menace :  

« Je dois me débarrasser de cette fille. »  

Enfin, elle sortit.  

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23