Capitolo 9 :: La taupe

Pubblicato: 16-11-03 - Ultimo aggiornamento: 16-11-03

Commenti: Salut, merci aux personnes qui m'ont encouragé. Ca m'a fait trés plaisir. Je sais que ma fanfic n'est pas aussi bien que certaine mais j'essaie de faire ce que je peux. Merci aux lecteurs de me lire.

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Mick prit aussitôt le pouls de son ami, il était faible mais son cœur battait encore. Il devait agir tés vite sous peine de le perdre. Après lui avoir fait un garrot à sa jambe pour arrêter l’hémorragie, il prit Ryo dans ses bras pestant contre le poids de son ami. Il le transporta jusqu’à sa voiture et le déposa sur la banquette arrière. Mick se mit au volant et au moment de tourner la clé il vit son ami par l’intermédiaire u rétroviseur. Ryo était salement amoché : sa jambe saignait beaucoup, il semblait avoir eu aussi un choc à la tête et divers morceau de fer s’étaient incrustés dans son bras.  

Mick dit tout haut, en ayant l’espoir que son ami entendrai :  

« Allez vieux, c’est pas encore l’heure de partir. T'as pas fini de me supporter! »  

Mick tourna la clé et démarra en trombe. Il ne respecta aucune signalisation et ne vit pas les gestes que lui firent plusieurs automobilistes. La vie de son ami était en jeu.  

L’hôpital.  

Kaori venait de sortir de la chambre d’Haruka. Elle se dirigea vers James et le grand-père qui buvaient un café. Aucuns sons ne parvenaient à sortir de la bouche de Kaori. Elle ne savait quoi dire pour le réconforter. Le grand-père entama le premier la discussion demandant à Kaori si Ryo avait du nouveau.  

Malheureusement elle ne pouvait lui fournir aucune information, elle meme ne sachant rien à ce sujet.  

Mais en voyant les visages des deux hommes se refermés d’autant plus, elle essaya de leur remonter le moral en leur disant que Ryo était parti tôt ce matin mener son enquête et qu’il devait sûrement avoir découvert un indice maintenant.  

Le moral de James était au plus bas. Mais aucuns n’arrivaient à le réconforter ressentant eux meme la meme douleur. En fin d’après midi, Kaori décida de quitter les deux hommes. E aussi de quitter l’atmosphère pesant qu’ont les hôpitaux. Lorsqu’elle allait franchire le hall d’entrée, le grand-père la retint. Il était essoufflé.  

« - Vous allez vite à marcher, j’ai du courir pour vous rattraper ! dit-il essayant de reprendre son souffle.  

- Désolé, mais j’avais besoin de quitter cette atmosphère si lourde.  

- Oui, je comprends. En fait, je veux juste vous demander de m’appeler quand vous aurez du nouveau, d’accord ?  

- Oui, bien sur. Ne vous inquiétez pas Ryo retrouvera ce qu’on fait ça.  

- Je sais mais dite lui de se méfier car lui aussi est en danger.  

- Je ne le sais que trop bien murmura Kaori à elle meme.  

- Merci encore d’être passé, ça nous a fait du bien.  

- Ce n’est rien. Je vous téléphone.  

- Oui !  

- A bientôt, dit-elle en s’éloignant. »  

Lorsqu’elle fut dehors, elle respira un grand coup et laissa pendant quelques secondes le soleil réchauffé son visage. Ce moment qui semblait pour elle le moment le plus paisible de la journée fut interrompu par l’arrivée de son bus. Elle dut courir pour l’avoir, elle ne se sentait pas assez de force pour rentrer à pied. Pendant le trajet, son esprit parcourait tous les moments qui s’étaient passé ces derniers jours mais elle ne trouva rien qui aurait pu les aider.  

Enfin, elle arriva chez elle. Elle fut surprise de ne pas y trouver son Ryo.  

« Il n’a quand meme été draguer aujourd’hui ! » pensa-t-elle.  

Puis elle se dit « il a du trouver une piste. » Mais elle essaya plus de s’en persuader qu’elle ne le crut car c’était un obsédé.  

Elle s’écroula sur le sofa. La journée avait été épuisante. Elle tourna la tête et vit que le voyant rouge qui indiquait qu’elle avait des messages clignotait. Elle se leva et alla appuyer sur le bouton pensant que ça devait être Ryo. Mais le message qu’elle entendit la fit pâlir.  

« Kaori, c’est Mick. Je vais être direct : Ryo est blessé. Son état est inquiétant. Je l’ai transporté chez le professeur. Des que tu as ce message appelle moi ! Surtout ne vient pas toute seule ! Appelle-moi, ok ? »  

Kaori venait de laisser tomber le courrier qu’elle avait dans les mains. Les mots qu’avait prononcé Mick se répétaient sans cesse dans sa tête. Elle croyait rêver : Haruka et maintenant l’homme qu ‘elle aimait. Elle mit un certain temps avant de réagir. Elle ne devait pas se lamenter. Elle aurait tout le temps après pour le moment elle devait garder son sang froid et appeler Mick.  

Et puis il avait juste dit que Ryo était blessé, il était toujours en vie.  

Elle prit le combiné et composa le numéro du téléphone de Mick.  

« -Mick, c’est moi !  

- Kaori, tu es toujours chez toi ?  

- Oui, j’ai fait ce que tu m’as dit.  

- Bien, écoute Falcon passe te prendre dans quelques minutes. Tiens toi prête dans le hall de l’immeuble de Reika.  

- Comment va Ryo ? dit la voix faible de Kaori.  

- Le professeur s’en occupe. T’inquiète pas Kaori, il est en de bonnes mains. Mais il faut laisser croire aux hommes qui ont essayé de le tuer, qu’il est bien mort. Ils ne doivent pas te suivre jusqu’ici.  

- Oui.  

- Falcon arrive dans dix minutes.  

- Merci Mick. »  

Kaori raccrocha et en quelques minutes, elle fut dans le hall de l’immeuble voisin du sien.  

Falcon ne tarda pas, Kaori monta et tout le long du voyage et elle regarda défilé le paysage pour éviter de penser à Ryo.  

Manoir de Yakudo  

L’homme, au costume gris, était heureux. Enfin, il touchait à son but. Il n’était pas sortit de la journée préférant se préparer à l’étape finale de son plan : l’achat de la majorité des actions de la corporation Hunke. Ce qui signifiait la corruption de plusieurs haut actionnaires. Il préparait son plan quand une explosion fit exploser le lustre. Un home accoura.  

« - Monsieur, on a saboté l’armurerie et on vient juste un instant de me prévenir qu’on a utilisé un téléphone pour prévenir Saeba après que l’héritière fut blésée.  

- Qui a fait ça ? dit le chef qui n’avait pas bougé de son bureau.  

- On a trouvé un bouton de manchette qui appartiendrait au nouveau qu’on a engagé.  

- Le nouveau et vous croyez qu’il serait assez bête pour laisser une preuve de son passage.  

- Je sais Monsieur que cet homme est le fils d’un de vos amis. Mais…  

- Mais rien, cria l’homme, trouvé le moi et on aura le fin mot de l’histoire.  

Le chef Yakudo était contrarié. Son plan semblait compromis pour quelque temps. Il se doutait qui se trouvait derrière le branle bas de combat qui se déroulait dans son manoir et ça l’excité d’autant plus. Il se leva de sa chaise et alla constater les dégâts de l’explosion sur le lustre.  

Dans un entrepôt de la corporation Hunke.  

Une femme était, elle aussi, assise à son bureau. Son bureau était plutôt sobre, une petite fenêtre laissée passer un fil de lumière. La femme était plutôt du style strict. Elle n’était pas une femme à se laisser faire et son travail au sein de cette corporation depuis cinquante ans l’avait démontré. Beaucoup avait cru qu’elle aurait arrêté de diriger son entreprise quand elle eut atteint un age avancé mais ce ne fut pas le cas. Elle attendait. Quand une personne lui demandait pourquoi elle ne passait pas la direction à quelqu’un de l’entreprise, elle répondait j’attends. Mais quoi, personne ne le savait.  

La porte du bureau s’ouvrit sur un homme au costume gris.  

« - Madame c’est fait !  

- Bien, on sera tranquille pour un moment. Vous avez été découvert ?  

- Non il ne me soupçonne pas.  

- Bon.  

- Mais j’ai appris de nouvelles choses ?  

- Quoi ? , dit-elle  

- Il s’en est pris à vos héritiers. Je n’ai pas pu l’en empêcher.  

- Mes héritiers ! Haruka !  

- Oui mais un certain Saeba aussi.  

- Je ne le connais pas, c’est une erreur le fils de mon neveu est mort avec ses parents. Serait-il possible que … »  

L’homme sortit.  

La femme était perdue dans ses souvenirs. Elle n’avait pas montré la moindre satisfaction ou crainte pendant que son homme de main lui disait ce qu’il avait appris. Mais la nouvelle, qu’il lui avait apporté, la troublait.  

Elle devait connaître ce qui se passait.  

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