Capitolo 17 :: La proposition.

Pubblicato: 15-06-04 - Ultimo aggiornamento: 15-06-04

Commenti: Désolé ce chapitre est le meme que le précédént. Si quelqu'un sait comment faire pour enlever ce chapitre qu'il me le dise. Merci.

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L’hôpital.  

Un jeune homme est assis. Il est devenu un familier de l’endroit pour tous les médecins et les infirmiers. James n’a quitté l’hôpital que pour se changer. Durant ces semaines, il n’a presque rien avalé à par ce café qui le maintient éveillé. Il est resté auprès de celle qu’il aime jour et nuit, espérant toujours pour ne pas tomber au fond de l’abîme qu’il a devant lui. James finit son café et jette le gobelet dans la poubelle. Puis il marche instinctivement vers la chambre de sa bien aimé, il ne réfléchit pas à ce qu’il fait, ses jambes paraissent connaître cet endroit par cœur.  

Une fois arrivé devant la chambre, il prend une inspiration et il entre. Il s’assoit à coté d’elle et commence à lui parler comme il l’a fait tous ces jours passés. Il lui raconte des banalités mais aussi des choses plus sérieuses comme ce qui se passe dans la vie de ses proches notamment Ryo. Mais il termine toujours ce monologue par :  

« Tu m’es précieuse, ne pars pas. »  

Chaque fois ; il espérait que cette phrase serait le déclic du long sommeil où elle était plongée mais toujours aucune réaction d’Haruka.  

Ce jour là, il lui pris la main et la regarda. Il sentit alors une légère pression sur sa main. Il crut avoir rêvé mais non la main d’Haruka lui serrait sa main. Il la regarda, l’appela. Elle ouvrit les yeux et semblait être perdue. Lui sourit, enfin elle prononça quelques mots :  

« Je crois que le mariage a fait sensation. »  

Il éclata de rire, se libérant ainsi de toute l’angoisse accumulée au fil des jours.  

Corporation Hunke.  

Ils étaient ici depuis un jour seulement mais Kaori se sentait pourtant mal à l’aise. Yuka ne paraissait pas l’apprécié et lui montrait qu’elle n’était pas à sa place. Kaori avait failli en parler à Ryo mais elle s’était reprise en se souvenant qu’il était déjà assez perdu pour le moment. Elle se trouvait dans le jardin, seule. Yuka avait pratiquement enlevé Ryo au petit déjeuner pour lui faire visiter l’usine. Ryo n’avait pas eu le temps de réagir. Elle entendit au loin le téléphone sonné.  

Dring Dring.  

Le domestique décrocha et se rendit aussitôt dans la chambre du grand-père.  

Quelques temps après, on entendit un cri qui fit sursauter Kaori, suivit ensuit par un fracas dans les escaliers. En quelques secondes, le grand-père se trouvait à coté de Kaori.  

Il était essoufflé.  

« -Elle…Elle…  

- Qu’est ce qui se passe ? demanda inquiète Kaori.  

- Haruka s’est réveillée et tout est normal ! ! !hurla le grand-père.  

- C’est merveilleux ! dit Kaori en se jetant dans les bras du grand-père.  

- Bon, je vais retourner la voir, je pars au plus vite, je dois lui trouver plein de cadeaux.  

- Oui, je préviendrai Yuka et Ryo.  

- Merci, Kaori. Je suis si heureux.  

- Moi aussi grand-père. »  

Il courut aussitôt dans sa chambre faire sa valise. En une heure, il était prêt. Il prit un taxi et laissa Kaori seule dans cette grande maison.  

La journée passa sans qu’elle vit quelqu’un à pat les domestiques qui l’ont traité comme une reine ce qui la gênait. Enfin, la nuit tombait quand elle entendit le bruit d’un véhicule qui entrait. Au meme moment le téléphone retentit. Kaori se dirigeait vers Ryo quand on donna à Ryo le combiné.  

« -Ryo ?  

- Oui, Mick.  

- J’ai des nouvelles.  

- Et ?  

- Bon, Umi et moi, on a été voir l’agresseur amnésique, il se souvenait d’un indice une marque en forme de H. Au début, on a cru que c’était sans importance mais quand on a commencé à interroger nos indics ils paraissaient pétrifiés à ce simple symbole.  

- Et c’était quoi ?  

- En fait ce H correspondrait à une entreprise d’import-export liées à la mafia mais ils n’en savaient pas plus. Il la connaisse de réputation comme ne laissant aucune erreur impunie. Mais, ils nous ont aussi parlé d’une rivalité entre la corporation Hunke et l’entreprise Yakudo. Une rivalité meurtrière. Et il semblerait qu’un lien existe entre Yagudo et H.  

- Et ça signifie quoi ce H ?  

- Aucune idée !  

- Ok merci Mick, bon travail pour une fois !  

- Hein, comment ça ! ! !  

- Tut tut tut. »  

Ryo raccrocha et décida d’aller rendre une petite visite demain à ce Yagudo.  

Kaori s’approcha de lui.  

« - Des nouvelles ?  

- Oui, Mick m’a parlé de l’entreprise Yagudo. Je vais lui rendre une petite visite demain.  

- Je viens avec toi !  

- Je préférerai pas, on sait pas qui ils ont.  

- Ryo ?  

- S'il te plait Kaori, j’aimerais que tu reste ici comme ça tu pourras faire connaissance avec Yuka et me dire ce que tu penses d’elle.  

- Hum…ok. Tu te débarrasse de moi.  

- Pas du tout, tu sais que tu m’es nécessaire, dit–il en la prenant dans ses bras et en lui donnant un baiser.  

- Et ta journée ?  

- Oh, intéressant, elle a une sacré entreprise. Et toi ? je suis désolé de t ‘avoir laissé, j’aurai bien aimé que tu viennes mais elle…  

- Je sais et puis c’est bien. C’était mieux que vous soyez seul tous les deux.  

- Merci, Kaori. »  

Ils furent interrompus par le domestique qui venait leur annoncer que le dîner était servi.  

Quand, ils furent tous les trois réunis autour de la table, Kaori leur annonça la bonne nouvelle :  

« - Où est le grand-père ? demanda Ryo.  

- Je voulais qu’on soit tous les trois ensemble pour vous annoncer que Haruka est sortit d’affaire ! dit Kaori.  

- Quelle joie ! dit Yuka.  

- C’est bien, dit simplement Ryo. »  

Le repas se termina sur les questions incessantes de Yuka sur Ryo. Elle voulait tout savoir de lui ce qui était assez difficile connaissant Ryo.  

Le dessert fut servi dans le salon.  

« - Yuka, connaissez-vous un certain Yagudo ?  

- Oui ; pourquoi ?  

- Dite moi quel est votre lien avec lui.  

- Yagudo est un ancien associé. Quand j’ai monté mon entreprise, il m’a prêté de l’argent contre deux conditions : le rembourser sans intérêt et être le successeur de ma propre entreprise. Pourtant juste avant de signer le contrat, j’ai réussi à faire mettre la close qu’il serait le directeur de mon entreprise après mes propres héritiers. Bien sur, il l’a mal pris et depuis nous sommes brouillés. Je sais où vous voulez en venir. Je pense comme vous que vos incidents à vous et Haruka sont dus à cet homme. J’ai un espion dans son entreprise mais il m’a prévenu trop tard de ce qui allait se passer et puis je ne savais pas que vous, Ryo, existiez.  

- Et vous connaissez le symbole d’une entreprise en forme de H ?  

- Pas du tout.  

- Ok, bon demain j’irai voir ce Yagudo.  

- Ryo, je crois pas que c’est raisonnable, il est dangereux.  

- Oui mais moi aussi vous savez !  

- Oui, hélas, dit-elle tout bas.  

- Bon, Yuka, je vais vous laisser. Tu viens Kaori ?  

- J’aimerai vous parler Kaori ?  

- Heu…oui, je te rejoins Ryo.  

- Tu es sure ? demanda Ryo en jetant un regard plein de soupçons à Yuka.  

- Oui. »  

Ryo monta dans la chambre et il s’allongea sur le lit en se demandant de quoi elles pouvaient bien parler.  

« - Kaori, je vais être direct, quelles sont vos relations avec Ryo ?  

- Heu…, elle rougit, on est ensemble.  

- C’est sérieux ou c’est une simple passade.  

- Je crois que c’est sérieux, d’ailleurs ça a intérêt se dit-elle.  

- C’est bien ce que je craignais. Ecoutez, je veux que Ryo devienne mon successeur mais pour cela il doit épouser Haruka. Et je coirs que restez avec vous ne ferait rien de bon pour lui. Il resterait dans son milieu de danger et je ne veux pas.  

- Je crois que je commence à comprendre l’attitude que vous aviez envers moi.  

- Je veux que vous le quittiez !  

- Quoi ?  

- Je ferai tout pour que vous le quittiez ou qu’il vous quitte !  

- Mais je l’aime, je ne ferai jamais ça !  

- Je vois vous voulez un chèque. Vous l’aurez tout comme ce James.  

- Vous, vous ne nous connaissez pas ! Jamais on acceptera.  

- Vous dites que vous l’aimez et pourtant je peux lui offrir une vie normale et vous ne voulez pas ? Il est étrange votre amour.  

- Je…  

- Vous pouvez réfléchir. Vous pouvez lui dire mais si vous lui dites pensez aux conséquences. »  

Yuka s’éloigna laissant Kaori désemparée. Elle monta les marches qui la menait à sa chambre. Avant d’entrer, elle se forçat à sourire pour éviter que Ryo s’inquiète. Ryo était toujours réveillé, des qu’elle entra il fonça sur elle :  

« - Toujours reveillé ? dit-elle en se forçant à y mettre de la bonne humeur.  

- Que te voulais-t-elle ?  

- Oh, rien. Elle voulait juste mieux te connaître.  

- C’est sur ? Tu parais bizarre Kaori ?  

- Non, ça va. Il est tard, je suis fatiguée.  

- OK. »  

Ils s’allongèrent tous les deux dans le lit, Kaori posa sa tête sur le torse de Ryo et s’endormit dans sa tourmente.  

Ryo lui ne parvint pas à dormir. Il savait que Kaori n’allait pas bien.  

Il s’endormit que bien plus tard.  

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