Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: rirette

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 17-01-14

Ultimo aggiornamento: 18-04-14

 

Commenti: 45 reviews

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Romance

 

Riassunto: Voila déjà plusieurs années que kaori et ryo habite ensemble et rien ne se passe entre eux, aux grand dam de kaori. Mais l'effeuilleuse va faire bouger tout ça.

 

Disclaimer: Les personnages de "L'EFFEUILLEUSE" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: L'EFFEUILLEUSE

 

Capitolo 6 :: SAEKO

Pubblicato: 14-02-14 - Ultimo aggiornamento: 28-02-14

Commenti: merci beaucoup kaori62 et cityhunteraddict vous me faites vraiment plaisir avec vos appréciations. voici la suite, avec Ryo égale à lui même. bonne lecture

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16


 

Saeko et lui s’étaient connu par l’intermédiaire d’hide, le frère de kaori. Hide était dans la police avant de démissionner pour fonder City Hunter avec Ryo. Saeko était secrètement amoureuse de Hide et elle avait été inconsolable de le perdre. Aussi, désormais, elle préférait ne plus s’attacher et n’hésitait pas à utiliser ses charmes pour manipuler les autres. Autant dire qu’avec Ryo, cela fonctionnait merveilleusement, elle le faisait « courir », lui promettant monts et merveilles à la fin des missions, paroles qu’elle ne tenait jamais.  

 

Kaori ne la supportait pas, d’une part elle mettait la vie de Ryo en danger et d’autre part, elle était très sexy et enfin les missions n’étaient jamais rémunérées.  

 

En réalité, kaori ignorait que ryo n’était pas si dupe que ça. Il jouait le jeu de Saeko car il savait que lorsqu’elle faisait appel à lui c’est qu’elle ne pouvait pas faire autrement : impliquer Ryo dans ses enquêtes était illégal. Cependant, il aurait bien voulu qu’elle tienne ses promesses surtout les mokkoriennes.  

 

Quand Ryo eu Saeko au téléphone, il lui demanda de se renseigner sur les hommes qui étaient sur la liste. Ryo n’avait pas l’habitude d’agir ainsi et de demander de l’aide, mais aujourd’hui il s’agissait de personnes vivant aux usa et il n’avait aucun autre moyen de se renseigner sur eux. Saeko l’informa que comme il s’agissait d’un pays étranger, cela prendrait plusieurs jours, voir une semaine avant qu’elle n’ait les informations. Il lui expliqua qu’il mènerait de toute façon une enquête de son côté mais qu’au cas où il ne trouverait rien, il préférait se renseigner de suite. Il remercia saeko et raccrocha après avoir perdu sept soirées et autant de nuits avec elle qu’il devait ôter des dettes qu’elle lui devait.Triste soirée, son mokkori était en berne.  

 

Hé, mais il restait Humber, la belle Humber, la féminine Humber. Hihihi, il allait la rejoindre ce soir dans sa chambre, mais il faudrait qu’il soit discret. Il échafaudait déjà un plan quand Humber voyant le drôle d’air qu’il arborait, lui dit :  

 

-vous croyez que ça plaira à kaori ?  

 

-hein?  

 

-je connais les hommes, lui répondit Humber et je sais parfaitement à quoi vous pensez. Je ne suis pas d’accord et vous croyez que ça plaira à kaori ?  

 

-haha haha, très surpris d’avoir été mis à jour, Ryo était penaud et ne savait pas trop comment inverser la situation. Vous vous trompez, je pensais ….. À aller ….. Prendre un bain. Ça détend les bains, haha ah. J’y vais  

 

Kaori, qui avait débarrassé la table de la cuisine et tout nettoyé, arriva sur ces entrefaites.  

 

-qu’est ce qu’il a ? demanda t’elle en regardant Ryo filer comme le vent.  

 

-il est heureux d’aller prendre un bain, répondit la suspicieuse Humber  

-il est bizarre des fois, expliqua kaori. Euh, pour demain quel sera le programme ?  

 

-eh bien, le matin sera calme, en début d’après-midi vers 14 h : répétition jusqu’à 18 h environ. Ensuite, un peu de repos et le soir, le spectacle commence vers 21h, je passe vers 22h15 et après, on peut rentrer.  

 

- Je ne pensais pas qu’il y avait autant d’heure de répétitions !  

 

- Nous changeons régulièrement de spectacle pour ne pas lasser les gens et même pour les faire revenir. Il faut qu’on soit en phase les unes par rapport aux autres. Nous faisons aussi école ou plutôt initiation au burlesque et à partir de 16h30, nous recevons des femmes qui aimeraient en savoir plus et leur apprenons les bases.  

 

-oh c’est impressionnant. Vous avez beaucoup d’élèves ?  

 

-de plus en plus.  

 

-je ne pensais pas que les femmes pouvaient payer pour apprendre à se déshabiller. On dirait que la condition féminine n’a pas changé.  

 

Gêné d’avoir été si directe, kaori se mit à rougir.  

 

- Je ne vois pas les choses comme ça. Pour moi, la femme a du laisser ses atouts pour se hisser au niveau des hommes. Maintenant que nous l’avons presque atteint, je crois qu’on a de nouveau le droit, voir le devoir de mettre en avant nos spécificités physiques. Dans les années 60, au moment où le féminisme faisait rage, il était presque interdit par les femmes et pour les femmes d’être belle ou en tout cas de faire attention à soi, sous peine d’être taxé d’antiféministe. Pour moi, être féministe, c’est avoir le droit de faire valoir ses atouts et d’être respecté, tout en étant payé à sa juste valeur pour mon travail. Je ne crois pas que gommer mes « attributs » physiques soit le but des féministes mais je comprends cette nécessité à un moment donné pour faire avancer notre condition. Ceci dit, ce n’est que mon avis et ma vision des choses.  

 

- De la à en venir à se déshabiller.  

 

- Ce n’est pas qu’une question de nudité, c’est plus profond que ça, en tout cas pour celle qui n’en font pas leur métier. C’est une sorte de prise de pouvoir, ajouta malicieusement Humber.  

 

- J’avoue ne pas bien comprendre.  

 

- Je vous montrerai. Kaori, serait-il possible d’avoir une étagère ou deux à la salle de bains ? Je vous prie de m’excuser pour tous les produits que je me suis permise de prendre.  

 

- Bien sûr, nous en gardons toujours une de libre pour les clientes. Comme personnellement, je n’ai pas besoin de beaucoup de place, ça n’est pas très difficile.  

 

- Vous ne vous maquillez jamais ?  

 

- Très peu, répondit kaori rosissant, je ne suis pas très doué pour ce genre de choses.  

 

- Je pourrais vous montrer si vous voulez ? Ce n’est pas si difficile qu’il y paraît. Il suffit d’avoir une bonne base de connaissance pour les produits, et de l’expérience pour les appliquer. En plus, avec votre peau et votre beau visage, il n’y a pas grand-chose à faire pour vous sublimer.  

 

- Vous êtes gentille.  

- Venez, je vais vous montrer.  

 

Elles partirent toutes deux en direction de la chambre de Humber. Elle lui montra tout ce dont kaori aurait besoin, lui enseigna l’art du maquillage suivant les moments de la journée, ses vêtements. Kaori s’essaya au khôl, elle manquait d’habilité et se retrouva avec des yeux de panda. Quand elle regarda le résultat dans une glace, elle éclata de rire.  

 

Ryo, qui était enfin sortit de sa douche, passa devant la porte de la chambre et les entendit rire, que pouvaient elles bien faire là-dedans ? Il continua jusqu’à sa chambre et entreprit d’échafauder un plan pour sa mokkori night.  

 

Les filles s’amusaient toujours autant même si kaori comprenait mieux l’habitude de son coéquipier de la traiter de travelo, elle n’était vraiment pas douée.  

 

- Si ryo me voyait comme ça, j’en entendrai, dit kaori  

 

- Bah, j’aimerai voir s’il s’en sortirait mieux. Vous êtes magnifique kaori.  

 

- Euh maquillé comme ça ? Avec le rouge à lèvres qui n’est pas droit et le khôl trop épais ?  

 

- Le rouge à lèvres si vous le prenez plus clair vous n’avez pas besoin de faire le contour des lèvres. Par contre, avec du rouge foncée comme ça, c’est indispensable. Pour les yeux, vous avez raison, c’est trop épais mais plus fin ça sera parfait. Je voulais dire que vous aviez un magnifique visage, des yeux noisettes superbes, une ligne à faire damner un saint mais on dirait, à vous entendre, que vous êtes le dernier laideron sur terre. Beaucoup de femmes aimeraient vous ressembler, vous savez?  

 

- Ce n’est pas l’avis de ryo, je ne veux pas me plaindre mais il dit souvent que je n’ai pas de formes, pas de grâce, bref un homme se faisant passer pour une femme.  

 

- C’est étrange et qu’en disent vos amis ?  

 

- Euh, on ne parle pas vraiment de ça. Miki, que vous avez vu au café, est vraiment très belle.  

 

- Vous aussi, vous pouvez me croire.  

 

Kaori remercia chaleureusement Humber pour ses bons conseils mais Humber ne voulant pas que kaori en reste là, proposa d’aller faire des emplettes, le lendemain pour lui acheter ce qu’il lui manquait.  

 

- Je vous laisser vous reposer, proposa kaori.  

 

- Kaori, j’ai un peu peur pour cette nuit.  

 

Humber lui exposa l’objet de ces craintes.  

 

Après l’avoir rassurée, kaori partit à la recherche de Ryo. Elle s’était démaquillé à la hâte pour ne pas faire l’objet de moqueries de son coéquipier. Elle le trouva au salon, sur le canapé, à « lire » un magazine de charme devant la télé allumée.  

 

- Ryo, je suis fatiguée, je vais me coucher. Humber est déjà dans sa chambre, j’espère que tu ne vas pas l’importuner, cette nuit ?  

 

Et c’est très sérieux qu’il lui répondit :  

 

- Kaori, humber n’est pas mon genre. En plus, je suis un vrai gentleman, jamais je ne ferai de choses qui lui déplairait.  

 

- Pas ton genre ? et la flaque que tu as laissé au cat’s ? et tu n’as pas arrêté de faire des « choses » qui ont déplu à nos clientes avant Humber, ajouta kaori agressivement.  

 

- Je t’assure qu’elle ne craint rien, de toute façon ce ne sont pas tes affaires, on n’est pas en couple, hein kaoru ? ajouta t-il en faisant l’idiot.  

 

Kaori préféra partir et le laisser seul. Humber avait raison, il mijotait quelque chose. Dans ce cas, ils seraient deux voir trois.  

 

Elle se rendit dans la salle de bain pour se préparer pour la nuit et alla se coucher.  

 

 

 

 

* * * *  

 

 

3 heures du matin  

 

- Humber ma chérie, fusionnons ensemble comme une femme et un homme doivent le faire.  

 

- Aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh !!!! un cri perçant accueilli cette déclaration. Ryo, espèce de pervers, que fais tu là à réveiller les gens en poussant des hurlements et des insanités, tu me fais honte.  

 

Et c’est avec un ryo planté par une massue, au plafond que fini cette interlude.  

 

- ka..o..iiii ? mais qu’esche que tu .ais là ?  

 

- crois tu que tu sois le seul à pouvoir manigancer des plans ?  

 

Sur ce, kaori se recoucha dans le lit d’humber et la nuit se termina sans autre incident. Cependant, au petit matin, Ryo était toujours dans son plafond, n’ayant pu se dégager et ronflait malgré tout comme un bienheureux.  

 

Kaori était une fois de plus dépitée par l’attitude de son partenaire et un peu jalouse aussi, non pas des visites nocturnes mais de son manque d’attention envers elle. 

 


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