Capitolo 7 :: UN TOUR EN VILLE

Pubblicato: 21-02-14 - Ultimo aggiornamento: 28-02-14

Commenti: Encore merci pour vos commentaires ( moi j'ai un peu de retard dans la lecture de certaines fics)vous êtes vraiment très sympa avec moi mais n'hésitez pas à me dire ce que je peut améliorer dans mon écriture. Voici un chapitre pour filles mais les garçons peuvent lire quand même :) kaori évolue petit à petit.

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Une délicieuse odeur accueillie, Humber et Ryo quand ils se rendirent à la cuisine.  

-Humber, quand commence vos répétitions ? demanda avec un grand sourire Ryo  

-cette après-midi. Mais avec kaori nous souhaiterions sortir pour faire quelque emplettes.  

-des sous vêtements ? bava une limace à terre.  

-non, du maquillage entre-autre  

-mais vous en avez plein!!!  

- c'est pour moi, intervint kaori  

- depuis quand veux tu être une femme?  

- ce n'est pas très gentil Ryo, Kaori est magnifique et beaucoup de femmes voudraient lui ressembler, et ajouta malicieusement Humber, beaucoup d'hommes aimeraient l'avoir à leur bras.  

- ça m'étonnerait beaucoup, répondit Ryo à la dernière remarque.  

- ah oui? j'en connais pourtant qui n'habite pas loin dit Humber en le fixant.  

- vous connaissez Mick? ajouta faussement Ryo qui espérait secrètement qu'Humber ne poursuive pas.  

-non, et voyant que Ryo était mal à l'aise elle n'insista pas.  

Elle commençait à comprendre la situation que vivait kaori et Ryo et se promit de faire ce qu'elle pourrait pour aider Kaori. aussi ajouta t'elle:  

- kaori, êtes vous prête?  

- oui, oui. je vous remercie Humber pour ce que vous faites pour moi.  

- ce n'est rien. c'est la première fois que vous allez acheter du maquillage?  

- non, mais le peu que j'ai, je n'ai pas vraiment été conseillé. je me suis débrouillée pour l'application mais vous avez vu le résultat. dit kaori en rougissant.  

- votre maman ne se maquillait pas?  

- je l'ai perdu très jeune et ma mère adoptive est décédé très jeune aussi.  

- je suis désolé, vraiment si j'avais su ... je suis très gênée d'avoir réveillé ces souvenirs ....je vous prie de m'excuser.....  

Humber ne savait plus quoi dire pour effacer la gaffe qu'elle venait de faire. ceci dit, kaori lui avait fourni beaucoup d'explication quant à sa tenue actuelle, le manque de repère féminin n'avait pas aider celle ci à évoluer, ça et une quantité de complexe qui n'avait pas lieu d'être.  

- c'était il y a longtemps tenta de minimiser kaori mais ses yeux la trahissait. elle plaqua un sourire sur son visage et mis en route la petite troupe.  

Ryo avait eu un pincement au cœur en entendant les paroles d'Humber, il savait combien c'était un sujet délicat pour Kaori et il détestait la voir souffrir.  

Humber essaya de rattraper sa faute en s'investissant encore plus dans l'apprentissage du teint 0 défaut. kaori, qui avait la tête qui tournait, fut bien heureuse de sortir du magasin une heure après et avec au final très peu de produit. Si elle avait été heureuse des explications d'Humber, elle n'en aurait pour autant pas pu en supporter davantage. mais comment faisait toutes les femmes pour s'y connaître autant?  

kaori eut l'impression furtive de venir d'une autre planète. Quant à Ryo, il n'avait cesser de poursuivre les vendeuses, parfois même les clientes, Humber et kaori en étaient mortes de honte, aussi firent t-elles comme si elles ne le connaissaient pas.  

Ryo proposa une pause dans cette amazing make-up (course au maquillage). Les filles y répondirent favorablement et se dirigèrent vers un café. Ryo tenta par tous les moyens de les faire changer de direction et d'opter pour un love hôtel. La question fut régler par une énorme massue lancée par Humber sur la tête de notre nettoyeur.  

Par Humber? on peut dire qu'elle apprenait vite. Et pourquoi kaori n'avait elle pas bouger? c'est toujours elle qui le faisait stopper. Ca permettait à lui, Ryo, de se rassurer quant aux sentiments de Kaori à son égard. Hélas, là, elle n'y avait pas répondu et cela ajoutait à l'inquiétude de notre don juan sur la santé de Kaori. Il faudrait qu'il y fasse plus attention. Que pouvait elle bien avoir?  

Encore une fois, ses envies s’opposaient, il voulait qu'elle parte pour avoir une vie meilleure ailleurs mais il fallait quand même qu'il teste ses sentiments à son égard. il n'était pas juste envers elle. A quoi servait cette mascarade? pourquoi vouloir d'elle ce que lui, lui refusait? il aurait du depuis longtemps être honnête avec lui même, mais il se refusait à faire cette examen interne. Il voulait, devait faire partir Kaori qu'importe le reste. De toute façon, le reste c'est qu'il ne voulait pas d'elle, qu'il était bien trop âgé, ça serait comme un inceste, rien d'autre.  

C'est en essayant de se convaincre une fois de plus, qu'il s'extirpa de sous la massue. Pour ne rien laisser paraître, il rejoignit les filles en sautant, gesticulant dès qu'il voyait une miss mokkori et c'est avec un bon mètre de bave qu'il s'installa en terrasse tant il en avait rencontré.  

A peine assis, Humber et kaori dirent à Ryo qu'elles allaient aller acheter des vêtements désormais et qu'il devait se dépêcher s'il voulait se désaltérer.  

A ces mots, Ryo demanda s'il s'agissait de sous vêtement.  

-peut-être, répondit Humber, ça dépend si vous vous tenez bien.  

Ryo prit donc la main de Humber et se mit à courir pour arriver au plus vite dans son rayon préféré. Il ne resta plus à Humber qu'à essayer de suivre le rythme de Ryo et à Kaori de ne pas les perdre de vue.  

Kaori et encore plus Humber étaient hors d'haleine, là ou Ryo était frais comme un gardon. Il avait déjà parcouru tous le rayon lingerie et les différents modèles s'amassaient qui sur les bras, qui sur les mains, qui sur la tête et même en regardant bien …... dans les poches aussi.  

A peine remises, Ryo se présenta avec toute une collection de culottes, strings, porte jarretelles, soutien gorges .... à Humber.  

Celle ci, heureusement avait repris ses esprits.  

- alors tout ça vous plaît?  

Ryo remua frénétiquement la tête de haut en bas. Humber jeta un coup d’œil et observa:  

-ce n'est pas la bonne taille, ryo. Je vais les changer.  

Elle revint avec beaucoup moins d'article et présenta deux modèles de soutien gorges à Ryo.  

-lequel préférez vous?  

- celui ci !!! dit Ryo des cœurs dans les yeux, tellement ravi que Humber soit si compréhensive.  

Humber le mis dans le panier et promis à Ryo qu'ils seraient essayé mais qu'auparavant elle voulait voir d'autres articles. Au comble de l'excitation, Ryo se mit à saigner du nez avant de choir à terre. Humber le regarda et se demanda quand même si elle avait fait appel à la bonne personne.  

Elle prit kaori avec elle et elles échangèrent sur les différentes tenues qui se tenaient devant elles. Humber en choisit une qui irait parfaitement à Kaori. Celle ci la jugea un peu trop sexy à son goût. Humber du faire appel à toute sa force de persuasion pour que kaori la passe.  

Quand elle se dirigea vers les cabines d'essayages, Humber lui tendit les sous vêtements choisit par Ryo et pris bien soin de le faire devant lui. Quand il réalisa l'imposture, il se mit à pleurer qu'Humber était une méchante femme qui lui faisait que du mal. Afin d'endiguer ce flot de larmes, Humber du promettre qu'elle ferait quelque chose pour lui de très sexy. Elle ne savait absolument pas à ce moment là comment elle allait tenir sa promesse mais la chose la plus importante est que Ryo avait fini de pleurer. ouf !!!  

Kaori sortit avec peine de la cabine tant elle était gênée. Elle trouvait que toute l'attention était attirée sur ses seins, ses jambes et avait du mal à l'assumer  

- vous êtes magnifique, Kaori s'écria Humber.  

- vous croyez ?  

- oui, d'ailleurs je vous l'offre.  

- oh non, c'est trop !!!  

- Kaori, j'y tiens, je vous dois bien ça, répondit Humber en faisant référence à sa bourde d'avant.  

- alors merci.  

Après cette matinée de shopping, tout le monde fut bien content de rentrer.  

Kaori se mit à préparer le déjeuner avec Humber qui s'avéra être une très bonne cuisinière même si la cuisine japonaise n'était pas sa spécialité .  

Le temps de débarrasser la table et de tout nettoyer et il fut l'heure de partir au théâtre où Humber faisait son spectacle. 

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