Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: rirette

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 17-01-14

Ultimo aggiornamento: 18-04-14

 

Commenti: 45 reviews

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Romance

 

Riassunto: Voila déjà plusieurs années que kaori et ryo habite ensemble et rien ne se passe entre eux, aux grand dam de kaori. Mais l'effeuilleuse va faire bouger tout ça.

 

Disclaimer: Les personnages de "L'EFFEUILLEUSE" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: L'EFFEUILLEUSE

 

Capitolo 16 :: NOUVEL APPART, NOUVELLE VIE?

Pubblicato: 18-04-14 - Ultimo aggiornamento: 18-04-14

Commenti: eh bien voila, nous y voici à la fin de l'histoire. je suis très contente d'avoir franchi le pas et d'avoir publié cette histoire sur le site. n'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de toute l'histoire, ce que je peux améliorer. merci à toutes celles et ceux qui m'ont lu et laisser des commentaires. ah oui, euh.., désolé pour le petit jeu de mot mais moi ça m'amuse :) que ça ne vous perturbe pas dans votre lecture ;)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16


 

La semaine avait passé rapidement à refaire son nouveau lieu de vie. Elle était contente du résultat même si elle n'était pas, à la base très manuelle, elle s'en était pas mal tiré.  

 

Miki, Umibozu et Mick étaient venus visiter. Les hommes avaient félicité kaori sur la disposition de son habitation. Miki avait apprécié sa décoration, il est vrai qu'elle était minimaliste mais tellement contemporaine. Miki avait eu un pincement au cœur en voyant de plus près l'endroit où allait vivre kaori, tout devenait plus réel. Kaori et Ryo auraient pu être tellement heureux ensemble, elle ne comprenait pas se gâchis.  

 

Umi avait bien essayé de raisonner Ryo, mais rien n'y avait fait, qu'il pouvait être buté parfois. Il disait qu'il avait fait le plus dure et qu'il n'allait pas revenir en arrière maintenant. Pourtant, tout n'avait pas été si facile, il avait d'ailleurs refusé d'aller visiter avec ses congénérent. Tout allait trop vite. Kaori partit qu'allait il devenir ? Il se maintenait tant qu'elle était là, il ne voulait pas qu'elle le voit se laisser aller mais quand elle serait partie? Il ne pouvait pas lui en vouloir il avait vraiment monter la barre très haut. Tant pis pour lui, il n'avait plus qu'à payer. Il n'espérait plus qu'elle soit heureuse en tout cas qu'elle le devienne.  

 

Enfin, le jour de la remise des clefs arriva. Kaori avait emprunté la voiture de Ryo pour apporter ses affaires les plus lourdes. Elle n'attendait plus que ses meubles qui allaient être livré d'un instant à l'autre.  

 

En fin d'après-midi, tout était prêt. Elle n'imaginait pas qu'on puisse changer de vie si rapidement. Elle avait le vertige. Elle ne retourna pas voir Ryo, il savait que tout était désormais prêt dans son chez elle. Chez elle, c'était la première fois qu'elle avait un chez elle. Elle comptait bien en profiter. D'ailleurs, elle avait travaillé toute la journée à ranger ses affaires et elle s'offrirait bien un bain, elle le méritait. Elle termina les derniers aménagements et prépara son repas. Il faisait déjà nuit dehors, elle en avait eu pour plus longtemps qu'elle ne l'avait pensé.  

 

Après le repas, elle se déshabilla et mis son peignoir le temps que la baignoire se remplisse quand elle sentit une aura connue. Ryo ? Venait il voir comment elle était installé ? Elle se dirigea vers le balcon et regarda dans le petit parc, personne, pourtant, elle la sentait provenir de cet endroit. Que faisait il ? Il l'épiait ? Cette réflexion la mis en colère et c'est remonté qu'elle se rendit dans le parc.  

 

- RYO !!! appela t'elle, Ryo je sais que tu es là. Sors de là. Pourquoi tu m'épies ?  

 

Doucement, très doucement une ombre se mit à bouger et petit à petit Ryo se découvrit.  

 

-je suis venu voir si tu ne risquais rien.  

 

-Comme tu peux voir, tout va bien.  

 

-J'ai entendu que certains voulaient nous provoqué.  

 

- Merci de me prévenir. J'aurai préféré que tu viennes me le dire directement que de rester ici. Je crois plutôt que tu m'épies. Il faut que les choses soient claires, tu vis ta vie et moi la mienne de mon côté.  

 

- Rentres, dit ryo d'une voix mal assurée  

 

- Comment ?  

 

- Viens avec moi, ne restes pas là. Rentres avec moi.  

 

- Je ne rentrerai que pour devenir ta femme. Mais j'ai compris, je sais que ça ne sera jamais le cas. Laisses moi, tu ne vois pas que tu me fais souffrir plus que de raison, tu crois que ça n'est pas assez dure comme ça ?  

 

Kaori pleurait à présent, Ryo fit demi tour et partit.  

 

Personne ne sut que le plus grand nettoyeur du japon à ce moment là, pleurait. La douleur de kaori raisonnait en lui et s'ajoutait à la sienne.  

 

Kaori rentra à son tour, elle monta les escaliers d'un pas lourds. Cette confrontation l'avait épuisé. Elle poussa la porte de chez elle et là, ne comprit pas ce qui arrivait, on l'a bâillonna et on lui attacha les bras dans le dos avant de la jeter dans un coffre de voiture.  

 

À une heure avancée de la nuit, le téléphone de Ryo retentit. Celui ci dans un état effroyable décrocha tentant de rassembler ces idées.  

 

- city hunter !!! dit une voix guère aimable, tu ne te sent pas trop seul j'espère?  

 

Ryo ne répondit rien, on ne l'appelait pas pour lui demander des nouvelles, aussi attendit il la suite. Cette voix lui avait fait l'effet d'une douche froide et il était aux aguets. Il se concentra sur les prochaines paroles.  

 

- J'ai ta collègue, je peux pas dire ta femme n'est ce pas ? Je crois que vous êtes en froid, AHAHAHAHHA. Tu as tort, elle est bien roulé.  

 

Sa mâchoire se crispa instantanément, Ryo fut prêt à dire de ne pas la toucher mais il aurait eu l'air de les provoquer, il dit simplement :  

 

- que voulez vous ? En tentant d'être le plus calme possible.  

 

- Rendez vous sur les quais, dans une heure sinon, ….. zuuuit.... pour ta copine, puis il raccrocha.  

 

Ryo appela Umi pour que celui ci lui dise s'il avait entendu des bruits les concernant, il expliqua que kaori venait de se faire enlever. Mick, qui était au cat's, fut mis au courant et décida d'aider Umibozu.  

 

Ryo prit un plan de la ville et regarda en quel endroit, on avait pu emmener kaori. Il barra les quais, il était peu probable qu'on l'emmène là où il devait se rendre. Il raya tous le endroits trop habités ainsi que ceux fréquentés à cette heure ci. Il ne lui restait que les zones industrielles, quatre en tout. Elles étaient assez proche les unes des autres mais il serait difficile de faire le tour de toute, sans compter qu'il risquait d'être repéré par leur ennemi.  

 

Le téléphone résonna, Umi avait fait appel à quelques informateurs qui lui avaient indiqués qu'un certain Broco s'était vanté de mettre fin au célèbre city hunter disant que se fou s'était entiché d'une nana qui le conduirait à sa perte, qu'elle n'était pas fichu de tenir un flingue correctement.  

 

Hélas, Broco n'était qu'un homme de main et il fallait encore découvrir pour qui il travaillait. Peut être que le commanditaire de l'enlèvement serait propriétaire d'un entrepôt, d'une usine ou autres, endroit où kaori pourrait être caché.  

 

Pour autant, une chose le rassurait, il sous-estimait kaori. Il est vrai qu'elle ne visait pas droit (encore que c'était de sa faute à lui), mais elle avait d'autre qualités. Elle était capable de cacher une tonne d'armes sur elle sans qu'on en voit rien, elle savait se battre à main nue même si contre plusieurs hommes ça semblait difficile ou encore contre une brute. Elle avait du cœur, cherchait toujours à montrer le bon côté des hommes. Combien de malfrats avait elle fait plier de cette façon ? C'était une arme que personne ne pouvait soupçonné avant d'en être victime. Mais Ryo ne pouvait pas pour autant laisser kaori se débrouiller seule, il y en avait pour qui il n'y avait rien à faire, qui était irrattrapable.  

 

Il ne restait déjà plus que ¾ heure et Ryo ne savait toujours pas où elle était. Pendant qu' Umi téléphonait, Mick poursuivait son enquête. Après avoir trainé dans deux, trois bars, il trouva enfin l'info qu'il cherchait. Il l'avait obtenu d'une gentille bunny qu'il appréciait et venait voir régulièrement. Il appelât Ryo pour lui donner le nom.  

 

- Ryo, Broco travaille pour Lee.  

 

- Broco, Lee ? Était ce une blague ? Mais il n'avait pas le temps de s'y attarder. Lee avait effectivement plusieurs entrepôts. Mais tous heureusement dans la même zone. Il partit sans attendre, rejoindre Mick et Umi.  

 

Pendant ce temps à l'entrepôt, kaori se débattait avec ses cordes qui lui enserraient les poignets jusqu'à la blessé. Elle demanda plusieurs fois à ses géôliers de les lui détendre mais ils ne voulurent rien entendre. Elle demanda ensuite les raisons de son enlèvement. Mais là, elle n'eut carrément pas de réponse.  

 

Elle se posa donc dans un coin et réfléchit à sa situation. Ryo ignorait où elle était et peut être même ne savait il pas qu'elle avait été enlevé. Non,non peu probable, ça ne servait à rien de l'enlever si c'était pour ne pas l'en informer. Donc ils l'avaient averti mais comment saurait il où elle était ? Elle ne savait pas elle même qui l'avait enlevé. Bien sur, il avait ses indics mais parfois ils n'étaient pas bien renseignés. Donc, il faudrait qu'elle compte sur elle.  

 

Une envie présente se fit jour, elle demanda donc pour se rendre aux toilettes. On lui refusa. Ses deux tortionnaires n'étaient pas faciles. Il lui refusait tout, était ce de la méfiance ou étaient ils bêtes? Elle se leva, s'approcha d'eux et commença à s'agenouiller. Confortablement assis à une table, les deux compères jouaient à un jeu de cartes.  

 

- qu'est ce tu fais ?  

 

- je vous l'ai dit, j'ai une petite envie, puisque vous ne voulez pas m'y conduire, je vais faire pipi ici. Tant pis pour les odeurs !!!  

 

Les deux lourdauds se consultèrent du regard et un des deux se leva et tira kaori jusqu'au toilette. Les mains liées dans le dos, il ne lui fut pas facile de se débrouiller. Pourtant, elle eut de la chance, un morceau de fer avait été oublié là par un précédent utilisateur de l'endroit. Un peu dégoutée kaori s'empara de la petite barre. Son géôlier l'attendait derrière la porte, elle devait donc faire le moins de bruit possible.  

 

Heureusement qu'il l'avait emmené dans une usine de fabrication de pièces métalliques, elle avait pu trouvé l'objet de sa libération. Enfin, l'espérait elle. Elle le fourra comme elle pu dans la poche de son peignoir et toqua à la porte pour qu'on lui ouvre. Elle fut reconduite à son emplacement. Elle se fit la plus discrète possible afin de se faire oublier. Quand ils furent tout à fait à leur partie, elle retira le morceau de fer de sa poche et lima doucement les cordes qui l'entaillaient.  

 

Il fallait qu'elle prépare un plan de fuite. Les deux compères étaient à l'opposé de la porte de sortie. Il fallait donc qu'elle fonce de suite vers cette ouverture qu'ils n'avaient pas verrouillé. Ensuite, dehors, il lui resterait à se cacher et à progressivement sortir de cette zone industrielle. Le seul petit hic dans ce plan c'est qu'ils pouvaient rapidement la rattraper lorsqu'elle s'enfuirait. Ils n'étaient pas très loin d'elle et en quelques enjambés, ils la rattraperaient. Il fallait tenter le coup malgré tout.  

 

Ryo, Mick et Umi se dirigeaient vers la zone industrielle concernée. Ils avaient convenu que chacun fouillerait une partie afin de retrouver au plus vite kaori. Il fallait se dépécher, quand il verrait que Ryo n'était pas au rendez-vous, dieu sait ce qu'il ferait d'elle. Enfin, ils arrivèrent. Il ne restait plus qu'une vingtaine de minutes et quatre entrepôts à fouiller.  

 

Les liens cédèrent, kaori se massa les poignets avant de se jeter en avant dans une course folle. Les deux joueurs de cartes se précipitèrent à sa poursuite. L'un d'eux la saisit par les épaules, elle se retourna et lui flanqua un coup de pied dans le ventre. Déséquilibré, il se rattrapa à la ceinture de kaori qui lui enserra la taille. Elle défit d'une main le nœud qui maintenait sa ceinture. Son poursuivant s'abattit lourdement au sol un bout de tissu dans la main. Les pans du peignoir n'attendirent pas pour s'ouvrir et offrir au deuxième poursuivant une vue magnifique qui le fit hésiter quelque seconde quant à la conduite à tenir. Kaori en profita pour lui balancer un coup de pied dans le thorax qui le déséquilibra mais il se rattrapa au peignoir. Kaori tourna sur elle même pour se libérer. L'homme tomba et dans sa chute cogna un coffre qui le mit k-o.  

 

Kaori regardait ces hommes à terre prête à reprendre le combat mais les deux étaient groggy. C'est à ce moment là qu'elle sentit dans son dos une aura particulière: Ryo.  

 

-très joli!!!  

 

Parlait il d'elle ou de son combat? Depuis combien de temps était il là ? Instinctivement, elle cacha sa poitrine, prise au piège, elle ne pouvait se retourner sans dévoiler plus son anatomie.  

 

Quand elle sentit une étoffe chaude lui recouvrir les épaules, elle respira de nouveau et se dépêcha d'enfiler ses bras dans les manches. La veste de Ryo lui permettait de faire comme une robe, de fait plus aucune partie de son anatomie ne se trouva à vue. Elle tenait malgré tout les pans de la veste serré .  

 

Elle entendit des personnes les appelés, il s'agissait de Mick et Umi. Ryo et kaori s'approchèrent d'eux.  

 

- tout va bien ? Demanda Umi  

 

- oui, oui répondit kaori  

 

- bien rentrons, kaori je te dépose chez toi ? reprit il  

 

- Non, le coupa Ryo, je la ramène à la maison.  

 

Avec de gros yeux ronds, kaori regarda Ryo qui lança un regard chaleureux, elle baisa la tête et se mit à rougir. Elle n'osait y croire, il venait de lui faire la plus belle des déclarations car eux seuls savaient ce que ses quelques mots voulaient dire pour eux.  

 

Pour une fois dans sa vie, Ryo n'avait rien prémédité, il avait parlé sans réfléchir. Son plan d'éloignement de Kaori tombait à l'eau, il comprit qu'en faite jamais il ne pourrait vivre sans elle. Alors comme à son habitude, il allait assumer ses paroles. Et cela ne l'inquiétât pas, il était tout simplement heureux.  

 

 

FIN 

 


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