Capitolo 11 :: LE DENOUEMENT

Pubblicato: 21-03-14 - Ultimo aggiornamento: 21-03-14

Commenti: Encore un peu d'action dans ce chapitre, j'espère qu'il va vous plaire. merci pour les reviews. je suis contente que ma fic vous plaise; a bientôt pour la suite.

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kaori se réveilla de bonne humeur. Un magnifique soleil filtrait par la fenêtre la mettant de suite de bonne humeur. Ryo s'était tenu tranquille cette nuit laissant tout le monde se reposer. C'était une bonne chose. Cela faisait longtemps qu'elle ne s'était pas sentie aussi légère. Occupé 24 h/24h à protéger humber, elle avait un peu oublié ses propres soucis, cependant elle regarda le calendrier, elle n'oubliait pas qu'elle s 'était fixé la fin du mois pour faire avancer les choses entre elle et ryo.  

Au départ, elle avait pris cette décision car elle dépérissait et mettait sa santé en danger à attendre. Aujourd'hui, elle ne voyait plus ça comme un sauvetage mais comme un défi à relevé, peut être le début d'une nouvelle vie.  

Kaori préparai le déjeuner lorsque Humber se leva. Elle commencèrent sans attendre Ryo, il était encore tôt pour lui. Néanmoins, quelques minutes plus tard, elle le virent apparaître, il revenait de l'entrainement. Ce n'était pas bon signe, mais kaori ne dit rien et joua la surprise. Ryo s'attendait donc à d'autres attaques ? Il n'avait pas encore découvert qui était derrière tout ça et devait donc être prêt.  

- ryo, j'ai oublié mes affaires hier soir, je crois que je n'étais pas très concentré s'excusa Humber. Pourrons nous aller les chercher?  

- Oui bien sur, dès que vous serez prête. Kaori, tu pourras rester ici, nous n'en aurons pas pour longtemps.  

Ryo eut à peine fini sa phrase qu'un coup de sonnette retentit. Ça devait être saeko, aussi s'apprêtait il à aller ouvrir quand il entendit l'armement d'une arme. Aussitôt, il couru vers humber et la coucha. Ils avaient à peine atteint le sol que les coups partirent.  

La porte se détruisit au fil des tirs mais ne permit pas à Ryo de voir qui tirait. Dès qu'ils s'arrêtèrent, il se leva pour poursuivre son adversaire tout en criant à kaori de s'occuper d'Humber car elle était gravement touché.  

Kaori se leva et alla la voir recroquevillée. Depuis le départ de Ryo, elle n'avait pas bougé. Avec appréhension, kaori regarda Humber et chercha à quel endroit elle avait été touché. Rien, Humber n'avait rien. Pourquoi Ryo avait il crié ça avant de partir ? Elle ne comprit pas mais décida de faire comme si effectivement il y avait un blessé grave. Ils étaient peut être surveiller.  

Ce que ne saurait pas les personnes qui leur en voulaient c'est qu'il y avait un hôpital un peu particulier sur lequel pouvait compter Kaori et Ryo et quelques uns de leur amis. Elles leur demanderaient juste de venir en ambulance aujourd'hui au lieu d'être discret comme habituellement . Elle téléphona au doc qui mis tout en œuvre pour le plan de kaori. Par ailleurs, Kaori et Humber seraient plus en sécurité à l'hôpital plutôt qu'à l'appartement en attendant le retour de Ryo.  

L'ambulance arriva et Humber fut descendu par des infirmiers bien charpentés. Elle était choquée et n'arrivait pas refaire surface. Son esprit était enfermé, sans doute pour la protéger de ce qu'elle avait vécu. Les infirmiers avaient pris soin de mettre en œuvre les « premiers soins » ainsi personne ne pourrait se douter de quoi que se soit.  

Kaori pensait avoir compris le plan de Ryo, en effet Humber morte plus d'attaque.  

À son l'arrivée, le doc la prit en charge, elle était très choquée et ne réagissait ni aux paroles ni aux stimulus physiques. Le doc était très inquiet aussi lui donna t'il un somnifère afin qu'elle se repose et puisse reprendre des forces.  

- doc, doc !!!  

Une voix puissante criait dans le couloir le nom du doc qui se demanda ce qui pouvait bien se passer encore. Il sortit dans le couloir suivit de kaori qui avait reconnu la voix de Mick. À la vue de kaori, Mick poussa le doc dit « l'ancêtre » pour serrer contre lui kaori.  

- qu'est ce qui s'est passé ? Quand j'ai vu l'ambulance arriver chez toi et pas de Ryo, j'ai cru …. j'ai cru …..  

Les mots ne sortaient plus, après tout, tout le monde avait compris ce qu'il avait cru. Kaori était toujours blotti contre lui. Elle appréciait ce moment même si elle aurait préféré que ce soit quelqu'un d'autre. Mais au bout d'un moment, elle se recula.  

- je n'ai rien et par chance personne n'a rien. On a été effectivement pris comme cible mais tout va bien, expliqua kaori. Puis en rossissant, elle ajouta : je suis contente de te revoir.  

C'est avec un sourire qu'il répondit que désormais elle le verrait plus souvent. En parlant, il réalisa que s'il était arrivé quelque chose à kaori, il ne se serait jamais pardonné de l'avoir laisser après leur dernier entretien.  

- alors comment allez vous les amoureux ? Plaisanta le doc.  

Une fois n'est pas coutume même Mick se mit à rougir et ne sachant que faire pour donner le change, ils se mirent à rire tout en s'espaçant l'un de l'autre.  

Le doc qui n'avait dit ça que pour les taquiner, se demanda jusqu'à quel point il avait raison. Il donna des nouvelles d'Humber qui dormirai jusqu'à 15 h environ et là, il referai un bilan pour voir si elle avait récupéré.  

C'est à ce moment là que ryo arriva.  

- alors ryo ?  

- Rien, ce sont de vrai anguille. Mais je vois que tu as bien compris là où je voulais en venir tout à l'heure. Bravo sugar !  

Kaori n'arrêtait plus de rougir, mais les compliments de Ryo était tellement rare, avec son surnom en plus, la seule chose qui ne soit rien qu'à eux.  

Cela datait de leur première affaire ensemble où en faite ni lui ni elle ne savait qui ils étaient en réalité. Il s'agissait de disparition de jeunes femmes dont une très bonne amie de kaori. Ryo lui avait été mis sur l'affaire par Hide qui s'inquiétait pour sa sœur qui semblait avoir disparue. L'affaire résolue, Ryo l'avait appelé sugar, ne sachant comment s'appelait cette étrange jeune fille qui n'avait pas voulu se présenter. Il l'avait prononcé avec une telle intensité que cela avait fait résonner bizarrement le cœur de kaori.  

Ce surnom était la preuve d'une intimité qu'ils avaient partagé. Une intimité bien chaste mais qui, connaissait Ryo aurait compris qu'il s'était beaucoup livré ce jour là. Et c'était à elle, kaori, qu'il s'était montré sous son vrai jour. Qu'en était il advenu de ce jour ? Elle avait l'impression qu'il s'agissait d'une autre vie qui n'avait plus beaucoup de rapport avec celle d'aujourd'hui.  

- mick ? Que fais tu là ?  

- J'ai vu l'ambulance, ne te voyant pas j'ai cru qu'il était arrivé quelque chose à kaori.  

- À kaori ! Bien sur, maugréa Ryo. Il avait un regard obscur qu'il réservait à ses ennemies.  

Mick lui rendit son regard. Ils savaient tous les deux les sentiments de l'autre et malgrès leur belle amitiè, cela les séparaient. Kaori perdu dans ses pensées ne s'était rendu compte de rien, aussi quand elle donna des nouvelles sur la santé d'Humber, les deux hommes arrêtèrent leurs regards meurtriers.  

Ryo ne voulait pour kaori ni lui ni quelqu'un qui aurait le même métier que lui, aussi voyait il d'un mauvais œil, les tentatives de Mick. Bien sur, il était jaloux aussi mais ça il ne l'aurait pas reconnu.  

Quand Humber s'éveilla vers 14h30, elle était beaucoup plus reposer. Ryo était à son chevet. Il devait la préparer pour le reste de la journée, il avait besoin d'elle pour retourner au théâtre et il l'espérait, mettre fin, à ces malveillances.  

Il expliqua son plan à Humber qui comprenait très bien mais qui restait très réticentes. Elle finit par admettre que Ryo avait raison et qu'il fallait que tout ça finisse.  

- pourquoi pensez vous que tout peut prendre fin aujourd'hui ? Demanda Humber  

- parce qu'ils vous croient morte, expliqua Ryo avec une grimace. Je pense que les évènements vont s'accélérer et que nous allons avoir le fin mot.  

- Mais ils vont me reconnaître.  

- C'est pour ça que nous allons nous déguiser et passer par l'entrée réservé à l'équipe technique. Écoutez je suis tellement sur que tout va s'arranger que j'ai demandé à Saeko de venir pour procéder à une arrestation.  

- Très bien et quand allons nous y aller ?  

- Tout de suite.  

- Ah oui ? Humber afficha un air consterné, néanmoins elle se prépara et partit avec lui.  

Arrivé au théâtre, ils entrèrent par les coulisses et habillés comme ils l'étaient, on les aurait pris l'un pour un technicien et l'autre une femme de ménage. Ils vaquèrent à leur occupations prétendues.  

Pendant une bonne heure, il ne se passa rien et Humber commença à en avoir assez, quand elle passa devant le bureau du directeur et entendit des voix. Il y en avait une qui lui disait quelque chose. Elle avait un accent américain trainant, un peu comme les texans dans son Amérique natal. Elle tenta un coup d'oeil mais jugeant que c'était trop dangereux s'en abstint. Elle eut raison car quelques secondes après deux hommes quittèrent le bureau.  

Humber fut retourné quand elle vit de qui il s'agissait aussi s'empressa t'elle d'aller rejoindre ryo qui déjà se dirigeait vers elle.  

- que se passe t'il ? On dirait que vous avez vu un mort ?  

- C'est tout à fait ça. L'homme, avec le complet bleu, je l'ai vu se faire tuer, il y a 20 ans. Il était mort et le re-voila.  

- J'appelle Saeko. Vous voyez qu'est ce que je vous avait dit ? Lui déclara t'il avec un clin d'oeil.  

Saeko arriva rapidement puisqu'elle attendait l'appel. Quand elle vit de qui il s'agissait, elle fut bien heureuse de sa proie.  

En effet, voilà deux ans qu'elle courait derrière cet individu qui ne faisait que lui glisser entre les mains. Son rapport avec des affaires de drogue ainsi que des trafics d'armes n'était pas pour lui plaire. Mr applepie, car il s'agissait de lui, essaya bien de nier ce qu'on lui reprochait mais quand il vit Humber sans son déguissement, il devint blanc comme un linge.  

- je ne comprends pas pourquoi il s'en est pris à humber ? demanda saeko.  

- Eh bien, commença Humber, je suis du Texas et il y 20 ans environ dans un village, je me trouvais dans une ruelle pour retrouver ma voiture. J'ai entendu 2 hommes qui criaient, je les ai reconnu, c'était 2 délinquants qui étaient bien connu des habitants. Je n'ai pas très bien compris mais l'un d'eux à sorti un pistolet et à tirer sur jack Orson, Mr Applepie pour vous. J'étais terrifié. C'était un malfrat mais on se connaissait de vue. Je connaissais sa famille même si on ne se fréquentait pas. J'ai couru chercher le shérif, je lui ai tout raconté. Mais quand nous sommes arrivés, il n'y avait qu'une tâche de sang, pas de corps. L'autre jeune était partit. Il a bien été arrété mais il avait un alibi. On n'a jamais revu jack Orson et pourtant l'autre jeune n'a jamais été inquiété. Il a donc été déclaré mort. Je suppose qu'il m'a reconnu sur les affiches et donc il fallait me faire partir parce que je risquais de le reconnaître...... a l'époque ce n'était qu'une mise en scène pour ne pas être inquiété par la justice !!!  

- Eh bien, nous, on le connait comme trafiquant d'armes et de drogues, ajouta Saeko, sous le nom de Mr Wark, Jenkins etc... il devait s'intêresser à votre troupe pour faire passer de la marchandise. Vous allez pouvoir être tranquille maintenant.  

- J'espère. Quand même il a essayé par deux fois de me tuer.  

Ryo ramena Humber à l'appartement afin qu'elle récupère ses affaires. Kaori l' accueillie chaleureusement et celle ci lui raconta les dernières nouvelles.  

- Eh bien vous voilà rassuré, vous allez pouvoir aller travailler sans être inquiète. Néanmoins, si vous voulez, vous pouvez rester ici encore cette nuit, le temps de vous remettre entièrement.  

- merci, en effet j'aimerai bien rester ici encore cette nuit. En échange, je vous invite, kaori à poursuivre mes cours, ajouta malicieusement humber.  

- Euh … merci, bafouilla kaori.  

Heureusement, Ryo n'était pas à proximité et n'avait donc pas entendu.  

- Je vais donc préparer mes affaires et nous pourrons partir au théâtre.  

Humber en profita pour tenir une promesse et alla discrètement déposer un billet d'entrée pour le spectacle dans la poche de Ryo. Ainsi, elle faisait quelque chose de sexy pour lui.  

Puis kaori et Humber partirent.  

Kaori apprécia une fois de plus tous les conseils qu'humber et les autres artistes lui donnaient. Elle avait envie que tout le monde la voient comme elle se voyait désormais. Elle avait envie de se mettre à nue pour que Ryo ne doute plus de sa féminité, de ses courbes, de sa grâce. Elle avait envie d'une vie nouvelle, d'être elle même, de s'assumer en tant que femme.  

Humber rappela qu'à la fin de la semaine, il y aurait un temps dans le spectacle pour que toutes les élèves qui le voulaient puissent se produire sur scène. Il y eut des « oh !!! » et des « ah !!! ».  

Cette proposition résonna aux oreilles de kaori qui ressentait le profond désir d'être pour une fois quelqu'un sans complexe, charmeuse. C'était un peu comme une épreuve que l'on vit dans certaine peuplade et qui, si elle est réussi fait de vous un adulte.  

Ça serait son épreuve à elle. Elle se dirigea vers Humber et lui demanda si elle pourrait participer. Humber fut surprise, la timide kaori se revélait et ça ne devait pas être pour n'importe qui.  

- seulement Humber, pensez vous que je puise produire quelque chose de correcte, je ne voudrais pas paraître « godiche ».  

- n'ayez pas peur kaori, tout d'abord, nous préparons la représentation : ça ne sera ni plus ni moins que ce que l'on a vu ici. Ensuite, vous resterez que 10 min sur scène environ. Ça me surprend de vous kaori, je ne suis pas contre bien au contraire,s'empressa t'elle d'ajouter  

- je dois me prouver quelque chose. C'est un peu ma façon à moi de dire que j'ai grandi. Pas un mot à Ryo, c'est vraiment pour moi si je le fais.  

- Oui, oui pas de problème.  

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