Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 7 chapitres

Publiée: 22-07-19

Mise à jour: 28-07-19

 

Commentaires: 12 reviews

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HumourRomance

 

Résumé: Un accident domestique est si vite arrivé...

 

Disclaimer: Les personnages de "Mokkaori" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Mokkaori

 

Chapitre 7 :: Chapitre 7

Publiée: 28-07-19 - Mise à jour: 28-07-19

Commentaires: Bonjour voici le dernier chapitre de cette histoire. Merci ShaninXYZ, RKever et Pat pour vos commentaires^^. Pour ceux qui en doutent, le comportement de Kaori n'était induit que par le coup de massue, pas de duplicité de sa part. Merci d'avoir suivi cette fic jusqu'au bout. J'espère qu'elle vous aura fait rire et passer un bon moment de détente. Sur ce, je vous laisse à la lecture et vous dis à bientôt pour d'abord une petite scène de ménage puis une nouvelle fic, la dernière avec les contraintes imposées par nos nettoyeurs préférés.

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7


 

Chapitre 7  

 

Le soleil perça au travers des stores, laissant ses rayons réchauffer les parcelles de peau exposée et venir titiller les paupières closes de l’homme endormi. Ryo grogna et posa le bras en travers de ses yeux pour se protéger. Un petit rire le tira de son sommeil, l’encourageant à soulever les paupières, et il ne le regretta pas. Il croisa deux prunelles noisette qui l’observaient avec beaucoup de chaleur et d’amour. Un mois… cela faisait un mois maintenant qu’ils étaient devenus des partenaires personnels en plus de professionnels, un mois que les choses s’organisaient avec plus ou moins de facilité, que les habitudes se mettaient en place, la plus facile ayant été le partage de la chambre.  

 

- Un yen pour tes pensées., proposa Kaori.  

 

Il glissa la main dans ses cheveux et remit une mèche derrière son oreille. Il avait encore parfois du mal à croire qu’elle était bien là avec lui, dans son lit… leur lit, se corrigea-t-il en souriant.  

 

- Si j’avais su que je m’éclaterai autant au lit avec toi, j’aurai mis le couvert plus tôt., déclara-t-il, une lueur malicieuse dans les yeux.  

- Pervers !, s’exclama-t-elle en riant, faussement outrée.  

- Tu ne t’en plaignais pas hier soir…, murmura-t-il en prenant ses lèvres.  

 

Ils s’embrassèrent passionnément un long moment, prenant plaisir à se savourer l’un l’autre. Leurs mains voyageaient sur le corps de l’autre jusqu’à ce qu’ils séparèrent.  

 

- Sérieusement, je me disais que tout n’était pas parfait mais que j’étais bien. Moins libre, mais je ne m’en plaindrai pas., avoua-t-il.  

- Je te serre trop ?, demanda-t-elle, inquiète.  

- Tu plaisantes ? Je ne sais plus à quand remonte ma dernière massue vraiment méritée.  

- Mes massues te manquent ?, le nargua-t-elle.  

 

Ils en rirent tous les deux. Ils avaient gardé leur liaison secrète, préservant les apparences à l’extérieur d’un partenariat purement professionnel entre un nettoyeur pervers et une partenaire castratrice. Ils voulaient se donner le temps de se trouver comme couple avant de devoir affronter le regard des autres. Il n’y avait qu’Umi qui avait perçu le changement et avait accepté de garder leur secret. Cela avait suivi une « grande » discussion entre deux grands timides.  

 

Ryo se remémora ce moment risible. Ils revenaient du lotus bleu pour récupérer Yuki et, après un moment de gêne, Kaori s’était assise à son tabouret habituel et Umi lui avait servi un café. Avant qu’il n’ait eu le temps de se retourner, elle avait saisi la main du géant, provoquant une montée en température de son visage et la réponse en miroir de Kaori. Ryo avait ri, tout en étant épaté qu’une si petite main fut capable de retenir la paluche du colosse.  

 

- Umi… Je… jesuisdésoléedelafaçondontjemesuiscomportée., débita-t-elle d’une seule traite, provoquant un sourire ironique de son partenaire.  

- Tu nous la refais en respirant ?, se moqua-t-il.  

- Tout va bien, Kaori. Je suis content que tout soit rentré dans l’ordre., lui répondit-il.  

- Et que certaines choses évoluent… enfin., ajouta-t-il en se retournant pour ranger la vaisselle qu’il avait nettoyée avant leur arrivée.  

 

Ryo et Kaori s’étaient regardés, stupéfaits, puis se sourirent. Il n’y avait qu’Umi pour sentir ce genre de choses.  

 

- Dis l’Eleph’, concernant le deuxième point…, commença Ryo, légèrement embarrassé.  

- Quel point ?, répondit Umi.  

- Merci., fut la seule réponse de Ryo.  

 

Leur secret serait bien gardé jusqu’à ce qu’ils se soient décidés à en parler. Miki arriva au même moment et les regarda bizarrement.  

 

- Quoi ? J’ai loupé quelque chose ? Vous en faites une tête !, dit-elle avant de regarder Kaori, mortifiée.  

- Alouette., pipa la nettoyeuse, le plus sérieusement du monde.  

 

Miki la regarda dépitée : alors ce n’était toujours pas fini… Kaori éclata de rire, joyeuse d’avoir piégé son amie.  

 

- Je t’ai eue. Tout va bien, Miki., la rassura-t-elle.  

- Tant mieux. Alors ça fait quoi de sauter sur tout ce qui bouge ?, lui demanda son amie, le regard malicieux.  

 

Kaori vira au rouge. Elle savait très bien ce qu’elle avait fait pendant ces quelques jours et pouvait remercier Ryo d’avoir été là sans quoi elle aurait certainement fait d’énormes bêtises. Elle se tourna vers lui et vit Yuki l’entourer de ses bras. Il écarta les mains en signe d’impuissance, lui tapota maladroitement le dos puis la lâcha, mais pas elle. La nettoyeuse la regarda faire et contint sa colère. Heureusement, les trois jours qui suivirent passèrent rapidement et Yuki put publier son article et quitter leur chambre d’amis…  

 

- La Terre à Ryo ! La Terre à Ryo !, l’interpela Kaori, agitant une main devant ses yeux.  

- Excuse-moi, j’étais perdu dans mes pensées.  

- Je vois cela. Si on se levait, tu dois mourir de faim., suggéra-t-elle.  

- Une pensée comme je les aime…  

 

Ils se levèrent. Ryo vit sa compagne enfiler son tee-shirt favori et descendre à la cuisine alors qu’il filait prendre sa douche. Il sifflota gaiement, fier d’avoir réussi à imposer son pyjama à sa compagne, même s’il appréciait aussi ses nuisettes : ça lui donnait quelque chose à lui enlever… Au moins cette histoire avait eu du bon : elle avait certes récupéré ses affaires qu’elle avait voulu jeter, mais n’avait gardé qu’un seul pyjama pour les fois où elle serait malade et, face à son regard implorant, il avait cédé. Elle lui avait été reconnaissante de voir qu’il ne les avait pas mises à la poubelle même s’il l’avait faite enrager avant de lui dire où il les avait rangées. Il ne pouvait pas dire qu’il n’appréciait pas sa nouvelle garde-robe mais l’ancienne était amplement suffisante et beaucoup moins dommageable pour ses nerfs…  

 

Tous deux déjeunèrent et se préparèrent à sortir. Juste avant d’ouvrir la porte, ils échangèrent un dernier baiser. Le seuil franchi, ils remirent leurs masques. Kaori se dirigea vers la gare et trouva le tableau vide de message à leur attention. Elle soupira : la situation n’était pas encore désespérée mais elle ne devrait pas durer trop longtemps. Quoique les dépenses avaient bien diminué depuis un mois, pensa-t-elle en souriant. Elle poursuivit son chemin, s’arrêtant à la boutique d’Eriko.  

 

- Bonjour Kaori. Merci d’être passée. Je voulais te donner ton chèque pour ta séance de mannequinat mais je n’ai pas trouvé le temps de venir.  

- Tout va bien, Eriko.  

- Tiens., lui dit son amie lui tendant son salaire.  

- Si ça te dit, je te garde une place pour le prochain défilé.  

- De lingerie ? Non merci. Ca a été un calvaire. Je ne savais plus où me mettre., protesta la rouquine.  

 

Elle repensa au défilé et rougit. Elle ne savait même pas où elle avait trouvé la force de tenir sa promesse mais Ryo y avait été pour beaucoup. Il l’avait convaincue de défiler en sous-vêtements dans leur intimité la veille au soir pour lui donner confiance et avait réussi à chasser le trac au moment du défilé en faisant ce qu’il savait le mieux faire : le pervers. A force de le chasser, elle avait oublié d’avoir peur et sa colère avait éclipsé sa timidité jusqu’au premier pas sur le podium. Et une fois arrivée là, elle n’avait plus d’autre choix que de sourire bravement et avancer. Pour oublier sa gêne, elle n’avait pas imaginé que les spectateurs étaient nus mais s’était imaginée habillée d’un pantalon… d’un col roulé… d’une doudoune… même si on était au mois de juin et qu’il faisait trente degrés dehors…  

 

Elle était sortie de là, soulagée, et s’était promise de ne plus jamais réitérer l’expérience… même si Ryo lui avait montré à quel point il avait apprécié sa prestation une fois rentrés chez eux et apparemment il avait énormément apprécié. Il lui avait quand même avoué qu’il n’assisterait pas à d’autres défilés sauf à risquer un carnage parmi les spectateurs masculins. Il avait plutôt mal vu certaines remarques entendues au sujet de sa compagne et s’était retenu de ne pas aller les corriger.  

 

- Kaori, tu es avec moi ? Tu as l’air ailleurs., lui demanda Eriko.  

- Oui, excuse-moi. Je repensai au défilé. Tu pars toujours demain ?  

- Oui. Je reviens dans deux mois. Tu vas me manquer. Promets-moi une soirée entre filles à mon retour. On n’a pas eu l’occasion de se voir ce mois-ci.  

- C’est promis, Eriko. Profite de ton voyage., dit-elle en étreignant son amie.  

- Sans souci. Il faut que je te laisse : j’ai encore un tas de choses à faire. Porte-toi bien, Kaori., la salua Eriko, accompagnant son amie à la sortie.  

 

Elles s’embrassèrent et Kaori reprit son chemin, se dirigeant vers le Cat’s Eye. Elle pénétra dans le café et, après avoir salué le couple de tenanciers, prit place au bar.  

 

- Ryo n’est pas avec toi ?, demanda Miki, curieuse.  

- Il est parti faire le tour de ses indics., répondit Kaori.  

- Tu sais ce que ça veut dire : il doit soulever quelques jupettes et tenter sa chance avec des jeunes femmes mokkori., soupira-t-elle en haussant les épaules.  

- Quand je pense à quel point vous étiez proches le mois dernier… Je pensais que les choses évolueraient enfin…, s’énerva la barmaid.  

 

Kaori ne répondit pas, se concentrant sur sa tasse de café pour ne pas déballer leur secret. Miki était son amie mais c’était également la pire des commères. Dès qu’elle saurait, elle risquait de les harceler de questions, de presser Ryo pour faire avancer les choses et ce n’était pas ce qu’ils voulaient. Ils avaient le temps, elle voulait lui laisser du temps, ne surtout pas risquer de le perdre maintenant qu’ils s’étaient trouvés.  

 

La clochette tinta et Mick entra, volant dans les airs en caleçon, le visage déformé par un rictus pervers. La nettoyeuse dégaina sa massue et intercepta son ami avant qu’il ne l’atteignit. L’américain se releva, époussetant sa veste.  

 

- J’aurais mieux fait d’en profiter le mois dernier., chouina-t-il.  

- Dis-moi au fait : tu as pensé quoi de mon corps d’apollon ? Tu en rêves la nuit ?, lui susurra-t-il à l’oreille, la faisant rougir.  

 

La première réponse qui lui vint en tête fut qu’elle n’avait pas vraiment le temps de rêver la nuit, bien trop fatiguée, mais elle la retint de justesse. Rougissante, elle n’avait pas vraiment envie de leur expliquer qu’après autant d’années d’attente, ils avaient un besoin insatiable de s’aimer et que Ryo n’avait pas failli à sa réputation. Aux nuits, s’ajoutaient certains matins où les réveils étaient très sensuels…  

 

- Est-ce que tu veux de nouveau tâter la fermeté de mon fessier ?, lui proposa Mick, s’approchant d’elle, séducteur.  

- Et toi, tu veux à nouveau tâter de ma massue ?, répondit-elle avec un sourire charmeur.  

 

Mick réinstaura une distance de sécurité entre elle et lui. Ils entendirent soudain un cri outré provenant de la rue.  

 

- L’autre dégénéré arrive., soupira Umibozu.  

 

Kaori se retint de sourire à l’idée de revoir son homme. Ils s’étaient quittés deux heures plus tôt et il lui manquait déjà… Pire qu’une lycéenne, se dit-elle. La clochette tinta enfin et un Ryo à moitié nu s’élança dans les airs en criant :  

 

- Miki, mon amour, viens voir ton Ryo chou !  

- Tiens, embrasse ma machou., fit Kaori en dégainant son arme favorite.  

 

Les lèvres baveuses s’écrasèrent contre le bois et glissèrent jusqu’à se retrouver par terre, accompagnées du bruit de quelques dents tombées.  

 

- Méchante Kaori ! Toujours à briser mes démonstrations d’affection !, bouda-t-il, assis en tailleur par terre.  

- Elles sont un peu trop humides tes démonstrations, voire gluantes même !, rétorqua-t-elle.  

- Tu dis ça parce que t’es jalouse !, dit-il.  

- Jalouse de quoi ?, lui demanda-t-elle en plissant les yeux.  

- Que je ne te saute pas dessus pardi !, répondit-il, croisant les bras.  

 

Kaori se leva sous le regard surpris de ses amis et s’approcha de Ryo. Les trois spectateurs de leur dispute se demandaient ce qui allait arriver puisque a priori elle n’allait pas dégainer la massue. Elle déboutonna les premiers boutons de son chemisier et écarta légèrement les pans, lui laissant admirer le soutien-gorge noir en dentelles qu’elle portait. Il déglutit, les yeux rivés sur la pièce : il savait quel était le sous-vêtement coordonné et ne l’imaginait que trop bien seulement parée de ces deux atours. C’était l’ensemble qu’il préférait… C’était bas, très bas… mais ça marchait du tonnerre, son meilleur ami ne demandant qu’à faire coucou.  

 

- Pff c’est pas la peine de chercher à m’émoustiller avec tes œufs au plat., lâcha-t-il, dédaigneux.  

- Des œufs au plat ? Tu dois avoir un problème de vue, mon cher., répondit-elle, très calmement en saisissant une de ses mains et la posant sur l’un de ses seins.  

- Ou tu dois avoir des toutes petites mains. Veux-tu que je demande à Mick son avis ?, poursuivit-elle en levant un sourcil.  

 

Elle vit l’éclair de jalousie traverser son regard. Elle devait avouer que ce petit jeu lui provoquait des sensations très agréables… Elle lâcha sa main mais celle-ci ne quitta pas son emplacement. Mick accourut, la bouche en coeur.  

 

- Oh oui, laisse-moi tester. Je suis sûr que ma douce Kaori n’a pas des œufs au plat., dit-il en approchant la main, le regard lubrique.  

- Mick Angel, à quoi tu joues !, hurla Kazue qui entra au même moment.  

 

Elle n’attendit pas sa réponse pour l’écraser sous une massue. Ryo et Kaori avaient les yeux fixés l’un sur l’autre comme si plus rien d’autre n’existait. Ils sentaient la tension monter en eux et se seraient certainement rapprochés si la massue ne les avait pas ramenés à la réalité. Voyant une jeune femme passer dans la rue, Ryo se précipita à l’extérieur, profitant de la diversion.  

 

- Mademoiselle, laissez-moi vous offrir un café !, cria-t-il, la poursuivant.  

- Viens ici, sale cloporte. Tu ne vas pas t’en tirer à si bon compte., le suivit Kaori, massue à la main.  

 

Dans le café, les quatre amis restèrent coïs après le départ du couple, des corbeaux et libellules se querellant sous leurs yeux.  

 

- C’était quoi ça ?, demanda Miki.  

- Elle s’est peut-être repris un coup de massue sur la tête ?, répondit Kazue.  

- Je ne pense pas. Mais c’était drôlement chaud !, fit Mick, prenant place sur un tabouret.  

- Chaud ?! Un brasier oui ! T’as déjà vu Kaori se déshabiller ainsi devant nous ?, continua Miki, surprise.  

- Déshabiller non, mais séductrice…, se souvint Mick.  

- Vous croyez qu’ils sont en couple ?, s’interrogea Kazue.  

 

Soudain, la terre trembla et Kaori passa une massue sur l’épaule traînant un Ryo en mauvais état par le col. Tous se regardèrent.  

 

- Non !, s’accordèrent-ils, dépités.  

 

Rien ne bougerait pour ces deux-là, c’était désespérant. Aucun ne perçut le léger sourire ironique d’Umibozu.  

 

Suffisamment éloignés du Cat’s, Ryo se releva et Kaori rangea sa massue. Ils rentrèrent en silence dans leur appartement et, après avoir posé leurs affaires, se regardèrent et sourirent.  

 

- On n’est pas passé loin…, soupira Kaori.  

- Oui. On joue un jeu dangereux. Il faudra peut-être songer à leur dire. Ce sont nos amis après tout., répondit Ryo.  

- Oui, ils devraient comprendre.  

 

Ryo approcha de sa belle et commença à déboutonner le reste des boutons de son chemisier.  

 

- On a le temps d’y réfléchir… Je n’ai pas bien vu ce que tu portais là-dessous., murmura-t-il d’une voix chaude.  

- Oh rien de bien original… Une petite chose pour couvrir mes œufs au plat., répondit-elle taquine.  

- J’ai vraiment de si petites mains. Non… tout est question de proportion., rétorqua-t-il en faisant glisser le chemisier sur ses épaules.  

- Si on continuait tout cela en haut. On serait plus à l’aise., suggéra-t-elle.  

 

Ils montèrent à l’étage et fermèrent la porte de la chambre derrière eux. Ryo enlaça sa compagne.  

 

- Qui aurait cru ?, commença-t-il, laissant ses lèvres errer sur l’épaule et la nuque de sa belle.  

- Quoi ?, murmura-t-elle.  

- Qu’un coup de massue me ferait admettre que ma Kaori était mokkori…, répondit-il, approchant ses lèvres des siennes. 

 


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