Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prose

 

Auteur: nanou

Beta-reader(s): Kaori-maki

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 16 chapitres

Publiée: 18-07-05

Mise à jour: 17-09-08

 

Commentaires: 153 reviews

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GeneralHumour

 

Résumé: Suite à une dispute avec Ryô, Kaori part se réfugier chez sa soeur à New-York. Là-bas, elle rencontre une amie qu'elle va devoir remplacer au pied levé dans un concours de danse. Comme elle ne sait pas danser, devinez qui va être son prof?

 

Disclaimer: Les personnages de "Ryô, prof de danse" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Ryô, prof de danse

 

Chapitre 4 :: Ch 4 : Les tourments de Kaori

Publiée: 26-07-05 - Mise à jour: 26-07-05

Commentaires: Salut tout le monde! Je profite du temps que mes crampes me laissent un peu tranquille pour majer. Ben la dernière fois certaines ont sorti les mouchoirs alors surtout gardez les, on ne sait jamais! Je remercie toutes mes reviewveuses, à savoir Loreley, Chibi, Fan2CH, Eden, Shan, Milene, Lex et Sabi, heu Sabi aïe! une massue en argent ça fait vachement mal! Fais attention car Shan in m'a dit qu'elle me protégerait et puis n'es-tu pas mon chef de la sécurité? Si tu commences à me frapper, où va-t-on? Un gros bisou à ma beta Kaori-Maki qui corrige à la vitesse de l'éclair! Biz et bonne lecture. Votre star intergalactique.

 


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« Hideyuki… », murmura t-elle  

 

Elle caressa le marbre, là où étaient inscrites les lettres dorées.  

 

« Pourquoi es-tu parti ? J’ai tellement besoin de toi, de tes bras protecteurs autour de moi… »  

 

Elle se laissa tomber à genoux.  

 

« Tu m’as confié à lui et je ne peux pas dire qu’il ne m’a pas protégé mais…il ne m’a jamais considéré comme une femme, il m’a souvent blessé, fait pleurer…  

 

Pourtant, j’ai espéré au plus profond de mon être qu’il change son attitude à mon égard. Peut-être que la promesse qu’il t’a faite a été un frein à l’aveu de ses sentiments pour moi ?  

 

Mais tu rêves ma pauvre Kaori !  

 

Il n’a jamais éprouvé que de la pitié pour moi. Pauvre petite orpheline qui venait de perdre sa seule famille, son frère adoré !  

 

Il y a Sayuri…oui mais c’est encore une inconnue pour moi, une amie plus qu’une sœur. Ce voyage va t-il être une occasion de faire plus ample connaissance ? »  

 

Elle posa sa tête contre le marbre froid et ferma les yeux…ce contact avait l’effet d’une caresse, comme si son frère approuvait sa décision.  

 

« Je ne sais pas quand je reviendrais Hide, mais je reviendrais…car je ne peux pas rester loin de toi trop longtemps. Au revoir Hide… »  

 

Elle déposa un baiser sur les lettres dorées et quitta le cimetière. Il était plus de midi quand elle en sortit. Elle n’avait pas envie d’aller au Cats’, sinon elle aurait droit à des questions dont elle-même ne connaissait pas les réponses…  

 

Et puis n’étaient-ils pas avant tout les amis de Ryô ? Ils essayeraient sûrement de la raisonner pour qu’elle reste, même si Miki ferait des reproches au nettoyeur sur son comportement.  

 

Non, elle ne devait absolument les éviter…  

 

Elle fut prise d’une migraine terrible. Elle se massa les tempes pour essayer de la faire passer. Elle n’avait pas envie de rentrer à l’appartement, pas envie de le croiser…  

 

Où vais-je aller en attendant ? Bien sûr, à l’orphelinat ; j’ai besoin de sentir la présence des enfants…  

 

Quelque peu apaisée, elle prit un taxi qui la déposa à la porte de l’établissement. Bientôt, les travaux allaient commencer et les enfants seraient dispersés dans des centres d’accueil. Dans quelques temps, cet endroit serait spacieux, avec des aménagements, des nouveaux jeux pour les enfants, du personnel qualifié, des chambres agrandies, plus de pièces, bref, un paradis pour ces petits anges…  

Elle toqua à la grande porte en bois.  

 

- Ah Kaori, quelle bonne surprise !  

 

C’était mme Takahashi, la directrice de l’orphelinat. Une dame d’une soixantaine d’années, au visage rond. Elle était un amour avec les enfants qui le lui rendaient bien.  

 

- Bonjour mme Takahashi, fit Kaori en essayant de sourire.  

- Kaori, tout va bien mon petit ?  

 

Kaori s’écroula dans ses bras et pleura. Pourtant, elle avait promis de ne plus le faire mais devant le visage si doux, si accueillant de la vieille dame, elle n’avait pas pu résister.  

 

Mme Takahashi dégageait une telle chaleur, comme si elle avait été dans les bras de sa mère, du moins c’est ce qu’elle pensait. C’est comme ça qu’elle imaginait celle qui l’avait mise au monde.  

 

- Allons, entrez mon enfant…je vais vous faire un café, ça vous fera du bien…  

- Merci mme Takahashi, dit Kaori, entre deux sanglots.  

- Appelez moi Kyôko, Kaori, pas de formalités avec moi…  

 

Elle fit asseoir la jeune femme sur le canapé et partit faire du café. Attiré par les voix, les enfants descendirent de leurs chambres. Ils étaient une douzaine qui vinrent entourer Kaori.  

 

- Kaori, pourquoi tu pleures ? demanda l’un deux.  

- Mais non, j’ai juste une poussière dans l’œil qui m’a fait mal !  

- Tu veux que je souffle dans ton œil pour l’enlever ? proposa un autre.  

- Non merci mon grand, ça va aller !  

 

Comme par magie, les larmes se tarirent et Kaori finit par rire. Mme Takahashi, qui revenait de la cuisine à ce moment là, observa la scène avec tendresse.  

 

- Les enfants, allez jouer, laissez Kaori un peu tranquille !  

- On voulait juste lui dire bonjour…  

- D’accord mais après vous retournez jouer !  

 

Ils embrassèrent Kaori avant de retourner s’amuser. La vieille dame lui tendit la tasse fumante avant de s’asseoir à ses côtés.  

 

- Merci Kyôko…  

- Kaori, je ne veux pas m’immiscer dans vos affaires personnelles mais si vous avez besoin de parler, je suis là mon petit.  

 

Kaori reposa sa tasse sur la petite table et regarda mme Takahashi. Elle posa une main sur la sienne. Elle sentait qu’elle pouvait lui faire confiance.  

 

- Ca concerne votre ami ?  

 

La perspicacité de la vieille dame surprit quelque peu Kaori.  

 

- Pourtant, il avait l’air charmant au gala de charité. Je vous ai vu tous les deux, il vous dévorait littéralement des yeux !  

- Vous vous trompez Kyôko, ce n’était qu’une façade…  

 

Kaori entreprit de lui raconter les dix ans de sa vie auprès de Ryô.  

 

- Eh bien, je n’aurais jamais cru que vous exerciez ce genre de métier ma petite Kaori. Vous êtes très courageuse !  

- Il faut dire que je ne fais pas grand-chose, je m’occupais de prendre rendez-vous avec les et de les accueillir à la maison, c’est Ryô qui s’occupait de leur protection…  

- Kaori, vous êtes sûr que Ryô ne veut plus de vous à ses côtés ? Je n’en suis pas persuadée…il doit y avoir une explication.  

- Ca ne sert à rien Kyôko…  

- Vous l’aimez encore Kaori, il n’y a qu’à vous voir. Ne faudrait-il pas que vous ayez une conversation ?  

- Je ne peux pas, je n’ai pas la force de l’affronter dans l’état où je suis…  

- Soit, peut-être que cette séparation vous sera bénéfique mais réfléchissez bien, car c’est votre avenir qui est en jeu.  

- Mais quel avenir Kyôko ?  

- Celui avec Ryô !  

- Vous y croyez encore, après tout ce que je vous ai dit ?  

- Moi je pense qu’il y a un espoir ; vous êtes en colère alors vos idées ne sont pas claires.  

- Vous êtes optimiste Kyôko !  

- A défaut de pouvoir vous faire changer d’avis, que diriez vous de déjeuner avec moi ?  

- Eh bien, je…  

- Allons Kaori, ça me fait plaisir et puis ça me fera de la compagnie !  

- Dans ce cas j’accepte !  

 

NDB : la suite dans le prochain chap...  

 

 

 

 

 

 


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