Chapitre 6 :: Une prise en main s'impose..

Publiée: 20-11-04 - Mise à jour: 20-05-16

Commentaires: Et voilà! Un autre chapitre ! Chose promise , chose dûe! Merci pour tous vos messages et franchement, c'est vrai, on ne s'en lasse pas !! Maiki je pense que tu es presque brûlante !!hihi^_^!! Mais bon, je vais tout de même essayer de vous déstabiliser quand même un peu ... Cat , je ferai de mon mieux promis!! Bon je vous laisse à votre lecture et n'hésitez pas à m'envoyer tout plein de commentaires!!

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Chapitre 6  

11h17 chez le Doc …  

Kaori, Suivie de près par le Doc, accoururent dans la chambre d’examen alertés par les cris.  

Voyant enfin sa protectrice apparaître par la porte adjacente, il se rua vers elle et l’empoigna avec force les faisant de nouveau tomber au sol.  

Si la captive se disait qu’elle devrait s’habituer à ce scénario, cela ne l’empêcha pas de changer de couleur, aussi rapidement que les calamars en pleine saison des amours, quand elle releva la tête.  

_Mais.. Mais que faites-vous ici?  

Mick, qui n’était pas très content de voir Ryô tenir ainsi SA kaori en CETTE position (NdR : Rêves en couleur l’Amerloque!) ne répondit pas à sa question mais répliqua :  

_  

Et lui, qu’est-ce qu’Il fait là??!!! Rabroua-t-il en le montrant du doigt, le regard mauvais. Hein?!! Hein!!! Que fait-il avec Ma KAO à Moi ?  

Kazue, qui savait déjà que son petit ami allait faire toute une scène de jalousie, sortit un maillet «special pervert #2» que lui avait offert son amie afin de calmer les ardeurs du coureur de jupon américain.  

Celui-ci, dû remarquer l’ombre qui planait dangereusement au-dessus de lui, car il se rangea de suite, non sans faire la moue. (Un peu de calme diantre!! Il y a des patients ici!!)  

Kaori acculée, était bien trop gênée pour apprécier le contact du corps pressé contre le sien.  

Il était évident que notre «héro» avait trouvé son bonheur en restant collé à cette jeune femme.  

Avec tout le raffut qui se faisait, l’intéressé daigna tout de même dégager sa tête du cou de sa bienfaitrice pour voir ce qui se passait. Mais à peine avait-il jeté un regard sur les nouveaux arrivants qu’il poussa un nouveau cri apeuré.  

La pauvre Kaori qui vérifiait s’il restait quelque chose de son tympan en se relevant, vit que ses amis essayaient tant bien que mal de retenir leurs rires. Ce n’était décidément pas sa journée! D’abord Ryô qui …et maintenant… D’ailleurs il était passé où le loustic? Elle sentit deux mains s’agripper à elle et là elle sut :  

Ryô essayait tant bien que mal de se cacher derrière elle. (Ça c’est sans compter qu’il la dépasse d’une bonne tête et .)  

_Humm….. Je sens que ça ne sera pas une tâche facile…  

Fit la voix bourrue du colosse aux lunettes fumées qui avait été le premier à passer l’entrée principale de la chambre, suivit de peu par les autres. La bande était à son complet (sauf les Nogami sisters) et elle observait avec intérêt cet instant inusité.  

Plus le sourire de Falcon augmentait et plus il s’accrochait à sa partenaire.  

La jeune femme était sur le bord de griller un fusible quand ses amis se décidèrent enfin à l’aider.  

_Nounours arrête ça tu lui fais peur !!  

Mais, comme l’avait prédit plus tôt le géant, qui était, à son tour, aussi rouge qu’un homard, Il n’était pas mince besogne de détacher l’animal à la jeune nettoyeuse et pour cause : Il était accroché à elle tel une balane incrustée à un coquillage!  

(^-^!!)  

Ce n’était qu’au bout de quelques minutes et d’encouragements qu’il avait accepté de se départir de sa jambe. Elle lui avait assuré qu’il ne risquait rien et que le monstre de plus de deux mètres s’avérait être un de ses amis.  

……………..  

Ils étaient maintenant tous réunis dans la cuisine autour d’un café. Kaori savait maintenant que Kazue avait appelé au Cat Eyes dès que Ryô avait retrouvé conscience et que le mot s’était passé.  

Le principal intéressé de cette histoire se tenait maintenant tranquille à côté de sa partenaire à boire bruyamment un verre de lait. Il observait avec étonnement et curiosité toutes ces personnes qui semblaient le connaître.  

First thing first : Il fallait établir quelques règles pour la sécurité de City Hunter.  

Une chose était sûre : la seule personne qui pouvait veiller sur lui était sa partenaire. S’était la seule dont il n’avait pas peur et la seule qu’il écoutait.  

Ils savaient du professeur que cet état était temporaire mais ils ne savaient pas combien de temps cette anomalie pouvait durer; deux-trois jours? Une semaine ? Un mois ?  

Il n’était pas dans les habitudes du groupe de se retrouver devant une telle situation, aussi ils estimèrent qu’ils composeraient avec ce qui viendrait. Pour l’heure, Ryô devait regagner son appartement au plus vite.  

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