Capitolo 2 :: Dans le train...

Pubblicato: 01-03-12 - Ultimo aggiornamento: 01-03-12

Commenti: Coucou !!! Merci à Kaori62, Titi42, Dona12, City et tenshi d'avoir laissé une review pour le chapitre précédent. Chapitre un peu court mais promis le prochain sera un peu plus long ! Bonne lecture à tous !

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Devant sa valise ouverte, Kaori était indécise. Que devait-elle prendre pour ces deux jours à Sendai ? Elle avait déjà mis des vêtements pratiques pour assurer la protection de leur cliente, avait même pensé à ajouter une robe dans le cas où il faudrait assurer sa sécurité durant une soirée. Mais là elle était face à un dilemme. Devait-elle prendre un de ses habituels pyjamas ou prendre un vêtement de nuit un peu plus léger ? Il faisait très chaud depuis quelques jours et le climat là bas n’était peut être pas le même qu’à Tokyo…  

- Kaori ! Dépêche-toi on va rater le train ! hurla Ryo au loin.  

La voix de son partenaire ne lui permit pas de faire un choix. Elle était toujours devant le même dilemme mais elle ne pouvait pas se permettre de prendre plus de choses, sa valise était déjà pleine à craquer. Elle décida donc de le jouer à pile ou face. Elle se mit à la recherche d’une pièce, et en avait trouvé une dans le fond d’un tiroir quand soudain la porte de sa chambre s’ouvrit avec fracas.  

- Mais c’est pas vrai ! Qu’est-ce que j’ai fait pour avoir une partenaire pareille.  

Ryo referma la valise d’un geste sec et attrapa la main de Kaori. Il se mit presque à courir tout en criant :  

- Hazuki ! Ton Ryochou arrive !  

Ils prirent la mini pour se rendre jusqu’à la gare et c’est d’extrême justesse qu’ils réussirent à prendre leur train.  

Il n’y avait que Ryo, Kaori et leur cliente dans le compartiment et le nettoyeur était aux anges. Il suffisait de trouver un moyen de faire partir Kaori et il se retrouverait seul avec Hazuki ! Et à lui la belle Hazuki !  

Alors qu’il cherchait comment faire pour éloigner Kaori de ce compartiment, leur cliente s’exclama :  

- Il faut que j’aille me laver les mains !  

Ryo comprit que c’était là l’occasion pour se retrouver seul avec la jeune femme. Bon il n’aurait pas le confort de cette pièce, et l’endroit où il allait se retrouver avec elle serait plus exigu mais ça n’avait pas vraiment d’importance pour lui alors il répondit :  

- Je vous accompagne Hazuki ! Je suis votre garde du corps et à partir de maintenant je ne vous quitterai plus d’une semelle !  

Mais sa partenaire se mit entre lui et leur cliente. Il vit à son regard courroucé qu’elle n’était pas d’accord avec son idée…  

- Tu n’iras nulle part avec elle Ryo ! Je te signale que cet endroit est réservé aux femmes ! C’est moi qui accompagnerais Hazuki ! affirma froidement Kaori.  

- Depuis quand tu es une femme ? demanda le nettoyeur, qui comprit rapidement qu’il aurait mieux fait de se taire.  

Une massue le cloua au sol et avant qu’il n’ait eu le temps de s’en dépêtrer les deux femmes avaient quitté le compartiment.  

Quand il se fit enfin défait de l’engin de torture, il s’installa sur une des banquettes attendant leur retour. Il n’y avait rien d’autre à faire… Il savait que Kaori ne le laisserait même pas se rincer l’œil. A cet instant, il n’avait plus qu’à prendre son mal en patience…  

Soudain la porte du compartiment s’ouvrit, et se referma rapidement. N’entendant ni aucun bruit, ni aucune parole, Ryo tourna sa tête en direction de la porte et à cet instant il se figea.  

Il n’y avait aucune trace d’Hazuki, mais Kaori se tenait là devant lui, le fixant avec un regard de braise. Marchant en ondulant les hanches, elle susurra :  

- Cher Monsieur, bienvenue dans notre train… Et maintenant destination Mokkoriland !  

Avant qu’il n’ait eu le temps de réagir, elle se retrouva sur lui, se trémoussant sur ses jambes, elle eut vite fait d’aviver son désir. Il sentait bien son fidèle compagnon ne pas être insensible à ce traitement, et il n’avait aucun doute sur le fait que Kaori le sentait.  

- Kaori ! Se mit-il à gémir.  

La jeune femme, mutine, poursuivit son traitement, intensifiant même son mouvement. Ses mains courant sur ton torse musclé. Ryo n’avait jamais connu plus agréable torture. Il allait exploser, pourtant ils n’avaient pas encore fait grand-chose… Jamais une femme ne l’avait fait autant vibrer…  

- Kaoriiiiiiiiiiiiiiiiii ! rugit-il en fermant les yeux et en levant la tête.  

- Qu’est-ce qui se passe Ryo !  

Il ouvrit les yeux et comprit rapidement qu’une fois de plus il était parti dans ses songes… Baisant son regard sur son entrejambe, il se rendit rapidement compte que ce petit moment coquin, même si ça n’avait été qu’un rêve ne l’avait pas laissé indifférent. Alors il tenta de le dissimuler à sa partenaire comme il le pouvait. Elle ne devait pas savoir ! Elle ne devait pas connaitre son rêve ! Il trouva que l’arrivée dans le compartiment d’Hazuki était une excellente diversion pour détourner l’attention de Kaori !  

- Hazuki ! Dites-moi…  

Mais Ryo ne put jamais finir sa phrase. Le train s’arrêta brusquement faisant tomber les deux femmes dans le compartiment, et à cet instant Ryo fut au paradis. Dans leurs chutes, les jupes des deux femmes se relevèrent, donnant à Ryo une vue sublime sur de ravissants dessous. Il ne savait pas vraiment lequel des deux slips lui plaisait le plus…  

Il n’eut pas le loisir de les fixer plus longuement car les deux demoiselles reprirent rapidement leurs esprits et se relevant privèrent le nettoyeur d’un charmant spectacle.  

Kaori remarqua tout de suite que ce qu’il avait vu ne l’avait pas laissé de marbre et le corrigea dans les règles de l’art.  

Le pauvre Ryo se retrouva alors saucissonné jusqu’à la fin du voyage, alors que Kaori et leur cliente discutèrent longuement.  

Arrivés à la gare ils quittèrent le train et se retrouvèrent sur le quai. Il était quasiment désert à l’exception d’un homme qui regardait dans leur direction.  

Tout de suite, Ryo sentit que cet homme n’était pas une menace. Mais c’était avant qu’Hazuki ne lâcha sa valise et se précipita sur lui avant de se jeter à son cou.  

Ryo ouvrit grand la bouche et Kaori en pouffa de rire, quand leur cliente, toujours collée à l’homme, l’embrassa fougueusement  

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