Capitolo 4 :: Une nuit tranquille ??

Pubblicato: 19-06-12 - Ultimo aggiornamento: 19-06-12

Commenti: Coucou !!! Désolée d'avoir été aussi longue à majer la suite ! Merci à tous ceux qui m'ont laissé une review ! Merci a Cris pour ses corrections ! Bonne lecture à tous !

Capitolo: 1 2 3 4 5 6

Quand Ryo retourna dans la chambre, il remarqua avec surprise que la pièce était vide. Mais ou pouvait bien être Kaori !? Puis jetant un coup d’œil au tas de vêtements au sol, il décida de jeter un coup d’œil aux nouvelles acquisitions de sa partenaire. Et il ne fut pas déçu. Il apprécia particulièrement un soutien gorge blanc à balconnet qui devait certainement aller à ravir à Kaori.  

Une chance pour lui qu’il avait une oreille aiguisée, car quand il entendit des bruits de pas dans le couloir, il plongea sous le drap du futon et fit semblant de dormir quand Kaori entra dans la pièce.  

Mais il ne résista pas au fait de regarder sa partenaire se diriger vers la salle de bain. Il n’avait aucun mal à imaginer la culotte qu’elle portait actuellement vu qu’il avait eu le plaisir de la contempler un peu plus tôt dans la journée. Mais par contre il ne savait pas ce qu’était ce pièce de tissu blanc qu’elle tenait entre les mains, mais vu qu’elle allait avec dans la salle de bain, il n’avait aucun doute sur le fait qu’il n’allait pas tarder de savoir ce que c’était.  

Kaori se regarda dans le miroir. Elle n’avait rien à dire cette chemise de nuit était des plus sages. Blanche en dentelle, des boutons la refermait sur un col haut. A l’exception de ses jambes visibles au dessous du genou, son corps était entièrement recouvert. Elle n’aurait donc aucun souci à apparaitre devant Ryo dans cette tenue. Avec satisfaction elle quitta la pièce pour rejoindre son partenaire dans leur chambre.  

Quand Kaori pénétra dans la pièce, le cœur de Ryo s’arrêta de battre. La petite chose qu’elle portait était d’une blancheur virginale, et n’aurait pas tenté un diable, mais ça c’était au premier coup d’œil car en y regardant de plus près… La chemise de nuit sage au premier abord était un véritable appel à la tentation. Kaori n’avait visiblement aucune idée que cette merveille de dentelles était rendue transparente par les jeux de lumières de la pièce, et Ryo voyait clairement ses seins aux pointes framboisées qu’il aurait dévorées avec plaisir.  

C’est alors que Ryo pensa à une chose et si c’était une nouvelle fois une vision dut à son imagination… En y réfléchissant bien ça ne pouvait être que cela car jamais Kaori ne se présenterait devant lui dans une telle tenue ! Alors n’y tenant plus il se releva et attrapa Kaori par le bras avant de la plaquer sur un futon. Ses lèvres trouvèrent naturellement une pointe rosée qu’il mordilla à travers l’étoffe la faisant se durcir.  

C’était pour lui le meilleur de tous ses rêves, jamais il ne lui avait parut aussi réel auparavant. Relevant les yeux il croisa le regard étonné de Kaori et il se dit que c’était de mieux en mieux… C’est comme ça qu’il préférait Kaori avec son petit air timide, celui qui lui donnait envie de décrocher la lune pour elle !  

N’y tenant plus, il voulut découvrir ce corps qu’il avait hâte de dévorer. Ces dizaines de petits boutons l’agaçait et l’excitait en même temps… Il avait envie de jouer avec elle alors ôtant les boutons un par un il murmura :  

- Je t’aime… un peu… beaucoup… à la folie… pas du tout… je t’aime…  

Il poursuivit jusqu’à atteindre le dernier bouton. Hasard ou destinée il devait prononcer « a la folie », mais il ne sut jamais pourquoi plutôt que dire sensuellement ces derniers mots il s’exclama :  

- A la folie… Mokkori !  

Se faisant, il ouvrit d’un geste brusque les pans de la chemise, laissant apparaitre un corps d’albâtre aux courbes parfaites.  

Ryo n’avait vraiment pas envie que son rêve s’achève. Il remonta jusqu’à son visage, déposant sur son corps de langoureux baisers. Il croisa le regard de Kaori et il y lu tant d’amour que les mots qu’il n’avait jamais dit franchirent sans aucune difficulté ses lèvres :  

- Je t’aime Kaori !  

C’était certainement parce que ce n’était pas la réalité qu’il n’avait eu aucun mal à prononcer ces mots et c’est aussi pour cela qu’il s’approcha d’elle encore plus et qu’il s’empara de ses lèvres pour un brulant baiser.  

Collant leurs deux corps, il frémit en sentant ses seins contre son torse. Les sensations étaient de plus en plus réelles. Ses mains glissèrent emprisonnant le visage de la jeune femme. A cet instant il ne voulait pas se réveiller… Quand il sentit quelque chose d’humide sous ses doigts, il ouvrit les yeux et croisa le regard larmoyant de Kaori. Il libéra ses lèvres et soudain il comprit quelque chose… : Ce n’était pas un rêve ! C’était bien sa partenaire qu’il venait de déshabiller…sa partenaire à qui il venait de déclarer ses sentiments ! Mais comment avait-il pu faire une chose pareille… ?  

- Je t’aime Ryo !  

Leur amour était réciproque, mais Ryo n’avait pas le droit de l’enfoncer dans ce monde de brutes dont il faisait partie. En étant la simple partenaire de City Hunter elle risquait mille dangers… Il n’osait même pas penser à ce qu’elle risquait si elle devenait sa femme ! Il fallait qu’il s’éloigne, qu’il fasse comme il avait toujours fait : avancer d’un pas et reculer de deux…  

Il était sur le point de se redresser quand deux mains se saisirent de son visage et que deux lèvres se posèrent sur les siennes pour un timide baiser.  

La sagesse aurait voulu qu’il n’y réponde pas, mais son envie fut plus forte et il répondit à ce baiser qui de timide se transforma rapidement en quelque chose de plus torride. Maintenant c’était trop tard pour faire marche arrière… Et d’ailleurs ni l’un ni l’autre n’en avait envie…  

Alors qu’elle avait toujours été timide, Kaori se sentait audacieuse dans les bras de Ryo. Au départ elle avait été surprise quand elle avait vu Ryo se jeter sur elle et s’était figée quand il l’avait plaqué sur le futon et avait titillé de sa bouche l’un de ses seins. Elle n’avait toujours pas bougé quand un à un il avait défait les boutons de la chemise de nuit et qu’il avait dévoilée. Elle avait tellement été étonnée par ses gestes qu’elle n’avait osé bouger… Et quand il lui avait dit ces trois mots qu’elle attendait depuis toutes ces années, elle ne put s’empêcher de pleurer.  

Enfin ! Enfin, il se décidait ! C’est pourquoi lorsqu’il se redressa, elle décida de l’embrasser à son tour.  

Et à cet instant elle se sentit une autre femme… Elle se montra audacieuse, caressant ce corps presque nu collé au sien. Enfin elle avait le droit de toucher ce dos puissant mais si doux également. Elle si sage et si prude ne se reconnaissait pas… Elle n’avait qu’une seule envie : ne plus faire qu’un avec lui…  

D’un mouvement de bassin, Kaori tenta de se retrouver sur Ryo. Ce n’était pas dans les habitudes du nettoyeur de laisser une femme prendre le dessus sur lui. Mais Kaori n’était pas n’importe quelle femme. Elle seule avait tous les droits sur lui. Elle seule pouvait faire ce qu’elle voulait de lui.  

Kaori voulait connaitre ce corps qu’elle avait si souvent admiré. N’osant pas croiser son regard, elle fit courir ses yeux sur le torse musclé, et dessina de ses doigts les pectoraux, les abdominaux et tout ce qu’elle trouvait sous ses mains.  

Elle fut surprise quand elle entendit Ryo gémir sous ses caresses. Elle n’avait pas idée jusqu’à présent à quel point elle pouvait lui faire de l’effet.  

Ryo non plus n’était pas inactif. Ses mains s’emparèrent des seins qu’il caressa avec ardeur, avant de remonter jusqu’à ses épaules, faisant glisser la chemise de nuit qui était maintenant inutile.  

Ne voulant plus un seul centimètre de tissu sur le corps de la jeune femme. D’un mouvement de hanche, il la fit à nouveau passer sous lui, se délectant de son corps aux courbes si parfaites…  

La caressant, il empoigna le slip de Kaori, et le fit glisser sur ses hanches, dévoilant à son regard, un trésor inestimable. D’une main délicate et étrangement tremblante, il l’effleura, avant de se relever pour ôter le seul rempart à leur union.  

Kaori n’arrivait pas à détourner son regard du corps de Ryo, et quand il retira son boxer, elle resta presque hypnotisée par ce qu’elle vit. Elle n’avait jamais vu un homme nu magnifié par le désir, et là il y en avait un juste devant elle. Et ce n’était pas n’importe quel homme, c’était son homme !  

Mais malheureusement pour elle, Ryo bougea et s’allongea sur elle, lui retirant de sa vue un spectacle qui ne la laissait pas indifférente… Mais ce n’était pas un si grand malheur que cela parce que maintenant, après la vision, elle pouvait sentir contre elle ce membre qui ne demandait qu’une seule chose : se retrouver dans la chaleur de son corps.  

Ryo aurait bien poursuivit encore un peu les préliminaires, mais il n’en pouvait plus ! Il avait tellement envie d’elle que ça en devenait douloureux. Il fallait qu’il fusionne avec elle ! Qu’il ne fasse enfin plus qu’un avec elle !  

De ses mains, il lui fit délicatement ouvrir les jambes, pour pouvoir s’enfouir en elle... Mais avant d’aller plus loin, il voulait savoir si elle était prête.  

Il croisa alors son regard brulant de désir et comprit qu’elle le voulait…. Et si la lueur fiévreuse n’était pas suffisante, il en eut la confirmation quand les douces mains de sa partenaire se posèrent sur son fessier, le caressant avec passion.  

Soudant son regard à celui de la jeune femme, il la pénétra en gémissant de plaisir.  

Kaori pensait souffrir pour cette première fois, mais elle ne ressentit qu’un fugace déchirement, qui fut rapidement remplacé par des moments de plaisirs.  

Les lèvres de Ryo courraient sur son corps, tandis qu’il effectuait de lents va et vient, faisant gémir Kaori de plus en plus fort. Les mains de la jeune femme n’étaient pas inactives, effleurant ce dos puissant qui se couvrait de sueur.  

Ils avaient oublié l’endroit où ils se trouvaient. Rien à part l’autre n’avait plus d’importance…  

La façon dont Kaori gémissait son prénom, incita Ryo à venir encore plus puissamment en elle. Il n’avait jamais entendu de musique plus agréable que la voix de la femme de sa vie, lui suppliant de ne pas arrêter…  

Il n’en avait d’ailleurs nullement l’intention… Il sentait que Kaori était proche de l’orgasme, alors il redoubla ses ardeurs, s’emparant de la bouche de Kaori pour un fiévreux baiser.  

Soudain un cri, raisonna dans la pièce. Ryo sentit les ongles de Kaori s’enfoncer dans son dos… avant que les mains de Kaori ne retombent mollement sur le futon.  

Les yeux clos et le souffle court, elle était magnifique. Jamais il ne l’avait vu aussi resplendissante.  

Quand Kaori reprit pied avec la réalité, elle ouvrit doucement les yeux et croisa le regard de Ryo. Il l’observait avec tendresse. Il était encore profondément figé en elle et ne semblait pas vouloir bouger. C’est alors que Kaori se rendit compte que Ryo n’avait pas joui… Mais visiblement il ne semblait pas en être frustré…  

Quand il réamorça de nouveaux mouvements, elle comprit qu’il n’en avait pas encore fini avec elle, et ce n’était pas pour lui déplaire.  

Capitolo: 1 2 3 4 5 6