Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Lifetree

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 04-04-04

Ultimo aggiornamento: 14-04-04

 

Commenti: 29 reviews

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GeneralSongfic

 

Riassunto: City Hunter, l'histoire en musique

 

Disclaimer: Toutes les références et paroles utilisées ici sont la propriété de leurs auteurs.

 

Tricks & Tips

I'm almost 18. Can I get access to the NC-17 section?

 

No. Legally, you are not major, before you are 18 years old. I don't care if it's in a day or a week. Make your request when you are actually 18.

 

 

   Fanfiction :: City Hunter, l'histoire racontée autrement

 

Capitolo 10 :: Incompréhension & regrets

Pubblicato: 12-04-04 - Ultimo aggiornamento: 12-04-04

Commenti: Merci à toutes celles qui m'ont conseillées, j'essaieraie de mon mieux d'en faire une fin magnifique (pour le meilleur ou le pire vous verrez bien) Je vous souhaites une joyeuse fête de Pâques. Bonne lecture et amusez vous bien. Jusqu'au prochain chapitre. Gros bisou.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13


 

Lentement le soleil se lève au-dessus de la ville paisiblement endormie, invitant par ses doux rayons les habitants à se réveiller à cette magnifique journée. Et c’est avec plaisir que tout le monde y répond.  

 

Enfin presque tout le monde.  

 

Dans une chambre, au troisième étage d’un immeuble, un homme peste contre cette lumière aveuglante qui vient l’éblouir dans ses yeux. Maudissant le monde et son mal de crâne, il se retourne dans son lit pour fermer les rideaux mais s’arrête quand il sent quelqu’un à côté de lui. Surpris et méfiant, il lève le drap, regarde et fait un saut en arrière, tombant du lit et réveillant la belle créature endormie.  

 

Celle-ci s’étire lentement et langoureusement, exposant son corps magnifique et nu, avant de finalement regarder l’homme à terre.  

 

« Close your eyes  

Give me your hand darling  

do you feel my heart beating  

do you understand  

do you feel the same  

am I only dreaming  

is this burning an eternal flame  

I believe its meant to be darling  

I watch you when you were sleeping  

you belong with me  

do you feel the same  

am I only dreaming  

but is this burning an eternal flame  

say my name and sun shines through the rain  

of all life so lonely then come and ease the pain  

I don't want to lose this feeling  

ohhhh  

say my name and sun shine's through the rain  

of all life so lonely  

now come and ease the pain  

I don't want to lose this feeling  

ohhhh  

close your eyes  

give me your hand  

do you feel my heart beating  

do you understand  

do you feel the same  

am I only dreaming  

or is this burning  

an eternal flame »  

 

( Eternal Flame – The Bangles )  

 

 

A la grande surprise de la femme l’homme qu’elle venait d’inviter à la rejoindre prit la fuite et alla s’enfermer dans la salle de bain où il fit couler une douche froide. Il y resta plusieurs minutes, essayant de se rappeler ce qui s’était passé la veille et comment cette femme avait atterris dans son lit. Conclusion logique il l’avait invité. Aïe. Il va y avoir de l’orage en l’air quand il rencontrera Kaori. Soupirant, il sortit de la douche, se sécha et s’habilla d’une chemise et d’un pantalon qu’il trouva dans la manne de linge sale. Il n’avait aucune envie de rencontrer son partenaire, ni la femme dans sa chambre, avec rien qu’une serviette.  

 

En sortant de la salle de bain il s’approcha lentement de la porte de la chambre de Kaori et écouta attentivement. A cette heure-ci elle devrait encore dormir. Aussi fut-il surpris de ne rien entendre. Doucement il ouvrit la porte et jeta un coup d’œil à l’intérieur. Personne. Etonné et inquiet il entra. Le lit n’avait même pas été défait malgré le fait qu’elle s’y était allongé. Inquiet il s’approcha et regarda de plus près la table de nuit. La photo et la bague avaient disparus. Oh, Seigneur, qu’avait-il fait ?  

 

C’est paralysé devant la table de nuit que la femme le trouva. Elle fit glisser ses bras autour de sa taille et se serra contre lui, l’embrassant dans la nuque et sur les épaules. Mais elle n’eut aucune réaction. Il resta de marbre. Surprise, elle le contourna et le regarda dans les yeux. La tristesse et la détresse qu’elle put y lire la firent reculer d’un pas. Elle n’avait jamais vu autant de peine dans les yeux de quelqu’un avant. Non, ce n’était pas vrai. Hier. Hier, elle avait vu la même peine dans les yeux de la femme qui travaillait avec cet homme. Cette même peine, cette même tristesse, cette même détresse, ils se ressemblaient tellement à ce moment. Tout d’un coup elle regretta d’avoir narguer cette jeune femme, elle regretta d’avoir profiter de l’ivresse de cet homme pour le séduire et coucher avec lui, mais surtout elle regretta d’avoir brisé ce couple. Un couple de vrai amoureux. Elle ne pensait pas que ça pouvait encore exister.  

 

Lentement elle posa une main sur le bras de Ryo, en signe d’excuse. Il ne bougea pas. Il ne la regarda pas. L’âme en peine, elle se retira mais s’arrêta au pas de la porte quand elle entendit la voix de Ryo.  

 

« I won't forget her  

She was once my love  

 

When I hold you in my arms  

Oh yeah  

You know I'll let you come to no harm  

Oh yeah  

 

But if one day  

Much like today  

You stop and wonder what I'd prefer  

Well, you know I won't forget her  

 

I won't forget her  

She was once my love  

 

Did you see it in my eyes  

Oh yeah  

Did it make you realise  

Oh yeah  

 

That one day  

Much like today  

My mind would wonder  

If she's still there  

 

Cause you know I won't forget her  

 

I won't forget her  

She was once my love  

 

When I hold you in my arms  

Oh yeah  

She was once my love  

 

I won't forget her  

She was once my love »  

 

( I won’t forger her – A-ha )  

 

 

D’une voix rauque et presque inaudible elle le remercia et quitta l’appartement après s’être habillée.  

 

Ryo eut besoin de plus de temps avant de pouvoir sortir de son état second. Quand il put enfin bouger, il se dirigea vers le téléphone dans le salon et appela ses amis, leur demandant des nouvelles de Kaori.  

 

« J't'ai perdue  

L'autre soir au coin de la rue  

Un carrefour et t'es pas rev'nue  

Pour une histoire de retard, de regard qu'j'ai pas su voir  

C'était pas pour toutes ces bêtises  

Y a tant de choses qu'il fallait qu'j'te dise  

Ça fait trop longtemps que je n'peux plus briser ce silence  

Ces mots que je te lance  

Qui ne t'atteignent pas  

M'éloignent encore de toi  

 

{Refrain:}  

Me laisse pas là  

Seul dans cette indifférence  

Perdu dans cette ville immense  

Où c'est toujours chacun pour soi  

Tout seul avec ton absence  

J'ai pas l'ombre d'une chance  

Si même toi tu n'attends pas  

 

J't'ai perdue  

Toutes ces fois où j'ai même pas su  

Prendre le temps d'écouter tes larmes  

J'aurais pourtant bien dû comprendre tous tes cris d'alarme  

J'ai trouvé des tas de raisons  

Mais ce vide c'est comme une prison  

J'ai beau chercher un chemin vers toi dans tout ce silence  

Ces mots que je te lance  

Qui ne t'atteignent pas  

M'éloignent encore de toi  

{au Refrain}  

 

J't'ai perdue  

L'autre soir au coin de la rue  

Un carrefour et t'es pas rev'nue  

Un carrefour et t'es pas rev'nue »  

 

( Me laisse pas là – Patrick Fiori )  

 

 

Ils n’en fallut pas plus à ses amis pour comprendre que Kaori était partie sans lui donner de ses nouvelles. Ils comprirent également que pour une fois Ryo était sincère dans sa détresse, mais hélas, ils ne pouvaient pas l’aider. Ils n’avaient pas vu Kaori. Ils lui promirent de l’aider. Ryo raccrocha le combiné.  

 

« Qu'il est difficile d'être heureux  

Qu'il est difficile d'être deux  

S'habiller d'un seul et même amour  

Le tisser au fil de chaque jour  

 

Qu'il est difficile de donner  

S'oublier pour l'autre et remercier  

Prendre l'ombre et rendre le soleil  

De guerre en tendresse s'aimer pareille  

 

Et ça prendra toute une vie  

Que nous ayons les mêmes mots  

Les mêmes joies les mêmes envies  

Mêmes soupirs, mêmes sanglots  

 

Oh! Difficile de vivre à deux  

Oh! Difficile et si merveilleux  

 

Entrer dans un rêve sans déranger  

Et ne pas crier et ne pas pleurer  

En découvrant par la porte entre ouverte  

Tout l'inavouable qui déconcerte  

Et soigner ensemble ces bleus au cœur  

Comme des enfants qui se sont fait peur  

La première ride un baiser sur tes yeux  

Premier cheveu blanc il ne faut pas être vieux  

 

Et ça prendra toute une vie  

Que nous ayons les mêmes mots  

Les mêmes joies les mêmes envies  

Mêmes soupirs, mêmes sanglots  

 

Et quand le bonheur est à marée basse  

Chercher sur la plage du temps qui passe  

Une relique, un gage, un souvenir  

D'un instant qu'on a pas su retenir  

Qu'il est difficile d'être heureux  

Qu'il est difficile d'être deux  

Un geste un peu las et c'est l'habitude  

Un silence tombe et c'est la solitude  

 

Et ça prendra toute une vie  

Que nous ayons les mêmes mots  

Les mêmes joies les mêmes envies  

Mêmes soupirs, mêmes sanglots. »  

 

( Difficile d’être heureux – Salvatore Adamo )  

 

 

Pour la première fois de sa vie Ryo se sentait vulnérable. Il se sentait seul et vulnérable. Il avait froid. Son Soleil, la Lumière, son Ange, sa Vie était partie. Kaori était partie. Et pour une fois il ne l’avait pas poussé, il n’avait pas voulu qu’elle parte. Ses jambes ne pouvaient plus le tenir. Il tomba à genoux et se recroquevilla sur lui-même.  

 

« J'avais dessiné sur le sable  

Son doux visage qui me souriait  

Puis il a plu sur cette plage  

Dans cet orage, elle a disparu  

 

Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne  

Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine  

 

Je me suis assis près de son âme  

Mais la belle dame s'était enfuie  

Je l'ai cherchée sans plus y croire  

Et sans un espoir, pour me guider  

 

Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne  

Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine  

 

Je n'ai gardé que ce doux visage  

Comme une épave sur le sable mouillé  

 

Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne  

Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine  

 

Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne  

Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine... »  

 

( Aline – Christophe )  

 

 

De rage, de douleur, de désespoir, il se mit à frapper le plancher de son poing. La douleur. La douleur était toujours une douce compagne dans ces moments. Elle aidait, elle réconfortait, elle l’aidait à penser. Son cœur. Son cœur lui faisait tellement mal, encore plus mal qu’une balle qu’on aurait tirée à bout pourtant. Son cœur, la douleur, tout, tout était trop, il n’en pouvait plus…  

 

« Cet océan de passion  

Qui déferle dans mes veines  

Qui cause ma déraison  

Ma déroute, ma déveine  

 

Doucement j'y plongerai  

Sans qu'une main me retienne  

Lentement je m'y noierai  

Sans qu'un remords ne me vienne  

 

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

Et je vais te maudire  

Jusqu'à la fin de ma vie  

 

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

J'aurais pu le prédire  

Dès le premier jour  

Dès la première nuit  

 

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

 

Mon péché, mon obsession  

Désir fou qui me tourmente  

Qui me tourne en dérision  

Qui me déchire et me hante  

 

Petite marchande d'illusion  

Je ne vis que dans l'attente  

De voir voler ton, jupon  

Et que tu danses et tu chantes  

 

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

Et je vais te maudire  

Jusqu'à la fin de ma vie  

 

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

J'aurai pu le prédire  

Dès le premier jour  

Dès la première nuit  

 

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

 

Moi qui me croyais l'hiver  

Me voici un arbre vert  

Moi qui me croyais de fer  

Contre le feu de la chair  

 

Je m'enflamme et me consume  

Pour les yeux d'une étrangère  

Qui ont bien plus de mystère  

Que la lumière de la lune  

 

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

Et je vais te maudire  

Jusqu'à la fin de ma vie  

 

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

J'aurais pu le prédire  

Dès le premier jour  

Dès la première nuit  

 

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

 

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire  

Tu vas me détruire »  

 

( Tu vas me détruire – Notre Dame de Paris )  

 

 

Non. Stop. Il devait se ressaisir. Il devait se contrôler. Il n’était pas trop tard, il n’est jamais trop tard. Il devait la retrouver. Il la retrouverait, il le devait…  

 

D’un bond il se leva, prit sa veste au passage et sortit de l’appartement. En courant, il prit son portable et appela tous ses indicateurs, leurs demandant des nouvelles de Kaori ainsi que de s’informer sur elle.  

 

Dans la rue il se mit à sa recherche.  

 

« Oh ! Faut laisser les fleurs s'ouvrir  

Oh ! Faut laisser les blés grandir  

Oh ! Faut laisser les fruits mûrir  

Mais faut pas laisser l'amour s'enfuir  

Faut pas laisser l'amour s'enfuir  

 

Le jour se lève  

Et tu n'es pas chez toi  

Et je t'appelle  

Mais tu ne réponds pas  

Oh ! J'ai peut-être dit des choses qu'il n' fallait pas dire  

Oh ! J'ai peut-être fait quelque chose qu'il n' fallait pas faire  

 

Oh ! Faut laisser les fleurs s'ouvrir  

Oh ! Faut laisser les blés grandir  

Oh ! Faut laisser les fruits mûrir  

Mais faut pas laisser l'amour s'enfuir  

Faut pas laisser l'amour s'enfuir  

Non, Faut pas laisser l'amour s'enfuir  

Faut pas laisser l'amour s'enfuir  

 

Dans tous mes rêves {tous mes rêves}  

Y a toujours, toujours toi {toujours toi}  

Donne-moi des nouvelles {des nouvelles}  

J'ai tant besoin de toi  

Oh ! J'ai peut-être dit des choses qu'il n' fallait pas dire  

Oh ! J'ai peut-être fait quelque chose qu'il n' fallait pas faire  

 

Oh ! Faut laisser les fleurs s'ouvrir  

Oh ! Faut laisser les blés grandir  

Oh ! Faut laisser les fruits mûrir  

Mais faut pas laisser l'amour s'enfuir  

Faut pas laisser l'amour s'enfuir  

Non, faut pas laisser l'amour s'enfuir  

Faut pas laisser l'amour s'enfuir  

 

{Break instrumental}  

 

Oh ! Faut laisser les fleurs s'ouvrir  

Oh ! Faut laisser les blés grandir  

Oh ! Faut laisser les fruits mûrir  

Mais faut pas laisser l'amour s'enfuir  

Faut pas laisser l'amour s'enfuir  

Faut pas laisser l'amour s'enfuir  

Non, faut pas laisser l'amour s'enfuir... »  

 

( Faut pas laisser l’amour s’enfuir – Compagnie Créole )  

 

 


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