Capitolo 5 :: la candeur

Pubblicato: 20-08-05 - Ultimo aggiornamento: 20-08-05

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Un rayon de soleil vint déranger mon sommeil. J’ouvrais un œil quand je sentis une autre source de chaleur caresser mon visage. Une main venait de toucher cette dernière… J’ouvris l’autre globe oculaire… La surprise que j’eu au réveil fut de taille. Une chevelure brune ponctuée de roux était appuyée sur mon torse. Le corps d’une femme était collé à mon anatomie apollinienne. La morphologie commença à bouger, mon self contrôle s’amenuisait à mesure que la chair de la demoiselle remuait.  

Plus je tentais de m’écarter de l’objet de mon trouble, plus ce dernier s’accolait à mon académie.  

Au bout de quelques minutes de souffrance, la demoiselle s’éveilla.  

Les cheveux en bataille, la bretelle de sa combinette descendue auraient pu prêter confusion. J’ai eu l’espace d’un instant ce doute… Mais rien ne c’était passé la nuit dernière.  

« Bonjour »  

Kaori se leva remis en place la bretelle et ses cheveux, elle s’étira… Pas un mot ne me vint à l’esprit, j’étais subjugué par l’éclat de la donzelle. Elle s’approcha de ma personne et me toucha le front, ce geste était accompagné d’une vue imprenable sur ses pectoraux.  

« Vous ne vous sentez pas bien Monsieur Saeba ? »  

Kaori parlais toujours avec douceur et sensualité… Bien sur je me sentais bien… Mais l’attirance que j’avais pour ma cliente s’accentuait.  

« O …Oui… »  

« Bonjour Kaori… »  

Pour cacher mon embarras grandissant, je dus remonter le drap un peu plus sur ma personne.  

« Appelez moi Ryo… »  

« Que faisiez vous dans ma chambre ? » lui demandais je bougonnant. Je me recouchais, et remonta un peu plus le drap.  

Les joues de la demoiselle rougirent…  

« Je suis désolée … Je vous ai peut être dérangé… »  

« Mais je n’arrivais pas à dormir… »  

« Je ne pensais pas que cela vous offenserez… »  

Je ne savais plus quoi dire à cet instant …  

Kaori était quelque peu gêné par la situation. La demoiselle souriait nerveusement et triturait ses doigts. Elle sortit de ma chambre, et se dirigea vers la salle de bain. J’entendis l’eau de la douche couler.  

Je me levais suite au départ de la demoiselle. Beaucoup de questions me vinrent à nouveau à l’esprit. Il fallait que Kaori m’en dise un peu plus sur cette affaire. J’avais des doutes sur l’identité de ma cliente, une aura mystérieuse entourait la demoiselle. Elle était à la fois dangereuse pour mon self contrôle, mais elle me captivait.  

Tout en pensant à la demoiselle, je préparais le petit déjeuner.  

Plongé dans mes pensées, je ne remarquais pas que la donzelle fût entrée dans la pièce. Une odeur de rose me fit prendre conscience que la jeune dame était non loin de moi. Je fis l’erreur de me retourner…  

Kaori était devant moi, les cheveux mouillés, avec autour d’elle un simple drap de bain blanc. Ce « vêtement » allié à la candeur qu’elle dégageait mettait ma volonté à dure épreuve.  

« Auriez vous des vêtements à me prêter… »  

Je m’exécutais, je pris la main de la jeune femme et la mena dans ma chambre. Je le dirigeais vers l’armoire quand la serviette de la demoiselle tomba…  

Le premier réflexe d’une pervers eu été de regarder l’anatomie de la demoiselle. Mais ne voulant pas passer pour le dit vicieux, je détournais le regard. Kaori confuse remontais le drap tout en rougissant. Elle s’excusa mainte fois de m’avoir mis dans une situation gênante. Cette attitude me conforta dans mon idée première… La demoiselle n’avait rien d’une meneuse de revue. Je ne veux pas dire par là qu’une meneuse de revue ne peu pas être pudique bien au contraire… J’avais l’impression qu’elle était tombée dans ce milieu un peu par hasard…  

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