Capitolo 16 :: ENFIN

Pubblicato: 04-07-06 - Ultimo aggiornamento: 04-07-06

Commenti: un nouveau chp pour vous mesdemoiselle... je sais j'ai mis du temps pour majer... je m'en excuse.... je vous laisse avec nos deux heros... bonne lecture

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Résumé de la situation :  

Kaori a-t-elle enfin acceptée l’amour de Ryo ?…  

(FLASH BACK :)  

« Je t’aime… »  

« Non, Ryo… Il ne faut pas. »  

« Kaori… »  

« Je n’ai pas envie de te briser, et encore moins te faire souffrir… »  

Je m’approchais un peu plus de la demoiselle… Elle eu un mouvement de recule.  

« Pourquoi me ferais tu souffrir ? »  

« Je suis née pour faire pâtir les gens que j’aime… »  

J’étreignais un peu plus ma compagne.  

Elle sanglota… Je relâchais mon étreinte et l’oiseau s’envola.  

(Fin du FLASH BACK)  

Kaori n’avait pas fuit aussi loin que vous pourriez le penser.  

Ma partenaire se trouvait devant moi, les yeux imprégnés de larmes. La brunette avait le corps raide, ses bras étaient collés contre son anatomie.  

Mon séant se trouvait toujours au sol, je tentais de le décoller, quand elle ouvrit la bouche…  

Son visage devint rouge, son corps se dressait davantage.  

« Ryo… Je… je »  

Elle pris une nouvelle bouffée d’air :  

« Je dois partir… Ta mission est achevée depuis un moment, je ne fais que te gêner… Je ne devrais plus être ici depuis longtemps… »  

La demoiselle ouvrit son sac, le fouilla énergiquement, sortit son argent, et me tendit la liasse de billets.  

« Voila… »  

Son bras commençait à trembler.  

« Prends le … Je t’en prie… »  

Les yeux de la demoiselle étaient embués. Je me levais, m’approchais de la donzelle, son cœur battait de plus en plus fort à mesure que je m'avançais vers elle. Les larmes perlèrent sur son visage, elle lâcha les billets, qui tombèrent sans bruit sur le plancher. Je m’accolais un peu plus à elle. Nos anatomies respectives finirent par se toucher. Elle baissa la tête. Je la pris de nouveau dans mes armes. Déterminé à ne plus lâcher la femme qui occupait mon cœur, je serrais un peu l’étreinte.  

Kaori avait encore le visage descendu, d’un geste tendre, je pris son menton entre mon pouce et mon index, lui releva la frimousse.  

La donzelle avait les yeux fermés, les pommettes rosées. Elle tremblait. Sa bouche entrouverte, elle m’offrait des lèvres pulpeuses, doucereuses, charnues, au bon goût de framboise… Je l’embrassais avec douceur, et lui murmurais au creux de l’oreille, au combien elle était importante pour moi, et que toute les femmes de monde ne pourraient la remplacer. Kaori posa sa tête au creux de mon épaule. Elle s’endormit le sourire aux lèvres.  

Je la serrais un peu plus, et lui déposais un baiser sur son front. La demoiselle esquissa un sourire.  

Je la soulevais, la portais jusqu'à son antre. Je l’installais sur son lit, lui ouvrit les draps, retira ses chaussures ainsi que ses vêtements, ne laissant sur la demoiselle que le strict nécessaire. Ne voulant la laisser seule pour la nuit, je m’installais à ses cotés… Je sais bien ce que vous pouvez penser… Cependant l’agitation dans laquelle se trouvait Kaori quelques minutes auparavant m’inquiétait au plus haut point. Incontestablement la demoiselle n’était pas habituée au fait qu’un homme de ma condition lui proclame son amour. Que de mots pour justifier l’attirance que j’ais pour la demoiselle. Je ne puis donc point la quitter de la nuitée. Je m'établissais subséquemment prés de son corps. Sentant la chaleur de ma personne, Kaori s’approchait de mon anatomie, et vint se blottir. Ses formes généreuses effleuraient à présent ma personne, ma volonté aurait pu céder, si ma juvénile compagne n’avait pas parlé dans son sommeil.  

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