Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 12 capitoli

Pubblicato: 12-05-06

Ultimo aggiornamento: 12-07-06

 

Commenti: 98 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Une ballade à la campagne...

 

Disclaimer: Les personnages de "Faire son chemin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Faire son chemin

 

Capitolo 2 :: Explications orageuses

Pubblicato: 15-05-06 - Ultimo aggiornamento: 15-05-06

Commenti: Bonjour tout le monde ^^ voici un nouveau chapitre ! Un gros bisosu à mon Eden pour son encouragement ^^. et un joyeu anniversaire à Sophie ^_~ ! N'oubliez pas les reviews et passez une bonne journée :)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12


 

Chapitre 2  

 

Une fois déshabillée, Ryo déglutit devant ce corps de rêve, il avala sa salive pour se donner contenance et à l’aide de la veste de la jeune femme, il la sécha du mieux qu’il put. Il lui enfila sa propre chemise et enfin il se sécha lui aussi avec la veste humide de sa partenaire.  

Le nettoyeur déposa la jeune femme vétue de sa grande chemise et de ses sous-vêtements.  

Il ramassa ensuite de quoi faire un feu, l’expérience de la jungle lui fut bien utile et il réussit à faire un feu vaillant.  

Très vite la chaleur les engloba et cela permis de faire sécher un peu les vêtements de Kaori. Entre temps, il avait enlevé son caleçon et enfilé son pantalon. Il se réinstalla près du feu et serrait son ange dans ses bras. Il lui caressa tendrement le front tout en resserrant son étreinte. Tout à coup son entrejambe se durcit malgré lui.  

 

« Que c’est agréable de t’avoir ainsi contre moi » songea l’homme avec amertume.  

 

Avec beaucoup d’effort il réussit à calmer son désir d’elle, ce n’était certainement pas le moment. La jeune femme murmura :  

 

- C’est une impression Ryo, ou tu as bandé ? demanda la jeune femme doucement.  

- Tu es réveillée Kaori ?  

- Alors monsieur je repars en arrière ?  

- Je ne vois pas de quoi tu parles, « mademoiselle se fait des idées ».  

 

En vérité le nettoyeur n’était pas très fier de lui, il ne s’était pas rendu compte que la jeune femme s’était réveillé. Mais il chassa rapidement ses pensées et toucha le front de sa partenaire. Il la sentit frémir, il récupéra non loin la veste de Kaori qui avait eut le temps de sécher et la couvrit avec. Il lui demanda sur un ton doux.  

 

- Comment te sens-tu ?  

- J’ai un peu mal à la tête mais ça va. Tu es venu me chercher ?  

- Bien sûr partenaire.  

 

Il vit une ombre passer sur le visage de son ange, elle détourna le regard et fixa le feu presque éteint. Elle voulut se lever, Ryo l’en empêcha.  

 

- Qu’est ce qu’il y a Kaori ?  

- Rien, laisse moi me lever, je dois faire quelque chose.  

- Dis-moi et je le fais à ta place…  

- Je ne pense pas que tu sois en mesure de vider ma vessie à ma place.  

 

Une libellule s’échoua sur la tête du nettoyeur, il la balaya d’un geste distrait. Il la laissa donc lui échapper pourtant il aimait quand elle était dans ses bras.  

Mais elle n’était plus à lui, il le savait. Et ses souvenirs le ramenèrent à la raison de leur dispute du matin même.  

 

* * * *  

 

Trois semaines et demi, auparavant.  

 

Ryo avait remarqué que sa partenaire était absente de la maison quand ils n’avaient pas de travail, au début, il ne s’en était pas rendu compte car elle sortait après son départ.  

Quinze jours plus tard, il fut étonné de constater son absence en rentrant vers 16h, mais il ne s’en formalisa pas outre mesure.  

En revanche quand une semaine plus tard se fut à l’heure du repas du soir que sa partenaire brillait par son absence. Par pur réflexe il s’était remémoré s’il avait dit une bêtise qui aurait pu dire, mais force lui était de constater qu’en fait, ils ne s’étaient croisé qu’au moment du repas. Quand est-ce que sa partenaire s’était-t-elle détachée de cette manière ?  

 

Du coup, Ryo ne chercha pas à manger et alla s’installer près de la fenêtre pour guetter son retour, mais elle ne rentra que très tard dans la soirée ou plutôt dans la matinée. Ryo se trouvait dans l’obscurité de la pièce, il se tint dans l’ombre. Sa partenaire ne remarqua même pas sa présence, il faut dire que le nettoyeur la dissimulait complètement.  

Kaori était habillée d’une belle robe de soirée passa rapidement dans le couloir pour aller se coucher.  

 

Le nettoyeur n’avait pas rêvé, elle était sortie d’une voiture et un homme l’avait embrassé.  

 

Lendemain, il ne lui dit rien, et prit sur lui. Mais le soir même sa partenaire était à nouveau absente persuadée que le nettoyeur ne s’en rendrait probablement pas le compte. Seulement ce soir là, elle ne rentra pas tout court. Ce que ressentait Ryo était indéfinissable, mais quand elle rentra vers les neufs heures, les yeux fatigués en jean il explosa.  

 

Il se disputa avec elle et lui avait demandé comme un idiot si elle n’avait pas quelque chose à lui dire. Evidemment elle lui avait répondu que non.  

Il s’était énervé et lui avait avoué qu’il l’avait vu être embrassé par un type. Elle s’était énervée en lui répondant que cela ne le regardait pas. Ce qu’il avait nié, ça le regardait. Et les mots avaient claqué :  

 

- Je fais ce que je veux ! éclata la jeune femme.  

- Fais ce que tu veux ! j’espère que ça paie bien !  

 

A peine prononcé, il les avait regrettés. Il l’avait vu devenir livide. L’allusion était pour elle trop grande. Elle n’avait pas pris la massue pour le frappé, non, elle avait juste donné une gifle. Elle lui avait adressé un regard indéchiffrable et était simplement sorti elle avait pris les clés de sa voiture et était partie.  

 

Retour au présent.  

 

En y repensant le nettoyeur posa sa tête en arrière contre le tronc de l’arbre. Il s’activa ensuite à remettre du bois dans le feu. Il s’inquiétait pour Kaori c’était plus fort que lui.  

Quand cette dernière rentra une demi-heure plus tard, une tension palpable s’installa. Il regarda ses yeux et comprit qu’elle n’avait pas oublié, et qu’elle lui en voulait. Il lui dit :  

 

- Je suis désolé, c’est de ma faute.  

- Oui c’est de ta faute si je suis partie à la campagne déclara la jeune femme. Mais ce n’est certainement pas ta faute si on m’a tiré dessus.  

- C’étaient des ennemis qui m’en voulaient… Ils s’en sont pris à toi pour m’atteindre !  

- Non. Même si je ne te pardonne pas tes mots.  

 

Elle avait la colère encore en elle quand elle remarqua « enfin » qu’elle portait une chemise de Ryo, Kaori leva un œil et demanda :  

 

- Au fait Ryo, ou sont mes vêtements.  

- Tu as eu de la fièvre. J’ai dut te les enlever. Je t’ai immergé dans l’eau avec, pour éviter que tu m’envoies une massue à ton réveil.  

- Et ?  

 

Il se gratta la tête avec un air niais.  

 

- Et j’avais oublié que tu serais trempée, donc en fait une fois sortis de l’eau je t’ai enlevé tes habits pour pas que tu attrapes froids regarde ils sont là.  

 

Le nettoyeur lui indiqua ses vêtements près du feu. Il eut un sourire énigmatique sur les lèvres :  

 

- Je me suis dis que tu n’aurais certainement pas apprécié que je te rhabille.  

- J’y ai bien réfléchi, ce que tu peux penser de moi Ryo, à présent m’indiffère. Si tu crois vraiment que je suis une pute, pense-le. Ça m’est égal, car dès retour à la civilisation je te quitte.  

 

Les mots avaient claqué et le nettoyeur sentit son cœur se déchirer.  

 

- Ainsi tu as l’intention de me quitter… dit-il sincèrement.  

- Je ne vois pas d’autre solution.  

 

La jeune femme ne fit aucun geste pour saisir ses vêtements, c’était comme si une force inconnue l’obligeait à faire cette confrontation. Elle lui dit simplement :  

 

- Je ne crois pas pouvoir te pardonner ces mots, ces insultes. Elles étaient en trop.  

 

Un silence pesant s’installa entre cet homme et cette femme, elle lui dit :  

 

- Cependant, après les mots que tu m’as dis, je pensais pas tu viendrais me chercher. La promesse à mon frère je suppose.  

 

Comment pouvait-elle dire une telle chose ? Comment pouvait-elle penser qu’il l’aurait laissé faire ? Elle ajouta sur de son effet :  

 

- Pour information, si j’ai « embrassé » cet homme c’est que j’étais en mission.  

- Mission…  

- Saeko. Comme tu étais invisible à tout le monde et pas seulement à moi, elle a dut demander mon aide.  

- Elle ne m’a rien dit, déclara-t-il.  

 

Il sentait la colère monter en lui. Quand tout à coup un détail attira son attention, la blessure de la jeune femme s’était rouverte.  

 

- Bouge pas Kao…  

 

Alors qu’il allait la toucher, elle recula et lui dit cinglante :  

 

- NE ME TOUCHE PAS.  

- Mais ta blessure…  

- Je vais le faire.  

 

Elle s’occupa donc elle-même de sa blessure et en profita après pour remettre son pantalon, elle se félicitait de son choix. Mais elle avait mal, et la douleur la fit grimacer et elle dut s’appuyer contre un arbre. Ryo voulut l’aider, mais elle lui fit un signe pour l’empêcher d’approcher. Il la regarda donc se débrouiller pour remettre ce vêtement.  

Elle finit par se laisser glisser le long de l’arbre et de dire :  

 

- De toute façon je suis un poids pour toi, tu dois être content que je parte.  

- …  

- Après tout c’est ce que tu veux depuis le début.  

- Continue ton histoire, que t’a fait faire Saeko.  

 

Ce n’était pas une suggestion, c’était presque un ordre.  

 

- Elle m’avait demandé d’infiltrer une maison, pour récupérer des preuves contre le type.  

- Quel genre de maison ?  

- D’accompagnement.  

 

Il la dévisagea, il était livide.  

 

- Tu… tu…  

- J’ai couché avec personne si c’est ce qui t’intéresse – puis elle ajouta - même si ma sexualité ne te regarde pas.  

 

Ou était passée sa Kaori ? Cette jeune femme timide face aux hommes, il eut la réponse :  

 

- L’hypnose.  

- Elle t’a aussi couverte, je me trompe ? Demanda-t-il de plus en plus énervé.  

- Exact. Enfin j’ai pas eu beaucoup d’échos comme quoi tu t’inquiétais pour moi.  

 

Encore une fois elle avait raison, il le savait. Il n’avait remarqué l’absence de sa partenaire que depuis une semaine, une semaine alors que ça faisait combien de temps ?  

 

- Ça fait combien de temps que tu fais ce petit jeu ?  

- Trois semaines.  

- Trois semaines que tu joues les accompagnatrices !!!!! cria-t-il un peu malgré lui.  

 

La jeune femme sursauta et lui dit :  

 

- Que veux-tu, tu es prévisible. Tu sors toujours chaque soir, la journée tu me fuis ou tu es, je ne sais ou. Facile de faire ce qu’on veut.  

- Sauf ces deux derniers jours.  

 

Elle lui fit une pâle grimace et lui dit :  

 

- J’ai été retenu, il ne voulait pas me lâcher, j’ai du accepter ses deux sorties.  

- Et la dernière a été fructifiant c’est ça ? j’espère qu’il t’a fait jouir.  

 

Kaori serra son poing jusqu’à ce que les jointures deviennent blanches.  

 

- Laisse-moi seulement te dire une chose Ryo Saeba. Tu n’es qu’une ordure.  

- ….  

- Sache que si je suis restée la nuit c’est que je n’avais pas le choix. Il avait découvert, c’était de ma faute puisqu’il m’a raccompagné. Que j’étais ta partenaire…  

 

Le sang du nettoyeur se figea. Qu’avait-elle dit ?  

 

- Il t’a fait quelque chose ? demanda-t-il inquiet.  

 

 


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