Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 12 capitoli

Pubblicato: 12-05-06

Ultimo aggiornamento: 12-07-06

 

Commenti: 98 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Une ballade à la campagne...

 

Disclaimer: Les personnages de "Faire son chemin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Faire son chemin

 

Capitolo 12 :: Je, tu, nous...

Pubblicato: 12-07-06 - Ultimo aggiornamento: 12-07-06

Commenti: Et voilà le dernier chapitre ^_______^ ! C'est la fin de l'aventure avec cette fic initialemnet prévue en 6 chapitre (elle devait se terminer après la petite ballade dans la campagne ^^) et finalement elle a perduré dans le chalet ^^ ! j'ai beaucoup ri en l'écrivant ! j'espère qu'elle vous plaira encore ! Je remercie tout mes reviewers et tout ceux qui me suivent ! Bonne lecture à tous !

 


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Chapitre 12 – Je, tu, nous…  

 

- J’aimerais qu’on se baigne, l’interrompit la jeune femme.  

 

La petite phrase les surpris tous les deux, mais le plus étonné était sans conteste Ryo Saeba.  

Il écarquilla les yeux, il se prit un corbeau sur la tête, puis un second. Il se releva et alla doucement vers sa partenaire et la tint par les épaules…  

 

- Tu es sérieuse ?  

 

Il la vit se mordre la lèvre inférieure, il devinait ses joues rouges. Mais son audace depuis quelques jours le surprenait, mais il commençait à comprendre ce qui se passait. Elle lui répondit doucement presque dans un murmure :  

 

- A ton avis ?  

 

Il souffla.  

 

- A poil !  

- Hein ?  

- Bah oui si non c’est pas un bain de minuit !  

 

La pénombre le dissimula quand il effeuilla ses propres vêtements puis il plongea et d’en bas il lui dit :  

 

- Allez Kaori ! je regarde pas promis !  

 

La jeune femme commençait à regretter son idée. Mais c’était elle qui avait lancé le jeu aussi se devait-elle d’y répondre. Elle se mordit encore une fois la lèvre inférieure, décidément elle se reconnaissait qu’à moitié, son autosuggestion et l’hypnose de Miki lui faisait vraiment faire des choses qu’elle n’aurait jamais fait…  

Lentement elle effeuilla ses vêtements jusqu’à se retrouver en culotte, elle hésita à la garder, mais elle se conforta dans le fait que son partenaire l’avait fait, elle ne put s’empêcher de marmonner :  

 

- oui mais lui c’est l’étalon de Shinjuku…  

 

Elle soupira et enleva son dernier rempart.  

De son côté Ryo avait déclaré ça pour donner le change, pour ne pas la brusquer et l’embrasser et lui faire l’amour sur ce rocher. Elle voulait mieux, et elle méritait mieux il était le premier à le reconnaître.  

Malgré sa promesse de ne pas regarder, il la vit faire de lents mouvements pour se déshabiller, avait-elle seulement conscience de la sensualité qui se dégageait d’elle ?  

« non », la réponse lui claqua à ses yeux, elle avait peut-être fait exprès de lui titiller les sens, mais il devait avouer qu’elle n’avait pas fait grand chose (sauf peut-être le maillot de bain)…  

Non il craquait plus librement, parce qu’il s’était enfin avoué à lui-même qu’il la voulait entière, en sueur, perdue dans le plaisir de s’appartenir…  

Ryo remerciait la lune d’être la reine toute puissante de la nuit, reflétant la lumière du soleil, intermédiaire, timide, pour bercer les couples dans la luxure et le plaisir. Il se rabroua mentalement face à ses pensées purement romantique, pourtant il était pas romantique lui… seulement sa partenaire l’était et elle exigeait de lui un peu de tendresse…  

Ce qu’il avait cru ne pas savoir faire, aller lentement, la tenter, la toucher la frôler pour lui faire accepter son désir, ses propres sentiments et l’engouement de son propre corps pour l’union fusionnel.  

Comment n’aurait-il pas pu lui octroyer un peu de tendresse, de douceur et de séduction pour l’amener sur des chemins de traverse ?  

 

Et puis il la vit plonger, elle s’enfonça sous l’eau pour mieux remonter quelques mètres plus loin, il la vit tourner la tête pour essayer de le voir puis en quelques brasses, elle le rejoignit. Il demanda :  

 

- Toute nue ?  

- Oui, souffla-t-elle. C’était mon idée de se baigner je ne pouvais pas me défiler.  

 

Tout en battant tous les deux des jambes pour rester sur l’eau, Ryo lui attrapa le menton et lui dit :  

 

- Il faudra que je remercie Miki…  

- Pardon ?  

- Bah oui si non, je ne t’aurais pas en face de moi dans l’eau nue comme au premier jour, sans elle tu ne m’aurais pas chatouillé mes pulsions. Mais…  

 

Il se tut, au bout de quelques secondes la jeune femme lui dit :  

 

- Mais ?  

- Je voudrais savoir pourquoi ? Tu savais ou tu te doutais que je voulais avancer alors pourquoi ?  

 

Kaori se demanda si elle allait lui dire son secret, sans répondre, elle se mit à nager très loin et très vite de lui, surpris Ryo mit une seconde à réagir avant de nager derrière elle.  

Combien de temps restèrent-ils à jouer comme ça ?  

Ils n’auraient su le dire, ils étaient tellement occupé à leur « attrapes moi si tu peux, ou si tu veux ».  

 

Ce jeu pouvait s’apparenter aux jeux d’enfants, enfants qu’ils n’étaient plus depuis longtemps mais Kaori riait à gorge déployée, Ryo devait reconnaître qu’elle nageait vite, s’il l’avait voulu il aurait pu la rattraper plus vite, mais entendre son rire chatouiller ses oreilles lui faisait tellement de bien !  

 

Arrêtés à quelques pas de la côte, Kaori sur la pointe des pieds pour sortir la tête de l’eau et le nettoyeur bien campé sur ses jambes était bien posé, ils restèrent un moment coupé de tout, se regardant dans les yeux. Ils savaient…  

Ryo la savait timide, il comprenait qu’elle veuille se cacher grâce à l’eau, essayant de se dissimuler. N’y tenant plus, il l’attira à lui, contre lui. Kaori ne pouvait pas ignorer la force du désir de son partenaire, elle était intimidée, rougissante mais elle ne voulait être nul part ailleurs.  

Les dés étaient jetés. Lentement comme dans un rêve, elle vit son visage se pencher sur elle, il effleura ses lèvres, une caresse, douce insondable. De sa langue il les caressa, délicatement comme s’il touchait quelque chose de sacré, les lèvres de sa partenaire s’entrouvrirent alors il s’invita.  

Le temps incommensurable qu’il s’était passé dans cet échange amoureux, quand leurs lèvres s’éloignèrent l’une de l’autre. Leurs yeux étaient brillés d’exaltations, de promesses et de désirs, très mal contenu.  

Ryo la désirait, elle ne pouvait pas se le cacher, sa virilité contre elle était trop prépondérante pour qu’elle l’ignore. Elle frissonna, l’inactivité dans l’eau eut raison de ses dernières résistances.  

 

- Tu as froid ?  

- Un peu.  

 

Il aurait voulu lui sortir une bêtise du genre « je sais comment te réchauffer », mais il ne voulait pas la brusquer. Il souffla et lui dit :  

 

- Je vais chercher tes vêtements. Reste là. A moins que tu veuilles venir avec moi les chercher !  

- Non, ça va je vais te laisser y aller, fit-elle tout sourire.  

- Evidemment… fit-il fataliste.  

 

Il déposa rapidement un baiser sur ses lèvres et sortit de l’eau. Kaori suivit sa progression, admirant grâce à la lune le galbe de ses fesses musclées, ce qui eut pour conséquence de faire naître une chaleur dans son ventre. Elle identifia toute suite cette petite boule se former : le désir. Même si cette pensée la gênait un peu, elle ne pouvait pas nier la fierté quand elle avait sentit son entrejambe dure, exigeante. Elle avait toujours le regard sur l’arrière train de son partenaire. Mais elle constata avec déconvenue qu’il la regardait à présent, elle voyait ses yeux brillés malgré la pénombre. Et il ne résista pas à l’envie de la taquiner :  

 

- Finalement ! l’obsédé des deux n’est pas toujours celui qu’on croit ! fit-il.  

 

Elle devint écarlate et détourna pudiquement le regard, mais il ne lâcha pas :  

 

- C’est trop tard ma belle ! tu peux plus nier ta nature ! fit-il tout sourire.  

 

Kaori avança énervée mais elle avait fait que quelques pas qu’elle se rendit compte de sa nudité et du regard avisé de son partenaire face à sa poitrine sortie des eaux.  

La pleine lune diffusait une lumière fantasmagorique, il leur semblait presque à tout les deux d’être en pleine journée. Le regard de son partenaire la gênait et surtout sa colère sur son insinuation quand à sa nature, tout de même ce n’était pas elle qui matait les magazines pornographiques ! et elle ne sautait pas sur tous les hommes qu’elle rencontrait.  

Ce fut plus fort qu’elle, une massue alla s’écraser sur la tête du nettoyeur laissant apparaître ses fesses.  

 

- Fe crofai fe fes maffu étaient à fokyo ! (je croyais que tes massues étaient à Tokyo).  

 

Le nettoyeur se releva et regarda dessus marqué « modèle AK 200-2 livrée par téléportation ».  

 

- C’est quoi ce délire marmonna-t-il.  

- Ryo ! dépèche toi ! j’ai froid !  

- Hum ! tout de suite mon amour !  

 

Kaori se prit un corbeau sur la tête, et elle de demanda comment ça se faisait qu’il soit si spontané. Enfin quelques minutes plus tard, il revint avec leurs affaires, lui était habillé que de son caleçon et il tendit son propre t-shirt à sa partenaire.  

Elle le trouva suffisamment long pour ne rien mettre dessous, tout en se rabrouant mentalement que l’hypnose aurait sa mort.  

Ryo glissa son bras autour de sa hanche et lui dit :  

 

- Hum, faudra vraiment que je remercie Miki.  

 

Piquée à vif elle lui dit :  

 

- Rend moi mon short !  

- Non !  

 

Et il se mit à courir dans le petit chemin en terre poursuivit par une Kaori qui riait aux éclats. C’était le meilleur moyen pour l’un comme pour l’autre pour se décontracter, oublier quelques instants que leur relation avait avancé ce soir à pas de géants.  

La jeune femme faillit tomber en buttant contre une racine mais le nettoyeur la retint et la prit dans ses bras, il la serra contre lui et lui dit :  

 

- Reste avec moi Kaori…  

- Je ne m’en vais nul part.  

- Bien.  

 

Ils avancèrent doucement vers leur habitacle, timidement décréta qu’elle allait prendre une douche, et ce malgré l’opposition de son partenaire.  

Une fois qu’elle eut fini, Ryo la prit dans ses bras et l’amena à nouveau sous le jet d’eau.  

 

- Mais qu’est ce que tu fais ?  

- Je m’assure que tu ne prennes pas une tangente.  

- Je veux pas prendre de douche avec toi Ryo ! Je veux pas que tu me vois… ajouta-t-elle dans un murmure.  

 

Le nettoyeur sortit de l’eau et éteignit la lumière, il lui dit :  

 

- Maintenant il n’y a plus de raison, je vais t’aider à enlever ta serviette…  

- Je sais encore faire ça toute seule.  

 

Elle laissa tomber la serviette et pénétra dans la douche avec un pointe d’anxiété. Le doux effleurement des lèvres son partenaire sur son front, son nez puis la bouche eurent raison de son inquiétude.  

 

* * *  

 

Quelques heures plus tard, Kaori était lovée contre son partenaire dans le lit qui avait accueillit leur amour sans protester.  

 

- Kaori…  

- Oui ?  

- Tu ne me quittes pas hein ?  

- Pourquoi voudrais-tu que je te quitte ! maintenant que je t’ai dans mes filets ! hors de question de te débarrasser de moi !  

- Hum… et si je prenais une autre assistante pendant que tu es à la maison….  

- Outch !  

 

Le coup qu’il venait de se prendre dans les partis lui tirait une larme de l’œil.  

 

- Fais attention ! tu vas gâcher ce que j’ai à t’offrir.  

- De un Saeba ! hors de question que tu prennes une autre partenaire pour me laisser à la « maison ». Je suis ta partenaire ! – elle se glissa à califourchon – partenaire à part entière ! De deux ! tu sautes sur une autre femme et je peux t’assurer que je te castre avant de te quitter !  

- Hein ! tu me ferais ça !  

- Je me gênerais ! je partage pas ! tu es à moi ! – elle ajouta doucement – et je t’appartiens…  

- Hum…  

 

Elle commençait à doucement bouger au-dessus de son homme.  

 

- Alors ?  

- Tu es ma partenaire…. Murmura-t-il, en entière ! tu m’appartiens.  

- Et ?  

- Kaori, tu sais bien que c’est pour te protéger que je…  

- Tu sais aussi bien que moi qu’ils s’en prendront à moi quoi qu’il arrive !  

- …  

- Ryo !  

 

Elle fit mine de vouloir se dégager mais, il la retint et lui dit :  

 

- Je te le promet Kaori, la seule l’unique et plus de frasque… Alors fais plus bobo à mon mokkori hein ?  

- Bah non pourquoi je ferais du mal à ce qui m’appartient !  

- Je suis pas une chose…. Marmonna le nettoyeur.  

- Non. Tu es mon homme, le seul que je veux voir nu, et dont j’apprécie le fessier.  

- Proposition indécente ?  

- A ton avis ?  

- Hum oui…  

 

Leur lèvres se scellèrent comme une promesse et ils ne firent plus une fois de plus qu’un. Rien ni personne ne pourrait les séparer !  

 

 

FIN
 

 

Hé ! c’est bon soyez pas déçu ! y’a pas de slurp dans mon chapitre ^^’ si j’avais osé en mettre je serais allé loin et obligé de mettre en NC-17, alors je pense aux petits jeunes ^^’ – Enfin y’aura peut-être à l’occasion un chapitre slurp sur MH mais bon c’est pas poru maintenant ! – Et oui cette fic est finie T_T ! déjà ! Enfin ne vous inquiétez pas ! je sais déjà quelle fic je vais vous publier derrière ^^ ! « Remember Me » donc à très bientôt ! Une petite review s’il vous plait ^_______^ ça fait toujours plaisir :D  

 

 


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