Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: vivifolie

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 09-08-06

Ultimo aggiornamento: 23-02-09

 

Commenti: 30 reviews

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RomanceGeneral

 

Riassunto: Quand une petite fille demande de l'aide, quand un homme retrouve son passé et quand le passé resurgit, plus noir encore, même un ange peut être blessé ...

 

Disclaimer: Les personnages de "la mort dans la peau" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: La mort dans la peau

 

Capitolo 2 :: Chapitre 2

Pubblicato: 20-08-06 - Ultimo aggiornamento: 20-08-06

Commenti: Tout d'abords, désolée du temps que j'ai mit pour l'écrire, donc le poster T__T. J'était partie dans un délire, mais je trouvais qu'il était encore trop tôt pour vraiment faire apparaitre ce personnage (M***, je suis occupée à vous donnez des indices >_<). Donc le voici, avec un peu, beaucoup, de retard et je m'en excuse d'avance. Je voudrais aussi remercier ceux et celles qui m'ont mit une review (ai la flemme de venir coller vos pseudo, sorry, mais je vous remercie). Voilà, je vous laisse lire ce nouveau chapitre. J'espère qu'il vous plaira ^o^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

- Normal, c’est moi qui vous ai engagé.  

 

La petite se tenait droite, sans sourire, sans faire un mouvement. Ryô, lui était plutôt stupéfié. Comment une si petite enfant pouvait-elle avoir entendu parler de lui ? Comment avait-elle su où le joindre ? Comment connaissait-elle tant de chose sur lui, que peux de gens savait ?  

 

- Pour répondre à vos questions muettes, Mr Saeba, mon père m’emmène souvent au Cat’s Eyes. Là-bas, on parle souvent de vous. Une sorte de bar à publicité, si vous désirez. Et comme j’avais besoin de vos service, j’ai été à la gare.  

Bien sûr, je ne sais pas encore très bien écrire. J’ai donc demander à un passant d’écrire pour moi. On peux dire que j’ai bien fait, parce que je suppose que vous ne voulez pas travailler pour une enfant ?  

 

Kaori s’approcha de Laura. Elle lui prit doucement la main.  

 

- Laura, ma chérie, je ne pense pas que tu comprenne vraiment le métier de Ryô …  

- Mais si. Il tue les méchants et protège ses clients, bons ou mauvais. En résumé, il protège la veuve et l’orphelin. Qui dit orphelin, dit enfant, donc moi, en l’occurrence.  

 

Ryô sourit intérieurement. Oui, futée ET intelligente. Ses parents devaient être fiers d’elle. Il se pencha vers elle.  

 

- Je ne voudrais pas t’ennuyer avec des soucis matériels, mais pour que le héros, donc moi, puisse survivre et sauvez la veuve et l’orphelin, j’ai besoin d’être payé.  

- Aucun problème. Vous faites votre boulot et vous serez payer en fonction.  

- Dis-moi, quel âge as-tu pour parlez ainsi aux adultes ?  

 

A peine eu-t-il fini sa phrase que Laura perdit sa suffisance.  

 

- Excusez-moi, je ne me rends pas compte de ce que je fais. J’ai l’habitude de ne jamais parler, parce que je suis une enfant, et que les enfants, on les renvoient au berceau. Et j’ai horreur de cela … veuillez me pardonnez.  

 

Elle joignit les mains et pencha le buste. Elle salua Ryô, comme dans le temps Moyenâgeux du Japon.  

 

Pour Ryô, c’était plus une sorte d’amusement, qu’un boulot. Elle voudrais sûrement qu’on l’aide à chercher son petit chat perdu dans la rue. En gros, un travail à la hauteur de Kaori. Lui il pourrait prendre du bon temps …  

 

- Ne croyez pas que je veuille vous demander de chercher un quelconque animal de compagnie . Non. J’aimerais vous demander de suivre mon père.  

 

Et voilà, l’enfant soupçonnait le valeureux papa de tromper la charmante maman. Classique.  

 

- Ecoute, … Laura, si ton papa veux sortir, laisse-le faire. S’il fait quelque chose de mal, ta maman le saura bien assez tôt.  

- Mais, je ne veux pas que maman le sache, justement !  

 

Laura regarda vers un des chemins. Ses yeux se perdirent un peu dans le vague et des larmes perlèrent aux bords des yeux.  

 

- Il y a quelques jours, papa n’est pas rentré du boulot. Maman ne s’inquiète jamais. Elle dit qu’il a dut dormir à l’hôtel, qu’il reviendra de toute façon le lendemain. Il est bien rentré. Mais ses vêtements étaient tachés de boues. Et papa travaille dans un grand immeuble, dans le centre. Et puis, quand il a prit son bain, j’ai vu qu’en plus des cicatrices qu’il avait déjà, une énorme balafre rouge traversait son dos. … Je ne veux pas que papa meure … je veux que vous le protégiez … s’il vous plait …  

 

Maintenant, les larmes roulaient d’elle-même sur son visage. Ses petites épaules étaient secouées par des sanglots ravalés. Kaori ne pouvait pas la laisser pleurer. Elle la prit dans ses bras et la berça.  

 

- Ryô, que vas-tu faire ?  

- Ta maman est jolie ?  

- Ryô !  

 

Laura se tourna vers le nettoyeur. Ses larmes se tarirent assez vite, et un semblant de sourire poussa sur ses lèvres.  

 

- Papa dit qu’elle est plus belle qu’une fleur du paradis.  

- Si ton papa le dit, c’est que c’est vrai. Bien, maintenant, on va te reconduire. Sinon, ta maman risque de s’inquiéter.  

 

Laura s’arrêta soudain de pleurer et le regarda avec des yeux ronds. Puis un énorme sourire envahit son visage et elle sauta dans ses bras.  

 

- Merci, merci beaucoup monsieur Saeba. Merci beaucoup !  

 

Elle reprit sa balle et prit la main de Ryô. Un énorme sourire avait prit la place de la moue dédaigneuse et ses yeux vairons brillaient de joie.  

Kaori s’approcha de son partenaire.  

 

- Tu es sûr de ce que tu va faire ? Elle a très certainement cru voir une balafre alors que ce n’était qu’une simple griffe.  

 

Le nettoyeur prit soin de baisser la voix, pour ne pas que Laura puisse entendre un seul mot.  

 

- Rappelle-toi. Elle nous a dit que son père avait déjà des cicatrices. Et je suppose que ce ne sont pas celles que tu te fait quand tu tombe d’un arbre. Il a sûrement un passé avec des armes. Et qui dit armes, dit ennemis. Tu voudrais que cette petite se disent tout les matins que son père est mort à cause de sa négligence ?  

- Ryô …  

 

Kaori le regarda. Il semblait si déterminé, si protecteur envers Laura …  

 

- … et puis, elle m’a dit que son père la trouvait superbe. Même si l’amour aveugle, je suis sûre qu’elle doit être mignonne …  

- Ryô !  

 

Cette fois, il poussait le bouchon un cran trop loin ! Elle sortit sa massue spécial « pervers de sortie », fit deux trois moulinets et se prépara à frapper. Mais elle n’eu pas le temps, car Laura lui avait prit le bras et la regardait, une interrogation dans les yeux.  

 

Très vite, Kaori balança sa massue (ndla : qui atterrit sur un jeune couple, les pauvres XD). Autant préserver les jeunes d’aujourd’hui face à la violence, fut elle méritée.  

Pourtant, Laura souriait de toute ses dents. Elle semblait heureuse de vivre, comme si les révélations dites il y a peu n’avait jamais eu lieu.  

 

- Je ne vous dérange pas ?  

- Mais … pourquoi nous dérangerais-tu, mon cœur ?  

- Ben … parfois mon papa crie sur ma maman ou fait mine de la frapper …  

- Quoi !?  

 

Ryô et Kaori se regardèrent. Femme battue … enfant battu.  

Mais Laura éclata de rire. Elle en avait les larmes aux yeux.  

 

- Non, mon papa ne frapperait jamais maman. Mais il crie très fort et pars, pendant une journée entière. Mais maman dit souvent que …  

- La haine est le sentiment le plus proche de l’amour. On hurle pour cacher les battements de son cœur.  

 

Une voix sortit d’un des chemins du parc. Ryô mit la main à sont côté. Il sentait une aura. Elle n’était pas particulièrement menaçante, mais on n’était jamais trop prudent. Pourtant, il l’enleva bien vite, quand il vit que ce n’était qu’un femme qui venait de sortit d’un des détour des chemins. Laura hurla et se précipita vers l’inconnue.  

 

- Maman !  

- Ma chérie, que fais-tu ici ? Papa n’est pas avec toi ?  

 

Laura enfoui sa tête dans le creux des bras de sa mère. C’est d’une voix étouffée qu’elle lui répondit.  

 

- Je t’avais dit que je sortirais avec une copine et sa grande sœur. Mais elle était malade, donc j’ai voulu faire une promenade dans le parc. Et là, j’ai rencontré le grand monsieur et sa copine. Ils ont été très gentil avec moi !  

- C’est vrai ça ?  

 

La femme se tourna vers eux et leurs sourit. Elle n’était pas vraiment jolie, pensa Ryô, mais son sourire adoucissait ses traits lourds. Il remarque aussi les yeux de la mère de Laura. Exactement de la même couleur que ceux de sa fille mais avec seule différence l’emplacement de la couleur. Si Laura avait l’œil gauche vert, sa mère l’avait au droit.  

 

Elle se releva, épousseta sa longue jupe dorée et inclina la tête.  

 

- J’espère que Laura n’a pas été, disons, trop … sèche et suffisante avec vous. Elle a un sacré caractère et malgré tout mon savoir-faire, je n’arrive pas à faire disparaître ce défaut.  

- Aucun problème, madame. Elle a été très gentille, je vous assure, répliqua Kaori.  

- Tant mieux, je suis rassurée. Elle est comme son père, le sang chaud et elle n’arrive pas à le canaliser.  

 

Laura s’était rapprochée et avait prit la main de sa mère. Un sourire d’ange lui fut adressée et avec une voix douce et très « enfantine », elle demanda.  

 

- Maman, on peux les inviter à prendre le thé chez nous ? Dis oui, s’il te plait …..  

- Mais, ma chérie, ils sont certainement mieux à faire que de venir perdre leurs temps chez nous … sauf si, bien entendu, cela ne vous dérange pas …  

 

Ryô se passa la main dans les cheveux, toussota une ou deux fois et … se jet ausr la mère de Laura.  

 

- Mais madame, c’est un plaisir de prendre le thé chez vous ! Ensuite on pourrais visiter les chamb…  

- Et ma massue ? Tu l’avais oubliée, ma massue ?  

- Aucun risque que j’oublie, murmura Ryô, écrasé sous 1.000 tonnes.  

 

La mère regarda tour à tour Ryô se masser la nuque et Kaori lever la massue ( on ne sait jamais ce qui se passe dans la tête d’un pervers …). Elle rit un instant de la scène somme toute cocasse. Elle prit la main de sa fille et ramena une mèche de cheveux derrière son oreille.  

 

- Bien, alors suivez-moi.  

 

******************************************************************************  

 

 

Ils finirent par tomber devant une humble maison. Le jardin semblait entretenu mais il était jonché de jouets pour enfants. Laura lâcha la main de sa mère et se précipita vers la porte d’entrée et l’ouvrit avec fracas. Elle ne lança même pas un regard à sa mère et hurla dans le hall d’entrée.  

 

- Papaaaaaaaaaa ! On est rentrée ! Tu es là ? Papaaaaaaaaaaaaaaaaaa  

- Laura, mon cœur, je crois que ton père est toujours au travail. Enlève tes chaussures et va te changer !  

 

Sa mère l’aida à se déshabiller et mena ses invités dans le salon. Kaori se proposa d’aider la maîtresse de maison qui accepta de bon cœur cette aide. Ryô, pour sa part, se promena le long des murs du salon.  

 

Ceux-ci étaient tapissés de photos de la jeune Laura, du jour de sa naissance, dormant contre le sein de sa mère, son premier jour d’école, jusqu’à un simple jour banal où ils prenaient le dîner. Ryô prit une photo familiale. Ils posaient devant l’église, le jour de leur mariage, très certainement. La mère portait Laura dans ses bras, elle ne devait pas avoir plus de 6 mois. A ses côté, son mari.  

 

Il approcha la photo plus près encore. Pas de doute, il lui semblait l’avoir déjà vu. Ce visage allongé, ses yeux toujours à demi-fermé et ce sourire cynique, ici avec un peu de joie mal dissimulée certes, mais cynique quand même. Où l’avait-il vu ?  

 

- Chéries ? Je suis rentré ! Vous ne devinerez jamais. Mon patron m’a laissé partir plus tôt, il trouvait que je vous “délaissaient”. … tiens, mais que vois-je ? Des invités ?  

 

La voix se rapprocha du salon. Ryô sentit une aura connue, et qu’il n’aurait jamais du ressentir une nouvelle fois.  

 

- Tiens donc, Ryô Saeba parmi nous … quelle heureuse surprise.  

 

 


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