Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: vivifolie

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 09-08-06

Ultimo aggiornamento: 23-02-09

 

Commenti: 30 reviews

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RomanceGeneral

 

Riassunto: Quand une petite fille demande de l'aide, quand un homme retrouve son passé et quand le passé resurgit, plus noir encore, même un ange peut être blessé ...

 

Disclaimer: Les personnages de "la mort dans la peau" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: La mort dans la peau

 

Capitolo 4 :: Mora Jenna

Pubblicato: 03-07-07 - Ultimo aggiornamento: 03-07-07

Commenti: Merci beaucoup pour vos reviews. Cela ma fait toujours plaisir de voir que mon travail, bien que partiellement abandonné, continue à plaire. En lisant vos commentaires, j'ai vraiment sourit, car vous ne semblez réellement pas aim Vladimir, alors que moi, je l'aime bien T_T. Bref, voici un nouveau chapitre, qui j'espère, vous plaira tout autant. Je vous préviens de suite, je pars en vacances pdt 2 semaines. Donc, pas de cahpitres, pdt 2 semaines, désolée.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

- Pas un jour tu n’es mature et normal, Ryô ?!  

- Mais je suis normal ! Il est normal d’aimer une femme pour ce qu’elle est !!!!  

 

Miki enrageait. Aujourd’hui encore, Ryô était venu au café, prendre un café, qu’il ne payerait pas, et pour la draguer ostensiblement. Alors qu’elle nettoyait son verre, passant sa rage dessus, Ryô essayait de se justifier, comme tout les jours.  

 

- Umibozu n’est pas là ?  

- Partit chercher de la monnaie.  

 

La fureur de Miki envers Ryô ne la fit pas comprendre tout de suite. Ce n’est qu’au moment où elle comprit le sens global de sa demande, qu’elle s’arrêta un instant de laver ses verres. Depuis quand demandait-il quelque chose à Umibozu ? Il était bien trop fier pour le demander si ouvertement.  

 

- Ryô … il y a un problème ?  

 

Mais il ne lui répondit pas. Il but une gorgée de son café noir et se garda bien de répondre. Ce ne fut que quand le grelot tinta et le mouvement lourd caractéristique d’Umibozu lorsqu’il était sortit en public fit trembler sa tasse, que Ryô, sans se retourner, prit la parole.  

 

- Vladimir est-il passé par ici ?  

 

Umibozu ne répondit pas de suite. Déposant le petit sac avec la monnaie, il fit le tour du comptoir, pour se retrouver devant son ami. Il mit son petit tablier et commença la vaisselle.  

 

- Vladimir passe que rarement. C’est plus sa femme et sa fille. Il les rejoints. Paye. Et s’en vont.  

 

Ryô prit sa tasse et fit tournoyer le fond de café. Le liquide noir laissait voir le fond de la tasse.  

 

- Kaori ?  

- Les nouvelles vont vites … elle ne sait pas. … Elle a faillit se faire tuer.  

- Tu étais là.  

- Je n’ai rien sentis. Si le coup avait été mieux visé, elle serait morte.  

- Et si justement, elle n’était pas réellement visée. Un coup, pour rien.  

 

Ryô pâlit. Oui. Biens sûr. Kaori était une cible si facile. Le tireur n’aurait eu aucune difficulté à lui tirer un balle dans le crâne. Alors, au lieu d’être chez eux, dans la cuisine, elle serait dans une boite, un trou dans la tête, les joues pâles, les yeux fermés, les mains croisés sur sa poitrine. Face à cette image, Ryô en manque de respirer.  

 

- Ryô ! Sais-tu si Kaori a le dernier livre de Mora Jenna ?  

- Qui ?  

 

Il sortit brusquement de son rêve éveillé. Face à lui, Miki le regardait d’un air interrogateurs.  

 

- Mora Jenna. C’est une écrivain qui commence à être célèbre. Elle écrit de très beau livres sur la guerre et la position des enfants.  

- Je sais même pas si elle a un des ces livres !  

- Et bien, c’est une bonne occasion pour sortir ! Elle donne exceptionnellement une séance de dédicace, dans la libraire au coin de la rue, demain à15h00. C’est toujours bon de sortir un peu.  

 

Ryô la regarda, hagard. Mora Jenna ?  

 

*****************************************************  

 

- Pourquoi t’obstine-tu à aller dans cette librairie ? Il y a un monde fou !  

- Miki m’a dit que cela pouvait t’intéresser.  

- Depuis quand t’intéresse-tu à ce qui pourrais, moi, m’intéressé ?  

 

Kaori, les mains sur les hanches, regarda son partenaire. Il ne semblait pas soûl, ni sous l’emprise de quoi que ce soit. Peut-être ce souciait-il enfin d’elle ?  

 

- Elle m’a dit qu’elle était sex … Aïeuh !  

- Vas te faire pendre !  

 

Kaori se frotta les mains et se remit dans la file. Bien que fort longue (elle dépassait le coin de la rue), l’auteur semblait signer vite. Tant mieux. Le temps se couvrait, et elle n’avait aucune envie de rester dehors sous la pluie. De plus, elle devait faire quelques course pour ce soir.  

Ryô, derrière elle, semblait absent. Mains en poche, il regardait le jupes des filles sans les voir. Pour la première fois depuis des années, il se concentrait pour sentir la moindre aura offensive. Pourtant, rien ne filtrait. Comme si l’incident d’hier ne semblait pas être important.  

 

- Bonjour ! Votre nom, s’il vous plait ?  

- Kaori Makimura.  

 

Toujours absent, Ryô tourna la tête vers cette Mora Jenna.  

 

- Merci beaucoup ! … Ryô ? Tu viens ?  

 

Ryô ne bougeait pas, pétrifié. Mora Jenna leva vers lui deux petits yeux bruns, et un sourire naquit sur ses fines lèvres.  

 

- Monsieur Ryô ? Votre femme vous appelle. Oh, je crois que votre mari est un peu dans la lune, aujourd’hui.  

 

Et elle se mit à rire. Un rire d’enfant, cristallin, pure, sans complexe ni arrêt. Elle riait d’autant plus en voyant Kaori rougir et essayer d’expliquer qu’ils n’étaient pas mariés.  

Ryô ne bougeait pas, fixant Mora Jenna de façon qui frisait l’impolitesse. Les yeux bruns, une coupe de cheveux courts toute aussi brune, une peau très clair, une paire de lunettes sur son petit nez, et un sourire moqueur sur les lèvres. La parfaite petite femme sans histoire.  

Le rire de Mora Jenna lui parvint aux oreilles et se réveilla. Clignant des yeux, il vit, avec stupeur, l’index de Mora Jenna pointé vers lui, dans le signe universel du pistolet.  

 

- Si j’avais eu une vraie arme, que vous étiez un ennemi, j’aurais eu tout le loisir de vous loger une balle entre les deux yeux. … Mais bien sûr, nous ne sommes pas ennemi, vu que l’on ne se connaît pas.  

 

Sourire de la part de Mora Jenna. Kaori prit le bras de son partenaire et l’emmena dehors.  

 

- Mais que ce passe-t-il ? Depuis hier, tu ne semble pas dans ton assiette. Dis-moi au moins que tu vas bien !?  

- Ce n’est pas grave ! Juste que j’ai passé une mauvaise nuit … et que Umibozu m’a encore empêcher de draguer en paix Miki !  

 

Il retrouva, comme pas enchantement, sous une massue de 10 tonnes. Kaori, furieuse que son partenaire n’aie pas plus de délicatesse et d’humanisme, marcha à grand pas vers le légumier tout proche.  

Se massant le crâne, Ryô se releva et pesta contre la mauvaise humeur de sa partenaire. Il faudrait vraiment qu’un jour, elle comprenne qu’il est ainsi et ne changera jamais.  

 

Soudain, son attention fut attirée de l’autre coté de la rue. Là, accoudée à la balustrade qui protège les piétons des voitures, Vladimir lui sourit, le coin de la bouche relevé, comme une moquerie. Il lui fit un petit signe de la main, un genre de salut amical. Ryô se releva et fut brusquement comme pétrifié. Une énorme aura offensive l’entourait. De son côté, Vladimir souriait encore et toujours. Puis, il ouvrit un peu les yeux, et fit le même geste que Mora Jenna, sauf qu’il « tira ».  

Tout en souriant, Vladimir se releva et partit, se mêlant à la foule. Et l’aura disparût.  

 

Alors que Ryô se relevait, et prit la direction opposée de celle prise par Kaori, il entendit distinctement le déclic d’une arme à feu et eu juste le temps de bouger la tête vers la gauche. Le projectile lui frôla la joue, laissant une longue estafilade rouge.  

Et cette fois encore, le rire d’un enfant retentit dans ses oreilles. Qui ?  

 

*****************************************************  

 

- Mora Jenna. … Deux « N », Nicolas. … Oui, je suppose étrangère. Sa peau est fort pâle pour être hispanique ou même asiatique. … Je sais bien, mais c’est important. … Ecoute, deux coups de feu. En deux jours. Deux personnes qui font mine ostensiblement de me tirer dessus. … Oui, ce n’est pas normal. …. Merci.  

- Ryô ? Tu es déjà rentré ?  

 

Ryô raccrocha le combiné. Les pieds sur la table, il regarda sa coéquipière enlever ses chaussures et porter les courses dans la cuisine. Elle ne semblait pas blessée. Donc, les coups de feu étaient pour lui. Oui, mais qui ? Pourquoi ?  

 

- J’ai revu la petite Laura, avec sa maman. C’est fou ce qu’elle se ressemblent. Et puis, on dirait un petit poussin. Toujours accrochée au jupes de sa mère.  

- Mmmm.  

- Je n’ai pas voulu lui parlé. Qu’aurais-je dit ? Que tu ne veux pas travailler dessus ?  

- Mmm mmm.  

- Et puis, bien sûr, je devais passer à la gare. Mais toujours rien.  

- Mmmm.  

 

Le silence ce fit dans l’appartement.  

 

- Oh, et j’ai rencontré George Clooney. Il me propose un rôle dans son prochain film et m’a demandé en mariage !  

- Merveilleux ! Je suis content pour toi.  

 

Dans la cuisine, Kaori s’arrêta un instant. Depuis quand il était heureux pour elle ? Et surtout, pourquoi ne l’écoutait-il pas ?  

 

- Tu as déjà lu le livre de Mora Jenna ?  

- « L’enfance détournée » ? Non, pas encore. Mais je le commence dès ce soir. Il m’a l’air assez sympa.  

- Sympa … comment cela pourrait-il être sympa ?  

- Pardon ?  

 

Ryô grommela et s’étira. Il sursauta à peine quand le téléphona sonna.  

 

- Allô ? …. Oui …. Tu es sûre ? … Ok, merci beaucoup …. Quoi ? ….. bon, d’accord …. Mais c’est bien parce que c’est toi !  

- Ryô ?  

 

Kaori sortit de la cuisine, soucieuse. Elle vit son partenaire écrire sur un bout de papier, se relever et sortir.  

 

- Ryô …  

 

La revoilà toute seule. Encore et toujours. Elle s’assied dans la fauteuil et ouvrit le livre. Autant commencer. Mais à peine avait elle lu une dizaine de pages, que quelqu’un frappa à la porte.  

 

- Ryô ?!  

 

Mais ce n’était pas Ryô. Devant elle, se tenait Mora Jenna, tout sourire.  

 

*****************************************************  

 

Ryô traversa la rue et entra en trombe dans le bureau de la sœur de Saeko. Celle-ci sursauta.  

 

- Que ce passe-t-il ?  

- J’ai besoin de tes dons en informatiques et journalisme pour me trouver ce que tu sais sur Mora Jenna.  

- Mais … c’est une simple écrivain !  

- Selon ta sœur, Mora Jenna n’existe pas !  

 

 


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