Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: vivifolie

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 09-08-06

Ultimo aggiornamento: 23-02-09

 

Commenti: 30 reviews

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RomanceGeneral

 

Riassunto: Quand une petite fille demande de l'aide, quand un homme retrouve son passé et quand le passé resurgit, plus noir encore, même un ange peut être blessé ...

 

Disclaimer: Les personnages de "la mort dans la peau" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: La mort dans la peau

 

Capitolo 3 :: Heureuse Surprise

Pubblicato: 01-07-07 - Ultimo aggiornamento: 01-07-07

Commenti: De retour après un long moment d'inactivité. J'espère ne pas vous avoir fait fuir. Si c'est le cas, veuillez m'excusez. J'ai eu une crise de page blanche, puis mes études ont commencés à me poursuivre. Encore une fois, excusez-moi pour tout le temps que j'ai mis pour revenir. Ce chapitre est fort court, pour deux raisons. La première est la plus simple : je voulais avant tout refaire une entrée par ici. La deuxième, c'est tout bonnement parce que je voulais créer un effet d'attente. J'espère avoir réussis XD. Enfin, je vous remercie, lecteurs et lectrices, pour votre patience envers moi, pour vos reviews tant aimées, par votre gentillesse et votre soutient. Merci encore. Bonne lecture et au prochain chapitre ! (qui viendra sous peu, je vous l'assure ^^)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

- Tiens donc, Ryô Saeba parmi nous … quelle heureuse surprise.  

 

A l’entente de son nom, Ryô ne bougea pas, ne cilla pas. Tous ses muscles étaient tendus à l’extrême. Il pouvait sentir l’aura bouger derrière lui, à droite. Trois pas. Elle s’était arrêtée à moins d’un mètre de son dos. Il la sentait, couler le long de son corps, pour s’arrêter à hauteur des poignet. Comme autrefois.  

 

- Papa !  

 

La voix de Laura fit éclater cette aura. Elle disparut, aussi vite qu’elle était apparue. Ryô ne sentait plus qu’un amour inconditionnelle qui irradiait littéralement de cet homme. Ryô se tourna pour contempler ce tableau paternel.  

 

Laura était accrochée au cou de son père, enfouissant son petit nez dans le creux de la gorge.  

Son père la tenait précieusement, caressant d’une main la petite tête. Le tableau aurait tout lieu d’être idéal. Seul le regard paternel venait fausser l’idée. Il regardait d’en bas Ryô, le toisant tel un prédateur qui aurait trouvé un rival sur son territoire.  

 

- Vladimir ? Tu es rentré !?  

 

Cette fois-ci ce fut la voix de la mère qui trancha le silence. Elle entra dans le salon, suivit par Kaori. Le dénommé Vladimir se releva, gardant contre lui son trésor. Il ouvrit le bras resté libre, enlaça sa femme et l’embrassa tendrement sur le front.  

 

- Je suis désolée de ne pas avoir téléphoner. Je pensais que tu serais partie avec Laura et Jenna.  

- Ce n’est pas grave, mon cœur. De toute façon, nous venons de rentrer. Comme tu le vois, nous avons des invités. Voici Mr Ryô Saeba et Mlle Kaori Makimura.  

 

Vladimir sourit et inclina du chef vers le couple. Kaori souriait, heureuse de ce simple bonheur familial, mais Ryô se tenait sur ses gardes. Vladimir n’était pas si gentil.  

 

- Heureux de faire votre connaissance. Vous devez donc connaître ma femme, Mariella, ma fille, Laura, et me voici, Vladimir Velho, heureux mari et père de famille.  

 

Il sourit, mais ce dernier ne semblait pas des plus chaleureux.  

 

- Lâche-moi, il faut que j’aille faire le thé. », lâcha Mariella.  

- Si je te lâche, tu risque de t’enfuir. », répliqua doucement Vladimir.  

 

Un sourire complice se dessina sur leurs lèvres, et il finit par la lâcher, la tenant du bout des doigts, jusqu’au moment fatidique où elle se trouva trop loin.  

Kaori la rejoignit, accompagnée de Laura, laissant les deux hommes face à face. Alors que les trois femmes sortirent de la pièce, l’atmosphère de celle-ci se chargea.  

Vladimir continuait de sourire cyniquement, alors que Ryô restait bien droit, l’œil au aguets. Le mari de Mariella se rapprocha d’un fauteuil et s’y assit de façon confortable, négligeant d’offrir un siège à son invité. La tête au creux de trois doigts, il regarda Ryô à travers se yeux mi-fermé.  

 

- Si un jour une personne m’avait dit que je te trouverais au milieu de mon salon de classe moyenne, entouré de ma sage famille, le tout sans aucune préméditation, crois-moi ou pas, je ne l’aurais pas cru.  

 

La voix de Vladimir était doucereuse et filait comme du miel, créant l’illusion d’une main caressante autours du cou de Ryô.  

 

- Que fais-tu ici, Vlad ?  

- Ooooh, mais sois donc poli, Baby Face. Je pourrais mal le prendre et te faire sortir de chez moi, blessé par tes propos non civilisé.  

- Le seul non civilisé entre nous deux, ce serait bien toi. Que fais-tu ici ?  

 

Vladimir sourit plus largement, franchement amusé de la tournure de la scène. Il décroisa les jambes et mit les deux mains à plat sur l’accoudoir.  

 

- Tu l’en veux toujours pour ce 14 avril, n’est-ce pas ? Mais c’est une vieille histoire. De plus, je ne suis pas le seul à blâmer dans cette affaire.  

 

Ryô blêmit à la mention de cette date. En un instant, il cru sentir l’odeur de la chair brûlée, la chaleur du feu lui caresser la peau et entendre les hurlements de centaines de personnes, prises au piège.  

De son côté, Vladimir souriait, s’amusant de la douleur apparente de son vieil ennemi.  

 

Le bruit de la vaisselle s’entrechoquant fit sortir Ryô de son rêve éveillé. Laura apportait les biscuits tout chaud, sa mère portaient tasses et théière, et Kaori fermait la marche, souriante. Elle fronça un instant des sourcils, voyant le teint de son coéquipier. Mais il se rattrapa bien vite, et elle oublia son inquiétude.  

L’après-midi se passa sans autre soucis, ponctués de rires enfantins et de paroles d’adultes peu concernés par les réalités du monde.  

 

*****************************************************  

 

- Merci encore de nous avoir invités madame. », dit Kaori, en saluant.  

- Ce n’était pas grand chose. Et puis, grâce à vous, j’ai pus amélioré mon japonais. », répliqua Mariella, souriant gentiment.  

- Au revoir mademoiselle », gazouilla Laura.  

 

Elle se détacha vivement des bras protecteurs de sa mère pour agripper le pull de Kaori, l’obligeant à se baisser. Tout bas, elle lui rappela.  

 

- N’oubliez pas mon papa.  

 

Et elle repartit dans le cocon familial. Kaori et Ryô s’en allèrent, laissant l’heureuse famille sur le perron de la porte. Ryô marchait vite, comme pour échapper à la froide aura de Vladimir. Pour le suivre, Kaori devait presser le pas. Mais cela, elle avait l’habitude. Comme à chaque affaire, il marchait vite, de manière automatique. Il oubliait un instant le monde extérieur pour l’affaire qui lui demandait un temps de réflexion. C’est dans ces moments qu’elle pouvait à loisir observer ce grand dos, celui qui la protégeait, celui qui prenait toutes les responsabilités … ou les nombreux pièges antis-voyages-nocturnes.  

 

Soudain, elle cria, chassant d’une main un insecte volant. Ryô se retourna et attrapa une Kaori déboussolée.  

 

- Kaori, ça va ?  

- Oui … oui, juste un horrible insecte volant. Ne t’inquiète pas.  

 

Il la regarda, et vit qu’elle n’avait rien. Il sourit intérieurement, mais déchanta bien vite. Sur une terrasse en bois, un éclat était apparu. Quelqu’un venait de tirer. Sur Kaori. Et le pire, il n’avait même pas ressentit l’aura significative. Comme dans un rêve, le rire cristallin d’un enfant innocent tinta à ses oreilles. 

 


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