Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Kaoridu86

Beta-reader(s): Bindy5

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 24-12-08

Ultimo aggiornamento: 22-02-09

 

Commenti: 32 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Kaori va rencontrer un homme d'exeption. Ryô, lui, reste méfiant de l'homme que fréquente sa partenaire...

 

Disclaimer: Les personnages de "Vie quotidienne" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Vie quotidienne

 

Capitolo 2 :: Colère incontrôlée

Pubblicato: 26-12-08 - Ultimo aggiornamento: 26-12-08

Commenti: Désolé pour l'attente de ce nouveau chapitre. Joyeux Noël à tout le monde !!!!

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

Mick avait vu la scène sans comprendre, il s’avança, donc vers son pote de beuverie pour en savoir un peu plus. Il vit que Ryô était plus qu’affecté sur le comportement de Kaori. Alors il allait lui parler calmement.  

- Salut mon pote ! Qu’est-ce qu’il c’est passé ? demanda-t-il d’un ton rassurant.  

 

- Salut Mick. Rien ; il ne s’est rien passé juste une dispute avec cette planche à pain, rien de plus ! répondit plus sèchement le nettoyeur n°1 du Japon.  

 

- Ok, tu pourras me le dire quand tu seras prêt mais je ne précipiterai pas les choses, dit–il en lui faisant une tape amicale sur l’épaule. Tu veux aller draguer les miss mok…  

 

- Non ! coupa durement Ryô.  

 

- Ok vieux, c’est comme tu le sens.  

 

- Tu devrai en faire autant sinon Kazue va t’engueuler, conseilla Ryô en partant en direction du parc.  

 

Mick restait planté. « Décidément, tous les deux ne sont pas clair aujourd’hui. Qu’est-ce qui a pu bien se passer ? » pensa-t-il.  

 

Kaori n’arrivait pas à s’arrêter de pleurer. Elle ne pensait vraiment pas ce qu’elle avait dit car elle savait que Ryô en profiterait pour flirter avec les femmes. Elle continuait à marcher droit devant sans savoir vraiment où elle allait puis, soudain, elle buta sur quelque chose de dure elle relava la tête tout en essuyant ses larmes. Elle vit un homme très séduisant au sourire enjôleur.  

 

- Excusez-moi monsieur. Je ne voulais pas vous percuter, s’excusa gentiment Kaori en arrêtant peu à peu de pleurer.  

 

- Oh ne vous excusez pas, c’est entièrement ma faute. Mais puis-je vous poser une question ?  

 

Kaori opina du chef.  

 

- Pourquoi une telle femme que vous, pleure ? demanda-il en donnant un mouchoir à Kaori.  

 

- Merci beaucoup, répondit-elle lorsqu’elle prit le mouchoir que lui tendait amicalement l’homme. Je…excusez-moi c’est vraiment personnel.  

 

- Ce n’est rien, d’ailleurs je n’ai pas a vous poser ce genre de question. Mais je suis trop curieux et lorsque je vois une belle femme sangloter comme cela, je ne peux résister à le demander.  

 

Kaori le regarda dans les yeux. Il avait un petit air de Mick lorsqu’il souriait. Cela la fit fondre et ne put s’empêcher de rougir. Se cheveux était brun et ses yeux étaient d’un vert où aucune femme de pouvait résister comme son sourire d’ailleurs. Il avait une carrure assez imposante, pas comme celle de Ryô mais imposante quand même.  

 

- Je ne vous en veux pas du tout, elle hésita puis se lança tout de même. Je m’appelle Makimura Kaori.  

 

Elle lui tendit la main pour qu’il la serre mais au lieu de cela, il la prit et y déposa un baiser. Kaori rougit de suite en écarquillant les yeux se surprise.  

 

- Hadashi Kazuyuki.  

 

Il lui demanda si elle voulait manger quelque chose pour faire plus anse connaissance un petit peu plus. Kaori accepta avec joie, heureuse qu’un homme s’intéresse enfin à elle.  

 

Ryô mangeait tranquillement dans le parc en se demandant ce qu’il avait bien pu faire à Kaori pour qu’elle se mette dans un état pareil. Il essaya de ne plus y penser mais il n’y arrivait pas. Il était vraiment déçu du comportement de Kaori et n’arrêtait pas de ce répéter ce qu’elle lui avait dit : « Fais tout ce que tu veux de toute manière j’en ai rien à faire, ce n’est que toi ! » Comment avait-elle osé dire ça ! Lui qui tenait tant à elle, lui qui ne rêvait qu’elle la nuit, lui qui ne pensait qu’à elle. Il reconnut qu’il était particulièrement dur avec elle mais c’était simplement pour son bien à elle et à lui. Sinon il aurai craqué depuis longtemps et lui aurai sauté dessus en lui avouant tous ses sentiments. Mais il ne pouvait pas avoir ces pensés absurdes : elle devait avoir une vie normale, comme toutes les autres femmes. Combien de fois lui avait-il répété ? A chaque fois qu’il lui demandé de refaire sa vie, elle commençait à se disputer avec lui.  

 

Plus elle restait, plus il lui était difficile de s’en détacher. Ces massues, sa jalousie lorsqu’il s’intéressait une miss mokkori, lorsqu’elle rougissait, ses plats, ses réveils du matin… toutes ces petites choses il les adorait ; il ne pouvait vivre sans. Il aimait son ange comme personne, il la connaissait comme personne et pourtant il ne pouvait rien lui offrir ; il en était incapable. Il aimerai tant lui procurer plus.  

Ryô n’avait pas faim ; il mit son reste de sandwich dans la poubelle la plus proche. Il s’assit sur un banc. Il vit plusieurs couples se tenant la main et s’embrasser passionnément. Il détourna la tête pour voir autre chose et fut abasourdi.  

 

Kazuyuki rendit le sourire à Kaori, elle n’arrêtait pas de rire. Kazuyuki était un ange, il la faisait rire à tel point qu’elle en pleurait. Il était adorable, tout ce qu’elle recherché sur Ryô : il était charmant, toujours là pour rendre service. Lui au moins, il s’avait comment prendre les femmes. Ils étaient entrés dans le parc que Kaori adoré. Il avait insisté pour prendre les paquets de Kaori. Cette dernière ne voulant pas qu’il voit ce qu’il y avait dans le paquet préféra dire non, mais Kazuyuki ne semblait pas d’accord alors il lui prit gentiment le paquet.  

 

- J’insiste Kaori. Cela me gêne que vous transportiez quelque chose alors que je n’ai rien, répondit-il chaleureusement.  

 

Kaori paraissait gênée et commença à rougir lorsqu’elle se souvint des sous-vêtements particulièrement sexy qui étaient à l’intérieur des paquets. Elle le remercia tout de même et vient s’asseoir sur un banc devant la magnifique fontaine qui y trônait.  

 

L’ego de Ryô en prit un coup. Il se crispa. Il se leva brusquement lorsqu’il cet homme le paquet de son ange et quand il la vit rougir à ce geste affectueux. Il observait l’homme avec méfiance et voulut le tuer mais s’il faisait une telle chose il perdrait Kaori à tout jamais, il le savait ; c’était une certitude.  

Il regarda Kaori et cet homme un moment, tout le monde aurai pu les prendre pour un couple. Il devait se calmer car il avait cassé sa cannette de Coca-Cola de colère et tout le regardait avec méfiance. Elle rougissait à un autre homme que lui. Impossible, ça ne pouvait être vrai ! Il décida d’aller à l’appartement puis regarder les magazines à son goût pour pouvoir se calmer.  

 

Rendu à l’appartement, Ryô se jeta sur le divan dans le salon. Il se cogna la tête à plusieurs reprises contre celui-ci. Il prit un magazine et commença à le lire. Rien à faire ! Kaori avec cet homme revenaient à chaque fois, il se faisait même des films ente lui et elle ; ce qui le dégoûta. Vu que les magazines ne marchaient pas à lui faire oublier ces images, il alla tirer avec son fameux Colt Python 357 Magnum. Il était tellement bouleversé qu’il raté chacune de ses balles. La cible n’avait été touchée que deux fois malgré les maintes fois qu’il avait tiré. Il n’avait jamais raté sa cible, pas une seule fois et il a fallu cela pour que ça arrive. Non, il ne devait pas se décourager. Il allait y arriver. Il n’en voulait pas particulièrement à l’homme que fréquentait Kaori mais il en voulait à elle. C’en était de trop !  

 

Kaori, après avoir passé une journée avec un homme fascinant, commença à avoir mal aux pieds à force de marché à travers le par cet la ville. Il se faisait tard et elle devait préparer le repas de Ryô. Elle s’excusa auprès de Kazuyuki et lui dit au revoir. Il lui donna une carte, Kaori le remercia pour la merveilleuse journée et partit dans sa Fiat Panda pour aller dans son appartement. Elle savait pertinemment que Ryô lui redemanderai des explications de sa conduite et que cela mènera à une dispute certaine mais tant pis, elle voulait rentrée car elle était fatiguée.  

Arrivée à l’appartement, elle regarda la carte que lui avait donné Kazuyuki. Elle découvrit son adresse et son numéro de téléphone. Elle la posa sur la petite commode où se trouvait le téléphone. Elle commença à faire cuire le riz et les tranches de poulet, elle avait bien entendu Ryô tirer en bas mais quelque chose l’intriguait : elle entendit à plusieurs reprises Ryô crier « Merde » et ce n’était pas son habitude d’hurler ce mot et encore moins dans la salle de tire. Kaori expira bruyamment avant de crier assez fort « A table !» pour que le nettoyeur l’entende.  

 

Ryô savait que Kaori était rentrée mais il ne stoppa pas son activité car l’entendre ouvrir la porte le mit encore plus en colère. Il comprit que Kaori l’avait appelé pour manger mais il ne s’arrêta pas même une seconde de tirer.  

 

- Ryô à table ! cria de tout poumons Kaori.  

 

Elle vis que Ryô ne répondait pas à son appel alors elle prit son courage à deux mains et partit vers la salle de tire. Elle ouvra la porte.  

 

- Ryô ça fait plusieurs fois que je t’appelle à table, dit-elle le plus gentiment possible.  

 

Quand à Ryô, il soupira bruyamment ce qui n’échappa pas aux oreilles de Kaori, mais celle-ci ne dit rien car elle ne comprenait plus : Ryô avait manqué pratiquement toutes ces balles. Elle était consternée ! Elle n’avait jamais vu son partenaire manquer une balle.  

Ryô s’aperçut bien vite qu’elle avait vu qu’il avait manqué ses tirs alors il préféra répliquer :  

 

- Je n’aime pas qu’on me dérange lorsque je tire ! lança-t-il sèchement.  

 

- Très bien… euh… le repas est prêt si jamais tu veux venir manger, se vexa Kaori.  

 

Elle retourna dans la cuisine pour manger, elle ne comprit pas la réaction de Ryô, ça devrai être elle qui devait s’énervée pas lui. Peut-être avait-elle été trop dure avec lui ce matin ? Non, Ryô ne se serait jamais vexé pour si peu. Elle commença à s’installée sur sa chaise et mangea.  

Ryô monta en essayant d’évacuer sa haine. C’était dur mais il le fallait. Ryô prit place dans un des siège sans prêter attention à Kaori pourtant il était tellement enrageait qu’il en tremblait. Le repas se passa en silence jusqu’à ce que Kaori brise ce calme :  

 

- Je… je suis désolée pour toute….  

- Ce n’est rien, trancha-t-il froidement.  

 

Kaori le regarda stupéfaite.  

 

- Ryô, ça va ? osa-t-elle.  

 

Ryô cassa le verre, qu’il tenait dans sa main, en morceau avec la force de sa haine. Les bouts de verre rentra dans sa peau et le fit saigner mais il ne ressentait rien aveuglé par la colère. Kaori se précipita vers lui en prenant sa serviette et commença à toucher sa main ensanglantée mais Ryô esquiva sa main. Kaori ne comprit vraiment plus rien.  

 

- Ryô attends je vais te désinfecter ça ! angoissa Kaori.  

 

- Ce n’est pas la peine je vais le faire moi-même, je n’ai pas besoin de toi, ce n’est que toi, répéta-il méchamment.  

 

Kaori se souvint soudainement que c’est ce qu’elle lui avait dit pour qu’il la laisse enfin tranquille mais ne elle ne pensait pas un seul mot.  

 

- Je t’ai dit que j’étais désolée, je ne le pensais pas du tout je te le jure, supplia-t-elle les larmes aux yeux.  

 

- Je te pardonne ça te vas comme réponse, cria-t-il énervé.  

 

- Mais enfin calme-toi ! répliqua Kaori en haussant la voix.  

 

- Que je me calme ?! Tu veux vraiment que je me calme !  

 

Kaori était terrifiée, elle ne savait plus comment faire ni comment réagir. Tandis que Ryô ne pouvait plus contenir sa haine, c’était ce haussement de voix qu’il avait fait craquer.  

 

- Ryô… commença Kaori en s’empêchant de pleurer.  

 

- Y’a pas de Ryô ! Arrêtes de faire comme-ci c’était toi qui est malheureuse ! J’en ai plus qu’assez !  

 

- Mais de quoi tu parles, demanda-t-elle la voix tremblante.  

 

- De quoi je parle ? Tu me rabats tout le temps que c’est moi qui gaspille de l’argent alors que toi tu t’achètes des vêtements plus que coûteux ! C’est moi qui vois des femmes toute la journée mais tu en fais autant avec les hommes à ce que j’ai pu voir ! C’est toujours moi qui me fais accuser par mes amis à cause de toi ! Il me semble que c’est pas toi qui risque ta vie lorsqu’on a une mission, c’est pas toi qui reçoit des coups de massues à tord et à travers, je me trompe ?!  

 

- Je… non, répondit Kaori en commençant à pleurer.  

 

- Et cesse de pleurer nom d’un chien ! J’en ai marre ! Je craque Kaori !  

 

Kaori commença à paniquer, elle le baffa de toute ses forces pour qu’il arrête de dire ces propos et partit dans la salle de bain en courrant. Elle referma la porte et s’y adossa en tombant à terre en sanglotant à chaudes larmes. Elle avait peur qu’il le quitte. Elle se releva non sans continuer à pleurer et se passa un gant de toilette mouillé sur le visage pour l’apaiser mais ça ne marchait pas. Ryô ne l’avait jamais irritée autant ; elle était désespérée et désorientée. Elle ne savait plus vraiment où elle se trouvait et elle s’en fichait. Elle avait un mal de tête terrible. Elle ferma la porte à clé et se déshabilla puis ouvrit le robinet du bain et rentra à l’intérieur.  

 

 


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