Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Kaoridu86

Beta-reader(s): Bindy5

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 24-12-08

Ultimo aggiornamento: 22-02-09

 

Commenti: 32 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Kaori va rencontrer un homme d'exeption. Ryô, lui, reste méfiant de l'homme que fréquente sa partenaire...

 

Disclaimer: Les personnages de "Vie quotidienne" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Vie quotidienne

 

Capitolo 4 :: Rencontre et confessions

Pubblicato: 28-12-08 - Ultimo aggiornamento: 28-12-08

Commenti: Merci à Paty de m'avoir conseillé de prendre un béta-reader ! Et merci à tout le monde pour vos commentaires. J'espère que ce nouveau chapitre vous plaira autant que les autres.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

Kaori sortit, elle rentra dans sa Fiat Panda puis conduit jusqu’à la gare. Elle observa attentivement la panneau. Aucun « XYZ ». « Pour changer », soupira désespérément Kaori.  

Arrivée au Cat’s Eye, elle ouvrit la porte.  

 

- Bonjour Kaori, ça va ? demanda Miki.  

 

- Bonjour Miki, bonjour Falcon. Oui ça va sauf qu’encore un fois, il n’y a pas de clients.  

 

- C’est pareil pour nous, nos seuls clients sont toi, Ryô et les autres. Je ne sais pas pourquoi, soupira-t-elle désespérément.  

 

Umibôzu rougit de honte, il savait pertinemment que c’était de sa faute. Kaori n’osait pas le dire, Falcon était si imposant qu’aucun client ne risquait de rentrer dans le bar de peur de se manger une claque par le barmaid.  

 

- Un café s’il te plaît Falcon, commanda la jeune femme.  

 

Umibôzu hocha la tête et lui donna un café chaud. Ils restèrent silencieux jusqu’à ce que Mick arrive.  

 

- Miki, mon amour, Kaori ma douce ! s’écria-t-il.  

 

Il se jeta encore une fois sur Kaori et non sur Miki mais fut stoppé par la massue de dix mille tonnes.  

 

- Oh non ! Tu ne vas pas recommencer ! Je te préviens ; tu fais une seule approche et je te tue. Tu en as assez fait ce matin il me semble, avertit Kaori.  

 

La barmaid les regarda stupéfaite. « Mais qu’est-ce qui a bien pu se passer ce matin pour la mettre dans un tel état contre lui ? » pensa-t-elle. Mick pleurait et implorait Kaori.  

 

- Mais ma douce, tu as dit que tu me préférais à lui, toi même. Je n’ai fait qu’accomplir tes désirs.  

 

- Je ne l’ai jamais pensé dans ce sens.  

 

- Mais pourtant tu as dit que tu préférais coucher avec moi plutôt qu’avec ce dragueur de pacotille.  

 

Les joues de la nettoyeuse se teintèrent de gêne devant Miki et Falcon. Elle se frappa la tête de sa main en se demandant où elle avait pu aller chercher ça. L’ex-mercenaire avait des yeux plus ronds qu’une pièce de monnaie, elle était ébahie de cette situation dans laquelle s’était mise sa meilleure amie.  

 

- J’étais simplement en colère contre Ryô. Alors arrête de.….  

 

Elle ne put finir sa phrase car ce dernier venait d’entrer.  

 

- On parle de moi ? s’écria-t-il joyeusement en bombant fièrement son torse. Miki mon amour !  

 

Il se jeta sur elle mais comme elle en avait l’habitude, la barmaid projeta un plateau qui lui atterrit en pleine face.  

 

- Alors ça veut dire que tu le préfères à moi ?  

 

Mick pleurait toute les larmes de son corps en échappant des « Pourquoi … pourquoi lui ?! » Kaori était encore plus gênée que Ryô soit là pour pouvoir affirmer. Ryô pleurnichait et marmonnait des paroles incompréhensibles ; il ne comprenait pas qu’un canon comme Miki a pu choisir une tête de poulpe comme mari ! Puis il arrêta ses pitreries pour s’intéresser à la réponse de sa moitié.  

 

- De qui parle l’amerloque, Kaori chérie ? insista-il.  

 

- Euh… Kazuyuki !  

 

Kaori se précipita vers la sortie du bar pour rejoindre l’homme brun qu’elle avait rencontré la veille.  

 

- Kazuyuki ?! s’écrièrent Ryô, Mick et Miki.  

 

Les yeux du nettoyeur s’assombrirent. Pourquoi cet homme ? Elle le connaissait à peine alors que lui, Ryô, elle vivait avec lui depuis plus de sept ans ! Il suivit Kaori du regard.  

 

- Kazuyuki ! appela-t-elle.  

 

Un homme se retourna et lui fit la bise. Miki ne comprenait plus rien ; elle était assez vexée que sa meilleure amie ne lui en ait pas parlé. Elle se retourna donc vers le nettoyeur qui paraissait plus que jaloux.  

 

- C’est qui ? demanda-t-elle en s’adressant à son partenaire.  

 

- Un homme qu’elle a rencontré hier. Il peut pas la lâcher deux secondes ou quoi !  

 

- Elle a l’air de l’apprécier, dit Mick en la regardant rire.  

 

- Laissez-la, je ne vois pas ce que ça peut te faire Ryô, intervint Falcon.  

 

- Mais ça ne me fait rien, tête de poulpe, car j’ai déjà le plaisir de connaître ma Miki d’amour !  

 

Le visage du nettoyeur se transforma en celui du pervers n°1. Il se jeta à nouveau sur la pauvre barmaid. Ce fut au tour de Falcon d'intercéder.  

 

- Fais gaffe l’étalon ! Si tu veux encore posséder un visage doux et frais, je te conseille de bien te tenir ou je te fais bouffer mon bazooka !  

 

- T’es méchant, Umi ! Eh l’amerloque, tu veux qu’on aille voir le cabaret ? proposa Ryô en essayant d’oublier Kaori.  

 

- Hum, répondit celui-ci qui regardait Kazuyuki faire rougir sa douce. Mais qu’est-ce qu’il a celui-là ? Il la connaît à peine et voilà qu’il en profite pour flirter avec ! Dragueur des plages ! Il n'a rien pour lui ; nous, on est bien mieux !  

 

Ryô soupira et prit par le bras son ami pour l’emmener dans un lieu qui lui ferait oublier cet homme. Lui même, se sentirait mieux s’il n’avait pas cet avorton devant les yeux. Ils dirent au revoir à Miki et à Umi puis partirent du Cat’s. Ils marchèrent tous deux en regardant leurs pieds. Puis Mick fut plus rapide que Ryô et partit à la rencontre de ce dénommé Kazuyuki. Ryô dût courir après pour le rattraper mais c’était trop tard : Mick sautait déjà au cou de Kaori.  

 

- Salut ma douce ! Salut, dit-il en serrant la main de Kazuyuki le plus fort possible.  

 

Ce dernier serra aussi fort que lui tout en le regardant droit dans les yeux. La pauvre Kaori les observait se foudroyer sur place. Elle s’attendait à ce que Ryô lui serre la main à son tour mais il ne fit rien, pas même un geste.  

 

- Kazuyuki et vous ?  

 

- Ryô et Mick, répondit simplement Ryô qui bouillonnait intérieurement.  

 

- Qu’est-ce que vous attendez ? demanda Kaori  

 

Elle n’osait pas regarder son partenaire qui la fusillait du regard.  

 

- Rien, on allait vers le nouveau cabaret puis au love hôtel. D’ailleurs je rentrerai sûrement tard ce soir, lança sèchement Ryô.  

 

- Ryô ! s’écria Kaori outrée par son comportement.  

 

- Ah ! Vous… vous vivez… ensemble ? demanda Kazuyuki, interloqué.  

 

- Euh… c’est-à-dire qu’on est juste…  

 

- …ils vivent ensemble… assura Mick.  

 

- …mais rien de sérieux entre nous, compléta-t-elle précipitamment.  

 

La jeune femme était rouge pivoine et gesticulait ses mains dans tous les sens en hochant négativement la tête pour confirmer qu’ils n’étaient pas ensemble (même si elle n’attendait que ça depuis plus de sept ans). Mick observa Ryô et sourit. Il était heureux de la jalousie qu’éprouvait son ami même si ce dernier ne voulait pas l’admettre. Tout le monde savait qu’il aimait Kaori en secret. Kazuyuki dévisagea Ryô et celui-ci soutint son regard. Quelque chose n’allait pas : le Japonais ressentait de la méfiance envers Kazuyuki. Il cachait quelque chose. Non ! Il ne devait pas confondre sa vie professionnelle avec sa vie personnelle.  

 

- Ah ok. Kaori ça vous direz une petite soirée, ce soir, dans un restaurant. Oh ! Bien entendu, vous êtes tous invités.  

 

- Avec plaisir ! accepta Mick.  

 

Ryô le regarda méchamment, il n’avait pas vraiment envie de subir toute une soirée cet homme. Alors il se hâta à ajouter :  

 

- Bon salut, nous on va voir s’il y a des miss mokkori.  

 

Kazuyuki les observa partir. Il avait bien compris que les deux hommes étaient attachés à la jeune femme. Il proposa son bras à Kaori qu’elle accepta tout en rougissant. Elle aurait tant voulu que Ryô soit à la place de cet homme, mais il ne fallait pas rêver ! Être aussi attentionné ne faisait pas partie des habitudes de son partenaire ; tout du moins, pas avec elle.  

 

Ryô et Mick partirent en direction du nouveau cabaret mais le beau brun n’en avait pas trop envie : il pensait trop à Kaori qui fréquentait cet homme assez séduisant, il devait le reconnaître. En plus, il ne savait pas comment il allait faire pour ce soir au restaurant. Il hésita puis demanda craintivement à Mick :  

 

- Tu crois que Kaori aime ce Kazuyuki ?  

 

- Non, je ne pense pas. Ce n’est qu’une passade, t’inquiète pas vieux, sourit le blondinet.  

 

- Ce n’est pas pour moi que je m’inquiète mais pour elle, je ne veux pas qu’elle tombe sur un mec qui n’a qu’une chose en tête pour la mettre dans son lit.  

 

- Tu verras bien ce soir si c’est ce genre de gars. Si c’est le cas, tu lui casseras la gueule et puis tu ne le verras plus jamais s’approcher de Kao. Tu en profiteras pour lui avouer tes sentiments, dit plus sérieusement Mick.  

 

- Je ne peux pas lui dire ce que je ressens…je ne m’en sens incapable. Je ne veux pas qu’elle se fasse attaquer par des yakusas à chaque coin de rue.  

 

- Elle est déjà en danger en restant avec toi donc, ça ne changera pas grand chose à sa vie. Tout ce qu’elle attend, c’est un peu d’attention de ta part.  

 

- C’est pour ça qu’il ne faut pas qu’elle reste près de moi. Je ne veux pas qu’elle se fasse de faux espoirs, je ne désire pas qu’elle gâche sa vie rien que pour moi. Je ne suis rien, je n’ai pas de nationalité, je ne sais même pas mon âge ni même ma date de naissance. Elle n’a rien à faire avec un homme tel que moi, avoua-t-il en s’asseyant sur un banc, dans le parc.  

 

- Le problème c’est qu’elle ne veut pas te laisser partir, tu es toute sa vie, sa seule famille. Tu te contredis lorsque tu dis que tu ne l’aimes pas. Si je n’avais pas su que tu l’aimais je l’aurais abordé depuis longtemps, Ryô. Si quelqu’un comme Kazuyuki se rapproche trop de Kaori, il n’hésitera pas une seule seconde à la garder, peut-être même comme sa femme. Ne tarde pas trop ou elle risque de te filer entre les doigts, conseilla Mick.  

 

- Je sais. Mais ce sera peut être mieux comme ça, elle sera heureuse et c’est tout ce qui importe.  

 

- Elle ne le sera peut-être pas complètement. Elle t’aime trop pour t’oublier totalement et je pense que tu aurais du mal à l’oublier.  

 

Ryô soupira, il y avait déjà pensé mais jamais avec son meilleur ami. Il mit sa tête entre ses mains pour y réfléchir.  

 

- Elle me manquera, certes, mais j’ai fais la promesse à Hide que je la protègerais. Et le seul moyen de respecter ma parole est de la quitter. Je ne vois, malheureusement, pas d’autres solutions.  

 

- Elle sera réellement heureuse le jour où tu lui diras tout. Je suis certain que c’est ce que voulait Hideyuki.  

 

- Tu sais autant que moi que je ne peux être l’homme d’une seule femme.  

 

Il voulut finir cette conversation quelque peu embarrassante mais Mick ne semblait pas de cet avis et ajouta :  

 

- C’est ce que je disais pour Kazue. Cependant, en vérité j’ai envie d’en faire ma femme et j’aurai fais la même chose avec Kaori si j’en avais eu la possibilité. Ne l’abandonne pas Ryô.  

 

- Plus je vis avec elle, plus, j’ai du mal à la laisser partir. Lorsqu’elle n’est pas là je m’entraîne au tir pour l’oublier. Hier, on s’est disputés ; j’ai essayé de tirer mais pratiquement aucune balle n’a touché la cible. Ça ne m’était jamais arrivé avant. Qu’est-ce que ça serait si elle sortait définitivement de ma vie ?  

 

- Elle te perturbe tant que ça, rit Mick qui n’avait jamais vu son frère dans un tel état. C’est une femme extraordinaire. Une fois qu’on la connaît, impossible de s’en séparer, n’est-ce pas ?  

 

- Tout comme Hide, ria Ryô. Elle a son caractère : toujours timide, courageuse et butée. Sauf qu’elle est plus que brutale ! Elle ne s’en rend même pas compte et j’en subis les conséquences !  

 

- Eh ! moi aussi je te signale !  

 

Mick et Ryô parlèrent jusqu’à ce qu’il se fasse tard. Il quittèrent le banc pour rentrer chez eux. Kaori en fit de même avec Kazuyuki. Il lui avait dit qu’il la rappellerait pour lui dire où il avait réservé. Kaori se hâta de prendre sa Fiat Panda pour rentrer chez eux.  

 

Une fois arrivée, elle entra dans l’appartement et vit que Ryô était affalé sur le canapé du salon en train de lire ses habituels magazines. Elle posa ses clefs sur la petite commode, à côté du téléphone.  

 

- Salut ! Tu veux toujours venir avec Mick pour ce soir ? Sinon ce n’est pas grave, tu peux rester…  

 

Ryô releva la tête de ses magazines pour la regarder. « Ça c’est sûr, il ne m’en voudra pas» songea Ryô ironiquement.  

 

- Non c’est bon, je peux venir et Mick…  

 

Il fut couper par le téléphone qui venait de sonner. Kaori décrocha :  

 

- Allô ?  

 

- Salut ma douce, c’est Mick. Tu peux me passer Ryô-chou, s’il te plaît ?  

 

- Oui bien sûr, je te le passe.  

 

Kaori donna l’appareil à Ryô et monta les escaliers pour aller dans la salle de bain et prendre une douche.  

 

- Oui ? répondit Ryô en regardant attentivement ses revues.  

 

- Je ne vais pas pouvoir venir, vieux frère. Kazue m’a fait un caca nerveux en apprenant que j’allais la laisser seule ce soir, désolé.  

 

- Quoi !? Mais tu ne peux pas me faire ça ! Je risque d’éclater la face de l’autre zigoto si tu ne viens pas m’arrêter, s’écria-t-il en tentent de baisser la voix pour ne pas que Kaori l’entende.  

 

- Essaye de te retenir ou alors fais-le comme ça il ne t’embêtera pas davantage. Tu me raconteras !  

 

Mick raccrocha précipitamment. Ryô soupira bruyamment. Comment allait-il se retenir si il n’y avait pas Mick pour le tenir tranquille ? Peut-être qu’en sa présence, Kazuyuki évitera d’approcher Kaori durant la soirée. En tout cas, Ryô appréhendait les évènements à venir. Il ne voulait pas décevoir son ange qui avait une confiance aveugle envers lui.  

Il monta puis frappa à la porte de la salle de bain :  

 

- Kaori ? Mick ne pourra pas venir, Kazue lui a interdit de sortir ce soir.  

 

- Ok. Tu es sûr que tu veux toujours y aller ? Ça ne me dérange pas du tout si tu ne veux pas.  

 

- C’est bon je t’ai dit ! Et pourquoi tu me le répètes sans cesse ? Dis-le si tu ne veux pas que je vienne, se vexa-t-il.  

 

- Non, ce n’est pas du tout ça ! Au contraire, ça me fait plaisir que tu viennes, je te jure. Entre, j’en ai assez de parler à cette porte.  

 

- Euh… tu… tu es habillée au moins ?  

 

Kaori rougit, elle ne pensait vraiment pas à ce qu’il lui pose cette question stupide. Est-ce qu’elle lui aurait demandé de rentrer si elle ne l’était pas ? Une libellule s’écrasa sur sa tête.  

 

- Bien sûr que oui sinon je ne te l’aurais jamais demandé !  

 

Ryô ouvrit timidement la porte. Il releva la tête vers elle ; elle portait la robe en satin rouge. Elle était tout simplement à couper le souffle, elle avait mis du maquillage discret qui faisait ressortir ses yeux noisette. Ryô se surprit à la dévisager plusieurs fois puis arrêta bien vite lorsqu’il la vit sourire ouvertement puis rougir. Pourquoi s’habillait-elle dans cette tenue si sexy pour cet homme ? Voulait-elle le rendre jaloux ou voulait-elle attirer Kazuyuki ? En réalité, elle jubilait à l’idée qu’il soit jaloux et elle en avait la confirmation quand il l’avait déshabillée du regard. Ça allait marcher ! Ses joues étaient tout de même teintées. Comment allait-elle réussir à porter cette robe si dévergondée ?!  

 

- Comment tu me trouves ? osa demander Kaori en tournant sur elle-même.  

 

- Pas mal, répondit Ryô innocemment.  

 

- Je vais t’avouer que je suis assez fière de moi, avoua-t-elle en se regardant dans la glace.  

 

- Prétentieuse ! plaisanta-t-il.  

 

Elle sourit puis ajouta sur un air de reproche :  

 

- Tu ne vas tout de même pas y aller comme ça !  

 

Ryô se regarda et haussa les épaules. Il portait son habituelle veste bleue et son tee-shirt rouge.  

 

- Bah quoi ? Je suis bien comme ça, non ?  

 

- Non ! Kazuyuki nous emmène sûrement dans un restaurant chic alors tu vas t’habiller mieux que ça !  

 

Ryô fit une mine boudeuse ; il était à l’aise, lui, vêtu de cette façon ! Kaori insistait toujours sur sa façon de s’habiller mais elle n’était pas mieux lorsqu’elle portait ses jeans et ses pulls plus masculins que féminins. Ryô avoua que ses jeans moulants révélaient ses jambes fuselées. En revanche, il maudissait amèrement ses pulls trop larges. Elle devrait plutôt porter des tee-shirts moulants. Non, tout compte fait, il ne fallait pas ! Sinon il aurait craqué plus tôt. Il partit en soupirant devant la sévérité de Kaori. On aurait dit une mère disputant son fils.  

Il alla se changer.  

 

 


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