Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur: lady Gaby

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 10 chapitres

Publiée: 22-09-04

Mise à jour: 06-09-09

 

Commentaires: 66 reviews

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DrameRomance

 

Résumé: Depuis le mariage de Miki, alors que tout laissait supposer que la relation de Ryô et Kaori allait évoluer, Kaori et Ryô s'insupportent. Par ailleurs, le premier amour de Kaori resurgit. la jeune femme, déjà bien vulnérable face à un Ryô blessant et indifférent, est en proie à ses tourments suite à ces retrouvailles.

 

Disclaimer: Les personnages de "L'Amour, désirs corps et âme" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Amour, désirs corps et âme

 

Chapitre 5 :: la réaction de Ryô

Publiée: 19-03-08 - Mise à jour: 20-03-08

Commentaires: Merci pour vos commentaires! je délaisse Kaori dans ce chapitre, pour m'interesser à Ryô... Bisous

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9


 

 

 

- Non, mais qu’est-ce qu’elle croit ???  

 

Ryô entra dans le café, visiblement remonté. La porte d’entrée claqua à en faire les « rares » clients qui s’y trouvaient. Il s’assit au comptoir tout en continuant son monologue :  

 

- Et en plus de ça, elle revient à la charge, l’idiote ! « Ryô, je t’aime, je suis amoureuse de toi » Imita-t-il méchamment (NDA : oh toi, tu vas pas l’emporter au paradis, foi de l’auteur)  

 

Miki fut surprise de la voir ainsi, tandis qu’Umi s’arrêta brusquement d’essuyer son assiette le regardant à son tour, du moins en écoutant le son de sa voix.  

 

- Qu’est-ce que tu as l’étalon ? Je croyais que tu appréciais qu’une femme te dit qu’elle est folle de toi ? Demanda Umi en plaisantant.  

- Toutes sauf une…  

 

Il avait le regard perdu, de là où il se trouvait, il observait les passants aller et venir à travers la vitre. Sa mâchoire refusa de se desserrer et il perçut un tremblement en détaillant l’une de ses mains. Il soupira, avant de faire face à Miki.  

 

- On peut savoir c’est qui ? Demanda curieuse Miki, tout en lui servant son café.  

- Mon idiote d’associée ! Siffla-t-il entre ses dents, après avoir bu, d’une traite, le liquide brûlant.  

 

Miki n’en crut pas ses oreilles, non pas que Kaori se soit déclarée, cela serait arrivé un jour ou l’autre, mais ce qui surprit la mercenaire fut la réaction du nettoyeur.  

 

- Ryô c’est de Kaori que tu parles ! Fit Miki choquée par la froideur de Ryô.  

 

Sa partenaire… Il baissa les yeux :  

 

«Tu sais très que notre relation est celle de deux partenaires de travail, rien d’autre ! »  

 

Le regard de la jeune femme lui revint en mémoire. Ce qu’elle pouvait l’énerver à être aussi touchée par de simples paroles. Non, il n’avait aucun remord, il avait remis les choses à leur place. Et quelle prestation digne de ce nom :  

 

« Je ne suis pas ton centre du monde, alors arrête de faire de moi ton obsession, je ne suis pas à ta possession !!! »  

 

Il se souvint avoir vu la jeune femme se figer, baisser la tête. Ses mots avaient eu leur impact sur elle. Tant mieux, elle se tiendrait à distance cette fois et agirait comme il se devait, c'est-à-dire en simple partenaire voire simple connaissance rien de plus. Ainsi, elle se conformerait à ce qu’il voulait d’elle.  

 

- Et après ? Lui demanda-t-il peu affecté.  

- Dites-moi je rêve !  

 

La mercenaire jeta violemment son torchon et fit le tour du comptoir et se plaça devant le nettoyeur et s’apprêta à le gifler pour son insolence, mais Ryô para le coup, il lui sourit d’un air moqueur avant de dire d’une voix douce :  

 

- Miki, tu es gentille, mais tu vas te faire mal ce serait dommage ! (d’une voix dure, il claqua) Si ma partenaire vient pleurer dans tes jupes, envoie la promener !  

 

Miki eut du mal à reconnaître le nettoyeur. Bien sur, il avait toujours été dur à propos de Kaori, mais pas à ce point-là. Umi, de son côté, fut lui aussi frappé par la froideur de son ami envers sa partenaire, aussi le géant se risqua-t-il à demandé :  

 

- Ryô, enfin, qu’est-ce qui te prend ?  

 

Ryô se leva d’un bond, saisit Umi par le col, celui-ci se laissant faire, trop surpris par l’attitude excessive de son ami.  

 

- Tu veux savoir ce que j’ai, tête de poulpe ? (il eut un rire ironique) Il y a que ma partenaire quitte la maison sans rien dire et que quand je la retrouve je m’en prends plein la tronche !  

 

Il relâcha sa proie et continua à parler, plutôt à crier, tout en arpentant le sol. Les clients le regardant bizarrement, prirent peur devant le regard meurtrier de Ryô :  

 

- Le pire c’est qu’elle me dit qu’elle m’aime alors qu’elle sait que ça n’ira pas plus loin entre nous!!! Comment ose-t-elle me dire ça ? Elle n’a donc aucun respect pour moi ??? C’est un préjudice moral !  

 

Il s’assit à une table à côté d’un client en face duquel se trouvait une jeune femme. Il passa son bras autour de l’épaule du client et demanda en pointant un doigt accusateur sur la jeune femme :  

 

- C’est ta copine ?  

- Non…, Monsieur, c’est une amie…  

- Très bien ! Comment tu réagirais si elle te disait qu’elle t’aime ?  

 

La jeune femme gênée baissa les yeux visiblement. Le jeune homme, mal à l’aise bredouilla, un peu confus :  

 

- Ben, je serai flatté !  

- Tu n’as pas compris, mon vieux ! Je t’ai demandé comment tu réagirais si elle te disait qu’elle t’aime, qu’elle est amoureuse de toi !  

- Oui, je serai flatté !  

 

Ryô regarda ce type sans comprendre, comme si sa réponse était scandaleuse. Ce dernier prit le nettoyeur pour un fou, d’ailleurs son impression se confirma. Ryô se mit à hurler en se levant, fusillant le couple du regard :  

 

- Ce n’est pas flatteur, ce genre de déclaration surtout quand on aime que les choses restent à leur place !!! C’est un manque respect, un préjudice moral, une atteinte à l’intégrité de MA personne !  

 

Miki le regarda comme si il avait été frappé par la foudre. Elle ressentit le besoin de s’asseoir et demanda incrédule :  

 

- Pardon ? Aucun respect pour toi ? Préjudice moral ?  

- En me disant qu’elle m’aime ! Elle ne me l’a jamais dit en 5 ans, alors pourquoi maintenant ?  

- Attends, Ryô ! Kaori te manque de respect parce qu’elle te dit « Je t’aime », c’est ça ? (il acquiesça) Tu es grave, toi ! Il faut te faire soigner !  

- Voyez-vous ça encore une fois, c’est de ma faute, hein, Miki ? Bien sur, je fais pleurer la pauvre Kaori, c’est de ma faute !!! Mon dieu, arrêtez-moi !  

 

Il joignit ses poignets comme si on allait lui mettre des menottes. Miki serra les dents, elle avait envie de lui faire avaler sa méchanceté.  

 

Sentant que la situation allait dégénérer, Umi jugea bon de demander à Miki de quitter la pièce.  

 

- Miki, laisse nous !  

 

Miki regarda son mari, puis Ryô. Elle soupira et les laissa seuls.  

 

- Maintenant explique-toi, Ryô !  

- Que veux-tu que je te répondre ?  

- Tu adores cette femme, Ryô ! Elle a toujours été là pour toi, avec toi ! Vous avez partagé joies et peines. Tu l’as vu rire, pleurer pendant toutes ces années ! Elle s’est mise en danger à plusieurs reprises et tu l’as toujours sauvée ! Tu as toujours su qu’elle t’aimait, ça ne t’a jamais empêché de vivre à ce que je sache ! Et aujourd’hui tu parles d’elle comme si elle n’était rien à tes yeux !  

 

Le nettoyeur se leva, déposa un billet et se dirigea vers la sortie :  

 

- Garde la monnaie !  

- Tu vas la perdre, Ryô !  

 

Ryô se figea un instant, la main sur la poignet, puis il quitta la pièce en saluant son ami de la main, sans même se retourner.  

 

Il fit quelques pas, les mains dans les poches, souriant aux femmes qu’il croisait de temps à autre. Il n’était pas d’humeur à les harceler.  

 

Comment en étaient-ils arrivés là ? Pourquoi ne pouvait-elle pas comprendre qu’il ne lui donnerait rien de plus que des illusions, comme elle le disait si bien? Ils n’avaient rien à faire ensemble, ni maintenant, ni jamais. Il soupira.  

 

- Kaori…  

 

La scène de la matinée lui revint en mémoire.  

 

Arrivé au parc, il marcha jusqu’à trouver un banc en retrait, sous l’ombre d’un arbre. Il observa les enfants jouer. Il faisait beau et il fut attiré par le gazouillement des moineaux qui picoraient ce qu’ils trouvaient à quelques pas de lui. Il sourit tendrement, ce tableau respirait l’innocence, la pureté et l’insouciance. Tout comme l’était un ange… Le sourire de nettoyeur s’effaça aussitôt, pour laisser place à un air coupable.  

 

Le nettoyeur avait mis un point d’honneur à ce que leur relation reste et demeure telle qu’elle. Elle et lui, ensemble ? Il y en avait qui croyait au père Noël, ma foi !  

 

« Bon sang Ryô, je t’aime, je suis amoureuse de toi, alors qu’attends-tu de moi à la fin ? Hein, dis-moi ? »  

 

Rien. Il n’attendait rien d’elle. Enfin, sauf… Il serra les poings, baissant la tête, il murmura :  

 

- Garde tes je t’aime pour un autre !  

 

Il demeura là, pendant un long moment à écouter les moineaux gazouiller et regarder les enfants jouer.  

 

Lorsqu’il rentra chez lui, fin de journée, il retrouva l’appartement toujours aussi vide. Son regard voyagea dans chaque recoin, s’attardant de temps à autre sur des détailles. Il monta à l’étage et s’arrêta devant la chambre de Kaori où il entrouvrit la porte. La pièce était plongée dans l’obscurité.  

 

Quand il était rentré de sa sortie avec les sœurs Nogami, une semaine auparavant, il était rentré dans cette même pièce pour y trouver un lit vide où seul un mot l’attendait.  

 

« Je prends mes distances, je suis chez Eriko, si besoin… Kaori »  

 

Il n’avait pas compris son départ soudain, pas plus que cette scène qu’elle lui avait faite ce matin. Il secoua la tête, signe d’incompréhension totale.  

 

Pour lui, il était clair que Kaori se permettait trop de choses vis-à-vis de lui. Et cela, le nettoyeur n’appréciait pas. Bon sang, ils n’étaient pas ensemble ! Il ne lui avait rien demandé et n’avait rien fait pour que la jeune femme s’emporte ainsi !  

 

Il referma la porte en silence. Il se dirigea vers la salle de bain et referma derrière lui. Il sortit son arme de son holster, ainsi que ce dernier. Une fois cela fait, il enleva son T-shirt rouge, il desserra sa ceinture, ouvrit son pantalon, le retira et fit de même avec son caleçon. Il croisa son reflet dans le miroir, sans raison apparente, il frissonna. Il eut une sensation de froid. Il rentra dans la cabine de douche et actionna l’eau à température chaude.  

 

Il n’arrivait pas à se détendre, tous ces muscles étaient contractés. Il fit tomber sa tête en avant et amplifia la température, il soupira d’aise. Il resta ainsi, sous l’eau, quelques minutes, avant de se savonner le corps, se rincer et de ressortir de la douche.  

 

Il enroula une serviette autour de sa taille. Il s’arrêta devant le lavabo, mit du dentifrice sur sa brosse à dent et commença son brossage, il s’arrêta en croisant la montre que lui avait offerte Kaori, montre qui s’arrêta brusquement. Le temps s’était figé sur le cadran. Le nettoyeur fronça les sourcils. Il y a une semaine quand la jeune femme lui avait fait une scène parce qu’il sortait avec Saeko, à cet instant précis, le temps s’était figé sur ce même cadran, qu’il portait à son poignet droit. Etait-ce un signe ? Il secoua la tête. Depuis quand était-il superstitieux ?  

 

« Tu vas la perdre, Ryô ! »  

 

Kaori lui avait toujours tout pardonné, pourquoi cela changerait-il ? Non, il ne la perdrait pas, elle était toujours revenue vers lui. Kaori dépendait affectivement de lui, il le savait et elle le savait. Elle était accrochait à lui, donc il n’avait rien à craindre. Il lui suffisait d’attendre, tout simplement… Elle reviendrait !  

 

Il lui en avait fait voir de toutes les couleurs et si elle était encore là c’est que la situation lui convenait, malgré ses dires :  

 

« Je n’ai plus rien à perdre, Ryô ! Tu m’as enlevée ma confiance en moi, tu m’as rabaissée, humiliée pendant tout ce temps ! Tu m’as fait espéré, j’ai versé toute mes larmes de mon corps pour toi, alors crois-moi, plus rien m’atteint venant de toi ! »  

 

Il se figea, mais se reprit. Il continua son brossage comme si de rien était, se rinça la bouche, la brosse à dent et quitta la pièce en éteignant la lumière.  

 

Ryô Seaba était un homme séduisant, il en avait pleinement conscient et il en jouait souvent. Il savait que ses clientes tombées facilement sous son charme, il trouvait cela flatteur. D’un autre côté, il avait besoin de plaire, de séduire pour exister, c’était vital ! Contrairement aux apparences, la solitude lui faisait peur, tout comme la mort qu’il défiait effrontément dés que l’occasion se présentait.  

C’était un homme de l’ombre qui aimait sa vie. Il n’était pas fait pour une vie calme et paisible avec une femme et des enfants. Son truc à lui, c’était l’action, le chant des balles, la danse des coups. Sa spécialité : rendre justice à sa manière.  

 

Les femmes qui défilaient dans sa vie représentaient à ses yeux un ticket pour quelques heures de plénitude, un ticket pour oublier les vies qu’il avait ôtés, un ticket qui montrait qu’il était encore en vie et qu’il était libre. Ainsi, même si elles n’étaient que de passage, il les respectait, il les honorait et parce qu’elles donnaient entièrement à lui et qu’elles faisaient tout pour satisfaire son plaisir, il veillait toujours à satisfaire le leur.  

 

Oh bien sur, il les avait aimé, mais l’amour lui était inaccessible voire inconnu. D’ailleurs, qu’est-ce que l’amour pour un homme comme lui ? Et pourquoi se laisserait-il aller à ce genre de futilité ? L’amour condamnait les êtres les uns aux autres, les aveuglait et les tuer à petits feux. L’amour privait l’homme de sa liberté, de sa raison et de sa force.  

 

L’amour ne pouvait être qu’une faiblesse pour un homme comme Ryô.  

 

Ce soir, Ryô Seaba était un homme libre, libre de toutes envies, libre de toutes faims aussi animales soient-elles. Il n’y aura pas de massues, pas de furie pour l’empêcher de draguer. Il sourit. Que c’était bon d’être un homme libre.  

 

Il s’arrêta dans un cabaret. Il était seul, son compagnon de beuverie était en voyage avec sa belle infirmière. Cela rassura Ryô, car il ne voulait pas avoir à subir un énième discours moralisateur. Il avait eu son compte pour les jours à venir.  

 

Dans ce bar, de superbes créatures, légèrement vêtues, dansaient pour le plaisir de leurs clients. Il regarda la strip-teaseuse dévoiler ses charmes au rythme de la musique de fond. Une serveuse s’arrêta à sa table, lui offrit son plus beau sourire et déposa le verre de whisky sur la table.  

 

- Bonne soirée, monsieur !  

 

Il la détailla du coin de l’œil. Blonde, grande, mince, robe ultra courte en soie, laissant entrevoir un soutif de couleur rose. Elle bascula ses cheveux longs derrière ses oreilles et lui fit un sourire charmeur. Et lui, il eut un sourire séducteur apparut sur ses lèvres :  

 

- Ma soirée ne fait que commencer, ma jolie !  

 

La serveuse se sentit rougir. Cet homme était vraiment charismatique. Il ne portait d’alliance, tant mieux. Elle ne voulait pas briser un ménage.  

 

Oui, la nuit ne faisait que commencer. Et il comptait bien en profiter. Rien ni personne ne l’arrêterait, pas même Kaori.  

 

Plus tard, il rentra chez lui, accompagné par une femme. Entrés dans l’appartement, ils s’embrassèrent, à perdre haleine. L’impatience, la faim et la fièvre grimpèrent. La jeune femme débarrassa le nettoyeur de sa veste qui s’échoua sur le sol, suivi du T-shirt tandis qu’il s’attaquait à son cou.  

 

« Bon sang Ryô, je t’aime…  

 

La fermeture de la robe céda aux doigts du nettoyeur, la robe forma une flaque sur le sol, la jeune était à présent en sous-vêtement devant le regard ardent de Ryô. Une des mains de l’homme fit glisser lentement la bretelle du soutien gorge, tandis que le nettoyeur embrassait cette épaule dénudée. La jeune noua ses bras autour du cou de Ryô et ses jambes autour de sa taille, tout en poussant des gémissements de plaisirs, alors que l’une des mains dégrafa le soutien gorge.  

 

… je suis amoureuse de toi  

 

Après avoir monté les escaliers, il l’allongea sur son lit, elle l’attira à elle en le prenant par la ceinture, qu’elle ouvrit d’ailleurs, avant de faire céder le bouton du pantalon. Elle l’embrassa sur les lèvres, sur le torse, tandis que de ses fines mains, elle caressait le dos musclé du nettoyeur, avant de s’intéresser à son fessier. Les gestes de Ryô se firent plus impatients, tandis qu’il explorait le corps féminin complètement offert et que son aventure d’un gémissait sous ses mains expertes de caresses. Tout en embrassant et faisant danser sa langue sur chaque parcelle de peau, l’une des mains masculine ouvrit le tiroir de la table de chevet pour en sortir une boîte de préservatifs.  

 

… alors qu’attends-tu de moi à la fin ? Hein, dis-moi ? »  

 

Ce soir-là, Ryô Seaba avait été un homme libre, sans attaches et sans remords. Ce soir-là, il coucha avec cette femme, cela faisait longtemps qu’il ne s’était pas senti aussi vivant… Jusqu’au réveil.  

 

 


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