Chapter 6 :: Rencontre sympathique ? 1ère partie

Published: 28-11-05 - Last update: 28-11-05

Comments: Bonjour tout le monde. Petite info pour ma fic. J'ai plus d'inspiration. Donc je crois ..... Que .... Je vais arrêter là. Je suis désolée. C’est mon dernier chapitre. Non je rigole, je vous réserve encore quelques chapitres dont vous me direz des nouvelles. Bon sinon pour ma fic, je peux dire que la 1ère partie « la déclaration de Ryo » est finie. Maintenant place à la suite. Comme vous pouvez le voir le chapitre est en deux partie. Si certains demandent la suite ardemment, j’essaierai de la majjer mercredi. Mais il faut être très persuasif. LOL. Je vous remercie pour vos très nombreuses reviews et merci aussi à Sabi pour sa remarque. Je fais un gros bisou à Moon ma bêta de choc. Merci pour ton aide. Je fais aussi un gros bisou à Lex, merci ma puce. Bon et bien je vous laisse lire et surtout n’hésitez pas à me laisser votre avis. Gros bisou à tous et très bientôt.

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Après avoir refermé la porte de l’appartement, Kaori avait descendu les escaliers 4 à 4. Lorsqu’elle fut arrivée en bas, elle regarda sa montre. Il était 13h45.  

- Ça devrait être bon. Je serais à l’heure, dit-elle en soufflant.  

Après quelques pas fait dehors, elle se retrouva juste devant l’immeuble. Elle eut alors une drôle d’impression. Elle se retourna vers le bâtiment et leva les yeux en direction du 3ème étage. C’est à ce moment qu’elle le vit. Il était là, assis sur le rebord de la fenêtre en train de l’observer.  

- Décidément, il ne changera jamais, pensa t-elle. - C’est pour ça que je l’aime.  

A cette pensée, un magnifique sourire s’était dessiné sur son visage. Elle décida alors de continuer son chemin et disparut du champ de vision de son partenaire. Ryo, à présent seul dans l’appartement, commençait à tourner en rond comme un lion en cage. Il se parlait à lui-même.  

- J’aurais dû aller avec elle.  

- Je n’aurais pas dû la laisser partir toute seule.  

- Mais non mon vieux, c’est un truc entre fille. Elle ne t’aurait pas laissé venir.  

Il continuait à faire les 100 pas dans la pièce, quand tout à coup, il stoppa net.  

- Mais qu’est ce qu’il m’arrive moi !!!!  

- J’n’y comprends rien.  

- C’n’est pourtant pas la première fois que Kaori sort sans moi.  

- Mais alors pourquoi ? Pourquoi je me sens tout bizarre ? (NA : Quelqu’un lui explique ?)  

- Hou lala !!!!  

Après cette longue réflexion, il venait de s’écrouler dans le canapé avec un coussin sur sa tête.  

- Snf !!! Snf !!!, cette odeur… mais… mais oui, je la reconnaîtrais entre mille. C’est son parfum.  

- Oh Kaori. Ça fait même pas 10 minutes que tu es partie et tu me manques déjà.  

- Mais qu’est ce que tu as fait de moi ?  

Il ferma alors doucement les yeux et serra le précieux coussin contre lui. Cependant, il ne parvint pas à s’endormir.  

Pendant ce temps, Kaori marchait d’un pas rapide dans les rues de Shinjuku. Elle détestait être en retard. Elle qui se vantait d’être toujours ponctuelle. Plongée dans ses pensées, elle avançait dans la foule sans trop prêter attention aux autres piétons.  

C’est alors que ce qui devait arriver, arriva. Elle percuta quelqu’un de plein fouet. Elle fut alors projetée en arrière et retomba assez lourdement sur les fesses son dos heurtant un poteau.  

- Aie … Houlà, ça fait pas du bien. Non mais, vous ne pouvez pas faire attention non !!!! Cria t-elle.  

Après avoir hurlé à plein poumon contre la personne qui l’avait bousculée, elle vit un jeune homme se pencher vers elle.  

- Mademoiselle, je suis vraiment désolé. Je vous prie de bien vouloir m’excuser.  

Le jeune homme lui tendait la main pour l’aider à se relever. Elle l’accepta volontiers. A nouveau debout, elle découvrit le visage de la personne qui l’avait renversée. Il était assez grand, environ de la même taille que Ryo. Il était musclé et devait avoir environ la trentaine. C’était un charmant jeune homme, brun avec de superbes yeux verts et la peau légèrement bronzée. (NA : je vous laisse imaginer le beau gosse que ça doit être (^-^).) Kaori remarqua tout de suite qu’il n’était pas Japonais. Sûrement Américain se dit-elle. Elle avait reconnu l’accent. C’était le même que celui de Mick.  

- Oh ce n’est rien. Il n’y a pas de mal, dit-elle en souriant. – Et vous, ça va ?  

Elle n’eut pas de réponse. Il la regardait fixement. On aurait dit qu’il venait de voir un fantôme. Il avait le teint pâle. Un peu gênée, Kaori lui reposa la question.  

- Vous allez bien Monsieur ?  

Il sortit alors de son état semi comateux.  

- Oh oui, ça va bien merci. Pas de casse de mon côté.  

- Bon, j’aime mieux ça, fit Kaori en soufflant de soulagement.  

- Permettez-moi de vous offrir un café pour me faire pardonner, lui dit-il un peu gêné.  

- Non ce n’est pas nécessaire. Et puis, c’est aussi un peu de ma faute. Je ne regardais pas où j’allais.  

- Je vous en prie. Je tiens absolument à m’excuser.  

- Bon et bien d’accord alors. Ça tombe bien, je me rends justement chez une amie qui tient un café. C’est à quelques rues d’ici.  

- Eh bien, allons-y, je vous suis, lui dit-il, d’une voix très douce.  

Sur ces paroles, ils se dirigèrent vers le Cat’s Eye. Tout en marchant, Kaori entama la conversation.  

- Vous êtes Américain, n’est ce pas ?  

- Oui, ça se voit à ce point ?  

- En fait, ça s’entend plutôt. Vous avez un accent bien particulier qui m’est un peu familier.  

- Ah oui ? Pourquoi dites vous ça ?  

- C’est parce que j’ai un ami Américain et vous avez le même accent que lui.  

- Oh, je vois. Au fait, je ne me suis même pas présenté. Je m’appelle Steven. (NA : Je trouve que ça fait bien américain, et puis je ne savais pas comment l’appeler (^-^))  

- Moi, c’est Kaori.  

- Enchanté Kaori.  

Kaori était très étonnée par l’amabilité de Steven. Elle ne le connaissait que depuis 5 minutes, mais ce qu’elle avait pu voir du jeune homme lui laissait croire que c’était quelqu’un de très bien. Pour une fois qu’un Américain ou pseudo Américain n’était pas un pervers, elle était soulagée.  

- Ça y est !!! Nous y sommes. C’est ici, dit-elle en lui montrant le café.  

Kaori, qui se dirigeait vers la porte pour tenir la poignée, fut cette fois stupéfaite. Steven l’avait devancée. Il lui avait ouvert la porte. Non seulement il était aimable, mais il était aussi galant. (NA : le mec parfait mdr. NB : ça cache un truc de louche ça ! Je vais le surveiller !!) Et c’est avec un sourire charmeur qu’il s’adressa à elle.  

- Après vous Kaori, dit-il en s’inclinant devant la jeune femme.  

En retour, Kaori lui sourit, touchée par cette délicate attention. Elle entra alors dans le café. Miki, qui avait entendu la clochette retentir, s’était tournée pour voir le visage de ses futurs clients.  

- Oh Kaori, c’est toi !!! Toujours à l’heure comme d’habitude, lui dit-elle en lui faisant un clin d’œil.  

C’est alors qu’elle s’aperçut de la présence de Steven. Elle se tourna alors vers lui.  

- Oh bonjour Monsieur.  

Kaori prit alors la parole.  

- Miki, je te présente Steven. Steven voici Miki ma meilleure amie.  

- Enchanté, fit-il en lui baisant la main. (NB : le lover…)  

Kaori, voyant l’air interrogateur de son amie, commença à lui raconter sa rencontre avec Steven. Pendant le récit, Miki leur avait servi un café.  

- Et nous voilà ici. Finit par conclure Kaori.  

Pendant que Kaori avait expliqué à son amie, les circonstances dans lesquelles elle avait rencontré le bel Américain, ce dernier ne l’avait pas lâchée des yeux. Miki remarqua le regard qu’il posait sur elle. Elle n’aurait pu expliquer pourquoi, mais elle n’aimait pas sa façon de la regarder. Sûrement son instinct de mercenaire. C’est un peu agacée, qu’elle s’adressa à son amie.  

- Dit moi Kaori, les filles vont nous attendre. Si l’on veut être prête pour aller au Limbo ce soir il ne va pas falloir trop tarder.  

- C’est vrai, je te suis Miki, dit-elle en se levant.  

Miki se tourna alors vers Steven et d’un ton sec, elle s’adressa à lui.  

- Vous nous excuserez Steven, mais nous avons des choses à faire.  

- Je comprends. Il faut que j’y aille aussi de toute façon. Kaori, j’ai été heureux de faire votre connaissance  

- Moi aussi Steven.  

Sur ces mots, ils se levèrent et Steven remit sa veste. Alors qu’il allait faire ses adieux aux deux jeunes femmes, la clochette de la porte retentit dans le café. (NA : Qui ça peut bien être ? Vous le saurez bientôt).  

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