Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prose

 

Author: pitite

Beta-reader(s): Moon

Status: To be continued

Series: City Hunter

 

Total: 22 chapters

Published: 09-11-05

Last update: 04-10-07

 

Comments: 243 reviews

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RomanceAction

 

Summary: Ryo, qui s'est enfin déclaré, doit faire face à un individu un peu trop entreprenant avec Kaori.

 

Disclaimer: Les personnages de "Touche pas à Kaori" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Touche pas à Kaori

 

Chapter 22 :: Retour au bercail

Published: 04-10-07 - Last update: 04-10-07

Comments: Bonjour à tous. Oui, je suis de retour lol. Désolée, pour l’attente mais j’avais perdu l’envie d’écrire et surtout l’inspiration. Mais heureusement, j’ai eu deux gros soutiens et je tiens à les remercier pour leurs mails qui m’ont vraiment beaucoup beaucoup motivé. Un grand merci à vous Billa et Cristina. Ensuite il faut que je remercie ma petite Moon, qui poursuit l’aventure avec moi, merci beaucoup ma puce. Et maintenant, pour ceux qui ont un peu oublié l’histoire voici un petit résumé. Ryo et Kaori vivent enfin leur amour mais secrètement. Cependant un petit nuage plane sur leur tout nouveau bonheur et il s’agit de Steven. Ce dernier est bien décidé à conquérir Kaori et pour cela il engage un tueur pour éliminer son rival. Après avoir survécu au premier assaut, nos tourtereaux reviennent au cat’s eye, mais quelque chose dérange notre nettoyeur. Maintenant place à la suite, j’espère qu’elle vous plaira. Donnez moi votre avis surtout, n’hésitez pas. Je vous promets que la suite sera pour bientôt. Gros bisou à tous et bonne lecture.

 


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Ryo scrutait la pièce très attentivement. Son regard se dirigea tout d’abord vers le bar où tout le monde répondait à l’appel. Miki et Falcon étaient derrière leur comptoir, Mick et Kazue quant à eux étaient sagement assis sur leurs tabourets devant une bonne tasse de café dont le fumet embaumait tout le bar.  

 

En un mot la situation était des plus habituelles à une seule petite, mais très gênante différence. Aux yeux du nettoyeur une personne n’avait pas sa place ici dans ce qu’il aimait appeler le repaire de la city hunter family. La présence de cet individu dans son repaire agaçait particulièrement le nettoyeur.  

 

Son instinct de professionnel s’était éveillé à chaque fois à l’approche de cette personne dans son périmètre. Il ne faisait aucun doute pour Ryo que cet être était entièrement rongé par la haine, même si d’apparence rien ne transparaissait et que son visage ne reflétait que douceur et gentillesse, pour lui ce n’était qu’hypocrisie. Plusieurs réactions qui n’avaient pas échappées aux yeux du nettoyeur ne faisaient que confirmer la première impression qu’il avait eue à son sujet.  

 

 

- « Comme on dit chasser le naturel il revient au galop et ce naturel me déplait » pensait le nettoyeur. - « Tu n’as rien d’un gentleman, même si tu ne lésines pas sur les moyens pour persuader tous ceux que tu croises. Avec moi ton manège ne prend pas »  

 

 

Le nettoyeur venait de tirer ses conclusions et le diagnostic était sans appel, cette personne n’était pas digne de confiance et il faudrait particulièrement s’en méfier car à en croire son comportement il avait l’intention de s’incruster de plus en plus parmi eux.  

 

Mais toute cette noirceur qu’il avait pu percevoir chez cet individu n’était en rien la raison principale de l’énervement de Ryo, non. Il avait déjà côtoyé des vermines de son espèce, il n’était nullement impressionné. Il était le numéro un et personne ne pouvait l’égaler. Mais pourquoi donc ne pouvait-il pas supporter la présence de cette personne ? Cette question résonna dans sa tête et provoqua un déclique, cependant, il n’eut pas le temps de pousser plus au loin son auto psychanalyse que l’objet de ses réflexions se dirigeait vers lui ou plus exactement vers elle, car pour Ryo nul doute que ce playboy allait se diriger vers sa partenaire et ce fut précisément le cas.  

 

 

- Kaori, très chère dit Steven en l’enlaçant tendrement, vous n’avez rien, Dieu soit loué. Je passais par là et j’ai reconnu le bar où vous m’aviez emmené hier et que vois je devant ? Votre voiture garée criblée de partout. J’entre alors et je demande à vos amis ce qui c’est passé mais personne n’est capable de me répondre clairement. Comprenez mon inquiétude. Je n’aurais pas supporté que l’on vous ait fait du mal.  

 

 

Là, c’en était trop pour Ryo. D’abord cet amerloc s’imposait grossièrement parmi eux sans savoir si sa présence indisposait. Posait des questions qui ne le concernaient aucunement et maintenant le comble du comble, il se mettait à jouer les pseudos chevaliers servant en armure étincelante auprès de Kaori, de SA Kaori. Ryo fulminait « Trop c’est trop, j’en peux plus, là c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. »  

 

……..  

……..  

……..  

……..  

……..  

……..  

 

Ryo poussa alors Steven si violemment contre le bar qu’on en entendit ses os craquer sous le choc. Ce dernier, qui ne s’attendait pas à une réaction aussi vive s’écrasa sur le comptoir tel un moustique percutant le pare brise d’une voiture. Ryo s’approcha alors de lui tout en faisant craquer les articulations de ses doigts un sourire sadique aux lèvres. Il attrapa Steven par sa chemise en lui serrant quelque peu la gorge.  

 

 

- Alors M. Ross, on cherche à s’incruster parmi nous ?  

 

- Non, non, vous vous m’éprenez M Saeba. Je voulais juste savoir ce qui s’était passé.  

 

- Ah bon !!! Dit Ryo en resserrant un peu plus son étreinte. – Et on ne vous a jamais appris que la curiosité est un très vilain défaut ?  

 

- Non mais vous ne comprenez pas, répondit Steven en essayant de desserrer l’étreinte de son agresseur pour reprendre une bouffée d’oxygène. – Je m’inquiétais pour Kaori, comprenez vous, je l’aime, je veux la protéger.  

 

 

Là c’était plus qu’un homme ne puisse supporter. Ryo projeta violemment l’Américain sur le sol et sortit son python 357 magnum de sous sa veste et le pointa sur le cloporte qui rampait sur le sol pour trouver une échappatoire.  

 

Quand tout d’un coup Steven se releva brutalement et se jeta sur Ryo avec toute la haine qu’il éprouvait pour lui. Ce dernier qui s’attendait à un sursaut d’orgueil de la part de l’Américain l’esquiva facilement et déposa une petite tape « très amicale » dans son dos qui le déséquilibra et qui eut pour conséquence de lui faire finir sa course, tête la première, dans le bar.  

 

 

- Mais mon pauvre Ross, vous voyez bien que vous n’êtes pas de taille face à moi.  

 

- Peut être, répondit Steven en s’asseyant sur le sol le visage meurtrit par son smack avec le comptoir.  

 

- Kaori ne peut aimer qu’un seul homme, poursuivit Ryo. – Un de nous est de trop et ce quelqu’un c’est vous Ross.  

 

 

Tout en prononçant cette dernière phrase qui allait mettre fin à cet inutile combat, Ryo avait relevé son bras pour à présent pointer son magnum sur Steven.  

 

 

- Désolé Ross, mais il ne peut en rester qu’un………………………….  

 

 

Quand tout à coup, le doux murmure d’une petite voix qui lui paraissait si loin arriva à ses oreilles. Cette voix, oui, cette voix. Il la reconnut tout de suite. Elle seule avait ce ton si cristallin si pur qu’il adorait tant mais il sentit que quelque chose n’allait pas. Il perçut comme une inquiétude dans son ton.  

 

 

- Ryo, Ryo répond moi s’il te plaît. Qu’est ce qui te prend et de quoi tu parles, qu’est ce que ça veut dire ça « il ne peut en rester qu’un » ? Tu te prends pour Highlander ? T’es sûr que tout va bien ?  

 

- Hein ? Quoi ? Répondit-il à sa partenaire qui le regardait anxieuse et dubitative.  

 

- Je te demande si tout va bien, répéta la jeune femme. - Ca fait deux minutes que tu as l’air dans les nuages à trépigner sur place, alors je m’inquiète. - Tout vas bien, lui redemanda t-elle de plus en plus angoissée par l’absence de réaction de son partenaire.  

 

 

Prit d’une frayeur incontrôlable elle le saisit par l’avant bras pour s’assurer qu’il allait bien. Peut être avait-il été blessé tout à l’heure à cause d’elle et qu’il ne lui avait rien dit pour ne pas l’inquiété. Si tel était le cas, elle ne se le pardonnerait jamais et si ce n’était pas ça et bien alors quoi ? Qu’est ce qu’il pouvait bien avoir ce gros nigaud à rester là sans bouger ? Il avait un comportement bien étrange. « D’accord, admis la jeune femme, il peut avoir un comportement puérile et pervers par moment, mais là il n’est ni l’un ni l’autre que peut-il bien avoir. J’aurai mille fois préféré qu’il saute sur Kazue ou Miki en entrant que de rester planté là comme un piquet. Je n’en reviens pas de penser ça se dit la jeune femme en rigolant intérieurement de sa réaction. Quand tout à coup elle perçut une réaction chez son partenaire.  

 

Ryo regardait autour de lui pour comprendre. « Que s’est-il passé ? » se demanda t-il. Il y a à peine cinq secondes j’étais entrain de refaire le portrait de l’autre affreux et là plus rien, poufff disparu. « Bizarre tout ça » pensa t-il en se gratouillant le crâne perplexe. Ce n’est que lorsque son regard se posa sur Steven dont le visage ne ressemblait en rien à un visage tuméfié par les coups qu’il comprit toute l’histoire. Son esprit venait de lui jouer un tour en lui permettant de se défouler en corrigeant ce Don Juan américain. Il se passa alors la main dans les cheveux et se mit à sourire, mais avant qu’il n’ait pu rassurer sa partenaire sur son état mental, quelqu’un d’autre se fit une joie, un plaisir et même un devoir de s’en charger à sa place.  

 

 

- Mais voyons ma très chère Kaori, dit Mick en s’approchant d’elle. - Où est donc passé ton sens de la tolérance ? Comment veux tu que ce pauvre diable ait l’air présent hein ? Il n’a qu’un pois chiche entre les deux oreilles et pour le bas c’est petit pois carotte finit-il par murmurer à l’oreille de la jeune femme qui ne put s’empêcher de sourire.  

 

- Non, vraiment ma douce Kaori, ne soit pas inquiète, poursuivit l’américain, cet air crétin que tu vois, c’est naturel chez lui, il n’y peut rien, il est né comme ça. Vraiment Kaori, je te trouve bien cruelle avec ce pauvre démuni finit-il par dire d’un air offusqué.  

 

 

Kaori était plus qu’amusée de voir comment Mick avait le don de dédramatiser toutes les situations. Cette petite blague l’avait bien fait rire mais cependant ce n’était pas aux goûts du principal intéressé qui venait de se voir bassement attaquer tout d’abord sur ses capacités intellectuelles mais cela l’indifférait complètement. Mais par contre la deuxième attaque sur la petitesse de son anatomie ça, il ne le supportait pas. Lui l’étalon de Shinjuku, il n’allait sûrement pas tolérer ça. Il n’avait pas l’intention de le laisser s’en tirer à si bon compte sans lui donner une petite leçon au passage.  

 

 

- Dit donc le blond décoloré, tu te prends pour qui ? Grogna Ryo. – Mais bon, rajouta t-il d’un air complètement détaché sur ce qu’il venait d’entendre et en se dirigeant entièrement décontracté vers le bar les deux mains derrière la tête. – Tu as enfin accepté la vérité, c’est bien, c’est un bon début mon vieux. Ryo ponctua sa phrase d’un petit clin d’œil plein de sous-entendus à l’intention de son ami.  

 

Lorsque Ryo eut enfin pris place au bar il commanda un café à sa face de poulpe préférée qui lui répondit de la façon la plus tendre et la plus délicate qu’il connaissait, c'est-à-dire un aller retour de plateau en pleine face.  

 

- Non mais ça va pas, t’es complètement fou. T’aurais pu me décrocher la mâchoire, dit-il en se frottant le visage. – De quoi j’aurais eu l’air moi après ça pour draguer les filles hein !!! Tu peux me le dire !!!  

 

- Tu n’as que ce que tu mérites. Je t’ai déjà dit de ne pas m’appeler face de poulpe et puis, je te rassure pour les filles avec ou non une mâchoire amochée ça ne changera pas le nombre de râteaux que tu te prends par jour, quoique, elles auront peut être pitié de toi. Donc, en fin de compte je t’ai rendu service, tu devrais me remercier au lieu de pleurnicher.  

 

- Ce que tu peux être désagréable quand tu t’y mets. Je voulais juste titiller mon petit mammouth adoréééééé.  

 

- BOUMMM !!!!  

 

 

Le second coup de plateau ne se fit pas attendre et envoya Ryo faire un petit bonjour au carrelage.  

 

 

- Si on ne peut plus rigoler maintenant, marmonna Ryo en escaladant le bar pour s’asseoir à nouveau sur son tabouret.  

 

- Bon !!! Puis-je caresser le doux espoir de me faire servir un café, implora Ryo en regardant dans la direction de Falcon.  

 

- Et bien tu vois quand tu veux, lui répondit ce dernier.  

 

- Hein ? Quoi ? Qu’est ce que tu veux toi ? Rétorqua Ryo d’un ton dédaigneux à l’encontre du mercenaire. Ce n’était pas à toi que je parlais mais à ma douce et tendre Miki, dit-il en se détachant à moitié la tête pour apercevoir la jeune femme qui se dissimulait derrière la montagne de muscle. - Toi, j’te parle plus, balança Ryo au barman, - T’es trop méchant avec moi, dit-il en détournant son regard du barman pour lui montrer son mépris.  

 

- Puff, t’en mieux, rétorqua Falcon en poursuivant sa vaisselle, au moins j’aurai la paix comme ça.  

 

- Alors Miki, je peux avoir un café s’il te plait. Oh attend, deux, s’il te plait.  

 

 

Il se retourna alors vers Kaori, les yeux remplis d’une extrême douceur. Jamais encore il ne lui avait adressé un tel regard aussi tendre en public. Kaori ne put s’empêcher de rosir légèrement devant cette nouvelle démonstration d’amour de son partenaire ce qui amusa particulièrement le nettoyeur. Il adorait cette extravagante timidité chez elle et aimait particulièrement la faire rougir. Il savait pertinemment qu’à chacune de ses démonstrations de tendresse le résultat serait le même : il aurait en face de lui une Kaori rouge cramoisie. Il décida de couper court à ce petit jeu entre eux car après tout ils avaient décider de garder leur histoire pour eux pour le moment.  

 

 

- Kaori, tu viens t’asseoir, je t’ai commandé un café, dit-il en tapotant sur le tabouret situé à coté du sien.  

 

- J’arrive, un bon café me fera un grand bien, répondit-elle en rejoignant son compagnon.  

 

 

Alors que les deux tourtereaux roucoulaient tendrement en attendant leur café, un américain voyait rouge. Encore une fois il venait de perdre l’attention de Kaori au profit du professionnel et ça il ne le supportait pas.  

 

 

- « Tu vas me le payer Saeba et plus tôt que tu ne le crois » pensa t-il en serrant fermement ses poings. »  

 

 

Mais le problème qui le préoccupait en cet instant était de sauver la face. En effet, il se trouvait au milieu du bar avec son compatriote à ses côtés qui avait l’air en pleine réflexion. Qu’allait-il bien pouvoir inventer pour s’en sortir avec les honneurs, la tête haute. Kaori l’avait planté comme un sac à patates et ne se préoccupait plus guère de lui. Elle n’avait d’attention que pour Ryo.  

 

 

- « Comment vais-je faire » pensa Steven. « Je ne peux pas les rejoindre au bar, j’aurai l’air de quoi ? D’un bon toutou qui suit ses maîtres ? Ça sûrement pas. Partir sans rien dire ? Non plus, ce serait reconnaître que Saeba a gagné. Mais comment bon sans ?  

 

 

C’est alors qu’une idée lui traversa la tête. Grâce à ça il allait pouvoir rebondir de plus belle et en plus avec classe. Tandis que tout le monde discutait, on entendit une sonnerie de portable résonner dans le bar. Tout le monde se retourna vers la source du bruit et observèrent l’américain. Steven sortit alors son téléphone avec fierté. « Tu vas voir Saeba, je vais te donner une petite leçon à ma façon. » Il décrocha son téléphone dans un geste d’une telle arrogance que Ryo faillit en recracher son café tellement il avait l’air ridicule.  

 

 

- Ross, j’écoute.  

 

- ……….  

 

- Ha oui, vraiment, très bien.  

 

- ……………  

 

- D’accord, j’arrive, tout de suite.  

 

 

Sa conversation terminée, il rangea son portable dans la poche intérieure de sa veste et s’adressa aux présents.  

 

 

- Je suis désolé, je dois malheureusement vous quitter. On m’attend pour…..  

 

- Ok, très bien, salut Ross, le coupa Ryo, et comme on dit à la prochaine et si ça pouvait être dans 100 ans, ça m’arrangerait murmura Ryo en se retournant pour finir tranquillement son café.  

 

 

Steven voyait rouge « espèce de balourd mal éduqué, mais attend voir, j’ai pas dit mon dernier mot ». L’américain arborait un sourire machiavélique, il jubilait intérieurement à l’idée de l’effet que sa sortie allait avoir sur la partenaire du nettoyeur. Il s’approcha alors pour s’adresser à Kaori.  

 

 

- Très chère Kaori, dit-il en lui prenant la main, je dois vous quitter. Je serais bien resté pour discuter plus amplement avec vous mais le travail m’attend et maintenant que je vous sais saine et sauve je peux partir tranquillement, l’esprit serein. Je dois achever un projet d’orphelinat qui me tient à cœur, les plans sont arrivés je dois rencontrer les architectes pour le début des travaux, j’espère que vous comprenez.  

 

- Oui bien sûr, vous avez d’autres priorités et ça se comprend. Un orphelinat, c’est un geste magnifique de votre part.  

 

- Merci Kaori. Mais j’aime utiliser mon argent pour aider les autres. Que voulez vous, je suis un bon samaritain. Si vous voulez, je vous montrerai les plans et vous me donnerez votre avis.  

 

- J’en serai ravie Steven.  

 

- Donc, à très bientôt Kaori.  

 

 

Il termina sa phrase en lui baisant tendrement la main. Puis, il se dirigea vers la sortie, passa devant Mick, toujours plongé dans ses pensés et quitta l’établissement à la plus grande joie du nettoyeur.  

 

Cependant, dans le bar il y avait un petit détail qui clochait et Kaori s’en rendit compte immédiatement.  

 

 


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